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L'École de Minuit #1
Midnatsskolen
ørste bind i den morsomme fantasyserie om 15-årige Simeon, som begynder på Midnatsskolen og endelig kan slippe væk fra sin kontrollerende mor og få sig et socialt liv. Simeon, som er halvt vampyr/halvt menneske, bliver venner med Joel, en udød, og Colin, en sirene-/havdreng. Da flere elever på skolen forsvinder på mystisk vis, må Simeon og hans venner må tage affære, og det selvfølgelig LIGE VED at ende grueligt galt …
336 pages, Hardcover
Published September 11, 2024
7 people are currently reading
225 people want to read
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Community Reviews
Displaying 1 - 30 of 59 reviews
October 4, 2022
J’ai adoré ! Ce n’est pas surprenant car j’adore les autres romans de Maëlle Desard, et là il y a tout ce qu’il faut pour un coup de cœur : ce style bien particulier et bourré d’humour, un univers hyper cool et riche, des personnages bien attachants et une intrigue prenante… un excellent roman ! 👌
March 19, 2024
J'ai adoré cette histoire !
Le monde est bien pensé, et si l'influence Potterienne se fait sentir et peut-être même celle de Christelle Dabos (ne sommes nous pas tous influencés par nos lectures ? ^-^) la personnalité de l'autrice est bien nette.
J'ai beaucoup apprécié le personnage principal, sa personnalité de anti-héros, sa relation avec sa sœur "parfaite". Beaucoup apprécié aussi qu'il se fasse des amis immédiatement, sans états d'âme, des copains d'abord, puis des personnes qui lui sont chères.
Le thème de l'amitié malgré les différences est omniprésent, mais pas lourd puisqu'il est traité par les différentes sortes de personnes qui peuplent l'école de minuit : le mix est assez fun !
Un seul petit bémol, le ton des dialogues, trop riche en expressions argotiques (je doute que les ados en mettent autant dans leurs propos, ou plus exactement autant de variés) et les références parfois à côté de la plaque (quel ado de 15 ans penserait à Schwarzenegger pour évoquer une personne très musclée ?). Mais c'est pinailler. D'autant plus que j'aurais sans nulle doute tendance à pêcher dans l'excès inverse !
Ah et un autre bémol pour le texte de 4° de couverture, qui ne reflète pas la tonalité et l'ambiance du roman. Une lectrice qui avait vu ma présentation du roman en story instagram a remarqué "oh, ça à l'air mignon cette histoire d'enfants dans une école surnaturelle !". Je pense qu'un petit extrait aurait été intéressant, c'est d'ailleurs la lecture du premier chapitre, proposé en slides sur une publication instagram de l'éditeur qui m'a donné envie de lire le livre !
Pour finir l'histoire est très bonne, pleine de rebondissements et de surprises. J'ai presque lu ce livre d'une traite et je serai ravie de lire la suite, suite qui n'est pas annoncée mais semble une évidence en refermant le livre (pas de cliffhanger mais une généreuse ouverture).
Le monde est bien pensé, et si l'influence Potterienne se fait sentir et peut-être même celle de Christelle Dabos (ne sommes nous pas tous influencés par nos lectures ? ^-^) la personnalité de l'autrice est bien nette.
J'ai beaucoup apprécié le personnage principal, sa personnalité de anti-héros, sa relation avec sa sœur "parfaite". Beaucoup apprécié aussi qu'il se fasse des amis immédiatement, sans états d'âme, des copains d'abord, puis des personnes qui lui sont chères.
Le thème de l'amitié malgré les différences est omniprésent, mais pas lourd puisqu'il est traité par les différentes sortes de personnes qui peuplent l'école de minuit : le mix est assez fun !
Un seul petit bémol, le ton des dialogues, trop riche en expressions argotiques (je doute que les ados en mettent autant dans leurs propos, ou plus exactement autant de variés) et les références parfois à côté de la plaque (quel ado de 15 ans penserait à Schwarzenegger pour évoquer une personne très musclée ?). Mais c'est pinailler. D'autant plus que j'aurais sans nulle doute tendance à pêcher dans l'excès inverse !
Ah et un autre bémol pour le texte de 4° de couverture, qui ne reflète pas la tonalité et l'ambiance du roman. Une lectrice qui avait vu ma présentation du roman en story instagram a remarqué "oh, ça à l'air mignon cette histoire d'enfants dans une école surnaturelle !". Je pense qu'un petit extrait aurait été intéressant, c'est d'ailleurs la lecture du premier chapitre, proposé en slides sur une publication instagram de l'éditeur qui m'a donné envie de lire le livre !
Pour finir l'histoire est très bonne, pleine de rebondissements et de surprises. J'ai presque lu ce livre d'une traite et je serai ravie de lire la suite, suite qui n'est pas annoncée mais semble une évidence en refermant le livre (pas de cliffhanger mais une généreuse ouverture).
December 5, 2022
Des personnages très sympathiques avec de chouettes réflexions en background ! J'aurais peut-être aimé un peu plus de côté école, avec plus de descriptions et de cours, mais ça reste une lecture sympathique. Hâte de lire la suite, vu la fin qui nous est proposée. 👀
January 14, 2024
Drôle et prenant
February 27, 2023
Chronique dispo sur le blog : https://adoptlibrarian.blogspot.com/2...
____________________
J’avais adoré le roman À un cheveu de Maëlle Desard et j’étais donc très curieuse de découvrir l’autrice dans un autre genre. Sans surprise, j’ai retrouvé avec plaisir son humour décalé et ses punchlines mémorables dans L’École de Minuit !
L’École de Minuit est un roman jeunesse de fantastique qui nous plonge dans un univers parallèle au nôtre et plus particulièrement dans une école peuplée de créatures issues de divers folklores et mythologies. On pense forcément à Harry Potter mais l’univers créé ici est propre à lui-même (et français !) et l’autrice a de bonnes idées pour développer son univers.
Les personnages principaux sont tous attachants, hauts en couleur et atypiques. Certains sont hilarants (chaque intervention de la liche Joël est un bonheur), d’autres touchants (coup de cœur pour la louve-garou Eir), d’autres encore parfois agaçants (oui Siméon je pense à toi, j’ai souvent eu envie de te secouer mais heureusement tu as une belle évolution !)
Un autre point fort de ce roman c’est bien sûr l’humour de Maëlle Desard qui est teinté de beaucoup de sarcasme ou encore d’auto-dérision. Le texte est investi de nombreuses références à la pop culture qui m’ont fait sourire (on sent bien le côté geek de l’autrice !)
L’École de Minuit est donc un très chouette roman qui mêle aventure, humour et mystère. Si l’intrigue n’est pas des plus originales et a d’assez grosses ficelles scénaristiques, je me suis tout de même laissée embarquer et j’ai aimé suivre les personnages dans leurs péripéties. Certaines questions restent sans réponse et méritent d'être développées dans un prochain tome.
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J’avais adoré le roman À un cheveu de Maëlle Desard et j’étais donc très curieuse de découvrir l’autrice dans un autre genre. Sans surprise, j’ai retrouvé avec plaisir son humour décalé et ses punchlines mémorables dans L’École de Minuit !
L’École de Minuit est un roman jeunesse de fantastique qui nous plonge dans un univers parallèle au nôtre et plus particulièrement dans une école peuplée de créatures issues de divers folklores et mythologies. On pense forcément à Harry Potter mais l’univers créé ici est propre à lui-même (et français !) et l’autrice a de bonnes idées pour développer son univers.
Les personnages principaux sont tous attachants, hauts en couleur et atypiques. Certains sont hilarants (chaque intervention de la liche Joël est un bonheur), d’autres touchants (coup de cœur pour la louve-garou Eir), d’autres encore parfois agaçants (oui Siméon je pense à toi, j’ai souvent eu envie de te secouer mais heureusement tu as une belle évolution !)
Un autre point fort de ce roman c’est bien sûr l’humour de Maëlle Desard qui est teinté de beaucoup de sarcasme ou encore d’auto-dérision. Le texte est investi de nombreuses références à la pop culture qui m’ont fait sourire (on sent bien le côté geek de l’autrice !)
L’École de Minuit est donc un très chouette roman qui mêle aventure, humour et mystère. Si l’intrigue n’est pas des plus originales et a d’assez grosses ficelles scénaristiques, je me suis tout de même laissée embarquer et j’ai aimé suivre les personnages dans leurs péripéties. Certaines questions restent sans réponse et méritent d'être développées dans un prochain tome.
