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La Demeure des Mah-Haut-Rels
« Quand on a trop perdu et qu’on est vide, certaines espérances sont tellement fortes qu’elles nous emplissent tout entier de promesses. »
Les continents ont disparu, il n’y a plus de terres. Seuls le ciel et l’eau coexistent encore, formant un monde fluctuant aux perspectives infinies.
Les dernières communautés survivent à bord de dirigeables ou de radeaux-villes, subissant les caprices des vents et de l’océan. Du passé, il ne reste que les histoires des Seigneurs, les élus de ce monde à la dérive, ceux qui portent la mémoire du Temps d’Avant.
Regard est l’un de ces Seigneurs. Conteur émérite, il aspire à écrire l’ultime histoire, celle qui modèlera le monde à son image. Mais voilà que la tempête se lève et que sa barque est emportée par les flots noirs. Isolé au milieu de l’océan, furieux et impuissant, Regard attend la mort.
Il fait alors une rencontre improbable : un radeau dirigé par
deux enfants qui se sont enfuis à la recherche d’une île légendaire,
la dernière terre émergée du monde…La Demeure des Mah-Haut-Rels.À la frontière du conte philosophique et du roman imaginaire, La Demeure des Mah-Haut-Rels est le récit poignant de trois personnages prêts à tous les sacrifices pour accomplir leur destinée.
Les continents ont disparu, il n’y a plus de terres. Seuls le ciel et l’eau coexistent encore, formant un monde fluctuant aux perspectives infinies.
Les dernières communautés survivent à bord de dirigeables ou de radeaux-villes, subissant les caprices des vents et de l’océan. Du passé, il ne reste que les histoires des Seigneurs, les élus de ce monde à la dérive, ceux qui portent la mémoire du Temps d’Avant.
Regard est l’un de ces Seigneurs. Conteur émérite, il aspire à écrire l’ultime histoire, celle qui modèlera le monde à son image. Mais voilà que la tempête se lève et que sa barque est emportée par les flots noirs. Isolé au milieu de l’océan, furieux et impuissant, Regard attend la mort.
Il fait alors une rencontre improbable : un radeau dirigé par
deux enfants qui se sont enfuis à la recherche d’une île légendaire,
la dernière terre émergée du monde…La Demeure des Mah-Haut-Rels.À la frontière du conte philosophique et du roman imaginaire, La Demeure des Mah-Haut-Rels est le récit poignant de trois personnages prêts à tous les sacrifices pour accomplir leur destinée.
- GenresFantasy
360 pages, Hardcover
Published November 6, 2024
8 people are currently reading
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Community Reviews
Displaying 1 - 19 of 19 reviews
April 20, 2025
Par un coup du sort, Regard, un Conteur hors pair, se retrouve seul sur la mer ayant recouvert l'Ancien Monde, condamné à une mort lente. Sa rencontre avec deux enfants naviguant à la recherche d'une terre légendaire va changer Regard à jamais.
Une œuvre splendide que cette Demeure des Mah-Haut-Rels ! L'écriture de Siècle Vaëlban est ici très poétique et magnifiée par les illustrations époustouflantes d'Anouck Faure.
A travers la rencontre et la quête des trois protagonistes, nous allons suivre leurs histoires qu'ils nous content par morceau. Si Regard est le personnage narrateur de cette histoire, et celui qui sera amené à se remettre le plus en question, mon cœur est cependant allée aux deux enfants, Reine et Venise, et à leurs histoires pleines de fêlures et d'espoirs. Reine, la leader déchue de son peuple, m'a vraiment touchée par son passé et j'étais à certains moments particulièrement émue par ce destin tragique. Pour avoir discuté avec l'illustratrice, il s'agit d'ailleurs également de son personnage préféré, expliquant qu'elle est souvent représentée. Venise n'est cependant pas en reste, ce garçon qui voulait voler et dont l'autrice réussit à nous faire ressentir tout le désespoir face à une famille qui l'adule tout en le retenant prisonnier contre sa volonté. Je retiens également de magnifiques illustrations concernant Venise et son peuple.
