Aux yeux de Liam, sa soeur est une héroïne. Protectrice, audacieuse, Marianne l’entraîne dans des lieux sauvages inondés de lumière, sur les chemins dominant la ville de La Ciotat. Lorsqu’elle meurt à vingt ans, le deuil semble impossible. Liam décide de reconstituer la dernière pensée de sa soeur, persuadé qu’elle est à l’origine de l’univers chaotique dans lequel il doit désormais vivre. Quand il demande son aide à Beatrix, sa meilleure amie, il découvre un autre visage de Marianne. Celui d’une jeune femme fascinée par les monstres. Roman ensorcelant sur ce qui nous hante et ce qui nous inspire, enraciné dans une nature abrupte, Medusa questionne le mystère des origines et de la transmission. Aimantés malgré eux par un secret qui leur échappe, Liam et Beatrix poursuivent leur quête. Que faire des anciennes douleurs ? Comment pardonner ? Comment aimer ?
j’aimerais écrire mille mots mais aucun ne me vient car il ne s’agit pas de littérature mais de sentiments, c’était merveilleux merveilleux merveilleux, que les femmes soient monstrueuses et que chacune ait ce livre entre les mains, probablement l’un de mes plus gros coup de cœur
"EH BIEN, JE SUPPOSE QU'À FORCE DE SE CONTORTIONNER DANS TOUS LES SENS, ON FINIT PAR DEVENIR SI SOUPLE QU'ON NE SAIT PLUS QUI ON EST."
Isabelle Sorente est une vraie poétesse, une sorcière, la grande prêtresse des mots. Je ne sais jamais comment décrire ce que je ressens quand je la lis mais c'est viscéral. Elle écrit comme personne sur les thèmes de "girlhood" (je ne trouve pas le mot en français) et de sororité, d'amitié révolutionnaire entre femmes, des créatures cosmiques et des monstres qui vivent en chacune de nous. Ce roman touche aussi au deuil, à la masculinité, à l'amour, au désir, aux identités multiples.
J’ai l’impression que ce livre est composé de la même matière que mon cœur et mes tripes et de toutes les larmes que j’ai versées dans ma vie, auxquelles s’ajoutent celles provoquées par ses mots, en pluie torrentielle.
Larmes que j’ai envie de verser encore, à chaque fois que j’y pense, maintenant que je l’ai fini, car je dois accepter que lui aussi a une fin.
C’est beau comme rien d’autre qui existe. Ça m’a remué.e tout.e entier.e. C’est tellement plein de poésie, et de vérités essentielles qu’on peut que montrer en parlant de nos parts d’ombre et de sentiments.
Il y a quelque chose de magique dans cette histoire et la façon dont elle est contée, avec son regard profondément féministe et sa structure.
C’est une histoire captivante du début à la fin, mais en fait, ça pourrait être une histoire vraie tellement tout fait sens dedans. Et ça s’emmêle à un mélange de réflexions philosophiques et poétiques qui transportent comme un vent violent et m’ont mis dans une sorte de transe d’émotions et de pensées chaque matin où je l’ai lu.
Y a ce quelque chose d’indéfinissable dedans c’est enivrant et inspirant. Comme des notes de musique qu’on peut pas attraper avec ses mains mais qu’on sait vivantes parce que ça vient vibrer jusque dans nos os.
C’est venu ouvrir mes plaies les plus béantes et les panser en même temps. Ca m’a terrassé.e et réconforté.e, en même temps.
Ça décrit si parfaitement l’obscurité qui cohabite avec la lumière. Ce que c’est d’être perçu.e comme une femme, ou un monstre. (Si ce n’est la même chose). L’amitié profonde et l’amour. Le deuil, et tout ce que ça terrasse et construit. Et ces trucs qu’on ne comprend et voit que quand on vit le pire et quand on refuse de « s’adapter » par choix ou par impossibilité.
Je me suis jamais autant senti.e émotionnellement compris.e par un roman. Ça m’a bouleversé.e. Je sais pas quoi dire d’autre que ce livre n’ait mieux dit lui même.
