Comment résoudre un meurtre si personne ne l’a commis ?
Le commissaire Forestier est appelé en urgence par Yves de Montalabert, un aristocrate qui a reçu des lettres de menace et craint pour sa vie. Le policier se rend chez lui, au cœur de la campagne normande, pour démasquer le corbeau. Mais à sa grande surprise il découvre que le comte a invité quatre personnalités à se joindre à eux : un jeune journaliste en vogue, la femme d’un riche industriel, un médecin des beaux quartiers et un général ayant l’oreille du pouvoir. Des convives bien sous tous rapports. Du moins en apparence…
Le soir même, le comte est assassiné brutalement dans son bureau, alors que porte et fenêtres sont verrouillées de l’intérieur. Qui plus est, tous les invités possèdent un alibi irréfutable. Confronté au plus déroutant des mystères de chambre close, Forestier prend l’affaire en main. Il ignore que cette énigme en cache une autre bien plus incroyable encore…
Avec ce roman à twists, Valentin Musso nous offre une intrigue aussi redoutable que ludique. Un suspense haletant, dont il serait criminel de révéler les multiples rebondissements.
Valentin Musso est né en 1977. Agrégé de lettres, il enseigne la littérature dans les Alpes-Maritimes. Il est l'auteur de plusieurs romans, dont Les Cendres froides et Le Murmure de l'Ogre, prix Sang d'encre des lycéens et Prix du polar historique.
Je suis partagée sur ce livre. Deja, il melange plusieurs intrigues differentes. Certaines m’ont plu plus que d’autres. Mais du coup, le vrai soucis etait le rythme du recit de ces differentes histoires. Trop longues, trop soudaines, cela m’a parfois perdu dans mon plaisir de lecture. J’attendais beaucoup car j’avais adoré l’autre livre que j’avais lu de cet auteur. Mais la je suis decue.
Impossible de parler de ce livre sans spolier. Alors je vous incite à le lire, à être enchantés par ce texte riche et son déroulement inattendu. Régalez-vous.
Классический детектив, который на самом деле им не является? Вообще, я люблю почитать отзывы перед прочтением, чтобы примерно представлять, что ожидать, поэтому словила пару спойлеров ещё не начав. Помешали ли они мне? Не особо, так как успела удивиться на финале первой части так, словно никогда спойлера в лицо не видела. Но это я к чему – как большая фанатка классических детективов, должна была остаться разочарованной сюжетным поворотом, но этого не произошло. При этом могу понять, почему некоторые жалуются и считают первую часть отличной, а две последующие лишними.
Граф Ив де Монталабер приглашает в свой дом четырёх человек, а пятым оказывается детектив на пенсии Луи Форестье. Граф ставит детектива в известность, что некто присылает ему письма с угрозами, и просит помощи расследовать это дело. Причём, он точно уверен, что никто из гостей в этом не замешан. Впрочем, вечером графа находят застреленным в своём кабинете, и теперь герой должен понять, кто же из четверых преступник. Ну, так звучит сюжет первой части, которая имитирует классический детектив. Во второй и третьей всё немного иначе, но, чтобы не спойлерить, оставлю так.
Если пришлось бы оценить части, то первая, конечно же, оказалась бы любимой, за ней последовала третья и на последнем месте вторая. Если же оценивать роман целиком, то он весьма и весьма любопытно построен. В нём нет особой тайны, так как повествование поделено между полицией и убийцей, но читать это не становится скучно. Во второй и третьей части главный герой меняется, и впервые появляется Марианна. Наверное, она стала одной из причин, почему мнение о книге не изменилось. Вот так некая «замена» Луи Форестье оказалась в разы лучше него самого. Целеустремлённая и желающая докопаться до правды, она меня покорила тем, что не сдавалась до самого конца.
Так что это не совсем полноценный детектив, а скорее погружение в разум убийцы, где он сам рассказывает, как докатился до жизни такой. И этот рассказ очень даже захватывает, и отрываться от него не хочешь, особенно когда видишь, что ничем хорошим такая жизнь закончиться не может. Большую часть истории прослушала и с большим удовольствием.