January 15, 2023
J’ai DNF fort, la plume ne me plaît pas du tout. Trop ado pour moi, et malgré une pause de 2 semaines, lénvie d’y retourner n’est pas là soooooo bye bye!
September 5, 2024
4,5/5✨
C’était trop cool et fun, vivement la suite !
C’était trop cool et fun, vivement la suite !
November 10, 2022
Un roman réussi, riche en créatures étranges, mystères, aventures et amitiés. J'ai trouvé l'univers intéressant et l'introduction des personnages m'a permis de facilement découvrir les caractéristiques des divers "monstres" qui peuplent cette école particulière. Les ados étaient sympathiques, j'ai bien aimé voir leurs relations évoluer et c'est avec plaisir que je les ai suivis dans leur inquiétante enquête. Certains débuts de chapitres manquaient de transition, mais c'était assez amusant de découvrir dans quelle nouvelle situation les héros se retrouvaient subitement. En dehors de cette petite imperfection (probablement volontaire), le style d'écriture était dynamique et fluide, avec un ton moderne (certaines références m'ont paru plus compréhensibles pour des lecteurs âgés). Une suite serait bienvenue pour en apprendre davantage sur ce monde et découvrir les spécificités de nouveaux personnages !
January 18, 2023
3.5 ⭐️
Merci beaucoup ànetgalley et aux éditions Rageot pour ce livre.
Siméon vient d’intégrer l’école de minuit, une école pour adolescents peu ordinaires. En effet, à moitié vampire, il va y côtoyer des loups-garous, des liches, des gobelins, des sireins, des ogres….
Mais peu à peu, des élèves commencent à disparaître…
L’histoire est assez passionnante et il y a plein de références de geek à l’intérieur : le château ambulant, la famille addams, le seigneur des anneaux, et même Avengers!
Les personnages sont vraiment diversifiés et ont de l’humour à revendre!
Par contre, je n’ai pas trop accroché à la plume de l’autrice. Les expressions sont parfois hyper modernes et parfois plus snob. Les personnages sont assez nombreux et j’avoue que je suis restée confuse plus d’une fois.
Néanmoins, c’était une bonne lecture que je ne regrette en rien!
Merci beaucoup ànetgalley et aux éditions Rageot pour ce livre.
Siméon vient d’intégrer l’école de minuit, une école pour adolescents peu ordinaires. En effet, à moitié vampire, il va y côtoyer des loups-garous, des liches, des gobelins, des sireins, des ogres….
Mais peu à peu, des élèves commencent à disparaître…
L’histoire est assez passionnante et il y a plein de références de geek à l’intérieur : le château ambulant, la famille addams, le seigneur des anneaux, et même Avengers!
Les personnages sont vraiment diversifiés et ont de l’humour à revendre!
Par contre, je n’ai pas trop accroché à la plume de l’autrice. Les expressions sont parfois hyper modernes et parfois plus snob. Les personnages sont assez nombreux et j’avoue que je suis restée confuse plus d’une fois.
Néanmoins, c’était une bonne lecture que je ne regrette en rien!
July 8, 2023
4⭐️
•
Un jeunesse très réussi, même si je ne suis pas la cible, j’ai passé un bon moment et je lirai certainement la suite :)
•
L’humour est toujours présent — comme dans la majorité des livres de M. Desard — et même si j’avoue avoir clairement préféré celui d’Esther (son autre trilogie), j’ai quand même souri 2/3 fois
•
Un jeunesse très réussi, même si je ne suis pas la cible, j’ai passé un bon moment et je lirai certainement la suite :)
•
L’humour est toujours présent — comme dans la majorité des livres de M. Desard — et même si j’avoue avoir clairement préféré celui d’Esther (son autre trilogie), j’ai quand même souri 2/3 fois
December 8, 2022
J'ai vraiment beaucoup aimé !
C'est quand la suite ??
Je retrouve la même envie de suivre les personnages et l'histoire que dans sa première série !
C'est fun, l'histoire est top et on s'attache aux persos !
C'est quand la suite ??
Je retrouve la même envie de suivre les personnages et l'histoire que dans sa première série !
C'est fun, l'histoire est top et on s'attache aux persos !
December 22, 2022
3,5/5 Un roman dans une école pleine d’aventures. Il y a la question du harcèlement, de l’identité des adolescents et leur place dans la famille, d’amitié. Des moments geek, amusants et touchants. Pour quelqu’un de 15 ans, Siméon n’est pas très dégourdi ni attentif à son environnement.
January 2, 2023
Preferirí la otra serie de Maëlle Desard, pero esta es tierni se la recomendaría a unos chicos de 12.
February 4, 2023
Une excellente lecture contenant des personnages attachant et un univers qu'on déguste avec chaque nouveau détail introduit. Malgré un tome complet, j'ai l'impression d'être seulement sur le pas de la porte de ce monde fabuleux et sombre. Si vous avez adoré wednesday, vous adorerez ce livre. Les notes de bas de.page de l'auteure sont sublimes et devrait être la norme à partir de maintenant.
December 28, 2022
Incontournable Décembre 2022
Comme plusieurs Lecteurs, cette lecture fait suite à la série pour les vieux ados "Les tribulations d'Esther Parmentier", qui m'avait vraiment déçue, surtout en raison de son scénario bancal et de son sempiternel triangle d'une humaine débilisée par un gros béguin, entre un vampire trop beau et un loup-garou friendzoné. Ici, l'autrice emploie des personnages plus jeunes et un sujet qui l'est aussi: L'école secondaire/Lycée pour monstres. Si je devais formuler une phrase pour ce livre, je dirais qu'à l'instar du visage du personnage de Joël, c'est un patchwork de divers éléments qui tiennent ensemble un peu par la peur, mais qu'on finit par trouver sympathique.
Siméon St-Paul entre à l'École de Minuit, qui se trouve sur Midi. École de niveau secondaire, elle accueille à la fois des ados issus du monde des monstres (Minuit) et certains issus de celui des humains (Midi), dont Siméon. Ce dernier espère enfin avoir une vie sociale, celle-ci déjà grandement amenuisée par le fait d'être un demi-vampire allergique au soleil dans un monde ensoleillé. L'ado de 15 ans n'est en outre pas du tout le type de vampire idéalisé dans les romans sur cette espèce, il faut dire. Néanmoins, Siméon n'est pas le seul étudiant trainant des soucis. Alors qu'il amorce son année avec deux prospect en amitié, le sirein Colin, un peu trop obsédé par sa personne, et la liche Joël, à l'humour douteux et aux fréquentations discutables, il semble que certains étudiants disparaissent sans trop que cela perturbe les instances professorales. La directrice a un comportement incohérent, un mystère plane sur leur camarade Prune et la louve-garou Eir semble avoir un traitement préférentiel qui contraste avec le rejet social dont elle est victime. Il y a très certainement une anguille sous la roche, peut-être même tout un tas en fait...En tout cas, quand la soeur de Siméon, Suzelle, véritable vedette de l'école, disparait également, Siméon et ses nouveaux amis mènent l'enquête.
Je pense encore une fois que l'humour de l'autrice est son point fort, à condition d'aimer son style d'humour, bien sur. Très souvent sarcastique, abondamment comparatif et souvent référentiel, le ton autodérisoire est aussi amusant. Cela dit, il faut que je mentionne que certaines références ne seront peut-être pas comprise du lectorat adolescent, parce que ce sont des références de ma génération, voir celle d'avant.
Je constate que l'autrice a peaufiné ses personnages, aussi. Dans sa série d'Esther Parmentier, j'avais entrevu des idées originales sur le plan des représentations de personnages, en dépit des gros clichés. Ici, elle le fait beaucoup mieux, avec moins de clichés et ça donne une force à son roman.
Siméon ressemble d'ailleurs à Esther Parmentier. Ils ont le même humour décapant et la même autodérision sur leur intellect moyen, leur physique ingrat ( et peu avantageux), ainsi que leur particularité unique. Alors qu'Esther est une sorte de nihiliste magique, Siméon est l'addition des tares ou des désavantages de deux espèces. Dans les deux cas également, ils s'improvisent détectives, au talent très relatif. Cela dit, avoir des "héros moyens" fait beaucoup de bien, car les Héros ont la fâcheuse manie d'être difficiles à s'y identifier, quand ils ne sont que beauté et perfection.