J’ai envie de remercier Isabelle Sorente et « sa muse » mille fois de l’avoir écrit je peux juste pas exprimer à quel point ce livre et ses personnages ont compté pour moi et à quel point j’avais besoin de lui.
L’histoire du deuil d’une sœur, âgée de 20 ans, avec pour décor la ville de la Ciotat. Le désir de connaître les pensées de tous, l’omniscience recherchée pendant tout le livre rende la lecture parfois un peu difficile, on ne comprend pas toujours tout mais cela nous entraîne dans de nombreuses directions. Bouleversant, merveilleusement bien écrit, j’aurais pu prendre l’intégralité du livre en notes mais en voici quelques unes:
« Est ce que ce sont les choses qu’on ne peut dire à personne qui nous tuent? »
« Trois secondes auxquelles on ne pense jamais, entre le moment où on sort du sommeil et le moment où on se rappelle. Trois secondes immenses durant lesquelles on n’est nulle part, durant lesquelles on n’est personne. Et tout d’un coup, on se souvient comme on tombe. »
“Est ce que les morts nous laissent en partant certains traits de leur caractère ? est ce qu’une partie de leurs qualités se réfugient en nous pour continuer à vivre ?”
« Et n’est-ce pas ce dont nous avons désespérément besoin, lorsque nous sommes blessés, être étreint, enveloppé de cette tendresse qui referme les plaies ? »
« La fameuse acceptation - elle ne concerne pas la perte, contrairement à ce que l’on croit, c’est facile d’accepter la perte. Ce qui est vraiment horrible, c’est que la vie continue. »
« Que les réponses que nous cherchons, celles qui nous tuent et celles qui nous sauvent, se trouvent toujours à l’intérieur de nous-mêmes. »
« Les malentendus sont comme tout le reste, il y en a des plusieurs sortes. Il y a ceux qui se dénouent en parlant, et il y a ceux dont les noeuds sont vivants. Ceux là, mieux vaut ne pas les déterrer. Est ce que cette histoire de noeuds est une inextinguible haine entre les hommes et les femmes? »
« Disons que mon père fait partie de ces hommes qui croient savoir mieux que les autres ce qui est bon pour eux - les autres y compris sa femme, son fils et ses filles. »
« Le langage peut faire de nous des montres. »
« Comment le langage nous sauve, comment il nous transforme en monstres, puisque tout ce qui nous sauve a le pouvoir de nous détruire, puisque tout ce qui est réel a le pouvoir de se retourner. »
« Tu vois, c’est bizarre, maintenant que je t’en parle, j’ai l’impression que toute ma vie de femme consiste à chercher les mots justes - tout en ayant conscience que certains d’entre eux n’existent pas encore et que d’autres ont disparu a jamais. »
« Tu fais partie de ces gens qui acceptent le quotidien tout en luttant contre lui. Je ne trouve pas ça ordinaire. »
« Il n’y avait pas que la haine, c’était trop facile s’il n’y avait que la haine. Elle m’aimait, je l’aimais. Mais elle me haïssait aussi, parce qu’entre un homme et une femme, l’amour est miraculeux et la haine inévitable, comme un alliage à la composition instable, comme une alliance sans cesse renégociée - rien n’est jamais figé. »
« Mais toutes les mères font souffrir, tous les pères aussi, en transmettant la vie nous transmettons la souffrance, c’est totalement inévitable. »
Quand Marianne meurt subitement à vingt ans en faisant l’amour avec son copain, alors que celui-ci avait les mains autour de son cou, les vies de ses parents, Vanessa et Marcus, de son frère Liam et de sa meilleure amie Béatrix, volent en éclat. Ils essaient de ramasser les morceaux qui restent pour continuer leur chemin.
Eh bien, c’est dommage, mais je suis totalement passée à côté de cette histoire ! Je ne sais pas si c’est dû au fait que j’étais dans le mauvais état d’esprit ou parce que ce n’était juste pas pour moi. Je n’ai malheureusement pas bien compris la proposition d’Isabelle Sorente. Je m’y suis perdu et j’y ai trouvé beaucoup de distractions et d’irritants.
