La suite attendue de Jusqu'à ce que ça fasse bang, incursion de l'autrice dans l'univers des relations toxiques. Maélia aimait son amoureux à la folie. C'était le premier et, pensait-elle, l'homme de sa vie. Mais sous le garçon romantique et sensible se cachait un narcissique. Maintenant libérée, le coeur en charpie, Maélia veut reconstruire sa vie. Mais la toile d'un manipulateur demeure parfois en place, même après une rupture…
Il y a une dizaine d'années, Alexandra a vendu plus de 100 000 exemplaires d'une série jeunesse. Elle a ensuite quitté le milieu littéraire pour se consacrer au film d'ado qu'elle voulait que soit sa vie. Bien que son absence totale de coordination l'ait empêchée de mettre le feu aux dancefloors et qu'elle ait frôlé l'asphyxie en oubliant de respirer pendant deux minutes lors de son premier french, elle trouve que cette pause d'écriture était un bon move. Maintenant, elle sait que l'écriture fait encore partie des plans, malgré ses autres intérêts, genre le country et la bouffe asiatique. Ouin, multiculturelle de même pis toute.
Ouf! Je referme la dernière page de cette lecture et je me demande comment je pourrai exprimer à quel point ce roman peut être percutant...
Dans cette suite de "Jusqu'à ce que ça fasse bang", on retrouve Maélia, qui a mis fin à sa relation avec Oli. Si tourner la page peut sembler un geste et une décision simple. Les chapitres de vie qui s'ensuivent viennent nous démontrer tout le contraire.
Maélia cherche à se reconstruire et à se réapproprier sa vie. Plus facile à dire qu'à faire. Oli se trouve partout, dans ses souvenirs, dans sa famille, dans sa tête.
L'univers des relations toxiques est habilement abordé, on ne peut rester indifférent aux émotions vécues par Maélie.
Mention spéciale aux pages 255 à 259 qui m'ont fait pleurer de rire et ont contribué à adoucir cette lecture!
J'attendais cette suute avec une grande impatience et je n'ai pas été déçue. Quel roman poignant!
🖋️"À combien de battements par seconde est-ce qu'un cœur fripé peut survivre avant de péter au frette? "
4.5⭐️ Wow, je suis chamboulée par cette lecture, par cette plume incroyable d’abord, mais aussi par cette histoire où le caractère insidieux de la violence psychologique est comme un coup de poing dans la face.
J’ai été émue à de siiiiii nombreuses occasions dans ce livre, mais beaucoup par Carol. Quel père merveilleux! J’ai pleuré. Souvent. Et j’ai trouvé l’évolution de Maélie siiiii crédible. La finale était, à mon sens, absolument parfaite et je ne souhaitais rien de moins pour Maé!
J’ai plusieurs fois eu l’impression que les personnages étaient plus vieux, comme si leur vie concordait davantage avec l’université que le cégep, mais je pense que c’est biaisé par ma propre expérience!
Un magnifique roman jeune adulte au sujet difficile mais nécessaire!
J’ai retrouvé les éléments appréciés dans le tome 1. Les émotions sont justes et senties. Les situations sont complexes. Les événements évitent les facilités. Le processus est long et ardu lorsqu’on sort d’une relation toxique.
L'univers ne peut naître qu'une seule fois. La suite de "Jusqu'à ce que ça fasse bang" que j'ai tant aimé. 🥹
J'étais tellement impatiente de retrouver Maélia. Après cette fin brutale du premier roman (les auteurs, arrêtez de jouer avec nos coeurs comme ça) c'était avec bonheur que je commençais ce deuxième tome.
Ce roman a brisé mon coeur, tout simplement. Les séquelles de Maélia suite à sa rupture m'ont bouleversées. La peur constante, l'appréhension des réactions des gens autour d'elle, l'hypervigilance permanente. C'est d'une tristesse sans nom.
Ce fut aussi éprouvant de voir la reconstruction d'une personne et, de l'autre côté, la décadence d'un autre. Je vais l'avouer, j'ai eu des grosses larmes.
En passant, un roman sur l'histoire de Martin, c'est un gros oui stp? 🥹
J'ai aimé le concept des dimensions, comme quoi si nous ne vivons pas quelque chose dans cette dimension ci, nous la vivons dans une autre réalité. C'est comme un petit velours comme pensée lorsque ça va un petit peu moins bien.