Mieux encore, Siméon éclipse cette espèce d'idéalisation du vampire tel que détourné par les romans-navets pseudo-romantiques en littérature adolescente des dernières années. Je reproche beaucoup à cet archétype, qui propose des personnages toxiques toujours excusés, alors qu'ils sont souvent de belles ordures - Littéralement. Dans le roman, on en parle d'ailleurs souvent du côté "faussement parfait" de ces prédateurs buveurs de sang dont on a oublié le fait qu'ils sont d'abord et avant tout des créatures prédatrices manipulatrices et égocentriques, que nulle jouissance sexuelle ne saurait compenser, du moins quand on a un minimum de cervelle. Pour en revenir à Siméon, on table sur le fait que d'être vampire comporte sa part de problèmes, à l'instar des autres espèces monstrueuses. Obligé de porter un voile de veuve pour se protéger, incapable de manger quoique ce soit autre que le sang( ce qui limite m'a toujours semblé être une terrible malédiction), physiquement plus près de l'humain et même myope, Siméon se fait en outre rappeler sans arrêt que l'hybridité peut aussi comporter sa part de réussites en la personne de sa soeur.
Suzelle est l'archétype de la figure sociale aboutie: physiquement plus près du vampire, physiquement jolie, forte et dotée de magie, imperméable au soleil, très intelligente et investie d'un talent en pratiquement tout, c'est en soi la fille qui a tout pour elle, selon les standards sociaux et canons esthétiques occidentaux. Un aspect qui doit être bien lourd pour le cadet de la famille, incapable de rivaliser avec cela. Cet élément de l'histoire aurait vraiment gagné à être plus central, mais reste de surface. Il sert surtout à marquer le statut du personnage principal, complexé et cultivant un sentiment d'infériorité. On a pas l'impression que le personnage ait évolué sur cette question, en dépit du fait qu'il comprend que sa soeur l'apprécie comme il est ( ce qui ajoute une certaine forme d'humilité au tableau des qualités de Suzelle, d'ailleurs).
Au chapitre des thèmes, de manière générale, il y avait présence de thèmes sympathiques, tels que la camaraderie, la stigmatisation, le besoin de reconnaissance, l'inter-ethnicité ( pour parler des diverses races) et le Vivre Ensemble, mais pour reprendre l'idée d'un autre Lecteur, l'action avait préséance sur les enjeux , ce qui donnait donc un manque de profondeur. Un peu comme si l'autrice avait peur de piler franchement sur ses thèmes, au risque d'ennuyer le lecteur. Mais, bon, peut-être n'est-ce pas son but non plus de rentrer dans ces enjeux.
À partir d'ici, la critique peut contenir des divulgâches.
Au volet des personnages, j'aurais aimé des explications et des descriptions sur les types de monstres. Il y en a eu beaucoup sur les vampires, les loups-garous et les liches, mais très peu sur certains autres. Comme plusieurs folklores et créatures mythologiques se croisent, cela aurait été pertinent, mais aussi important, car à certains moments, les points d'interrogations s'accumulaient au dessus de ma tête, ce qui rend l'histoire un brin floue. Je remarque que Colin n'a pas été appelé "triton", mais bien "sirein", forme masculinisé de "sirène", une mot intéressante. La plupart des personnages sont attachants et ont un bon équilibre entre vulnérabilité et forces, sans tomber dans le clivage tout-blanc-tout-noir. Les feux follets Calcifer ( très amusante référence au "Château de Hurle", je souligne) et Sköll sont particulièrement amusants, l'un pour sa grande sensibilité et l'autre pour son côté "vieux oncle indélicat". Deux choses cependant: si les feux follets invoqués doivent rester près de leur invocateur, je ne comprend pas pourquoi Saphyr, celui de Suzelle, est aussi formidablement absent? Ensuite, ç'aurait été intéressant de savoir pourquoi Sköll, entité non invoquée, a choisi de suivre Eir, puisque s'il a volontairement rejoint la meute d'Eir, il a donc volontairement suivi la jeune louve dans cette école. Ce qui me fait penser que je ne sais pas trop pourquoi elle est l'exception à la règle, finalement. On nous explique pourquoi elle peut être là, mais pas du pourquoi et ÇA m'aurait intéressée aussi. Hum. Je constate encore des questions restées sans réponses.
L'idée de la "thaume", dont je présume la filiation au terme "thune" ( signifiant "argent" dans le jargon français) est un axe déjà exploité. J'ai lu et vu souvent des histoires d'énergie appelée à manquer, mais qui régissant le monde, doit être impérativement remplacée. Je pense au roman "Labyrinthe des rêves" et à de nombreux films de science-fiction. Ce qui est bien avec ce genre de scénario est la prise de conscience de la rareté ou précarité des énergies et le dangers des méthodes lies à son exploitation, comme en témoigne la "grande révélation" de ce roman-ci. Utiliser les laissés pour compte, outrepasser les règles les plus élémentaires d'éthique et carrément tomber dans les expérimentations humaines sont des sujets déjà exploités et pour être honnête, j'envisageais ce genre de scénario dès que le personnage de Joël a parlé de la thaume limitée et dispendieuse. Donc, il y a eu relativement peu de surprises pour moi dans ma lecture. Même son de cloche pour la disparition de Colin, dont le personnage De Luca a parlé de la préciosité de ses écailles. Mais ce peut être une force de l'autrice de semer des indices au fil des pages.
Entre autres détails: j'apprécie que Siméon et Joël aient trouvé le comportement possessif et harceleur de Colin toxique, et non "normal" ou "juste intense". J'ai aussi apprécié le travail sur les références, souvent drôles, parfois même appuyées par des bas de pages et souvent tournés de manière moqueuse quand elles sont absurdes. J'apprécie aussi le côté "geek" assumé. Enfin, il y a une certaine ironie à voir deux ados hybrides humain-vampires porter le nom d'une figure phare du christianisme, Saint-Paul, ainsi que le surnom de Suzelle "La papesse" et son déguisement en pape à Halloween. Rappelons que monstres et religion chrétienne ne font pas bon ménage sur le plan politico-social, folklorique et spirituel, comme en attestent les chasses aux sorcières ou la censure sur les univers magiques par les écoles chrétiennes.
Sur les choses qui m'ont moins plues, je réitère le manque de détails sur certains éléments, parfois sur les évènements, parfois sur les personnages. Les transitions entre chapitres manquent de fluidité et on perds des détails laissés en fin de chapitres parce qu'éludés au début du suivant. J'aurais aimé une plus franche présence de cours, de vie scolaire et de professeurs, parce que nous sommes dans une école. Un élément d'autant plus questionnable que dès le début du livre on nous parle de cette Académie comme d'un endroit pour élites, dont chaque dossier est soigneusement évalué et dont on attend une attitude irréprochable. Ce que j'y ait vu ressemblait bien plus à une petite école secondaire de quartier défavorisé et sous-financée. À certains moments, j'oubliais le cadre scolaire, tant les personnages n'avaient ni devoirs, ni cours, ni cadre ( sérieux, cette école est d'un laxisme irréaliste). Enfin, l'espace temps était parfois incohérent. Certains évènements avaient lieux et soit tombaient dans un espace temps trop petit, soit ils arrivaient tous trop près pour que cela soit logique avec les marqueurs de temps. Il y a peu de repères temporels aussi.
Sur le scénario, je n'ai pas comblé tous les trous creusés par mes interrogations. le "plan"' de notre antagoniste central comporte des failles, il a évoqué des aspects qu'il a préféré laissé en plan malgré leur importance ( notamment les preuves sur le bureau de Colin), on ne fait pas de retours sur "l'expérience" menée sur les élèves, ni sur Siméon, qui en a eu une assez dramatique, ni sur Prune. On suppose que ça n'a pas marché, mais rien n'est ramené à ce sujet. Ç'aurait été pertinent. La fin a été expéditive et a livré des détails plutôt tertiaires au regard de la situation, je trouve. Et encore une fois, je suis médusée par la stupidité, voir l'inertie des adultes en présence. Certes, certains étaient "sous contrôle", mais quand même, c'était vraiment indolent tout ça. le manque de consistance des adultes est un problème récurrent en polar jeunesse. Il faut dire que le sous-genre "Polar tranquille", dont le présent roman a quelques codes, souffre en plus souvent d'un scenario bancal, parce que tous les détails de l'affaire sont en grande partie couverts par des enjeux extérieurs et la bêtise assez généralisée des acteurs sociaux en présence. Bref, c'est un sous-genre qui mériterait de connaitre des réussites en matière de scénario. Ce n'est pas parce que ça se veut drôle que ça doit rester peu aboutie sur le mystère - et sa cohérence surtout. Mon humble et impertinent avis, bien entendu.