Dès le départ, il y a une narratrice qui est en quelque sorte spectatrice de ce qui se déroule pour Marianne, son frère et ses parents. Elle est témoin de leurs tentatives de vivre leur deuil. On découvre bientôt que cette narratrice dont on ne connaît pas le nom s’adresse à sa Muse. Et voilà mon premier irritant. Ces parties m’ont fait décrocher à plusieurs reprises. Parfois, ces passages font « didactique », pas naturel. D’autres fois, les coupures entre les deux histoires sont brusques. J’ai l’impression d’entendre le bruit d’une aiguille de tourne-disque qu’on balaie rapidement sur tout le microsillon. Ça casse le rythme. Ensuite, on doit reprendre le récit touchant de ces humains qui ne seront plus jamais les mêmes et se démènent pour vivre avec l’absence de Marianne et pour découvrir une façon d’exister.
À la moitié du livre, c’est là que Liam arrive avec la conviction que reconstituer la dernière pensée de Marianne est la seule chose qui peut l’orienter pour mener sa vie. Ça devient une obsession. Je ne comprends pas comment il peut croire qu’il va trouver cette ultime pensée. D’autre part, sérieux, s’imagine-t-il réellement qu’il était dans son esprit ou qu’elle a eu le réflexe de lui envoyer un message alors qu’elle faisait l’amour ? Dayum !
Je n’ai pas saisi pourquoi le frère de Marianne voulait changer son nom de Guillaume à Liam. On ne connaît pas la vraie raison. Pas seulement parce que c’est vieille France ! Pourquoi mettre ça dans le début de l’histoire, si ça n’a plus d’importance ? Ou bien j’ai raté quelque chose en raison de mon agacement général ? Qui sait !
En revanche, Sorente décrit bien les façons dont chacun des personnages vit son deuil et la manière dont l’absence habite et hante ceux qui restent. La relation que chacun avait avec Marianne est explorée avec beaucoup de tendresse, de douceur. Elle amène de bons questionnements.
C’est un roman dense, éclaté, mélancolique sur le processus de deuil, sur l’amour, sur l’amitié et sur la force des femmes qui incite à la réflexion. Malgré la tristesse de l’histoire, il y a plusieurs touches d’espoir un peu partout. Malheureusement, les irritants m’ont fait passer à côté du livre.
Je remercie #NetGalleyFrance et les Éditions J.C. Lattès pour la découverte de #Medusa de Isabelle Sorente.
Liam a 16 ans lorsque sa grande sœur meurt, à 20 ans, sous les mains de son compagnon... Tout son univers est bouleversé par cette mort soudaine, injuste, surréaliste. Ses parents, divorcés, vont aussi devoir réapprendre à vivre sans leur fille aînée. Quatre ans plus tard, il cherche toujours à comprendre ce qui a pu occuper l'esprit de Marianne dans ses derniers instants. Cette quête nous mènera bien au-delà de leurs introspections personnelles, vers la psychologie, l'écriture, les fantasmes, en passant par les mythologies et les monstres plus ou moins humain.e.s...
Isabelle Sorente nous propulse dans les affres du deuil, dans les questionnements de l'adolescence (ceux de Liam, de Marianne et de Béatrix, sa meilleure amie). Comment se construire et se reconstruire après la mort d'un être si cher ? Comment continuer à vivre sa vie, avancer, garder espoir ?