Chose certaine, c'est qu'il n'y a pas une réalité où ce roman est autre chose qu'une grande réussite. ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
Je l’ai lu en une journée donc on peut dire que j’ai été happée par l’histoire. On retrouve la protagoniste alors qu’elle essaie de se reconstruire et de se remettre de sa relation toxique.
J’ai trouvé que la conclusion se faisait dans beaucoup de non-dits, autant avec la famille que les amis. Mais sinon c’était bien bon. L’écriture de l’auteure était toujours aussi agréable.
4,5⭐️ Très bon, j’ai vraiment accroché à la deuxième moitié du livre et je me suis encore + attachée à Maé une jeune adulte forte et résiliante. Un livre bien ficelé qui traite d’un sujet tellement important.❤️🩹
Frappant, confrontant, frustrant, mais nécessaire. Wow! J’ai l’impression de lire pour la première fois les séquelles tangibles de ce genre de relation.
WoW wow wow wow wow . Je ne peux pas dire plus de toute cette histoire ! C’est tellement bien écrit et c’est ce qui fait de ces livres des chefs d’œuvre. Avoir le malheur de tomber en amour avec une personne comme Oli ça fait mal et ça nous détruit en dedans pour plusieurs années. La seule chose que je trouve de ce livre c’est que j’aimerais tellement que Maélia parle et où s’affirme plus, mais je comprends que dans le contexte de la violence psychologique, on a de la misère à en parler, parce que c’est tellement subtil à voir. Bref, bravo à cette autrice pour ça, j’ai eu mal, mais en même temps, j’ai trouvé Maélia tellement forte de trouver le courage d’écrire tout ça !
Soufflée, encore deux semaines après lavoir terminé. Une suite que j'attendais et je n'ai vraiment pas été déçue de voir comment l'histoire de Maélia s'est poursuivie et terminé. Je suis encore un peu bouche bée par quelques petits détails de la fin, mais j'ai adoré. Je l'ai dévoré très rapidement, malgré le fait que je n'étais pas super en forme, alors ce n'est pas peu dire à quel point je tournais rapidement les pages! (En convalescence de mon opération d'hernie discale).
4⭐️, juste parce que quand je lis, j'aime pas ça être fâchée des comportements des personnages.
La violence psychologique (qui mène potentiellement à la violence physique), c'est insidieux, ça prend ses aises tranquillement sans qu'on s'en rende compte. N'importe qui peut en vivre.
Mais y'a trop de situations où je ne m'identifiais pas assez aux personnages pour comprendre et être patiente, je pensais juste à les "shaker" un peu (très fort).
L'histoire est fluide et bien écrite, c'est difficile de déposer le livre!
Mais quelle belle suite ! J'ai trouvé que Maé prenait des décisions matures. Je dois dire que j'ai eu des difficultés avec certains personnages et leurs réactions, mais j'ai conscience qu'elles sont un reflet de ce qui peut se produire dans la société. Je dois dire que la fin me laisse un peu sur ma faim... j'aurais voulu en connaitre davantage sur certaines des relations de Maé.
alexandra larochelle = queen 👑 honnêtement, je ne suis jamais déçue de cette autrice, comme jamais. elle mérite plus de reconnaissance pour son talent.
Avec ce deuxième (et dernier) tome, on retrouve Maélia qui, le coeur lourd, décide d’écouter sa petite voix intérieure en mettant fin à sa relation avec Oli, son chum des dernières années. Avec du recul, elle a prit conscience que les moments de bonheur étaient trop souvent accompagnés de reproches.. Mais malgré sa liberté retrouvée, Maélia doit se rendre à l’évidence qu’une ombre continue de planer sur elle..
« Comment est-ce que j'avais pu me fermer les yeux aussi longtemps, alors que ça me paraissait si évident quand c'était quelqu'un d'autre qui le vivait ? »
C’est simple, ces deux romans forment un duo essentiel !
Des livres qui aborde les relations toxique, c’est un gros Oui ! C’est si important d’en parler ! Encore plus en littérature jeunesse.
Au travers l’histoire de Maélia mais aussi, celle de son meilleur ami Martin, l’autrice nous montre à quel point un partenaire toxique peut être sournois, manipulateur et explosif.