Donc, en résumé, c'est un bon roman pour divertir, avec ses originalités amusantes, son humour et ses personnages aux accents anti-héros, ainsi que le large spectre de monstres en présence. Mais un tel univers aurait mérité beaucoup plus de viande autours de l'os et une colonne temporelle plus solide. Il y a matière à faire une série, à approfondir cet univers du genre Fantasy ( Bas) "Ténébreux Sympathique" et à aller jouer sur les cordes des enjeux sociaux qu'il a gratté un peu maladroitement et qui sont intéressantes. Reste que comparé aux Esther Parmentier, cette histoire est plus solide et moins bancale sur le scénario. Et aucun béguin superficiel ne vient abrutir notre protagoniste, qui plus est.
À voir.
Pour un lectorat du premier cycle secondaire, 13-15 ans+.
Pour les profs et bibliothécaires: Il y a la présence de quelques vilains mots, mais aucunes scènes sexuellement explicites ou de violence outrancières.
Catégorisation: Roman Fantasy ( Basse) (Ténébreux Sympathique) français, littérature jeunesse adolescente, premier cycle secondaire, 13-15 ans+
Note: 7/10
Comme plusieurs Lecteurs, cette lecture fait suite à la série pour les vieux ados "Les tribulations d'Esther Parmentier", qui m'avait vraiment déçue, surtout en raison de son scénario bancal et de son sempiternel triangle d'une humaine débilisée par un gros béguin, entre un vampire trop beau et un loup-garou friendzoné. Ici, l'autrice emploie des personnages plus jeunes et un sujet qui l'est aussi: L'école secondaire/Lycée pour monstres. Si je devais formuler une phrase pour ce livre, je dirais qu'à l'instar du visage du personnage de Joël, c'est un patchwork de divers éléments qui tiennent ensemble un peu par la peur, mais qu'on finit par trouver sympathique.
Siméon St-Paul entre à l'École de Minuit, qui se trouve sur Midi. École de niveau secondaire, elle accueille à la fois des ados issus du monde des monstres (Minuit) et certains issus de celui des humains (Midi), dont Siméon. Ce dernier espère enfin avoir une vie sociale, celle-ci déjà grandement amenuisée par le fait d'être un demi-vampire allergique au soleil dans un monde ensoleillé. L'ado de 15 ans n'est en outre pas du tout le type de vampire idéalisé dans les romans sur cette espèce, il faut dire. Néanmoins, Siméon n'est pas le seul étudiant trainant des soucis. Alors qu'il amorce son année avec deux prospect en amitié, le sirein Colin, un peu trop obsédé par sa personne, et la liche Joël, à l'humour douteux et aux fréquentations discutables, il semble que certains étudiants disparaissent sans trop que cela perturbe les instances professorales. La directrice a un comportement incohérent, un mystère plane sur leur camarade Prune et la louve-garou Eir semble avoir un traitement préférentiel qui contraste avec le rejet social dont elle est victime. Il y a très certainement une anguille sous la roche, peut-être même tout un tas en fait...En tout cas, quand la soeur de Siméon, Suzelle, véritable vedette de l'école, disparait également, Siméon et ses nouveaux amis mènent l'enquête.
Je pense encore une fois que l'humour de l'autrice est son point fort, à condition d'aimer son style d'humour, bien sur. Très souvent sarcastique, abondamment comparatif et souvent référentiel, le ton autodérisoire est aussi amusant. Cela dit, il faut que je mentionne que certaines références ne seront peut-être pas comprise du lectorat adolescent, parce que ce sont des références de ma génération, voir celle d'avant.
Je constate que l'autrice a peaufiné ses personnages, aussi. Dans sa série d'Esther Parmentier, j'avais entrevu des idées originales sur le plan des représentations de personnages, en dépit des gros clichés. Ici, elle le fait beaucoup mieux, avec moins de clichés et ça donne une force à son roman.
Siméon ressemble d'ailleurs à Esther Parmentier. Ils ont le même humour décapant et la même autodérision sur leur intellect moyen, leur physique ingrat ( et peu avantageux), ainsi que leur particularité unique. Alors qu'Esther est une sorte de nihiliste magique, Siméon est l'addition des tares ou des désavantages de deux espèces. Dans les deux cas également, ils s'improvisent détectives, au talent très relatif. Cela dit, avoir des "héros moyens" fait beaucoup de bien, car les Héros ont la fâcheuse manie d'être difficiles à s'y identifier, quand ils ne sont que beauté et perfection.
Mieux encore, Siméon éclipse cette espèce d'idéalisation du vampire tel que détourné par les romans-navets pseudo-romantiques en littérature adolescente des dernières années. Je reproche beaucoup à cet archétype, qui propose des personnages toxiques toujours excusés, alors qu'ils sont souvent de belles ordures - Littéralement. Dans le roman, on en parle d'ailleurs souvent du côté "faussement parfait" de ces prédateurs buveurs de sang dont on a oublié le fait qu'ils sont d'abord et avant tout des créatures prédatrices manipulatrices et égocentriques, que nulle jouissance sexuelle ne saurait compenser, du moins quand on a un minimum de cervelle. Pour en revenir à Siméon, on table sur le fait que d'être vampire comporte sa part de problèmes, à l'instar des autres espèces monstrueuses. Obligé de porter un voile de veuve pour se protéger, incapable de manger quoique ce soit autre que le sang( ce qui limite m'a toujours semblé être une terrible malédiction), physiquement plus près de l'humain et même myope, Siméon se fait en outre rappeler sans arrêt que l'hybridité peut aussi comporter sa part de réussites en la personne de sa soeur.
Suzelle est l'archétype de la figure sociale aboutie: physiquement plus près du vampire, physiquement jolie, forte et dotée de magie, imperméable au soleil, très intelligente et investie d'un talent en pratiquement tout, c'est en soi la fille qui a tout pour elle, selon les standards sociaux et canons esthétiques occidentaux. Un aspect qui doit être bien lourd pour le cadet de la famille, incapable de rivaliser avec cela. Cet élément de l'histoire aurait vraiment gagné à être plus central, mais reste de surface. Il sert surtout à marquer le statut du personnage principal, complexé et cultivant un sentiment d'infériorité. On a pas l'impression que le personnage ait évolué sur cette question, en dépit du fait qu'il comprend que sa soeur l'apprécie comme il est ( ce qui ajoute une certaine forme d'humilité au tableau des qualités de Suzelle, d'ailleurs).
Au chapitre des thèmes, de manière générale, il y avait présence de thèmes sympathiques, tels que la camaraderie, la stigmatisation, le besoin de reconnaissance, l'inter-ethnicité ( pour parler des diverses races) et le Vivre Ensemble, mais pour reprendre l'idée d'un autre Lecteur, l'action avait préséance sur les enjeux , ce qui donnait donc un manque de profondeur. Un peu comme si l'autrice avait peur de piler franchement sur ses thèmes, au risque d'ennuyer le lecteur. Mais, bon, peut-être n'est-ce pas son but non plus de rentrer dans ces enjeux.
À partir d'ici, la critique peut contenir des divulgâches.
Au volet des personnages, j'aurais aimé des explications et des descriptions sur les types de monstres. Il y en a eu beaucoup sur les vampires, les loups-garous et les liches, mais très peu sur certains autres. Comme plusieurs folklores et créatures mythologiques se croisent, cela aurait été pertinent, mais aussi important, car à certains moments, les points d'interrogations s'accumulaient au dessus de ma tête, ce qui rend l'histoire un brin floue. Je remarque que Colin n'a pas été appelé "triton", mais bien "sirein", forme masculinisé de "sirène", une mot intéressante. La plupart des personnages sont attachants et ont un bon équilibre entre vulnérabilité et forces, sans tomber dans le clivage tout-blanc-tout-noir. Les feux follets Calcifer ( très amusante référence au "Château de Hurle", je souligne) et Sköll sont particulièrement amusants, l'un pour sa grande sensibilité et l'autre pour son côté "vieux oncle indélicat". Deux choses cependant: si les feux follets invoqués doivent rester près de leur invocateur, je ne comprend pas pourquoi Saphyr, celui de Suzelle, est aussi formidablement absent? Ensuite, ç'aurait été intéressant de savoir pourquoi Sköll, entité non invoquée, a choisi de suivre Eir, puisque s'il a volontairement rejoint la meute d'Eir, il a donc volontairement suivi la jeune louve dans cette école. Ce qui me fait penser que je ne sais pas trop pourquoi elle est l'exception à la règle, finalement. On nous explique pourquoi elle peut être là, mais pas du pourquoi et ÇA m'aurait intéressée aussi. Hum. Je constate encore des questions restées sans réponses.
