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Croire en quoi ?
230 pages, Paperback
Published September 6, 2024
27 people want to read
About the author
Richard Krawiec
31 books30 followersRichard Krawiec has published two novels, *Time Sharing* and *Faith in What?,* a story collection, *And Fools of God*, two books of poetry, *She Hands Me the Razor* and *Breakdown*, four plays, two young adult biographies, and book reviews and feature articles for national publications. *Time Sharing* was a *Publisher's Weekly Recommended* selection, and made the*Village Voice Real Life Rock Top Ten*.*She Hands Me the Razor* was one of only 17 poetry books nominated for a 2012 SIBA Award. *Yao Ming: Gentle Giant* was cited as one of the Best Young Adult Books of the Year by the Pennsylvania Libraries Association.
Krawiec has won fellowships from the National Endowment for the Arts, the NC Arts Council(twice) and Pennsylvania Council on the arts. His work appears in *Shenandoah, sou'wester, Witness, Cream City Review, Florida Review, West Branch, NC Literary Review, 2Rivers View, Connotation*, and dozens of other literary magazines. He has edited anthologies featuring the work of Dorianne Laux, Marge Piercy, Reynolds Price, Lee Smith, Allan Gurganus, Elizabeth Spencer, Fred Chappell, Kathryn Stripling Byer, Joe Millar, Michael Chitwood, Jaki Shelton Green and others.
He teaches Beginning Intermediate and Advanced Fiction Writing online for UNC Chapel Hill, for which he wrote the curriculum and won their Excellence in Teaching Award. As founder of Jacar Press,a Community Active Press, he
publishes books of poetry. He has worked extensively with people in homeless shelters, abused women and children, literacy students, prisoners, immigrants, and others who have been traditionally excluded from literary programming.
Krawiec has won fellowships from the National Endowment for the Arts, the NC Arts Council(twice) and Pennsylvania Council on the arts. His work appears in *Shenandoah, sou'wester, Witness, Cream City Review, Florida Review, West Branch, NC Literary Review, 2Rivers View, Connotation*, and dozens of other literary magazines. He has edited anthologies featuring the work of Dorianne Laux, Marge Piercy, Reynolds Price, Lee Smith, Allan Gurganus, Elizabeth Spencer, Fred Chappell, Kathryn Stripling Byer, Joe Millar, Michael Chitwood, Jaki Shelton Green and others.
He teaches Beginning Intermediate and Advanced Fiction Writing online for UNC Chapel Hill, for which he wrote the curriculum and won their Excellence in Teaching Award. As founder of Jacar Press,a Community Active Press, he
publishes books of poetry. He has worked extensively with people in homeless shelters, abused women and children, literacy students, prisoners, immigrants, and others who have been traditionally excluded from literary programming.
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Community Reviews
Displaying 1 - 2 of 2 reviews
May 10, 2025
Il y a des livres qui donnent l’impression d’être dans le cycle essorage de la machine à laver, t’en ressors dégoulinant, le visage mouillé de larmes. Des fois c’est des larmes de rage, de « c’était vraiment une bouse » et des fois c’est des larmes de « ça m’a remis en place au niveau atomique ».
Après cette envolée métaphorique, je dois dire que Croire en quoi m’a fait poser la même question ; c’est toute la misère la plus humaine, qu’on voit lorsqu’on regarde les informations lors des périodes électorales ou du téléthon. Ce n’est pas du voyeurisme un peu abject de situations qu’on voit de loin, vous savez ces romans qui multiplient le sordide et le glauque dans des endroits tellement lointains et « exotiques » qu’on se dit que ça ne peut qu’être vrai, se gargariser de son petit confort occidental. Là c’est plus la misère sociale capitaliste, qui par chez nous a beaucoup touché le Nord, la Lorraine, ces zones industrielles dont parle très bien Benoit Coquard – alors que pourtant, pas le même contexte socio-économique, mais la même misère. Dans Croire en quoi on touche les gens urbains, peu éduqués, au chômage, dépendant des aides et surtout de l’altruisme et les liens sociaux faits parmi les plus miséreux. C’est écrit d’une façon si juste que même les pensées les plus abjectes réussissent à rendre identifiable toutes les douleurs, frustrations et contrariétés que rencontrent les personnages. Je pense qu’on pourrait voir une certaine forme de caricatures dans certaines situations ou interactions ; mais ça vient de quelque part, et parfois juste : pourquoi pas ? C’est un roman plein d’humanité, qui dépeint la vie des déclassés, de ces personnes dont on a rien à faire, de statistiques dont la vie n’a pas d’intérêt autre que celui de mériter aussi un peu de bonheur.
Après cette envolée métaphorique, je dois dire que Croire en quoi m’a fait poser la même question ; c’est toute la misère la plus humaine, qu’on voit lorsqu’on regarde les informations lors des périodes électorales ou du téléthon. Ce n’est pas du voyeurisme un peu abject de situations qu’on voit de loin, vous savez ces romans qui multiplient le sordide et le glauque dans des endroits tellement lointains et « exotiques » qu’on se dit que ça ne peut qu’être vrai, se gargariser de son petit confort occidental. Là c’est plus la misère sociale capitaliste, qui par chez nous a beaucoup touché le Nord, la Lorraine, ces zones industrielles dont parle très bien Benoit Coquard – alors que pourtant, pas le même contexte socio-économique, mais la même misère. Dans Croire en quoi on touche les gens urbains, peu éduqués, au chômage, dépendant des aides et surtout de l’altruisme et les liens sociaux faits parmi les plus miséreux. C’est écrit d’une façon si juste que même les pensées les plus abjectes réussissent à rendre identifiable toutes les douleurs, frustrations et contrariétés que rencontrent les personnages. Je pense qu’on pourrait voir une certaine forme de caricatures dans certaines situations ou interactions ; mais ça vient de quelque part, et parfois juste : pourquoi pas ? C’est un roman plein d’humanité, qui dépeint la vie des déclassés, de ces personnes dont on a rien à faire, de statistiques dont la vie n’a pas d’intérêt autre que celui de mériter aussi un peu de bonheur.
December 14, 2024
Lu dans le cadre du prix Micheline 2025
Une tranche de vie d'une famille américaine dans une ville en proie à la désindustrialisation. La famille dont un des enfants est touché par une grave maladie tente de trouver son équilibre et d'accepter de l'aide.
Je n'ai pas été super emballé par ce roman, mais je m'en souviens plutôt bien par rapport à d'autres, donc je pense qu'il ne m'a pas pas laissé indifférent.
Une tranche de vie d'une famille américaine dans une ville en proie à la désindustrialisation. La famille dont un des enfants est touché par une grave maladie tente de trouver son équilibre et d'accepter de l'aide.
Je n'ai pas été super emballé par ce roman, mais je m'en souviens plutôt bien par rapport à d'autres, donc je pense qu'il ne m'a pas pas laissé indifférent.
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