Plus qu'une histoire, ce livre est un conte philosophique qui se livre peu à peu au fil des jours, épousant d'ailleurs un découpage en fonction de ces derniers. Siècle Vaëlban a réussi à m'emporter durant les deux-trois heures qu'ont duré ma lecture et j'ai adoré effectuer ce voyage doux-amer aux côtés de ces trois âmes en reconstruction. Le style de l'autrice est formidable et j'ai noté plusieurs citations qui m'ont marqué à la lecture.
Pour terminer, si j'ai évoquer les illustrations internes, comment ne pas mentionner à quel point la couverture est à elle-seule déjà magnifique ?
Une œuvre splendide que cette Demeure des Mah-Haut-Rels ! L'écriture de Siècle Vaëlban est ici très poétique et magnifiée par les illustrations époustouflantes d'Anouck Faure.
A travers la rencontre et la quête des trois protagonistes, nous allons suivre leurs histoires qu'ils nous content par morceau. Si Regard est le personnage narrateur de cette histoire, et celui qui sera amené à se remettre le plus en question, mon cœur est cependant allée aux deux enfants, Reine et Venise, et à leurs histoires pleines de fêlures et d'espoirs. Reine, la leader déchue de son peuple, m'a vraiment touchée par son passé et j'étais à certains moments particulièrement émue par ce destin tragique. Pour avoir discuté avec l'illustratrice, il s'agit d'ailleurs également de son personnage préféré, expliquant qu'elle est souvent représentée. Venise n'est cependant pas en reste, ce garçon qui voulait voler et dont l'autrice réussit à nous faire ressentir tout le désespoir face à une famille qui l'adule tout en le retenant prisonnier contre sa volonté. Je retiens également de magnifiques illustrations concernant Venise et son peuple.
Plus qu'une histoire, ce livre est un conte philosophique qui se livre peu à peu au fil des jours, épousant d'ailleurs un découpage en fonction de ces derniers. Siècle Vaëlban a réussi à m'emporter durant les deux-trois heures qu'ont duré ma lecture et j'ai adoré effectuer ce voyage doux-amer aux côtés de ces trois âmes en reconstruction. Le style de l'autrice est formidable et j'ai noté plusieurs citations qui m'ont marqué à la lecture.
Pour terminer, si j'ai évoquer les illustrations internes, comment ne pas mentionner à quel point la couverture est à elle-seule déjà magnifique ?
March 16, 2025
Un conte post-apocalyptique émouvant qui nous parle d'amour, d'amitié, de liberté et de sacrifices !
La plume de Siècle Vaëlban est tout aussi sublime que les illustrations d'Anouck Faure. Tout est d'une beauté à couper le souffle (oui j'ai pleuré)
La plume de Siècle Vaëlban est tout aussi sublime que les illustrations d'Anouck Faure. Tout est d'une beauté à couper le souffle (oui j'ai pleuré)
December 12, 2024
Ohlalalala, Siècle Vaëlban c’est mon coup de cœur de l’année après avoir dévoré Plein Ciel cet été, je suis agréablement surprise par son nouveau livre. Un mélange de roman, fantasy, essais littéraire et philosophique. Les illustrations apportent un réel plus, j’ai beaucoup aimé. Un livre tout doux et juste comme j’en croise rarement
March 19, 2025
tout était très très beau, aussi bien l'écriture que les illustrations. je suis conquise et ravie de cette lecture qui restera très précieuse à mes yeux
May 25, 2025
nan mais pardon c’était si beau
November 21, 2024
Merveille que ce conte initiatique fantastique et illustré qui nous emmène sur une drôle de barque : la rencontre de Regard, un Sage dont la mission est de se souvenir à tout prix, et de deux enfants, Reine, fille de l'océan, et Venise, enfant solaire du ciel.