L'idée de la "thaume", dont je présume la filiation au terme "thune" ( signifiant "argent" dans le jargon français) est un axe déjà exploité. J'ai lu et vu souvent des histoires d'énergie appelée à manquer, mais qui régissant le monde, doit être impérativement remplacée. Je pense au roman "Labyrinthe des rêves" et à de nombreux films de science-fiction. Ce qui est bien avec ce genre de scénario est la prise de conscience de la rareté ou précarité des énergies et le dangers des méthodes lies à son exploitation, comme en témoigne la "grande révélation" de ce roman-ci. Utiliser les laissés pour compte, outrepasser les règles les plus élémentaires d'éthique et carrément tomber dans les expérimentations humaines sont des sujets déjà exploités et pour être honnête, j'envisageais ce genre de scénario dès que le personnage de Joël a parlé de la thaume limitée et dispendieuse. Donc, il y a eu relativement peu de surprises pour moi dans ma lecture. Même son de cloche pour la disparition de Colin, dont le personnage De Luca a parlé de la préciosité de ses écailles. Mais ce peut être une force de l'autrice de semer des indices au fil des pages.
Entre autres détails: j'apprécie que Siméon et Joël aient trouvé le comportement possessif et harceleur de Colin toxique, et non "normal" ou "juste intense". J'ai aussi apprécié le travail sur les références, souvent drôles, parfois même appuyées par des bas de pages et souvent tournés de manière moqueuse quand elles sont absurdes. J'apprécie aussi le côté "geek" assumé. Enfin, il y a une certaine ironie à voir deux ados hybrides humain-vampires porter le nom d'une figure phare du christianisme, Saint-Paul, ainsi que le surnom de Suzelle "La papesse" et son déguisement en pape à Halloween. Rappelons que monstres et religion chrétienne ne font pas bon ménage sur le plan politico-social, folklorique et spirituel, comme en attestent les chasses aux sorcières ou la censure sur les univers magiques par les écoles chrétiennes.
Sur les choses qui m'ont moins plues, je réitère le manque de détails sur certains éléments, parfois sur les évènements, parfois sur les personnages. Les transitions entre chapitres manquent de fluidité et on perds des détails laissés en fin de chapitres parce qu'éludés au début du suivant. J'aurais aimé une plus franche présence de cours, de vie scolaire et de professeurs, parce que nous sommes dans une école. Un élément d'autant plus questionnable que dès le début du livre on nous parle de cette Académie comme d'un endroit pour élites, dont chaque dossier est soigneusement évalué et dont on attend une attitude irréprochable. Ce que j'y ait vu ressemblait bien plus à une petite école secondaire de quartier défavorisé et sous-financée. À certains moments, j'oubliais le cadre scolaire, tant les personnages n'avaient ni devoirs, ni cours, ni cadre ( sérieux, cette école est d'un laxisme irréaliste). Enfin, l'espace temps était parfois incohérent. Certains évènements avaient lieux et soit tombaient dans un espace temps trop petit, soit ils arrivaient tous trop près pour que cela soit logique avec les marqueurs de temps. Il y a peu de repères temporels aussi.
Sur le scénario, je n'ai pas comblé tous les trous creusés par mes interrogations. le "plan"' de notre antagoniste central comporte des failles, il a évoqué des aspects qu'il a préféré laissé en plan malgré leur importance ( notamment les preuves sur le bureau de Colin), on ne fait pas de retours sur "l'expérience" menée sur les élèves, ni sur Siméon, qui en a eu une assez dramatique, ni sur Prune. On suppose que ça n'a pas marché, mais rien n'est ramené à ce sujet. Ç'aurait été pertinent. La fin a été expéditive et a livré des détails plutôt tertiaires au regard de la situation, je trouve. Et encore une fois, je suis médusée par la stupidité, voir l'inertie des adultes en présence. Certes, certains étaient "sous contrôle", mais quand même, c'était vraiment indolent tout ça. le manque de consistance des adultes est un problème récurrent en polar jeunesse. Il faut dire que le sous-genre "Polar tranquille", dont le présent roman a quelques codes, souffre en plus souvent d'un scenario bancal, parce que tous les détails de l'affaire sont en grande partie couverts par des enjeux extérieurs et la bêtise assez généralisée des acteurs sociaux en présence. Bref, c'est un sous-genre qui mériterait de connaitre des réussites en matière de scénario. Ce n'est pas parce que ça se veut drôle que ça doit rester peu aboutie sur le mystère - et sa cohérence surtout. Mon humble et impertinent avis, bien entendu.
Donc, en résumé, c'est un bon roman pour divertir, avec ses originalités amusantes, son humour et ses personnages aux accents anti-héros, ainsi que le large spectre de monstres en présence. Mais un tel univers aurait mérité beaucoup plus de viande autours de l'os et une colonne temporelle plus solide. Il y a matière à faire une série, à approfondir cet univers du genre Fantasy ( Bas) "Ténébreux Sympathique" et à aller jouer sur les cordes des enjeux sociaux qu'il a gratté un peu maladroitement et qui sont intéressantes. Reste que comparé aux Esther Parmentier, cette histoire est plus solide et moins bancale sur le scénario. Et aucun béguin superficiel ne vient abrutir notre protagoniste, qui plus est.
À voir.
Pour un lectorat du premier cycle secondaire, 13-15 ans+.
Pour les profs et bibliothécaires: Il y a la présence de quelques vilains mots, mais aucunes scènes sexuellement explicites ou de violence outrancières.
Catégorisation: Roman Fantasy ( Basse) (Ténébreux Sympathique) français, littérature jeunesse adolescente, premier cycle secondaire, 13-15 ans+
Note: 7/10
October 13, 2024
Maëlle Desards Die Schule der Mitternachtswelt ist ein spannendes Abenteuer, das junge Leser in eine magische Welt voller faszinierender Wesen und uralter Fehden entführt. Die Geschichte folgt Simeon, einem Halbvampir, der erstmals die Schule der Mitternachtswelt besucht – eine magische Institution, in der Vampire, Werwölfe, Hexen und andere übernatürliche Wesen gemeinsam lernen. Doch der Schulalltag wird schnell von mysteriösen Ereignissen überschattet, und Simeon steht vor Herausforderungen, die er nie erwartet hätte.
Das Setting der Schule der Mitternachtswelt ist wunderbar lebendig beschrieben. Maëlle Desard schafft es, eine Atmosphäre zu erzeugen, die sowohl magisch als auch unheimlich wirkt. Die Vielfalt der magischen Wesen, die Simeon dort trifft, trägt enorm zur Spannung bei, und die Kontraste zwischen den verschiedenen Spezies – allen voran die Fehde zwischen Vampiren und Werwölfen – geben der Geschichte eine interessante Dynamik.
Simeon ist ein sympathischer und vielschichtiger Protagonist. Als Halbvampir kämpft er nicht nur mit seiner Identität und der Sonnenallergie, sondern auch mit den Vorurteilen, die seine Vampir-Natur mit sich bringt. Die Begegnung mit Eir, der einzigen Werwölfin an der Schule, wird schnell zum Dreh- und Angelpunkt der Handlung. Ihre schwierige Beziehung spiegelt die jahrhundertealte Feindschaft zwischen ihren beiden Völkern wider, doch Maëlle Desard zeigt auf einfühlsame Weise, wie alte Vorurteile überwunden werden können. Dies vermittelt eine wichtige Botschaft über Toleranz und Zusammenhalt, die besonders für die junge Zielgruppe relevant ist.
Die Handlung nimmt rasch an Fahrt auf, als immer mehr Schüler spurlos verschwinden und Simeon gezwungen ist, selbst Nachforschungen anzustellen. Die wachsende Bedrohung und die zahlreichen Wendungen sorgen für durchgehend spannende Unterhaltung. Besonders gelungen ist, dass die Autorin ein feines Gleichgewicht zwischen actiongeladenen Szenen und ruhigen Momenten der Charakterentwicklung schafft. Die Freundschaften, die Simeon im Laufe des Buches knüpft, insbesondere mit Eir, geben der Geschichte eine emotionale Tiefe, die über den reinen Abenteuerplot hinausgeht.
