Pourquoi les romans de Nicolas Beuglet sont-ils toujours trop courts ??? 😭
Deux ans d’attente depuis la publication de L’Archipel des Oubliés et clairement, je ne suis pas déçue ! L’auteur a définitivement un style bien à lui et quel bonheur de retrouver cette plume si addictive. Voyageant au quatre coins du globe, Nicolas Beuglet nous embarque dans une enquête pleine de mystères en compagnie de deux nouveaux personnages, Felicia et Armand. Et cette fois, l’auteur nous interroge sur la question de la mémoire humaine, mais aussi sur le futur de l’Humanité. Toujours au plus proche de l’actualité, l’auteur nous questionne, nous interroge et nous pousse à la réflexion tout en nous divertissant avec une enquête menée de manière intelligente et rebondissante.
Pour moi, le retour de ce Monsieur est clairement réussi et vivement l’année prochaine je l’espère 👀
Je lis les livres de cet auteur depuis le début (Complot, le Cri étaient super) mais chaque nouveau roman se degrade par rapport au précédent (mais c'est peut être parce que je ne suis plus trop dans le mood roman policier). Je trouve l'histoire trop attendue et le duo d'enquêteur.ice.s ne convainc pas. BOF. Le seul point positif que j'ai trouvé est la théorie développée selon laquelle les comportements d'homo sapiens d'autodestruction serait en partie écrit dans son ADN. Cela amène une reflexion intéressante.
Ça commence un peu à la Da Vinci Code, ou plus honnêtement à la Benjamin Gates pour finir à la X-Files, mais ç’a trop d’ambitions pour réussir. On dirait en réalité la version Wish ou Mondo World de tous ces univers, où il y a de grands projets, des idées, des envies d’imiter les plus grands à grand coup de personnages ultra callés dans tellement de domaines d’Histoire de l’Art qu’on se demande où elle a trouvé le temps d’accumuler tant d’informations qui accompagnent Kung-Fu Priest, le mec qui a vu Jesus, dans le but de détruire un complot de milliardaires, ou d’hommes du futur, ou une organisation de Templiers, on ne sait pas ce qui va sortir du chapeau. Enfin, j’exagère… ou vraiment… ?
Le réel point d’intérêt de ce livre, c’est que comme beaucoup de blockbusters médiocres mais divertissants, ça passe vite, ça ne demande pas trop de réflexion, ça se lit bien, surtout si on ne se questionne pas trop sur les ficelles, la logique (il n’y en a pas) ou juste l’ensemble.
Pas mal, c'est mon premier Nicolas Beuglet et j'ai trouvé cela assez distrayant. On assiste à un mélange entre Agatha Christie et le Da Vinci Code. On y croit pas trop, mais on passe un bon moment, et parfois c'est tout ce qu'on veut.
J’ai lu toute ses livres du coup je peux dire que la recette a était bien suivi. (Un peu trop peut être?) Le livre se lis rapidement, l’histoire se déroule rapidement, y a pas de truc de trop (sauf des récapitulations trop souvent - si on lis le livre en qq jours, “voir moins”, on a pas le temps de oublier les faits du début de livre). En elle même est interesante et surtout si on as pas lu les précédentes, on sera toujours captivés par cet auteur et son façon d’écrire. Je répondrai toujours présent. Par contre faut jamais oublier les sujets, la documentation, les faits qui sont plus réelles que fictives sont le grand plus dans les livres de Nicolas Beuglet.
Hmmm. J’ai longtemps adoré Beuglet mais il semble s’être piégé lui-même. Il donne l’impression d’avoir atteint ses limites, en fait. Ce thriller ressemble à tous ses textes précédents MAIS en moins bon.