Rencontre improbable du ciel et de l'eau à travers deux destinées qui ont vécu la perte, l'abandon, mais aussi l'espoir et l'amour. Ces deux enfants en quête d'une terre de légende, dernière terre émergée, vont croiser la route de Regard et lui faire perdre tous ses repères. Ses fondations sont s'effondrer et c'est une nouvelle manière de vivre qui va s'ouvrir à lui. Un récit de liberté, de vie, d'amour dans cet univers aquatique où les humains vivent comme ils peuvent sur des radeaux ou des engins volants, à la merci des courants. Un univers sans aucune terre, si ce n'est celle des Mah-Haut-Rels, peuple tout aussi légendaire.
Le récit est doublement porté, d'une part par la plume poétique et enchanteresse de Siècle Vaëlban, mais aussi par les magnifiques illustrations d'Anouck Faure qui donnent vie à ce monde hostile, et pourtant sublime. Un très bel ouvrage dans tous les sens du terme : l'objet livre en lui-même avec son jaspage argenté, les illustrations qui réchauffent les yeux et l'histoire qui apaise l'âme.
Rencontre improbable du ciel et de l'eau à travers deux destinées qui ont vécu la perte, l'abandon, mais aussi l'espoir et l'amour. Ces deux enfants en quête d'une terre de légende, dernière terre émergée, vont croiser la route de Regard et lui faire perdre tous ses repères. Ses fondations sont s'effondrer et c'est une nouvelle manière de vivre qui va s'ouvrir à lui. Un récit de liberté, de vie, d'amour dans cet univers aquatique où les humains vivent comme ils peuvent sur des radeaux ou des engins volants, à la merci des courants. Un univers sans aucune terre, si ce n'est celle des Mah-Haut-Rels, peuple tout aussi légendaire.
Le récit est doublement porté, d'une part par la plume poétique et enchanteresse de Siècle Vaëlban, mais aussi par les magnifiques illustrations d'Anouck Faure qui donnent vie à ce monde hostile, et pourtant sublime. Un très bel ouvrage dans tous les sens du terme : l'objet livre en lui-même avec son jaspage argenté, les illustrations qui réchauffent les yeux et l'histoire qui apaise l'âme.
January 5, 2025
Quelle merveilleuse idée que de combiner la manière si onirique, presque lyrique, dont écrit Siècle Vaëlban, aux magnifiques et incroyables illustrations d'Anouck Faure.
Ce récit, proche du mythe, de la légende, nous narre l'histoire d'un homme sage, d'un enfant ayant connu les plus sombres abîmes comme les lieux les plus lumineux, et une demoiselle fière et forte, porté par l'amour qu'elle récent pour les siens malgré tout.
J'ai vraiment été porté par ce récit, par la narration des différents personnages, leurs vies semblablent et différentes, et les illustrations qui mettent tout cela en lumière.
Certes ce n'est pas un coup de cœur, mais j'ai aimé m'immerger avec Venise, Reine et Regard, suivre leur voyage jusqu'à la Demeure des Mah-Haut-Rels
Ce récit, proche du mythe, de la légende, nous narre l'histoire d'un homme sage, d'un enfant ayant connu les plus sombres abîmes comme les lieux les plus lumineux, et une demoiselle fière et forte, porté par l'amour qu'elle récent pour les siens malgré tout.
J'ai vraiment été porté par ce récit, par la narration des différents personnages, leurs vies semblablent et différentes, et les illustrations qui mettent tout cela en lumière.