Auch der humorvolle und teils ironische Erzählstil, den Desard verwendet, verleiht dem Buch Leichtigkeit und macht es für junge Leser zugänglich und unterhaltsam. Trotz der ernsten Themen – wie Vorurteile, Freundschaft und das Überwinden von Feindseligkeit – bleibt die Geschichte immer kindgerecht und vermittelt auf positive Weise die Kraft des Zusammenhalts.
Die Rätsel und Intrigen, die sich um die verschwundenen Schüler ranken, sind spannend konstruiert. Besonders hervorzuheben ist das überraschende Geheimnis, das die Werwölfe umgibt und die ganze magische Welt betrifft. Desard führt die Leser geschickt auf falsche Fährten und lässt sie bis zum Ende miträtseln, wer hinter den mysteriösen Vorkommnissen steckt.
Die Schule der Mitternachtswelt ist eine gelungene Mischung aus Magie, Abenteuer und Freundschaft. Das Buch richtet sich an junge Leser ab 10 Jahren, bietet aber auch für ältere Fantasy-Fans genug Spannung und überraschende Wendungen. Die Vielfalt der Figuren und der humorvolle Erzählstil sorgen dafür, dass das Buch bis zur letzten Seite unterhaltsam bleibt.
Insgesamt ist Maëlle Desards Die Schule der Mitternachtswelt ein fantasievoller und spannender Einstieg in eine magische Welt, der zeigt, wie wichtig es ist, alte Feindschaften zu überwinden und gemeinsam für das Gute einzustehen. Ein absolut empfehlenswertes Leseabenteuer für Kinder und Jugendliche, das nicht nur Spannung, sondern auch wichtige Werte vermittelt.
Das Setting der Schule der Mitternachtswelt ist wunderbar lebendig beschrieben. Maëlle Desard schafft es, eine Atmosphäre zu erzeugen, die sowohl magisch als auch unheimlich wirkt. Die Vielfalt der magischen Wesen, die Simeon dort trifft, trägt enorm zur Spannung bei, und die Kontraste zwischen den verschiedenen Spezies – allen voran die Fehde zwischen Vampiren und Werwölfen – geben der Geschichte eine interessante Dynamik.
Simeon ist ein sympathischer und vielschichtiger Protagonist. Als Halbvampir kämpft er nicht nur mit seiner Identität und der Sonnenallergie, sondern auch mit den Vorurteilen, die seine Vampir-Natur mit sich bringt. Die Begegnung mit Eir, der einzigen Werwölfin an der Schule, wird schnell zum Dreh- und Angelpunkt der Handlung. Ihre schwierige Beziehung spiegelt die jahrhundertealte Feindschaft zwischen ihren beiden Völkern wider, doch Maëlle Desard zeigt auf einfühlsame Weise, wie alte Vorurteile überwunden werden können. Dies vermittelt eine wichtige Botschaft über Toleranz und Zusammenhalt, die besonders für die junge Zielgruppe relevant ist.
Die Handlung nimmt rasch an Fahrt auf, als immer mehr Schüler spurlos verschwinden und Simeon gezwungen ist, selbst Nachforschungen anzustellen. Die wachsende Bedrohung und die zahlreichen Wendungen sorgen für durchgehend spannende Unterhaltung. Besonders gelungen ist, dass die Autorin ein feines Gleichgewicht zwischen actiongeladenen Szenen und ruhigen Momenten der Charakterentwicklung schafft. Die Freundschaften, die Simeon im Laufe des Buches knüpft, insbesondere mit Eir, geben der Geschichte eine emotionale Tiefe, die über den reinen Abenteuerplot hinausgeht.
Auch der humorvolle und teils ironische Erzählstil, den Desard verwendet, verleiht dem Buch Leichtigkeit und macht es für junge Leser zugänglich und unterhaltsam. Trotz der ernsten Themen – wie Vorurteile, Freundschaft und das Überwinden von Feindseligkeit – bleibt die Geschichte immer kindgerecht und vermittelt auf positive Weise die Kraft des Zusammenhalts.
Die Rätsel und Intrigen, die sich um die verschwundenen Schüler ranken, sind spannend konstruiert. Besonders hervorzuheben ist das überraschende Geheimnis, das die Werwölfe umgibt und die ganze magische Welt betrifft. Desard führt die Leser geschickt auf falsche Fährten und lässt sie bis zum Ende miträtseln, wer hinter den mysteriösen Vorkommnissen steckt.
Die Schule der Mitternachtswelt ist eine gelungene Mischung aus Magie, Abenteuer und Freundschaft. Das Buch richtet sich an junge Leser ab 10 Jahren, bietet aber auch für ältere Fantasy-Fans genug Spannung und überraschende Wendungen. Die Vielfalt der Figuren und der humorvolle Erzählstil sorgen dafür, dass das Buch bis zur letzten Seite unterhaltsam bleibt.
Insgesamt ist Maëlle Desards Die Schule der Mitternachtswelt ein fantasievoller und spannender Einstieg in eine magische Welt, der zeigt, wie wichtig es ist, alte Feindschaften zu überwinden und gemeinsam für das Gute einzustehen. Ein absolut empfehlenswertes Leseabenteuer für Kinder und Jugendliche, das nicht nur Spannung, sondern auch wichtige Werte vermittelt.
December 10, 2025
✨ Un premier tome aussi étrange que captivant, qui mêle enquête, créatures et humour décalé ! ✨
J’avais déjà beaucoup aimé Camera Obscura et Dents de soie de Maëlle Desard pour leur humour et leurs intrigues fun et rythmées. J’étais donc ravie de sortir L’École de minuit de ma pile à lire, où il attendait depuis plus d’un an. 📚
Et bonne nouvelle : j’ai passé un très bon moment ! L’histoire est dynamique, pleine d’actions ⚡, de mystères 🕵️♂️ et d’une enquête bien menée dont je n’avais absolument pas deviné le dénouement. Vraiment un plaisir, même s’il m’a un peu manqué le piquant humoristique des romans précédemment lus de l’autrice.
Siméon, notre héros, est drôle à sa façon — ses réflexions intérieures, son côté geek (hello, Calcifer 👀🔥), bref, il m’a fait sourire — mais il manque parfois un peu de caractère, ce qui se comprend vu la famille qu’il se coltine. Il s’affirme petit à petit grâce à ses nouvelles amitiés, toutes plus… particulières les unes que les autres. 🐺🧝♂️🧜♂️
J’ai adoré découvrir son arrivée à l’école, les différentes créatures qui la peuplent et l’enquête qui se dévoile morceau par morceau. C’est prenant, intrigant, et la fin part dans tous les sens d’une manière totalement contrôlée mais hilarante 🤣 — impossible de savoir où regarder tant il se passe de choses !
Côté personnages, c’est une vraie réussite. J’ai beaucoup aimé la petite bande :
Joël et ses astuces improbables 🧟♂
Colin, sirein avec une apparence particulière et légèrement narcissique 🧜♂️
Eir, la louve mystérieuse que tout le monde déteste sans raison 🐺
Et Sköll, son feu follet grincheux et adorable à la fois 🔥
Mention spéciale à Prune, la géante timide et surprenante !
En bref, un premier tome très chouette, avec une intrigue accrocheuse, des personnages monstrueusement attachants et l’humour propre à Maëlle Desard qui fonctionne toujours aussi bien. Je suis déjà plongée dans le tome 2 ! 📘✨
J’avais déjà beaucoup aimé Camera Obscura et Dents de soie de Maëlle Desard pour leur humour et leurs intrigues fun et rythmées. J’étais donc ravie de sortir L’École de minuit de ma pile à lire, où il attendait depuis plus d’un an. 📚
Et bonne nouvelle : j’ai passé un très bon moment ! L’histoire est dynamique, pleine d’actions ⚡, de mystères 🕵️♂️ et d’une enquête bien menée dont je n’avais absolument pas deviné le dénouement. Vraiment un plaisir, même s’il m’a un peu manqué le piquant humoristique des romans précédemment lus de l’autrice.