C’est hyper répétitif (dès que les héros rencontrent un nouveau personnage, on se retape toute l’histoire du début jusqu’au moment de l’arrivé du nouveau protagoniste en question, c’est tellement lourd), les surprises tournent toujours autour des mêmes thèmes que les bouquins précédents (du coup, elles n’en sont plus du tout) et l’intrigue va trop vite (ou pas assez vu qu’au-delà de l’aspect redondant, les retournements majeurs se déroulent dans les derniers chapitres et puis hop c’est la fin alors qu’on voudrait que l’intrigue redémarre à ce moment-là).
Je suis blasé de ma lecture et, plus globalement, du gâchis du talent de l’auteur.
« Parce que l'intelligence n'empêche pas la violence. Le savoir n'empêche pas la haine. La science n'empêche pas la guerre. La connaissance n'empêche pas la convoitise. L'expertise n'empêche pas la jalousie. De grands esprits ne font pas forcément de bons humains. »
J’ai adoré me plonger dans ce thriller dont les pages se tournent toutes seules pour vous embarquer dans une histoire palpitante et passionnante. On suit Felicia avec délectation dans cet instant de vie qui bouleverse la sienne. Une demande incongrue va la plonger dans une spirale infernale où seule la compagnie apaisante de son équipier improvisé, et improbable, va la rassurer. Car en acceptant cette expertise elle va se retrouver en plein cœur d’une chose qui la dépasse. Qui surprend. Qui fait peur. J’ai adoré l’environnement du récit, cette atmosphère particulière qui vous prend aux tripes, qui met direct dans le cœur du sujet. Des paysages aussi menaçants que les mots. Pages après pages, les événements et les révélations s’enchaînent, dans un tempo à l’allure folle, nous entraînant à l’essentiel : le cœur de l’enquête, l’origine des crimes, l’ultime avertissement. Il y a du mystère, des références historiques, artistiques, des indices : le cocktail parfait pour tenir en haleine. La plume de l’auteur est fluide, rythmée, percutante. Une plume qui sait faire ressentir l’angoisse et les émotions de ses personnages. En bref, j’ai adoré cette enquête fascinante sur des sujets captivants. Des personnages qui ne prennent pas toute la place et laissent la part belle à l’investigation, à la découverte, à la réflexion. Un roman dont on se prend vite au jeu et qui fait palpiter le palpitant ! À découvrir !
L'ultime avertissement de Nicolas Beuglet. J'ai attendu avec impatience le nouveau roman de Nicolas Beuglet, ayant toujours été emporté par ses précédentes trilogies. Malheureusement le dernier en date est loin de la qualité des précédents. L'idée s'associer pour une enquête une historienne de l'art et d'un prêtre, ancien flic, aurait pu donner de bons moments, mais l'ensemble est plat et surtout le manque de crédibilité dans les aventures de ces deux personnages est trop criant pour que l'on se prenne réellement dans l'histoire. Je pense que Nicolas Beuglet devrait retourner à ce qu'il fait de mieux, de véritables polar avec de vrais méchants et un suspense prenant. Une grosse déception donc, mais j'attendrais néanmoins le prochain livre de l'auteur pour me faire une nouvelle opinion
Première lecture de cet auteur, ça se lit, par moment c'est bien, par moment c'est lent, répétitif, ça part un peu dans tous les sens.. au final l'idée était bonne mais je referme le livre en me disant que l'auteur a quelque peu gâché le potentiel de cette idée de génie. Dommage.
L’ultime avertissement de Nicolas Beuglet, présentation
Félicia, 30 ans, experte en art, donne une conférence. Elle reçoit un pli en mains propres du collectionneur Enguerrand de Castlemore. Elle doit expertiser des objets dans le domaine des Castlemore.
Felicia est orpheline et a été élevée par les soeurs. Elle manque d’amour et a des soucis d’argent.
Avis L’ultime avertissement de Nicolas Beuglet
Lors de la commande de ma Kube Majuscule, je me suis laissée tenter par le dernier roman de Nicolas Beuglet, vu que j’avais déjà commandé un certain nombre de romans à recevoir dès leur sortie.