Certes ce n'est pas un coup de cœur, mais j'ai aimé m'immerger avec Venise, Reine et Regard, suivre leur voyage jusqu'à la Demeure des Mah-Haut-Rels
April 6, 2025
[mars 2025]
wow
je sais même pas quoi dire sur ce livre tellement c'est quelque chose que je n'avais jamais lu
c'est un conte un philosophique mais en mode fantasy finalement
au début on comprend pas trop où on va puis finalement on se laisse porter. j'ai adoré la construction du récit où l'on à le premier évènement à J0 et le dernier évènement à J7 qui offre une sorte de mystère puis de refaire jour par jour la rencontre de ces personnages finalement
l'histoire est très intéressante et très touchante. la fin me parait assez vague, j'aimerais bien relire le texte pour discerner davantage le propos maintenant que je connais les tenants et aboutissants
sans parler du travail d'illustration qui élève vraiment le récit à un autre niveau et ajoute encore plus à ce côté onirique à la limite du mirage et de l'invention
je l'ai lu sur une journée et je ne peux que recommander de se couper quelques heures pour se plonger dans ce récit d'une traite
wow
je sais même pas quoi dire sur ce livre tellement c'est quelque chose que je n'avais jamais lu
c'est un conte un philosophique mais en mode fantasy finalement
au début on comprend pas trop où on va puis finalement on se laisse porter. j'ai adoré la construction du récit où l'on à le premier évènement à J0 et le dernier évènement à J7 qui offre une sorte de mystère puis de refaire jour par jour la rencontre de ces personnages finalement
l'histoire est très intéressante et très touchante. la fin me parait assez vague, j'aimerais bien relire le texte pour discerner davantage le propos maintenant que je connais les tenants et aboutissants
sans parler du travail d'illustration qui élève vraiment le récit à un autre niveau et ajoute encore plus à ce côté onirique à la limite du mirage et de l'invention
je l'ai lu sur une journée et je ne peux que recommander de se couper quelques heures pour se plonger dans ce récit d'une traite
February 23, 2025
« Nous étions déjà morts. Il n'y avait rien à perdre en partant et la renaissance à gagner ailleurs. Et si c'est de la folie de croire ainsi, alors soit, nous sommes des fous à l'espérance de vie réduite, mais des fous libres et, surtout, des fous heureux. »
Comment vous parler de ce livre et parvenir à vous retranscrire tout ce qu’il m’a fait ressentir ? Il ne s’agit pas d’une lecture qui se raconte : elle fait partie de celles qui se vivent, qui nous collent à la peau et qui marquent notre âme.
Parlons tout d’abord de la beauté de l’œuvre. Anouck Faure nous offre de magnifiques illustrations ; elles parsèment le récit d’une ambiance éthérée, mystique. De véritables œuvres d’art. Et que dire de la plume de Siècle Vaëlban ? Une certaine poésie s’en échappe. Si je devais décrire ce que ces pages m’ont fait ressentir, je dirais que c’était comme dans un rêve. J’ai rarement lu un livre aussi beau, autant sur le fond que sur la forme.
Le monde que nous connaissons aujourd’hui a disparu : les flots ont englouti les terres. Ne demeurent plus que trois peuples : les Éoliens, les Écumiers et les Seigneurs de Sage. C’est dans ce contexte que Regard, un Seigneur de Sage, fait la rencontre de Venise et Reine, l’un venant du ciel, l’autre des flots. Pendant sept jours, Regard partagera leur vie, leurs croyances et leurs espérances.
Ici, on est typiquement dans ce qu’on appelle une narration en récits enchâssés (des récits dans le récit). J’ai tout bonnement adoré ce choix : ce sont par les histoires de Reine et Venise que la trame principale éclot.
Venons-en donc aux protagonistes. Reine et Venise, les deux enfants que rencontre Regard sur les flots, possèdent chacun quelque chose de touchant. Reine, c’est cette petite qui a tout perdu, mais qui n’a jamais refusé d’aimer. C’est cette force de la nature, prête à tout pour les êtres qui lui sont chers. C’est la solitude dans l’amour. Venise, quant à lui, c’est l’ambivalence : tantôt solaire, tantôt abyssal, c’est celui à qui on a arraché les ailes, brisé son rêve. Mais c’est aussi celui qui n’a jamais cessé de croire, celui qui aime éperdument. Enfin, Regard. Quel personnage ! Venant de la Forteresse des Seigneurs de Sage, ce qui lui importe de prime abord, c’est le Temps d’Avant. Pourtant, durant ces sept jours, ses convictions vacillent ; le présent le percute, lui ouvre la voie de l’amour qu’il pensait faible et inutile. C’est un personnage qui apprend : à ressentir, à appréhender l’instant, à aimer malgré la peur que cela procure.