Siméon, notre héros, est drôle à sa façon — ses réflexions intérieures, son côté geek (hello, Calcifer 👀🔥), bref, il m’a fait sourire — mais il manque parfois un peu de caractère, ce qui se comprend vu la famille qu’il se coltine. Il s’affirme petit à petit grâce à ses nouvelles amitiés, toutes plus… particulières les unes que les autres. 🐺🧝♂️🧜♂️
J’ai adoré découvrir son arrivée à l’école, les différentes créatures qui la peuplent et l’enquête qui se dévoile morceau par morceau. C’est prenant, intrigant, et la fin part dans tous les sens d’une manière totalement contrôlée mais hilarante 🤣 — impossible de savoir où regarder tant il se passe de choses !
Côté personnages, c’est une vraie réussite. J’ai beaucoup aimé la petite bande :
Joël et ses astuces improbables 🧟♂
Colin, sirein avec une apparence particulière et légèrement narcissique 🧜♂️
Eir, la louve mystérieuse que tout le monde déteste sans raison 🐺
Et Sköll, son feu follet grincheux et adorable à la fois 🔥
Mention spéciale à Prune, la géante timide et surprenante !
En bref, un premier tome très chouette, avec une intrigue accrocheuse, des personnages monstrueusement attachants et l’humour propre à Maëlle Desard qui fonctionne toujours aussi bien. Je suis déjà plongée dans le tome 2 ! 📘✨
December 5, 2022
Un délice ! Que dire d'autre ? Maëlle Desard, je l'ai rencontrée dans un premier temps avec le génialissime ESTER PARMENTIER. C'était drôle, frais, original, pour faire court, c'était unique ! C'est un roman hyper juste avec un registre de langue adaptée à un public jeune et une intrigue suffisamment fun et loufoque pour attraper tous les profils.
Avec L' ÉCOLE DE MINUIT, on découvre Maëlle Desard dans un roman qui se veut plus jeunesse, même si ce n'est pas complètement déconnant de le trouver dans les premières lectures Jeunes Adultes au vue de certaines punchlines bien senties (je vous laisse en juger). C'est un récit à nouveau bourré d'humour, avec une intrigue inattendue entre diverses créatures de la nuit. Alors que Siméon intègre L'école de la Nuit, mais ne trouve pas sa place parmi les élèves (surtout avec sa sœur Suzelle qui l'éclipse en un battement de cils), celui-ci va se retrouver confronter à des enlèvements. Son coloc d'une part, puis sa sœur... Le voilà parti à l'aventure pour retrouver ceux à qui il tient.
J'ai trouvé ce titre à nouveau unique, fantastique (dans tous les sens du terme) et ultra addictif. Un roman avec plusieurs niveaux de lecture, qui ravira petits et grands. Un bonbon ! Il me tarde d'en découvrir la suite même si, c'est important de le souligner, ce tome peut se suffire à lui-même. Un coup de foudre pour des personnages hauts en couleurs et une intrigue extravagante. Bravo Madame 🖤
Avec L' ÉCOLE DE MINUIT, on découvre Maëlle Desard dans un roman qui se veut plus jeunesse, même si ce n'est pas complètement déconnant de le trouver dans les premières lectures Jeunes Adultes au vue de certaines punchlines bien senties (je vous laisse en juger). C'est un récit à nouveau bourré d'humour, avec une intrigue inattendue entre diverses créatures de la nuit. Alors que Siméon intègre L'école de la Nuit, mais ne trouve pas sa place parmi les élèves (surtout avec sa sœur Suzelle qui l'éclipse en un battement de cils), celui-ci va se retrouver confronter à des enlèvements. Son coloc d'une part, puis sa sœur... Le voilà parti à l'aventure pour retrouver ceux à qui il tient.
J'ai trouvé ce titre à nouveau unique, fantastique (dans tous les sens du terme) et ultra addictif. Un roman avec plusieurs niveaux de lecture, qui ravira petits et grands. Un bonbon ! Il me tarde d'en découvrir la suite même si, c'est important de le souligner, ce tome peut se suffire à lui-même. Un coup de foudre pour des personnages hauts en couleurs et une intrigue extravagante. Bravo Madame 🖤
November 5, 2024
Die Schule der Mitternachtswelt von Maëlle Desard entführt Leser ab zehn Jahren in eine faszinierende magische Welt, die sich deutlich von der alltäglichen Realität abhebt. Der junge Halbvampir Simeon tritt der Schule der Mitternachtswelt bei und trifft dort auf verschiedenste magische Wesen – darunter Vampire, Hexen und Meerjungfrauen. Besonders die jahrhundertealte Feindschaft zwischen Vampiren und Werwölfen macht sein neues Leben spannend und gefährlich. Schon bald wird Simeons Schulalltag von mysteriösen Schüler-Verschwinden überschattet, und er beginnt gemeinsam mit Freunden, auf eigene Faust zu ermitteln.
Die Darstellung der Schule und der Atmosphäre ist sehr lebendig und wirkt zugleich faszinierend und unheimlich. Die Geschichte betont dabei Themen wie Vorurteile, Toleranz und Zusammenhalt und vermittelt wichtige Botschaften über Freundschaft und Vertrauen – Werte, die besonders für die junge Zielgruppe wichtig sind. Besonders die dynamische, oft humorvolle Erzählweise macht das Buch sowohl für Kinder als auch für ältere Leser zugleich unterhaltsam. Desard schafft es gekonnt, Spannung und ruhige Charakterentwicklung gelungen auszubalancieren.
Der Auftaktband um die Schule der Mitternachtswelt ist ein gelungener Mix aus Magie und Abenteuer, mit einer Prise Humor und wertvollen Botschaften. Ein empfehlenswertes Fantasy-Erlebnis für Kinder und Jugendliche, das die Fantasie anregt und zugleich lehrreich ist.
Die Darstellung der Schule und der Atmosphäre ist sehr lebendig und wirkt zugleich faszinierend und unheimlich. Die Geschichte betont dabei Themen wie Vorurteile, Toleranz und Zusammenhalt und vermittelt wichtige Botschaften über Freundschaft und Vertrauen – Werte, die besonders für die junge Zielgruppe wichtig sind. Besonders die dynamische, oft humorvolle Erzählweise macht das Buch sowohl für Kinder als auch für ältere Leser zugleich unterhaltsam. Desard schafft es gekonnt, Spannung und ruhige Charakterentwicklung gelungen auszubalancieren.
Der Auftaktband um die Schule der Mitternachtswelt ist ein gelungener Mix aus Magie und Abenteuer, mit einer Prise Humor und wertvollen Botschaften. Ein empfehlenswertes Fantasy-Erlebnis für Kinder und Jugendliche, das die Fantasie anregt und zugleich lehrreich ist.
January 10, 2025
Ein dicklicher, pubertierender Halbvampir, der bisher unter den Menschen gelebt hat, kommt an eine neue Schule und trifft auf ein Werwolfmädchen. Klingt total albern und merkwürdig. Und genau das ist es - aber im absolut großartigen Sinn!
Simeon, der bisher in der Menschenwelt per Homeschooling unterrichtet wurde, kommt auf ein Internat in der Mitternachtswelt und trifft dort auf sämtliche fleischgewordene Klischees. Als dann Schüler verschwinden, macht er sich auf, um dieses Rätsel zu lösen und entsorgt dabei nicht nur nach und nach diese Vorurteile, sondern findet auch wirklich gute neue Freunde.
Toll finde ich, dass hier nicht nur die Standardfantasywesen vorkommen, sondern auch die seltener erwähnten Wesen wie Oger, Sirenen und Lichen ihren Platz finden.
Das Buch ist für Kinder ab 10 empfohlen und das Alter passt wirklich prima. Die Kids können sich mit den Personen im ungefähr selben Alter (Simeon ist 12) identifizieren. Gerade in dem Alter, wenn die Grundschule zur weiterführenden Schule verlassen wird und sich ein neues Klassenkollektiv finden muss, können sich die Kinder in Simeon gut hineinversetzen.
Die Übersetzung von Anne Gabler ist altersgerecht und dürfe auch fortgeschrittenen Lesenden ab 9 Jahren keine Probleme bereiten.
Spannend wird es nun, wie es im nächsten Band weitergeht! Im französischen ist er bereits im Frühjahr 2024 erschienen und ich hoffe, die Übersetzung wird bald folgen.
Simeon, der bisher in der Menschenwelt per Homeschooling unterrichtet wurde, kommt auf ein Internat in der Mitternachtswelt und trifft dort auf sämtliche fleischgewordene Klischees. Als dann Schüler verschwinden, macht er sich auf, um dieses Rätsel zu lösen und entsorgt dabei nicht nur nach und nach diese Vorurteile, sondern findet auch wirklich gute neue Freunde.