Felicia est une experte en art. Lors d’une conférence qui a énormément de succès, un homme lui remet un pli qui l’invite à aller chez un collectionneur Enguerrand de Castelmore. Elle hésite mais sait qu’elle a besoin de cet argent pour se remettre à flot car, en banque, elle est dans la ligne rouge. Elle se retrouve à des kilomètres d’Atlanta, dans un endroit, perdu, enneigé qui ne lui fait pas bonne impression. A son arrivée, outre le fils du maître des lieux, elle se retrouve avec un homme d’église, Armand de Borderive, qui est, comme elle l’apprendra un peu plus tard, ancien policier. Que vient-elle faire ici, à tenter d’élucider la disparition de quatre hommes, elle experte en art ? Elle devra faire parler les indices et connaître ainsi l’objet de cette fameuse réunion.
En travaillant avec Armand, Felicia va connaître très vite des situations à laquelle elle n’a jamais été confrontée. Elle est suivie, pourchassée, on tente de les tuer, surtout lorsqu’ils découvrent la voiture avec quatre hommes morts, dont un a disparu. L’arrivée de l’armée n’arrange rien. Mais Armand n’a rien perdu de ses anciens réflexes et gagnée par le stress, l’adrénaline, Felicia l’aidera du mieux qu’elle peut. Ils ne doivent pas donner leurs positions, les téléphones sont sur écoute. Ils tiendront informés le fils du collectionneur qui mettra à leur disposition tout l’argent nécessaire. Et c’est parti pour un très long voyage à travers les Etats-Unis, l’Afrique du Sud, l’Europe pour tenter de connaître l’objet de ce quadruple assassinat, des menaces qui pèsent sur des directeurs d’institutions…Ils doivent faire face à des tueurs professionnels, mais malgré les situations rocambolesques, ils arrivent à s’en sortir et à prendre un peu d’avance. On doit également leur faire confiance.
Felicia a été élevée dans un orphelinat car elle a été abandonnée par ses parents. Elle n’a jamais connu l’amour de ses parents. Sa vie a été assez dure. A 18 ans, elle a dû prendre ses décisions, apprendre un métier et elle a rencontré sa meilleure amie. Même si ses parents lui ont laissé un très bel appartement, elle a le goût des très belles choses, des choses anciennes, donc elle doit 300 000 Euros et tout peut lui être saisi très rapidement. Dans son métier, elle est reconnue. Ses conférences s’arrachent car elle a la passion de son métier et elle sait le rendre attractif. Armand a été flic. Il a quitté son métier contraint et forcé. Il a abandonné sa vie d’homme marié pour devenir un homme d’église. Son ex-femme et ses deux enfants ont compris ses motivations. Le début des relations entre Felicia et Armand est assez difficile car il ne l’écoute pas, lui coupe la parole. Mais au fur et à mesure, contraints et forcés, ils vont s’épancher, se faire des confidences et ils apprendront à se connaître. Felicia va arriver à se sentir en sécurité avec lui, elle recherche sa présence, sa compagnie. Vivre une telle expérience va les souder. Et même si Felicia n’est pas forcément attachée à la religion, elle va comprendre les motivations d’Armand et son parcours.
En jeu également l’avenir du monde et une fameuse capsule qui pourrait le sauver ou l’anéantir si elle tombait dans de mauvaises mains. Des capsules temporelles sont laissées par des gens et recensées. Elles permettront, dans l’avenir lointain, aux gens qui les trouveront de connaître l’histoire du monde. Un devoir de mémoire de l’humanité pour les générations futures, l’histoire de Neandertal et de Sapiens, pas aussi éloignée l’un de l’autre même si leur évolution est différente.
