Après 15 années de livres consacrés à Anne, Lucy Maud Montgomery écrit ce qu’elle estime être son meilleur livre : Emily de New Moon. “Les gens ont toujours eu tort de dire que Anne c’était moi, mais ils n’auraient pas tort, à certains égards, de m'assimiler à Emily.” C’est ainsi qu’elle parle de la jeune et combative héroïne qui l'a habitée pendant des années et à qui elle donne vie de manière flamboyante à travers trois livres où se côtoient la solitude de l’artiste et la valse de l’amour.
Après 15 années de livres consacrés à Anne, Lucy Maud Montgomery écrit ce qu’elle estime être son meilleur livre : Emily de New Moon. “Les gens ont toujours eu tort de dire que Anne c’était moi, mais ils n’auraient pas tort, à certains égards, de m'assimiler à Emily.” C’est ainsi qu’elle parle de la jeune et combative héroïne qui l'a habitée pendant des années et à qui elle donne vie de manière flamboyante à travers trois livres où se côtoient la solitude de l’artiste et la valse de l’amour.
Je crois que je suis déçue par la conclusion de cette trilogie. Ce troisième tome me laisse un goût d’inachevé un peu amer. J’ai moins apprécié ce tome 3 qui a traîné en longueur, avec un dénouement beaucoup trop rapide à mon goût.
Je referme La Quête d’Emily avec une pointe de nostalgie, comme si je venais de dire au revoir à une amie précieuse. Cette conclusion de la trilogie d’Emily Starr est un petit bijou de douceur, un mélange de rêve, de résilience et d’émotions sincères. Dans ce dernier tome, Emily a bien grandi mais a toujours son âme d’enfant rêveuse. Toute fois, elle est maintenant une jeune femme déterminée, prête à affronter les hauts et les bas de sa vocation d’écrivaine et de sa vie amoureuse.
Au fil des pages, j’ai été touchée par sa force intérieure. Elle affronte les refus des éditeurs, les doutes et les pages blanches, mais elle ne lâche rien – comme une amie qui vous inspire à vous accrocher à vos propres rêves. J’ai ressenti toute la tendresse d’Emily pour l’écriture, cette passion qui lui est vitale, qui lui permet de se découvrir et de s’affirmer. Voir ce parcours aboutir ici, après tant de défis et de moments d’introspection, a quelque chose de profondément satisfaisant.
Côté cœur, Emily doit composer avec des relations parfois tumultueuses, des triangles amoureux compliqués et des silences déchirants. Mais malgré les obstacles, l’amour qu’elle porte à Teddy Kent est comme une lueur douce et constante, une évidence qui attend son heure. Leur histoire est loin des romances simples et prévisibles, mais c’est justement cela qui m’a émue. Ils apprennent à se comprendre, à se retrouver, et à s’aimer dans toute la complexité de leur cheminement personnel.
À la fin de ce voyage, j’ai l’impression d’avoir été enveloppée dans un cocon de tendresse et de poésie. La Quête d’Emily est une conclusion parfaite pour cette trilogie, une lecture réconfortante qui nous invite à croire en nos rêves, même quand la route est longue et semée d’embûches.
Le temps a passé. Est-ce cela qui fait que j'ai moins apprécié ce tome que les précédents ? Non... Anne, j'en ai aimé chacun des tomes, alors qu'elle grandissait et fondait sa famille.
J'ai eu l'étrange sensation de tourner en rond... Ce sentiment de savoir comment tout cela allait se terminer mais de ne pas être envoûtée par ce qui se passe avant d'en arriver là.
Oh, Emily continue son ascension de la voie alpine, cependant, l'orgueil et les non-dits gâchent une partie du roman. J'étais impatiente d'arriver au dénouement, et finalement, quand il est arrivé, j'ai eu comme un "tout ça pour ça ?!" car ça se termine vite et presque abruptement... 😥😥
Du coup, je suis mitigée pour ce tome. Je suis ravie d'avoir retrouvé une dernière fois les personnages, mais déçue de leurs (absentes) aventures.
Le dernier opus des aventures d'Émily de New Moon.
Je crois qu'il s'agit du meilleur des trois. J'ai hésité longuement, mais il me paraît clairement plus mâture. Si le 1 et le 2 représentent, à mes yeux, le printemps et l'été dans la vie d'Emily, le 3 représente l'automne. Il en a le goût, la mélancolie, la noirceur, le romanesque et le fantasque. Ce volume est plus sombre que les deux précédents et bien plus mélancolique. Le sujet de l'écriture est moins présent, le thème central étant l'amour et les relations amoureuses, les espérances et les déconvenues. Je n'étais pas sûre de l'aimer autant que les deux autres au début de ma lecture, mais finalement je l'ai dévoré. J'aime beaucoup le personnage d'Emily et je la comprends. Je suis triste de la quitter.
Emily est donc restée à New Moon... J'avoue que j'aurais beaucoup aimé découvrir New York à travers ses yeux et la plume de LM Montgomery. Mais alors nous n'aurions pas eu cette Quête d'Emily, et ça aurait été encore plus dommage... et dommageable. Parce que ce livre fait du bien, il apaise. Il nécessite de se poser, pour écouter la chanson du vent dans les arbres, le craquement des bûches dans la cheminée, ou juste admirer le vol d'une hirondelle. Bref, c'est du grand LM Montgomery !