Le livre m’a transportée : on assiste à diverses histoires, chacune possédant ses horreurs et ses beautés. Les thématiques abordées sont puissantes ; à travers ces récits enchâssés, on discerne une ode à l’amour, à la croyance, à l’espérance et à la liberté.
Ne voulant pas vous gâcher la surprise, je préfère ne pas m’étaler davantage. Sachez seulement que cette œuvre m’a émue aux larmes par sa beauté, que je l’ai vécue, que je me suis sentie happée par les pages. Je ne peux que vous encourager à découvrir « La Demeure des Mah-Haut-Rels » !
Comment vous parler de ce livre et parvenir à vous retranscrire tout ce qu’il m’a fait ressentir ? Il ne s’agit pas d’une lecture qui se raconte : elle fait partie de celles qui se vivent, qui nous collent à la peau et qui marquent notre âme.
Parlons tout d’abord de la beauté de l’œuvre. Anouck Faure nous offre de magnifiques illustrations ; elles parsèment le récit d’une ambiance éthérée, mystique. De véritables œuvres d’art. Et que dire de la plume de Siècle Vaëlban ? Une certaine poésie s’en échappe. Si je devais décrire ce que ces pages m’ont fait ressentir, je dirais que c’était comme dans un rêve. J’ai rarement lu un livre aussi beau, autant sur le fond que sur la forme.
Le monde que nous connaissons aujourd’hui a disparu : les flots ont englouti les terres. Ne demeurent plus que trois peuples : les Éoliens, les Écumiers et les Seigneurs de Sage. C’est dans ce contexte que Regard, un Seigneur de Sage, fait la rencontre de Venise et Reine, l’un venant du ciel, l’autre des flots. Pendant sept jours, Regard partagera leur vie, leurs croyances et leurs espérances.
Ici, on est typiquement dans ce qu’on appelle une narration en récits enchâssés (des récits dans le récit). J’ai tout bonnement adoré ce choix : ce sont par les histoires de Reine et Venise que la trame principale éclot.
Venons-en donc aux protagonistes. Reine et Venise, les deux enfants que rencontre Regard sur les flots, possèdent chacun quelque chose de touchant. Reine, c’est cette petite qui a tout perdu, mais qui n’a jamais refusé d’aimer. C’est cette force de la nature, prête à tout pour les êtres qui lui sont chers. C’est la solitude dans l’amour. Venise, quant à lui, c’est l’ambivalence : tantôt solaire, tantôt abyssal, c’est celui à qui on a arraché les ailes, brisé son rêve. Mais c’est aussi celui qui n’a jamais cessé de croire, celui qui aime éperdument. Enfin, Regard. Quel personnage ! Venant de la Forteresse des Seigneurs de Sage, ce qui lui importe de prime abord, c’est le Temps d’Avant. Pourtant, durant ces sept jours, ses convictions vacillent ; le présent le percute, lui ouvre la voie de l’amour qu’il pensait faible et inutile. C’est un personnage qui apprend : à ressentir, à appréhender l’instant, à aimer malgré la peur que cela procure.
Le livre m’a transportée : on assiste à diverses histoires, chacune possédant ses horreurs et ses beautés. Les thématiques abordées sont puissantes ; à travers ces récits enchâssés, on discerne une ode à l’amour, à la croyance, à l’espérance et à la liberté.
Ne voulant pas vous gâcher la surprise, je préfère ne pas m’étaler davantage. Sachez seulement que cette œuvre m’a émue aux larmes par sa beauté, que je l’ai vécue, que je me suis sentie happée par les pages. Je ne peux que vous encourager à découvrir « La Demeure des Mah-Haut-Rels » !