J'ai été déstabilisée par ce court O.L.N.I. : prenant mais pas passionnant, aux personnages intrigants mais moyennement attachants... Les sujets m'interpellaient mais j'ai eu du mal à m'impliquer complètement dans cette lecture. Sans doute à cause des différentes temporalités et des incursions inopinées de la Muse dans le récit romancé. Nous ne sommes pas dans de l'auto-fiction à proprement parler, et pourtant, l'autrice insère dans la narration des interludes racontant l'écriture du roman et ses échanges avec sa Muse. J'avoue que ces intrusions m'ont parfois gênée, souvent déroutée et quelque fois détournée de l'histoire principale. A tel point que j'ai survolé les dernières conversations ésotériques pour ne pas sortir complètement du chemin de croix mené par Liam, Vanessa, Marcus et Beatrix. Plusieurs temporalités se mêlent donc dans le récit : le passé de Liam, Beatrix et Marianne, mais aussi celui des leurs parents (donc bien antérieur) se confrontent au présent du deuil, puis au présent de l'enquête autour des dernières pensées de Marianne... ainsi qu'aux phases d'écriture et d'échanges avec la Muse... Bref, j'ai été déroutée par ces temporalités multiples, malgré l'évidente maîtrise de la narration. Le style d'Isabelle Sorente est agréable et poétique ; l’originalité réside donc surtout dans la construction de l'ouvrage, qui en fait une lecture exigeante. Les dialogues ne sont pas toujours mis en page avec les tirets habituels et cela m'a paru tantôt fluide tantôt gênant. Malheureusement, malgré toutes les qualités du roman, je n'ai pas été emportée et je suis restée à distance, même dans les moments de tension, de réflexion et d'émotion...
Marianne, une jeune femme de vingt ans meurt lors d’un jeu sexuel qui tourne mal, son partenaire n’avait pas l’intention de la tuer elle avait une fragilité du coeur que personne n’avait détecté. Sa mort est une déflagration pour celles et ceux qui restent : son petit frère, son amoureux, ses parents, sa meilleure amie. Pour tous une question : quelle a été sa dernière pensée?
A la fin de ma lecture je me suis demandée si j’avais aimé le livre et ce que j’en avais pensé, ce qui est en général plutôt bon signe, rien de plus triste qu’un livre tiède qui ne provoque pas d’émotion particulière. Je crois qu’au départ j’ai été un peu déçue que la mort de Marianne ne serve que de fil conducteur à une autre histoire, une jeune femme meurt et c’est presque un détail, comme dans la vraie vie. J’ai aussi été un peu agacée par la “conversation” entre la narratrice et sa muse qui s’intercale régulièrement dans l’histoire, parfois la fiction française tente un peu trop de choses sur le plan du style et j’ai tendance à préférer la simplicité.
J’ai toutefois aimé Medusa parce que malgré le premier sentiment, c’est tout de même l’histoire de Marianne et de ses carnets. Avant sa mort Marianne avait décidé d’écrire un livre sur les femmes et les monstres, elle faisait partie d’une association féministe qui faisait des collages et prenait tout un tas de notes sur sa vie et celle de ses proches. Dans un monde digital elle s’accroche à ces bouts de papier pour y coucher des morceaux de vie. Marianne est inspirée par sa meilleure amie, sa soeur pas de sang Béatrix. Béatrix qui est issue d’un viol et a été élevée par sa grand mère car sa mère n’a jamais pu se remettre du viol. Quand Marianne pense et écrit, Beatrix agit, choisissant de se mutiler physiquement dans un espoir d’échapper aux monstres qui ont brisé sa mère. Entre les deux amies l’une n’est pas plus forte que l’autre, elles ont simplement choisi deux manières différentes d’affronter les monstres.
3.4 (Read in French) I don’t know. I was initially enthralled by this book, it is so well written but apart from that the first 50 to 80 pages vacillated so smoothly between characters and periods, it was so intriguing to follow the character traits being slowly detailed. But I got tired of the book. Half way I even thought I would not finish it. It was at times too lengthy, too much swirling and twirling around the storyline. I never understood the parts about the Muse. I even started to skip them at some point. Also the Edouard monologue is so unrealistically literate. I just wanted to know the why, the what. Like wanting to know how it ends instead of enjoying the book.
A unique story, confronting, and unique voice though. Yet not entirely my thing, it seems.
