Samuel Larochelle n'était pas outillé pour parcourir le monde : sa famille n'a jamais quitté le Québec et l'anxiété a fait de lui sa maison. Pourtant, il a joué à Indiana Jones en Jordanie, rêvé que Céline Galipeau annoncerait sa disparition au Vietnam, cherché de l'or au Yukon, frenché comme un perdu au Brésil, frôlé la mort aux Îles-de-la-Madeleine, gravi un volcan de nuit à Bali et pleuré en laissant Amsterdam derrière. Avec un mélange d'humour, de vulnérabilité et d'effronterie, il nous plonge dans ses tumultueuses aventures de globe-trotter et ses réflexions sur l'art de voyager… pour le meilleur et pour le pire !
Né en Abitibi-Témiscamingue, encore habité par la candeur d'un enfant, tout en aspirant à la sagesse d'un moine tibétain, Samuel Larochelle est un hyperactif de l'écriture. Remarqué et apprécié dans le monde des médias, il collabore régulièrement à une quinzaine de publications (dont La Presse, L'actualité, Nightlife, Huffington Post Québec, Échos Montréal) tout en tenant un blogue de critiques et de réflexions culturelles (Sage Gamin). À cause des garçons est son premier roman.
Quand j’ai commencé ma lecture et que j’ai réalisé qu’il s’agissait d’un récit poétique, j’ai failli changer d’idée et ne pas le lire. Mais le titre avait piqué ma curiosité et le sujet (les voyages) avait capté mon intérêt. Et même si j’étais hors de ma zone de confort avec l’aspect poésie, c’est vraiment l’originalité des propos et la bonne touche humoristique qui m’ont amené à poursuivre ma lecture et à la terminer. Somme toute, je suis contente d’avoir ouvert mes horizons.
Toute personne ayant voyagé va s'y reconnaître. Le choc culturel, les paysages éblouissants, les rencontres fortuites (ou pas), les amitiés créés (ou détruites), les aventures et les mésaventures qui nous forment en tant que personne.
J’aurais dû m’informer et lire le résumé avant de plonger dans ce livre. Mais comme j’aime les livres de cet auteur, j’ai pas hésité et j’ai voulu lire son ptit nouveau sans regarder plus loin que la page couverture.
Sauf que les voyages, ça m’intéresse pas tant.
Là tu vas me dire que la page couverture pis le titre en disait déjà long sur le livre.. ouin.. je sais ! Mais encore là, la petite vibe drôle de l’illustration et le titre me titillait.
J’aurais pu être agréablement surprise, tsé !
Mais quand j’ai découvert le contenu j’ai vite déchanté. C’est pas tant drôle.. j’ai trouvé les anecdotes que j’ai lu plutôt fade.
Je m’imaginais donc pas continuer ma lecture et lire plus de 200 pages d’anecdotes et de blabla de voyage…
Je donnerai pas de note au livre parce que je ne l’ai pas terminé.
3,5/5 🌟 : Ce n’est as le genre de lecture auquel je suis habitué (honnêtement je m’attendais à un roman standard!), mais j’ai été agréablement surprise. Les anecdotes de voyage sont bien racontées, j’ai bien aimé! ☀️ Un livre qui se lit vraiment bien et rapidement!
"Découvrir Bali L'antichambre du paradis La capitale mondiale du sourire Le repaire des adeptes du namaste Le réseau des vieilles bâtisses sacrées dont on n'arrive pas à se lasser"
Les réseaux sociaux m’ont bien eu. J’avoue que je ne savais pas à quoi m’attendre en lisant ce roman. Le titre m’interpellait, étant une grande voyageuse.
Premier hic : Pour vraiment comprendre ce livre, il faut avoir beaucoup voyagé, sinon on perd une bonne partie de son sens.
Deuxième hic : Si tu ne connais pas toutes les références aux individus dont l’auteur parle, tu te perds également.
Troisième hic : Si tu n’es pas homosexuel, il est difficile de te sentir interpellé par le texte car cela prend une grande place.
Quatrième hic : Si tu n’es pas habitué à la poésie, tu vas être surpris.
Bref, je pourrais donner de multiples raisons pour lesquelles ce livre ne plaira pas ou ne m’a pas plu… mais je vais arrêter.
***
Par contre, je donne un gros cinq étoiles pour l’équipe marketing… bravo! Le livre est partout, les gens l’achètent sans savoir trop pourquoi.
parfaite lecture légère sous la forme d'anecdotes de voyage/réflexions de voyageur, qui permet de se remémorer des souvenirs (coucou, wreck beach) et de rêver aux prochaines aventures.
j'ai aimé le style d'écriture plus poétique. ça fait changement de ce que je lis habituellement (et c'est exactement ce que je recherchais en ce moment). il me manquait plusieurs référents pour tout comprendre, mais ça m'a pas empêché d'apprécier ma lecture!