« Comment résoudre un meurtre si personne ne l’a commis ?
Le commissaire Forestier est appelé en urgence par Yves de Montalabert, un aristocrate qui a reçu des lettres de menace et craint pour sa vie. Le policier se rend chez lui, au cœur de la campagne normande, pour démasquer le corbeau. Mais à sa grande surprise il découvre que le comte a invité quatre personnalités à se joindre à eux : un jeune journaliste en vogue, la femme d’un riche industriel, un médecin des beaux quartiers et un général ayant l’oreille du pouvoir. Des convives bien sous tous rapports. Du moins en apparence…
Le soir même, le comte est assassiné brutalement dans son bureau, alors que porte et fenêtres sont verrouillées de l’intérieur. Qui plus est, tous les invités possèdent un alibi irréfutable. Confronté au plus déroutant des mystères de chambre close, Forestier prend l’affaire en main. Il ignore que cette énigme en cache une autre bien plus incroyable encore… »
C’est par ce mystère en chambre close que commence le nouveau roman de Valentin Musso « Le mystère de la Maison aux Trois Ormes ». Un début qui n’était pas sans rappeler Agatha Christie et qui m’a laissée un peu perplexe : toute l’intrigue allait-elle être une copie sans grande envergure de l’âge d’or de la littérature criminelle ?
Mais une fois cette énigme résolue, le roman prend un tournant inattendu, qui sera suivi d’autres que je ne peux dévoiler sans vous gâcher le plaisir de la lecture. Valentin Musso se joue du lecteur au moyen d’une intrigue à tiroirs très plaisante à lire, mêlant énigme policière classique, réflexion sur la littérature et références littéraires, avec un clin d’œil appuyé à la grande Agatha et à son « Cartes sur tables ».
Un très bon moment de lecture que je vous recommande :)
Je l'avais demandé en SP, mais je ne l'ai pas eu ; heureusement, en participant à la Masse critique de Babelio, j'ai été sélectionnée pour recevoir ce roman (je l'aurais acheté de toute façon si je ne l'avais pas eu). J'aime beaucoup ce qu'écrit Valentin Musso d'habitude et ce roman n'a pas fait exception. J'ai aimé cet hommage aux classiques du genre policier et plus particulièrement aux énigmes en chambre close, qui mêle astucieusement et parfaitement les ressorts des intrigues d'Edgar Poe et d'Agatha Christie. D'ailleurs, je n'avais pas encore terminé ce roman que je m'achetai Le Murmure de l'Ogre (car il en est question dans celui-ci). Henri Forestier, ex-commissaire de police du 36 quai des Orfèvres, est invité par le comte Montalabert dans son manoir normand, avec quelques autres personnes. Le comte l'a principalement fait venir car il a reçu des lettres anonymes et il aimerait que Forestier enquête discrètement. Mais voilà, le soir même, après le repas, le comte est retrouvé mort d'une balle dans la tête alors qu'il était seul dans son bureau, fermé de l'intérieur, et il semble bien que ça ne suit pas un suicide... Forestier prend les rênes de l'enquête en attendant que la gendarmerie arrive... Tout ce que je peux vous dire de plus sans trop spoiler, c'est que je me suis pris une belle claque en arrivant au milieu, et que ça en a troublé mon sommeil ! Moi qui aime Poe et Christie, j'ai été conquise par ce roman-hommage qui reprend énormément de stratagèmes, subterfuges, trucs et astuces, mais aussi thèmes et motifs des histoires policières ou detective stories classiques. Et qui les cite en références. Je pense même qu'il aurait été possible d'ajouter une couche supplémentaire avec un twist de toute dernière minute (auquel je croyais fortement). C'est aussi, j'imagine, une petite satire sur le monde de l'édition (car oui, il y a aussi un personnage auteur dans ce roman).
Valentin Musso, maître du suspense et des intrigues policières, revient avec un nouveau roman captivant, "Le Mystère de la Maison aux Trois Ormes". Dès les premières pages, le lecteur est plongé dans une ambiance à la fois mystérieuse et envoûtante, où chaque détail compte et où rien n’est laissé au hasard.