J’oscille entre 3 ou 4 étoiles. Mais je vais être plutôt généreuse. L’histoire est entraînante, c’est son gros point fort. Le mystère qui se décortique tout au long de la lecture j’aime beaucoup. Le thème me parle et me plaît évidemment. Par contre la narration était parfois trop, comme si le texte avait pas été tout à fait digéré. Je n’ai pas été réceptive aux passages de la muse et de Rue qui rendaient trop lourds les messages à mon goût. Ça me fait penser aux voix off des films, quand les réalisateurs ne sont pas sûrs que sans on comprendra tout le message du film. Mais je retiens des personnages sincères et touchants qui ont un vrai développement au fil du roman.
plutôt 2,5 ! j’ai été prise par ma lecture et je n’ai pas passé un mauvais moment, mais j’ai trouvé l’écriture déséquilibrée (entre trop en dire et survoler les choses), les références à la société contemporaine un peu surfaites, et le mode de narration même s’il est intéressant ne permet pas d’aller dans la profondeur des personnages…
j’ai l’impression que ce livre et « Le chant de la rivière » de Wendy Delorme se sont construits ensemble, je leur fais des reproches similaires alors si vous avez aimé l’un vous aimerez peut-être l’autre également !
Cela va être difficile de mettre des mots sur cette lecture - Magique, Monstrueusement entraînante, Douce, vivante J’ai eu envie de surligner plusieurs passages, j’aurai du le faire, je vais dc le relire. J’ai eu un peu de mal avec le dialogue entre l’autrice/narratrice et la muse mais je comprends néanmoins ce choix. mon seul regret : cette 4ème de couverture n’est absolument pas à la hauteur du livre, la cause du décès de Marianne n’est pas connu avant un bon moment, et l’escapade parisienne de Béatrix et Liam n’est pas le centre du propos. Difficile en vrai de résumer ce livre.
J'ai adoré ce roman, la construction, l'ambiance planante, mélancolique, poignante, les relations frère-soeur, mère-fille, entre meilleures amies, moins convaincue par les pauses où l'autrice parle avec sa muse que j'ai trouvées artificielles, mais dans l'ensemble quel souffle, je l'ai dévoré.
DNF. Quelle déception. C’était vraiment pas fluide et agréable à lire. J’avais de la misère à rester accrochée et passé la moitié j’ai abandonné. Un vrai fouillis, la muse et le narrateur omniscient mais présent j’ai pas du tout accroché, même que ça m’a vraiment gossé.
Il y a avait vraiment beaucoup de potentiel, mais le style d’écriture, le fil conducteur et les personnages n’ont pas su me rejoindre. C’est pas ça du tout que j’avais envie de lire.
Je l’avais proposé dans un cercle de lecture, bien heureuse qu’il n’est pas été choisi!!! Ouf
Une écriture ensorcelante, une narration extraordinaire et bien maitrisée où l’intrigue se mêle aux réflexions, aux questionnements, aux mythes, aux monstres, à la douleur, à la question de la transmission des femmes, à la vie des femmes…
Rentrez dans le monde de Marianne Sellary, une fille, une femme qui vous hantera et qui vous bouleversera avec son histoire…
Liam s’évanouit quand il apprend la nouvelle : sa sœur de 20 ans est morte d’une façon très particulière. Tout s’arrête pour lui et sa famille, mais la vie continue et lui, il ne pense qu’à une seule chose : quelle était sa dernière pensée ?
Ce roman est un vortex qui nous aspire et qui nous expulse changé.e.s. Marianne avait la vie devant elle lorsqu'elle est tuée par son petit ami. La dernière pensée de sa sœur avant de mourir va obséder Liam. Qui était cette fille solaire mais complexée, obsédée par les monstres ?
Un roman envoûtant avec des pages à corner et des phrases à souligner, un roman pour réécrire les mythes, pour se réécrire. L'un des bijoux de cette Rentrée Littéraire 2024.
Quel roman ! Profond, vertigineux et hypnotisant. Marianne est morte, tuée par son petit ami. Son frère Liam, ravagé par le chagrin, se lance dans la quête obsessionnelle de la dernière pensée de sa sœur. Un texte entêtant plein de colère qui happe et qui ébranle.