Mon premier roman de Nicolas Beuglet qui ne me laissera pas un souvenir impérissable. Je n’ai pas été happée, par l’histoire, ni par les personnages, ni par les rebondissement, ni par le sujet évoqué. J’ai trouvé certaines actions, certains échanges pas assez développés, pas assez intenses dans leur construction. Même si le roman est fluide, ce n’est pas assez intense, pour moi. Le roman est très bien documenté par ses faits véridiques, l’histoire sur l’art facilement assimilable pour un novice. De plus, ce roman souffre de soucis d’impression avec une encre qui bave à de nombreux endroits.
Félicia, une jeune experte en art, est invitée par le collectionneur de renom Enguerrand de Castelmore, à étudier trois objets précieux qui se trouvent dans son manoir des Appalaches. Mais sur place, la jeune femme découvre qu’elle doit en réalité enquêter sur la disparition inexpliquée d’Adhemar, le père du propriétaire. Lors d’un dîner entre amis, celui-ci a en effet brusquement quitté les lieux, en laissant les objets en question, et demeure introuvable depuis. Un prêtre arrive au manoir en même temps qu’elle, le père Armand de Borderive, ancien policier, qui a également été convié par Enguerrand pour élucider ces mystérieuses disparitions. Le duo se lance dans une course contre la montre pour élucider une énigme qui va les emmener aux quatre coins du monde.
Ce récit est fondé sur une base scientifique réelle et documentée, évoquant notamment l’existence de capsules temporelles, des contenants utilisés pour stocker pour la postérité une sélection d’objets considérés comme représentatifs de la vie à une époque donnée. II y a de la part de l’auteur un véritable travail de recherches sur le sujet, ce qui rend le roman très intéressant. Ce livre mené tambour battant est un concentré de réflexions, d’actions et de rebondissements: les deux protagonistes se retrouvent la proie de mystérieux tueurs lancés à leur trousse dans le but de les empêcher d’élucider une énigme mettant en jeu l’histoire de l’humanité! L’auteur aborde des thématiques d’actualité telles que l’écologie, l’avenir de la planète mais également le désir de suprématie de certains gouvernements. Par les temps qui courent, le sujet devient rapidement anxiogène et trouve écho dans nos sociétés. J’ai trouvé ce roman sur le fond beaucoup plus intéressant et réaliste que les autres titres que j’ai pu lire de l’auteur. Mais Nicolas Beuglet est scénariste, et cela se ressent dans la concision de ses écrits car je trouve que ce roman au contenu très riche est traité beaucoup trop rapidement : avec un tel sujet, on pouvait écrire trois tomes ! Les événements s’enchaînent très vite sans que soient véritablement approfondies les relations entre les personnages qui manquent de profondeur, et tout arrive trop rapidement pour que l’on puisse pleinement savourer l’intrigue. Toutefois, j’ai tout de même passé un moment de lecture fort divertissant !
J'avais hâte de me replonger dans une enquête de Nicolas Beuglet ! J'avais adoré lire ses deux trilogies autour des inspectrices Sarah Geringën et Grace Campbell.
Malheureusement, je n'ai pas réellement apprécié ce thriller...
Nous suivons Felicia Duplessis, une jeune experte en art, qui est appelée dans un manoir au coeur des Appalaches, afin de délivrer une expertise. Une fois sur place, elle découvre rapidement que son expertise est en réalité reliée à d'étranges disparitions. Elle va devoir collaborer avec Armand de Borderive, un ancien flic devenu prêtre, pour résoudre ce mystère...
