Cet essai propose une lecture engagée de la dette imposée à Haïti en 1825, perçue comme un symbole durable de l’injustice coloniale. L’auteur y dénonce les logiques néocoloniales contemporaines et rend hommage à la résilience du peuple haïtien.
J’ai trouvé cet essai profondément éclairant et nécessaire à la décolonisation de nos imaginaires. J’y ai beaucoup appris sur Haïti, son histoire, et sur les mécanismes d’injustice qui se prolongent encore aujourd’hui. L’auteur y déploie une parole engagée, accessible et percutante, qui rend hommage à la résistance du peuple haïtien tout en dénonçant les logiques néocoloniales. Malgré la force du propos et la clarté de l'écriture : je regrette les trop rares de notes de bas de page et l’absence de bibliographie, qui affaiblissent la crédibilité scientifique du texte et limite sa portée en tant qu'essai de référence.