« l'impression que je pourrais m'habituer à cette vie et ne jamais vouloir rentrer »
« je réalise que je ne suis peut-être pas devenu un autre homme mais que tous ces voyages ont plutôt révélé qui j'étais vraiment »
C’était quand même agréable à lire, mais j’ai été un peu déçue, parce que je m’attendais à un roman, une forme plus classique sur le voyage. Il s’agit plutôt de bers libres, d’idées et de souvenirs lancés un peu pêle-mêle sur ce thème. J’ai été divertie (mais pas pour le prix du livre…)
Le style est intéressant. Frôlant la poésie, j’ai bien aimé les tournures de phrases. Les anecdotes de voyage se succèdent et parfois drôles, parfois moins. Un bon roman!
Samuel relate ici ses voyages. Des anecdotes écritent comme des poèmes dans lesquels il melange commentaires sur la vie et la société.
J'ai adoré l'écriture! C'était très fluide et poétique, mais en restant accessible à ceux qui comme moi lisent peu de poésie.
Les anecdotes étaient fun à lire. Surtout lorsqu'il parlais de son lien avec son région d'origine et le tiraillement entre partir ou rester. Ce genre de sujet me touche. Par contre j'ai commencé à trouver cela un peu redondant à la longue, mais j'aurais peut-être pas dû le clancher en 1 journée 😅
Un bon livre parfait pour lire sur le balcon 🌤️ 3☀️
Collection de récits voyage en vers libres, aperçue dans l’étagère “nouveautés” de la bibliothèque Marc-Favreau. On oscille ici entre captions instagram recherchées et journal intime. C’est drôle par moments, ça se lit vite, mais somme toute une lecture un peu insipide. C’est un peu comme la bière d’avant-vol à l’aéroport, c’est jamais particulièrement mémorable, mais c’est pas désagréable non plus et ça fait passer le temps.
J’ai découvert Samuel Larochelle avec J’ai échappé mon cœur dans ta bouche, un véritable coup de cœur. Je le retrouve ici avec la même sensibilité, le même humour et le même sens de l’émerveillement. Pas besoin d’avoir beaucoup voyagé ou de faire partie de la communauté LGBTQ+ pour apprécier ce récit super intéressant, d’un auteur très attachant.
C’est un gros OUI sur toute la ligne. Il faut dire que le sujet du voyage me touche particulièrement, donc je m’en vois probablement biaisée, mais je succombe à la plume de Larochelle et j’en veux plus. Au menu? Vers, rimes et voyages. Douceur, candeur et humilité. J’ai ris, souvent, et j’ai été émue, beaucoup. Top!
Le livre me semblait intéressant, j’adore les livres d’histoires de voyage, mais celui-là est vraiment décevant. J’ai pas aimé le style d’écriture, l’humour particulière et les histoires ne sont pas toujours claires. Très décevant!
Oufff que je n’étais pas certaine en constatant le style d’écriture. Je me suis laissé embarquer par la plume de Samuel Larochelle. Anyway, quand on me donne envie de fredonner une toune de Beyries, c’est gagné à l’avance. Enfin, j’ai aimé puisque ses mots m’ont fait voyager !
J'ai adoré! Ça se lit bien, l'écriture est poétique et on voyage à travers le monde en souriant ou en s'esclaffant devant les anecdotes de l'auteur. Ça donne le goût de prendre le large...
Un beau récit de voyage fragmenté qui entremêle nostalgie, annecdotes et conseils voyage après l’avoir appris à la dure. J’ai adoré la plume humoristique, voire ironique, de Samuel Larochelle.
Samuel Larochelle écrit vraiment bien, j'aime son sens de l'humour et la tournure de ses phrases. C'est difficile de se sentir touchée par le livre quand on a pas voyagé partout, c'est un gros bémol.
Sympathique lecture, tous les voyageurs s’y reconnaîtront. Quelques phrases sont savoureuses, comme celle-ci au sujet de Toronto: “this city could’ve been en email”.
Comme la plume de cet auteur m’avait manquée! J’étais impatiente de lire son plus récent roman et je n’ai pas été déçue! Son aspect cru, à la limite de l’impolitesse, font de lui un auteur que j’apprécie grandement parce qu’il n’a pas froid aux yeux. Ses récits de voyage m’ont transportée dans des trips que j’ai eu moi-même la chance de vivre en plus de me faire revivre des émotions bien connues des Globetrotters (allô l’anxiété de prendre l’avion et le dégoût envers les autres passagers pas si propres qu’ils en ont l’air). Chose certaine: non seulement il a fait sourire un douanier, mais il m’a également fait sourire et ce, à maintes reprises!
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