Le commissaire Forestier se retrouve propulsé dans une enquête des plus complexes lorsqu'il est appelé par Yves de Montalabert, un aristocrate terrifié par des lettres de menace. En arrivant dans la campagne normande, Forestier découvre que le comte a convié quatre autres invités : un jeune journaliste en vogue, l'épouse d'un riche industriel, un médecin réputé et un général influent. Chacun des invités semble irréprochable, du moins en apparence...
La soirée prend une tournure dramatique lorsque le comte est retrouvé assassiné dans son bureau, fermé de l’intérieur. Tous les invités ont un alibi inattaquable, plongeant Forestier dans une énigme de chambre close des plus déconcertantes. Ce qui s’annonçait comme une simple affaire de menaces se transforme rapidement en un puzzle complexe où chaque pièce semble dissimuler un secret.
Musso excelle dans l’art de maintenir le suspense. Son talent pour les twists narratifs garde le lecteur en haleine jusqu’à la dernière page. Chaque chapitre révèle de nouveaux indices, et chaque personnage, sous des apparences respectables, cache des secrets qui ne demandent qu’à être dévoilés. La tension monte crescendo, rendant impossible toute tentative de poser le livre avant d’avoir découvert la vérité.
Ce roman est un hommage aux classiques du genre, tout en apportant une touche de modernité et d’originalité propre à l’auteur. La construction narrative est impeccable, les dialogues sont incisifs, et l’atmosphère de la campagne normande est dépeinte avec une telle précision qu’elle devient un personnage à part entière.
👍 Efficace En trois mots : huis-clos - enquête - énigme
« Tous se dévisageaient, avec un mélange de distance et de méfiance. C’était à croire que chacun des invités regardait désormais les autres comme autant d’assassins potentiels. »
➡️ Si le début peut paraître classique (mais bien fait !) à la façon Agatha Christie, il ne faut pas s’arrêter à ça et persévérer. Au moment où on pense peut-être avoir compris et/ou être déçu, l’auteur rebat les cartes avec brio.
➡️ La construction du récit ainsi que les thèmes abordés sont finalement plutôt originaux. Pourtant, dans l’ensemble, ce roman m’a bizarrement un peu moins convaincue que les précédents de l’auteur. La faute à un dénouement trop simple à mes yeux.
➡️ On ne peut pas nier que comme toujours le style de l’auteur est agréable et efficace, les pages défilent sans aucun problème. Une bonne lecture mais pour moi pas le meilleur de l’auteur.
J’ai soufflé en lisant la première partie ; trop ressemblant à du Christie ou équivalent, ça faisait pompé de partout, assez peu original et assez lourdingue. Au final c’est la partie qui m’a le plus plu, parce qui semblait être le plus voulue. La deuxième et troisième partie a l’air de sortir d’une énième composition policière aux personnages stéréotypes et caractéristiques, au scénario prévisible et téléphoné. Dommage qu’il ait fallu que l’intrigue devienne contemporaine pour me faire apprécier celle qui avait tout l’air d’être vampirisée. Parce que, du coup, j’ai eu l’impression que Musso a mis plus d’attention dans cette partie, soit à vouloir rendre parfaitement la sensation de policier du siècle dernier, soit que ça s’éloigne suffisamment de son style pour donner une ampleur différente, mais on sent que la partie est plus travaillée (même si du coup fragile et couvée).
Après n'avoir lu qu'un peu de l'œuvre de l'autre Musso, Guillaume, il était temps d'essayer un peu de Valentin, n'est-ce pas ? « Le mystère de la maison aux trois ormes » n'a pas été un mauvais choix, à la fin, sauf que…
Je ne le savais pas, mais ce roman a trois parties qui sont vraiment très différentes. Je me demandais même comment le mystère de la première partie pourrait durer tant, quand j'ai brusquement compris qu'il y avait un hic que je ne puis pas vous dévoiler.
Pour la toute première partie, un très joli mystère de chambre close (pensez à Agatha Christie, sinon à Gaston Leroux), 5/5.