February 17, 2025
Magnifique livre, tant par l'histoire de Siècle Vaëlban (un peu de fantasy, de spiritualité, de poésie) que par les illustrations d'Anouk Faure !
Dans ce récit, on découvre un monde englouti, des personnages en quête de légendes et d'identité...
Une pépite !
Dans ce récit, on découvre un monde englouti, des personnages en quête de légendes et d'identité...
Une pépite !
January 12, 2025
Ce magnifique livre n’entre dans aucune catégorie. C'est à la fois un jeunesse et un adulte. Je pense qu’il y a plusieurs niveau de lecture grace à la plume exceptionnelle de l’auteure qui nous créé un conte post apocalyptique philosophique.
Ce récit m'a transporté. Les personnages et leur psychologie sont tellement travaillés. Et j'ai bcp aimé la leçon de vie que transmettent nos 2 enfants des peuples Reine et Venise à Regard, seigneur sage qui pense tout savoir.
La manière dont est écrit le récit nous pousse à la refelction, sans jamais s’ennuyer.
La plume lyrique et poétique nous fait vivre et ressentir les émotions de nos personnages pleine d’amour et de mélancolie à la croyance pure.
On ne peut que ressortir de cette lecture grandit.
L’objet livre est sublime. Lisez le.
Ce récit m'a transporté. Les personnages et leur psychologie sont tellement travaillés. Et j'ai bcp aimé la leçon de vie que transmettent nos 2 enfants des peuples Reine et Venise à Regard, seigneur sage qui pense tout savoir.
La manière dont est écrit le récit nous pousse à la refelction, sans jamais s’ennuyer.
La plume lyrique et poétique nous fait vivre et ressentir les émotions de nos personnages pleine d’amour et de mélancolie à la croyance pure.
On ne peut que ressortir de cette lecture grandit.
L’objet livre est sublime. Lisez le.
July 21, 2025
Entre le roman philosophique et le conte merveilleux, ce magnifique livre illustré m'a séduite par surprise ! Je ne m'attendais pas à tellement aimer ce récit aussi enchanteur que profond.
Dans un monde post-apocalyptique, les terres ont été entièrement recouvertes. Les rares humains qui peuplent la Terre devenue Mer se répartissent en tribus des Mers (vivant sur des cités-bateaux) et tribus des cieux (vivant dans des cités-dirigeables) qui ne se croisent quasiment jamais dans leur errance. Encore plus rares sont les rencontres avec les Seigneurs de Sage, gardiens du savoir ancien.
L'un d'eux, suite à une tempête, se retrouve seul sur un radeau de fortune, sans vivres ni espoir, condamné à une mort certaine. Sa route croise alors celle de deux autres naufragés (volontaires eux) : deux enfants embarqués à la recherche de la dernière terre émergée légendaire. Leur cohabitation forcée commence mal, très mal. le Seigneur ne comprend pas ces deux enfants, qui courent droit à la leur mort. Il leur en veut de gâcher ainsi leurs vies. Il se braque, se ferme, les repousse … Mais peu à peu, touché par leur grâce et leurs destins brisés (chacun porte une histoire de survie), il comprend… Il comprend que toute sa connaissance ne vaut rien face à l'expérience de ces jeunes êtres. Il comprend que penser avec son coeur et son corps est plus profond que penser avec son esprit. Il embrasse alors leur rêve et les rejoint dans leur quête.
La demeure des Mah-Haut-Rels est un conte bien plus profond qu'il n'y paraît, truffé de références (La Petite Sirène, Icare, le Déluge, l'Atlantide …) et dans lequel la résilience, la confiance et l'amour sont les moteurs de la vie et de l'espoir. La sagesse n'est pas là où on l'attend, dans le personnage du savant Seigneur, mais dans le coeur et l'imaginaire des enfants.
Enchantée par le voyage et l'aventure, je suis ressortie de cette lecture très pensive et ravie de m'être accordé le temps de lire ce joli conte philosophique.