On retrouve toute la poésie de ses autres œuvres, ses descriptions à rallonge qui se savourent. Elle prend le lecteur à partie (contrairement à Anne de Green Gables), et on y retrouve des touches d'humour.
Ah, comme j'aurais aimé pouvoir lire Un Marchand de Rêve et La Vertu de la Rose ! Pas beaucoup de nouveaux personnages (même si de nombreux noms ne font que passer), mais les anciens se suffisent amplement. Dean Priest notamment a remonté dans mon estime grâce à son comportement exemplaire, même chevaleresque. Teddy reste cependant toujours un peu mystérieux, à chaque lecteur de l'imaginer.
Un dernier chapitre plein d'intensité, mais court, trop court pour terminer cette magnifique trilogie. Quant à l'objet lui-même : tout simplement sublime, cette édition est à garder précieusement !
Au revoir Emily, merci pour ce temps passé en ta compagnie, trop court comme toujours, mais nul doute qu'il y aura de nombreuses relectures !
Il se pourrait bien que les tomes de cette saga cachent les secrets de l’écriture.
Je n’écrirai jamais aussi bien que Lucy Maud Montgomery, et je n’y prétends pas ; mais après avoir compulsé deux de ses sagas, mon esprit est ouvert, mon imagination foisonne et ma plume trépigne d’impatience.
À travers les joies et les désenchantements d’Emily, de son chemin en tant que jeune femme et autrice, on saisit peu à peu les balises qui jalonnent ce qu’elle appelle « la Voie alpine » ; les étapes à considérer pour être capable d’écrire. Et on se projette posant le premier pas sur le seuil de l’envolée.
Lucy Maud Montgomery est la muse du lecteur : le caractère romanesque, gracieusement désuet et fantasque de son écriture prend possession de son esprit ; lui, son imagination et sa vision du monde s’en retrouvent changés.
Comme les poètes chantaient les paroles des dieux, Lucy Maud Montgomery met en mots nos impressions et perceptions les plus secrètes et les plus profondes, en faisant rayonner un vocabulaire d’une richesse et d’une grâce infinies.
Dans ses sagas, il y a du drame, de l’amour et de l’amitié ; ses personnages vivent et continuent de le faire bien après avoir refermé le livre. Je n’oublierai jamais Emily de New Moon, tout comme je n’ai pas oublié Anne de Green Gables.
et j'ai pleuré et j'ai jeté le livre sur le sol à un moment et j'ai un noeud bizarre dans mon ventre et je remercie montgomery d'avoir un jour appris à écrire et surtout la fin me brise le coeur parce que lucy maud montgomery se retrouve très clairement dans emily et exorcise ses démons en les posant sur du papier, et cette fin heureuse qui vient un peu trop vite, sans préalable et qui semble très sèche par rapport au reste, j'ai vraiment le sentiment que c'est montgomery qui nous dit "c’est ce qu’il fallait écrire, mais ce n’est pas ce que je ressens, c'est pas ce que j'ai vécu." la fin fait vraiment fausse note, mais au lieu de ruiner le livre, ça ressort comme un cri de vérité et ça me DETRUIT
conclusion quand un boug vous aime pas pendant 10 ans il vous aime peut-être juste pas les guys
ou alors il va débarquer en bas de chez vous alors qu'il est sensé être à l'autre bout du monde jsp moi
J’ai tellement souffert pendant la lecture! 😫😂 Et tellement aimé en même temps! Lucy Maud Montgomery a vraiment un don, tout aussi bien que son personnages Emily, pour nous emporter dans ses histoires. ✨ La nature y est toujours peinte de manière féerique, les sentiments également. Emily est un personnage ambitieux et déterminé à réaliser ses rêves malgré les découragements réguliers. C’est également une personne qui vit à sa manière, ne se laisse jamais dicter sa conduite et détonne pour l’époque.
Ce tome conclut une trilogie magnifique, à la hauteur de Anne de green Gables. ✨
Un presque coup de cœur que ce dernier volet de la trilogie consacrée à Emily. Ma préférence va au personnage d'Anne et à la série que l'auteure lui a dédiée, mais celui d'Emily recèle un charme certain. Ce troisième tome est tout bonnement excellent et réunit tout ce que j'aime dans la plume de Lucy Maud Montgomery, à savoir : l'humour, la dérision, mais aussi les descriptions de paysages, la beauté et la poésie des mots choisis. Voilà donc qui clôt admirablement cette histoire. Une superbe lecture.
3.75 J'ai eu l'impression de lire Emily se pleindre pendant 300 pages et de ne jamais rien faire pour changer sa situation. Aussi, la fin se termine de manière tellement abrupte et rapide, contrairement au reste de l'histoire. Malgré tout, j'apprécie toujours l'écriture de l'autrice et le presque mariage entre Teddy et Isle m'a bien tenu en haleine.
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3,75/5 J’ai eu une nouvelle fois un peu de mal à me lancer dans les aventures d’Emily. Mais, une fois que je me suis de nouveau imprégnée de l’univers, je me suis régalée.