Le résumé avait pourtant tout pour me plaire. Pourtant, j'ai très vite déchanté... L'un des éléments qui me crispe le plus durant une lecture est le manque de réalisme/de crédibilité dans le récit, ce que j'ai retrouvé tout au long de ce roman. Nous ne sommes pas à proprement parler sur un roman policier (puisqu'Armand n'exerce plus et que Felicia évolue dans le milieu artistique) et pourtant, les personnages agissent très vite comme de véritables détectives ! Cela ne me dérange pas dans des cosy mystery, où l'on sait d'emblée que ce sont des "amateurs" qui mènent l'enquête, qu'ils font parfois des erreurs et que l'intrigue n'est pas très alambiquée. En revanche, j'en attendais plus de ce thriller. Felicia accepte bien trop vite sa nouvelle situation pour que ce soit crédible, développe des réflexes policiers physiques et intellectuels impressionnants pour quelqu'un dont ce n'est pas le métier. Alors qu'ils doivent enquêter dans le plus grand secret, ils ne se méfient pas des différentes personnes qui croisent leur route et leur dévoilent tout. Tout se passe sans anicroche et la résolution de l'intrigue est amenée sur un plateau d'argent.
J'ai néanmoins apprécié les recherches de l'auteur et les différents faits réels auxquels il fait allusion, notamment le projet de Mémoire de l'Humanité ou les capsules temporelles. Je lirai peut-être son dernier roman, Transylvania...
Alors si je devais résumer ce livre audio en deux phrases ce serait : Une jeune et talentueuse experte en arts et un ex-flic devenu prêtre enquêtent ensemble pour retrouver un multi-millionnaire disparu et vont se retrouver au milieu d’une affaire de conspiration menaçant l’avenir du monde.
Et bien finalement, je l’ai résumé en une phrase. J’avoue avoir choisi ce titre pour tester les livres audio que l’on peut trouver désormais dans l’application Spotify et la charmante voix de Anne-Sophie Nallino m’a donné envie de poursuivre cette écoute. Malheureusement, la lectrice aura beau donné du volume aux protagonistes avec un excellent jeu d’actrice, l’intrigue et le rythme n’ont pas été au même niveau. C’est lent, répétitif et les personnages trop stéréotypés (on se croit dans un Da Vinci Code mêlé à Benjamin Gates). Pourtant et je ne sais par quel miracle j’ai voulu terminer cet audio. Possiblement pour rendre hommage à la talentueuse Anne-Sophie mais j’avoue avoir voulu attendre la fin pour avoir un possible twist pour me dire “Ah enfin une belle surprise !”. Et plouf, ce ne fut pas le cas.
Le duo Felicia - Armand a énormément de potentiel mais il faut les creuser plus psychologiquement si l’auteur en fait une série. J’ai néanmoins apprécié certaines idées scénaristiques et informations anecdotiques sur certaines oeuvres d’art. Je reste donc sur une petite déception pour cette première visite dans la capsule littéraire (mais pourquoi le mot capsule ???) de Nicolas BEUGLET.
C’était bien naze. Probablement qu’il a perdu une étoile supplémentaire car je l’ai écouté et pas lu.
Le titre est mal choisi, ça devrait plutôt être « le road trip de Felicia et Armand » Les personnages sont assez creux, tout est cousu de fil blanc. Dès que l’un rencontre une nouvelle personne il lui raconte absolument tout même par téléphone alors qu’ils sont supposément traqués par des « tueurs envoyés par le pentagone ». Tueurs qu’on ne croise que dans les premiers chapitres et disparaissent ensuite. Faut se dire aussi que tout commence car 4 hommes qui n’avaient rien demandé meurent en voulant retrouver une capsule temporelle renfermant apparemment des infos sur des extraterrestres qui date de 1960. Felicia l’historienne s’allie avec Armand le prêtre pour résoudre le mystère, comprendre qui leur voulait du mal (en l’occurrence une femme que PERSONNE ne connaît et qui débarque à la fin pile poil pendant la demie heure où Felicia et Armand se trouvent en Allemagne avec un chercheur supposément sensé sauver l’humanité avec une idée de fou). Ah oui, et puis le message - pas du tout extraterrestre - a été envoyé par les humains du futur qui, pour sauver l’humanité donc, conseillaient d’aller voir cet allemand qui avait une idée révolutionnaire. Et COMME PAR HASARD il a eu l’idée y’a trois semaines alors que la capsule aurait pu être retrouvée absolument n’importe quand depuis 1960.