Dans un monde post-apocalyptique, les terres ont été entièrement recouvertes. Les rares humains qui peuplent la Terre devenue Mer se répartissent en tribus des Mers (vivant sur des cités-bateaux) et tribus des cieux (vivant dans des cités-dirigeables) qui ne se croisent quasiment jamais dans leur errance. Encore plus rares sont les rencontres avec les Seigneurs de Sage, gardiens du savoir ancien.
L'un d'eux, suite à une tempête, se retrouve seul sur un radeau de fortune, sans vivres ni espoir, condamné à une mort certaine. Sa route croise alors celle de deux autres naufragés (volontaires eux) : deux enfants embarqués à la recherche de la dernière terre émergée légendaire. Leur cohabitation forcée commence mal, très mal. le Seigneur ne comprend pas ces deux enfants, qui courent droit à la leur mort. Il leur en veut de gâcher ainsi leurs vies. Il se braque, se ferme, les repousse … Mais peu à peu, touché par leur grâce et leurs destins brisés (chacun porte une histoire de survie), il comprend… Il comprend que toute sa connaissance ne vaut rien face à l'expérience de ces jeunes êtres. Il comprend que penser avec son coeur et son corps est plus profond que penser avec son esprit. Il embrasse alors leur rêve et les rejoint dans leur quête.
La demeure des Mah-Haut-Rels est un conte bien plus profond qu'il n'y paraît, truffé de références (La Petite Sirène, Icare, le Déluge, l'Atlantide …) et dans lequel la résilience, la confiance et l'amour sont les moteurs de la vie et de l'espoir. La sagesse n'est pas là où on l'attend, dans le personnage du savant Seigneur, mais dans le coeur et l'imaginaire des enfants.
Enchantée par le voyage et l'aventure, je suis ressortie de cette lecture très pensive et ravie de m'être accordé le temps de lire ce joli conte philosophique.
November 20, 2025
(3.5/5)
C'était une très belle lecture, impossible de dire le contraire ! Les superbes illustrations ont clairement participé également. Au début j'avais l'impression de retomber dans un type de lecture poétique et métaphorique, belle et profonde, que je n'avais pas eu le loisir d'expérimenter depuis longtemps. Malheureusement, je trouve que quelque part, la métaphore et la poésie m'ont perdue. Les personnages n'étaient vraiment plus croyables, et le fait que ce soit des enfants n'aidait pas du tout. C'est tellement dommage que ce soit mon premier livre de Siècle Vaëlban car j'ai entendu énormément de bien de Plein-Ciel mais je doute maintenant, est-ce que l'autrice est faite pour moi ?
C'était une très belle lecture, impossible de dire le contraire ! Les superbes illustrations ont clairement participé également. Au début j'avais l'impression de retomber dans un type de lecture poétique et métaphorique, belle et profonde, que je n'avais pas eu le loisir d'expérimenter depuis longtemps. Malheureusement, je trouve que quelque part, la métaphore et la poésie m'ont perdue. Les personnages n'étaient vraiment plus croyables, et le fait que ce soit des enfants n'aidait pas du tout. C'est tellement dommage que ce soit mon premier livre de Siècle Vaëlban car j'ai entendu énormément de bien de Plein-Ciel mais je doute maintenant, est-ce que l'autrice est faite pour moi ?
April 21, 2025
Emprunt de folie
Cette lecture a une dimension particulière elle est à la fois attachante, poétique, humaine, intrigante et passionnée.
C’est une forteresse qui ne demande qu’à être ouverte afin de se laisser envahir par une foule de sentiments.
On rencontre et on vit à travers chacun des êtres qui peuplent ce récit et on accumule une multitude d’émotions jusqu’à faire partie d’un lot immense.
On se berce d’illusions, on écoute des histoires et on vit dans cette embarcation sans savoir où le vent nous emmènera.
Cette lecture a une dimension particulière elle est à la fois attachante, poétique, humaine, intrigante et passionnée.