Pour la deuxième partie, qui m'a déçu (j'étais sur le point de ne plus continuer la lecture), 1/5.
Pour la troisième (finis coronat opus), 2/5.
En moyenne, ça donne 3/5.
Dommage. Je croyais que la première partie définissait le style, ce qui n'a pas été le cas.
Un excellent roman ! Dès le début, on retrouve l’ambiance d’un cosy mystery à la Agatha Christie : une enquête classique, une atmosphère feutrée, des personnages mystérieux. Mais au fil des pages, l’intrigue prend de l’ampleur et se déploie bien au-delà de ce que l’on attendait.
Ce qui m’a particulièrement marquée, c’est la manière dont l’assassin se révèle. On découvre un autre visage : celui du changement, du remords, de la fragilité. La dernière partie du livre est vraiment touchante, car elle met en lumière un côté profondément humain et même attachant d’un personnage qu’on ne percevait pas ainsi au départ.
J’ai adoré ce mélange de suspense, d’émotion et d’humanité. Valentin Musso réussit à surprendre et à émouvoir à la fois — une lecture que je recommande vivement !
Ce livre est composé de 3 fragments différents. Le 1er, style agatha christie m'a plu. Malheureusement il s'achève par un retour à la réalité qui m'a déçue, j'ai même voulu arrêter ma lecture. Puis rebelotte on y retourne et un événement survient qu'on voyait arriver à des kilomètres. Bref je m'ennuie. Et hop on change de nouveau d'ambiance, on se concentre sur un personnage, le récit se colore, regain d'intérêt. Et la fin, apothéose, la ca devient bien ! Et ça s'arrête. J'aurais préféré que le livre entier ne soit que la 1ere partie, ou que la dernière. La au final le récit est très inégal et semble décousu.
Séduite pas la première partie. Dans les années 1930, un crime est commis : le propriétaire de la maison aux trois ormes est retrouvé assassiné. Seuls les invités présents et les servants sont les potentiels meurtriers. S’en suit une enquête en vase clos (bien tirée par les cheveux d’ailleurs), mais le twist était surprenant. J’avais imaginé bien des fins mais pas celle ci ! La deuxième partie est plus banale, c’est à qui sera le plus malin pour faire craquer l’autre.
Une première partie très intéressante mais à la fin de la première partie, il y a une révélation dont je ne suis pas fan du tout. C'est un concept que j'ai déjà vu avec "Furie" par exemple et je n'adhère pas du tout à ça Du coup, j'ai pas du tout réussi à me mettre dans l'ambiance de la seconde partie.
Je crois que je m'attendais à tout sauf à ça. On est plongé dans un mystère qui mélange passé et présent. De plus, on rentre dans la tête du meurtrier ce qui est extrêmement intéressant. J'ai adoré cette lecture qui m'a tenu en haleine tout le long et qui regorge de retournements de situations très travaillés.
Le roman commence par une intrigue assez classique mais très prenante, rendant hommage à Agatha Christie et à Gaston Leroux. On est tout à fait dans l'ambiance un peu désuète de la bourgeoisie des années 1930 et du huis-clos. Mais ce n'est pas tout ce qui fait le roman, par un sacré retournement de situation tout se relance. Vraiment très bien fait, avec des personnages bien creusés.
Deuxième Valentin Musso après "Une vraie famille". J'ai un peu moins apprécié ce livre. Le récit est divisé en plusieurs histoires/intrigues qui mêlent à la fois passé et présent. On retrouve une ambiance un peu similaire à Agatha Christie pour la première partie, mais un peu moins fan du scénario par la suite. Le roman est assez cosy et se lit facilement.
Bon policier, sort de l'ordinaire. Jeux de rôle dans les années d'avant 2nde guerre avec un meurtre fictif. Un véritable meurtre aura lieu lors d'une partie. Le meurtrier, un écrivain imposteur qui a des envies de meurtre gratuit. Épinglé par une policière têtue et le fils de la victime.
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Construction très étrange, impossible de rentrer dedans étant donné que l’arc narratif a été changé 3 fois. Dommage, personnages et intrigue intéressants.