Bref, nul.
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C'est un peu comme lire du Dan Brown. Une lecture qui file à toute vitesse, en empruntant des chemins insolites, avant de déboucher sur un final déroutant. Mais d'abord, on découvre un étonnant duo, constitué d'une experte en art (Felicia) et un ancien flic devenu prêtre (Armand). Ils viennent d'être embauchés pour retrouver la trace de collectionneurs excentriques. Le fils de l'un d'eux est inquiet. Ils étaient réunis un soir au manoir, puis ont disparu sans le moindre indice. Mais c'était sans se douter des dérives que la traque entraînerait ! Imaginez des assassins aux trousses, une capsule temporelle, un message des aliens et “l'ultime avertissement”... Non, vous n'êtes pas prêts à tout entendre ! 😆 Pfiou, en effet, l'histoire va partir dans tous les sens. Et les théories qui vont fleurir ne manqueront pas de vous laisser coi. Hélas, cela a tendance à réveiller mon scepticisme doublé de mon fort penchant pour le cynisme. Voilà, c'est à lire avec des pincettes. Juste parce que Nicolas Beuglet n'est pas le perdreau de l'année non plus et qu'il connaît bien son public fidèle. Mais on nous prend aussi pour des jambons ! 😁😄
Nicolas Beuglet est un habitué de ce blog. Nous l'avions découvert dès son premier roman Le cri est avions été charmé par le style et l'efficacité de ce récit.
Mais cette fois, si les qualités d'écriture sont toujours là, ce roman n'est vraiment pas à l'image du reste de l'œuvre de cet auteur. Sans vouloir être trop critique, mais nous pourrions résumer ce livre à un Da Vinci Code simplifié, rapide et peu abouti.
Les personnages comme l'intrigue sont remplis de clichés, l'histoire et l'attitude des personnages sont totalement irréalistes. Le récit présente de nombreux raccourcis et de répétitions, de pages inutiles (le voyage pour aller aux antennes). Et bien entendu on retrouve les complots traditionnels avec le bon gros méchant (en l'occurrence une femme pour un peu d'originalité) de l'armée américaine.
Après les 2 supers trilogies surprenamment réalistes que nous avait sorti Beuglet, j’ai trouvé ce tome plus compliqué à croire, avec des situations beaucoup trop improbables, que ça soit pour aider les protagonistes, ou simplement faire avancer l’histoire, c’est dommage. Je pense notamment lorsqu’ils vont jusqu’en plein milieu de l’Afrique pour hacker des antennes satellites hautement protégées style secret d’état, sans aucune connaissance informatique quelconque, tout ça guidé par téléphone en étant sous une fausse identité qui leur a quand même permis de prendre l’avion incognito. Peut-être que tout ça méritait plus d’embûches, de détails, de difficulté pour y croire. (On pourrait parler de l’ex-femme du prêtre qui est journaliste (ça tombe bien tiens !) et pleins d’autres coïncidences bien trop pratiques).
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Je n’ai malheureusement pas été embarquée par l’histoire. Je trouvais le principe de base intéressant mais j’avoue que l’enquête ne m’a pas captivée. Si je trouve l’idée de réfléchir sur la mémoire de l’humanité pertinente je n’ai pas tant accroché au propos que j’ai trouvé un peu trop extrapolé, je ne m’attendais vraiment pas à ce que tourne à la SF. Parfois je trouvais les situations trop tirées par les cheveux, les enchaînements d’événements trop évidents. Les personnages sont sympathiques mais je ne me suis pas tant attachée à eux. En soit l’idée de base était sympa, je n’ai pas passé un horrible moment mais ce n’était pas un super moment non plus et ce livre ne me marquera pas au long terme.
un thriller bien rythmé qui tient en haleine jusqu' aux derniers chapitres pour comprendre ce qu'avait découvert le célèbre collectionneur. Après l'article sur 01-net je pensais que le livre mettait en oeuvre l'intelligence artificielle ... mais pas du tout, il y a juste une brève allusion dans l'épilogue. Du coup je suis un peu surprise que 01-net ai choisi cet auteur et fait référence à ce livre pour un interview sur l'intelligence artificielle et la littérature. D'un point de vue créativité et imaginaire les thématiques ne sont pas nouvelles, je suis un peu déçu de ce point de vue, même si cet enchaînement de faits réels combinés avec art pour en faire une histoire palpitante reste agréable à lire.