C’est une forteresse qui ne demande qu’à être ouverte afin de se laisser envahir par une foule de sentiments.
On rencontre et on vit à travers chacun des êtres qui peuplent ce récit et on accumule une multitude d’émotions jusqu’à faire partie d’un lot immense.
On se berce d’illusions, on écoute des histoires et on vit dans cette embarcation sans savoir où le vent nous emmènera.
May 29, 2025
Une lecture fantastique et poétique. Je l'ai lu en une journée, je n'ai pas su décrocher. Les graphismes sont époustouflants, j'ai été captivée par le coup de crayon de l'artiste ! Les personnages prennent vie au fil des pages, ce qui donne une toute autre dimension à la lecture. La morale est belle, l'écriture est fluide, je ne peux que recommander de lire cette petite merveille.
April 28, 2025
Quel conte initiatique ❣️
Quelle plume que celle de Siècle Vaëlban ❤️🔥
Quel coup de pinceau que celui d'Anouck Faure ❤️🔥
Merveilles ❤️🔥❤️🔥❤️🔥
Quelle plume que celle de Siècle Vaëlban ❤️🔥
Quel coup de pinceau que celui d'Anouck Faure ❤️🔥
Merveilles ❤️🔥❤️🔥❤️🔥
July 3, 2025
Alicia
January 19, 2025
4,75⭐️
Un conte initiatique, fantastique et philosophique qui prend vie grâce à des illustrations sublimes 😍
J’avais découvert Siècle Vaëlban grâce à Plein-Ciel et ce fût un plaisir de redécouvrir sa plume dans un genre complètement différent. De plus, cette histoire est parfaitement complétée par les illustrations d’Anouck Faure !
Alors, je ne sais pas parler de ce livre car il a une originalité et une poésie comme j’en lis peu, que ce soit sur le fond ou sur la mise en page.
On y suit Regard, Reine et Venise perdus en mer à la recherche d’une île imaginaire, dernier vestige d’un monde immergé.
Lors de leur voyage, on en découvre plus sur le passé et sur comment ils en sont arrivés là. À travers leurs récits, ils confrontent leurs points de vue sur le monde d’Avant et de maintenant. Et Regard, un adulte aux avis tranchés, voit ses convictions vaciller face à l’innocence et l’espoir d’un monde meilleur de ces deux enfants.
Ce livre aborde aussi en fond le changement climatique car nos personnages évoluent dans un monde post-apocalyptique où l’ensemble du globe est sous l’eau et où les humains vivent soit sur un radeau géant soit sur des énormes dirigeables.
Bref, c’est un excellent livre, que ce soit sur le texte, la forme, les illustrations et l’histoire ❤️
Un conte initiatique, fantastique et philosophique qui prend vie grâce à des illustrations sublimes 😍
J’avais découvert Siècle Vaëlban grâce à Plein-Ciel et ce fût un plaisir de redécouvrir sa plume dans un genre complètement différent. De plus, cette histoire est parfaitement complétée par les illustrations d’Anouck Faure !
Alors, je ne sais pas parler de ce livre car il a une originalité et une poésie comme j’en lis peu, que ce soit sur le fond ou sur la mise en page.
On y suit Regard, Reine et Venise perdus en mer à la recherche d’une île imaginaire, dernier vestige d’un monde immergé.
Lors de leur voyage, on en découvre plus sur le passé et sur comment ils en sont arrivés là. À travers leurs récits, ils confrontent leurs points de vue sur le monde d’Avant et de maintenant. Et Regard, un adulte aux avis tranchés, voit ses convictions vaciller face à l’innocence et l’espoir d’un monde meilleur de ces deux enfants.
Ce livre aborde aussi en fond le changement climatique car nos personnages évoluent dans un monde post-apocalyptique où l’ensemble du globe est sous l’eau et où les humains vivent soit sur un radeau géant soit sur des énormes dirigeables.
Bref, c’est un excellent livre, que ce soit sur le texte, la forme, les illustrations et l’histoire ❤️
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