Au fil des pages, on voit l’effet qu’a la toxicité sur les nouvelles relations, les émotions et la confiance. Le processus de reconstruction peut être long et la guérison ne se fait pas en un claquement de doigt.
« Parce que s'il y a bien une chose que tu m'as permis d'apprendre, c'est que, parfois, aimer, c'est plus suffisant. Parfois, dire adieu, ça relève de l'instinct de survie pour éviter de sombrer avec l'autre. »
J’ai aimé l’importance que l’on accorde au temps.. Le temps qui faut pour prendre conscience que quelque chose ne va pas.. que quelque chose de pas correct est entrain de nous arriver. Le temps que ça prend pour accepter que les choses ne soient pas ce qu’on croyait être et surtout, le temps que ça prend pour guérir et.. se pardonner.
C’est un livre qui m’a pas mal brassé. L’histoire de Maélia va m’habiter longtemps.
Je souhaite fort que l’autrice nous offrira une suite consacrée à Martin.
Je m’étais dis, en finissant le premier tome, que je donnerais une chance à la suite de me faire changer d’idées sur mon sentiment vis-a-vis les personnages et l’histoire. Finalement je me dis que j’aurais pu ne jamais lire cette suite. Que même si le deuxième tome a gagné une demi étoile de peine et de misère comparé au premier, j’ai tout de même beaucoup plus d’émotions négatives que positives.
Je crois que ça vient du fait que j’haïssais les personnages. Maélia bien avant Oli. Oli gaslight et est toxique, fine. C’est le grand méchant. Sauf que je ne changerai pas d’avis : Maélia bouhou la petite victime est toujours aussi chiante. On a une minuscule évolution dans sa maturité et un espoir de compréhension à la fin, mais sérieusement… Elle sacre après Martin, mais elle n’est pas mieux. Au lieu de parler elle se mutile sous l’eau chaude, pis elle ment, pis après c’est la grosse spirale psychologique de « ils peuvent pas comprendre anyways ». Oh for fuck sake, cry me a river…
Mais heureusement, comme j’ai dis, Maélia a un espoir vers la fin de comprendre que les gens toxiques autour d’elle ne se résument pas à Olivier. C’est aussi Martin et Mathilde. C’est même un peu elle (thank god). Oli le grand méchant était moins une marde dans ce tome que Martin et Mathilde. Fight me on this if you want.
J’ai aussi ressenti un profond malaise avec Serge qui, soudainement, est noir alors que y’a absolument aucun indice de ça, ever. Aucun cue culturel, nada. Même chose avec Leg qui fait juste disparaitre. On avait un personnage non-binaire intéressant, pis pouf là qu’iel commençait à être présent, iel a juste disparu en Abitibi. Décevant. La « fausse inclusivité » était tout simplement bad. Trop difficile à montrer, à approfondir? Même Noam, à part son nom et son tatouage, aucun autre indice culturel. Soit t’assume soit t’en met pas.
Et on en parle du fait que la première partie du roman ça sort dans les bars mais Maélia a juste ses 18 ans plus loin dans le livre? J’sais pas si j’suis vieux jeu, mais me semble que c’etait pas si facile que ça rentrer dans un bar quand t’es mineur et encore moins acheter de l’alcool parce que le ou la barman te carte même quand t’a l’air d’avoir 45 ans. Donc… eh. Je met ça dans les incohérences.
En somme, cette duologie était clairement pas pour moi.
Je suis triste que cette duologie soit terminée déjà! Vulnérabilité, authenticité et touchant sont les 3 mots qui me viennent à l’esprit suite à la fin de l’histoire de Maé qui doit être découverte!!! Merci Alexandra à tes mots magiques, et d’avoir su écrire une histoire choc mais touchante sur les relations toxiques et comment les gens peuvent se sentir face à ses épreuves!
J’avais bien aimé le premier tome selon ma review Goodreads, mais ça m’a pris environ 100 pages me souvenir un minimum de l’histoire du premier livre. J’ai un gros blanc! Bref, ce deuxième tome était bon, quoi que pas un gros coup de cœur.
une très belle finale pour une duologie. pour avoir déjà été dans une relation toxique, c’est exactement comme ça que je me suis sentie après la lecture
j’aurais voulu savoir ++ sur Mathilde et Martin, sur la fin de la relation amicale, mais en même temps, c’est mon côté curieuse
j’ai beaucoup de respect pour Maélie et ses réflexions
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