J'ai été déçue :( J'adore son écriture, elle me donne envie de continuer. Par contre l'histoire....ça partait tellement bien pourtant. Mais je l'ai trouvé trop simple. Tout se déroule sans trop d'accroc pour les persos principaux. Ils arrivent à échapper à tout le monde alors que c'est des civiles.
La résolution sauve un peu dans le sens où j'ai découvert une information que je ne connaissais pas. À par ça, je trouve que d'autres ont mieux intégré l'espace et le futur dans leur roman que Nicolas Beuglet ici.
La théorie scientifique du projet des 3% est vraiment intéressante et mériterait de se trouver au coeur de l'histoire. Tout va trop vite et rien n'est véritablement approfondi. Sans parler des nombreuses invraisemblances du début à la fin, qui empêchent de se plonger dans l'histoire, tant elle manque de crédibilité. Le duo de personnages principaux suit une mécanique très classique, je ne les ai pas trouvés particulièrement attachants, ni intéressants. Heureusement qu'ils ne finissent pas ensemble. Ça aurait été la goutte de trop. Bref, déçu par ce dernier titre.
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J'ai beaucoup aimé suivre ces deux personnages dans leurs folles aventures. L'histoire nous entraîne toujours dans des idées complètement folles avant de changer de direction (même si est ce qu'on peut vraiment dire que ce n'est pas fou ? 🤔 J'ai comme un doute). J'ai aimé les personnages, même si pour asseoir leur relation, il en faisait un peu trop durant les monologues intérieures. Ça m'a convaincu de poursuivre ma découverte des textes de Nicolas Beuglet.
Écouté en audiobook. Écoute plaisante, bien que j'aie mis du temps à entrer dans l'histoire. Même si le déroulé est parfois tiré par les cheveux, l'histoire gagne en force au fur et à mesure de son avancement. J'ai beaucoup aimé la dernière partie et le "but" de ce livre et termine mon écoute sur une note positive. Premier livre lu de cet auteur. Écouté grâce à netgalley et lizzie que je remercie.
3,75 Du début au 3/4 c’était un 4,75, malus pour l’écriture parfois trop cliché mais sinon j’étais À FOND dedans Mais quand ça a commencé à partir dans des voyages de 484839h dans tout le globe c’était vrm too much, puis la découverte …? Too much aussi qu’ils réussirent à intercepter ça, c’est juste parti trop loin et je ferme ce livre en me disant mais wtf, la fin je mettrais 3 mais du coup en moyenne ma note je dirais est de 3,75 mais le sentiment en finissant le livre est de 3
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J'ai découvert la plume de Nicolas Beuglet et je n'ai pas été déçu. L'écriture est descriptive, fluide et addictive pour le lecteur. L'histoire est originale, rebondissante d'aventures, les personnages attachants et le final est un mélange de Darwin et d'X-Files. Très original, je ne me suis pas ennuyé. Je vais de ce pas découvrir le reste de ses livres.
Encore une fois, une histoire super sympa avec des faits réels. Mais j’ai quand même moins aimé que ses trilogies, j’ai trouvé que l’histoire allait trop vite et elle aurait pu être détaillée ou allongée.
I have waited so long to get the end of the story, but let say my expectations did not get met. I was disappointed actually with the story. There where a few good thing in the book but overall i think that the plot was rushed and something was missing.