Toll finde ich, dass hier nicht nur die Standardfantasywesen vorkommen, sondern auch die seltener erwähnten Wesen wie Oger, Sirenen und Lichen ihren Platz finden.
Das Buch ist für Kinder ab 10 empfohlen und das Alter passt wirklich prima. Die Kids können sich mit den Personen im ungefähr selben Alter (Simeon ist 12) identifizieren. Gerade in dem Alter, wenn die Grundschule zur weiterführenden Schule verlassen wird und sich ein neues Klassenkollektiv finden muss, können sich die Kinder in Simeon gut hineinversetzen.
Die Übersetzung von Anne Gabler ist altersgerecht und dürfe auch fortgeschrittenen Lesenden ab 9 Jahren keine Probleme bereiten.
Spannend wird es nun, wie es im nächsten Band weitergeht! Im französischen ist er bereits im Frühjahr 2024 erschienen und ich hoffe, die Übersetzung wird bald folgen.
February 18, 2024
https://callysseblog.wordpress.com/20...
Maëlle Desard est l’une de mes autrices préférées, synonyme de coup de coeur jusqu’à présent. Bien que celui-ci n’en soit pas un, j’ai tout de même passé un très bon moment avec lui. Encore une fois, l’univers est assez fun et développé, porté par un bestiaire des plus fournis. Certes on retrouve les habituels vampires et loups-garous mais à côté, il y a des créatures qu’on voit moins : sirène, géant, liche, méduse, feux-follet… J’ai d’ailleurs particulièrement adoré ces derniers! Calcifer, le feux-follet de Siméon, est un concentré de mignonnitude tandis que Sköll, celui d’Eir, est bourré de sarcasme.
Le récit ne manque pas d’aventures, de bagarres et de dangers. Si l’histoire prend son temps pour démarrer, elle passe rapidement la seconde une fois les enjeux présentés. On ne s’ennuie pas à l’Ecole de Minuit! Je pense que le public visé, les adolescents, y trouvera son compte d’autant que les personnages sont connectés aux réseaux sociaux. C’est divertissant, cool, moderne et drôle. Et ça se lit assez vite. On ne s’ennuie pas.
Mais alors pourquoi je n’ai pas adoré cette histoire? Et bien, je n’ai pas tellement accroché à Siméon, le narrateur. Pourtant, l’idée de base le concernant est sympa. En effet, il s’agit d’un personnage lambda qui n’a rien de particulier. Il cumule même beaucoup de défauts et de points faibles. A tel point que j’ai eu beaucoup de mal à voir ses qualités. Il est de mauvaise foi et bouffé par un énorme sentiment d’infériorité. Il est tellement parfaitement imparfait et banalement banal, que je n’ai ressenti aucune étincelle pour lui. C’est bien beau de faire un héro plus que normal mais là ça frôle le too much pour moi car il accumule beaucoup trop de malus. Ce n’est pas non plus un mauvais bougre, au contraire, il est touchant parfois. Mais j’ai eu du mal à m’habituer à lui et à m’y attacher un minimum. Et il faut avouer qu’à côté de ses amis, il fait pale figure. Pour le coup, j’ai adoré chacun d’eux. Ils montrent tous des qualités les rendant intéressants, drôles, investis ou sensibles, à commencer par Prune. Elle s’exprime peu mais sa présence est époustouflante! Au détriment de Siméon qui m’a donné l’impression d’être un suiveur plutôt qu’un acteur. Du moins pendant une partie du récit. Sur la fin, il m’a davantage plu.
De fait, j’aimerais bien lire la suite. La fin de ce premier opus m’a beaucoup intrigué et même si l’intrigue générale trouve une conclusion, il reste quelques portes ouvertes à explorer. Et puis j’aimerais bien voir Siméon montrer qu’il possède aussi des atouts! Tout comme j’adorerais retrouver le Found Family qui a semblé se construire dans ce premier opus.
Maëlle Desard est l’une de mes autrices préférées, synonyme de coup de coeur jusqu’à présent. Bien que celui-ci n’en soit pas un, j’ai tout de même passé un très bon moment avec lui. Encore une fois, l’univers est assez fun et développé, porté par un bestiaire des plus fournis. Certes on retrouve les habituels vampires et loups-garous mais à côté, il y a des créatures qu’on voit moins : sirène, géant, liche, méduse, feux-follet… J’ai d’ailleurs particulièrement adoré ces derniers! Calcifer, le feux-follet de Siméon, est un concentré de mignonnitude tandis que Sköll, celui d’Eir, est bourré de sarcasme.
Le récit ne manque pas d’aventures, de bagarres et de dangers. Si l’histoire prend son temps pour démarrer, elle passe rapidement la seconde une fois les enjeux présentés. On ne s’ennuie pas à l’Ecole de Minuit! Je pense que le public visé, les adolescents, y trouvera son compte d’autant que les personnages sont connectés aux réseaux sociaux. C’est divertissant, cool, moderne et drôle. Et ça se lit assez vite. On ne s’ennuie pas.
Mais alors pourquoi je n’ai pas adoré cette histoire? Et bien, je n’ai pas tellement accroché à Siméon, le narrateur. Pourtant, l’idée de base le concernant est sympa. En effet, il s’agit d’un personnage lambda qui n’a rien de particulier. Il cumule même beaucoup de défauts et de points faibles. A tel point que j’ai eu beaucoup de mal à voir ses qualités. Il est de mauvaise foi et bouffé par un énorme sentiment d’infériorité. Il est tellement parfaitement imparfait et banalement banal, que je n’ai ressenti aucune étincelle pour lui. C’est bien beau de faire un héro plus que normal mais là ça frôle le too much pour moi car il accumule beaucoup trop de malus. Ce n’est pas non plus un mauvais bougre, au contraire, il est touchant parfois. Mais j’ai eu du mal à m’habituer à lui et à m’y attacher un minimum. Et il faut avouer qu’à côté de ses amis, il fait pale figure. Pour le coup, j’ai adoré chacun d’eux. Ils montrent tous des qualités les rendant intéressants, drôles, investis ou sensibles, à commencer par Prune. Elle s’exprime peu mais sa présence est époustouflante! Au détriment de Siméon qui m’a donné l’impression d’être un suiveur plutôt qu’un acteur. Du moins pendant une partie du récit. Sur la fin, il m’a davantage plu.
De fait, j’aimerais bien lire la suite. La fin de ce premier opus m’a beaucoup intrigué et même si l’intrigue générale trouve une conclusion, il reste quelques portes ouvertes à explorer. Et puis j’aimerais bien voir Siméon montrer qu’il possède aussi des atouts! Tout comme j’adorerais retrouver le Found Family qui a semblé se construire dans ce premier opus.
November 10, 2024
Kopfüber ins Geschehen
Maëlle Desard hat mit "Die Schule der Mitternachtswelt 1" ein mysteriöses und phantastisches Jugendbuch geschrieben.
Ab der ersten Seite nimmt einen Simeon gleich voll mit ins Geschehen und man wird kopfüber und ohne lange Vorrede oder Erläuterung mit ins phantastische Geschehen genommen. Für mich zunächst ungewohnt, denn die Vielfalt der Charaktere die einen bereits in den ersten drei Kapiteln ereilt muss ich mir in meiner Vorstellung erst mit ihren einzigartigen Besonderheiten konstruieren.
Der Erzählstil nimmt einen aber so fesselnd und flott mit, dass ich beim Lesen das Gefühl habe, mit Simeon und seinen neu gewonnen Freunden mit in der Schule zu sitzen. Dass es dann noch einen Vermisstenfall gibt bringt auch noch einen tollen Spannungsbogen der wirklich gut erzählt ist. Die Sorgen und Probleme entsprechen denen der Zielgruppe und ich kann mir gut vorstellen, dass man mit magischem Vorwissen hier richtig schnell ins die Story eintauchen und mitfiebern kann. Dass sich durch das Zusammenspiel von Vampiren, Werwölfen und anderen magischen Gestalten immer wieder neue Handlungsstränge ergeben macht das Buch zu einem abwechslungsreichen Leseerlebnis.
Ich denke, dass diese Reihe großen Zuspruch finden wird, bin gespannt auf die nächsten Teile und kann es definitiv allen Fans von Fantasybüchern ans Herz legen.
Maëlle Desard hat mit "Die Schule der Mitternachtswelt 1" ein mysteriöses und phantastisches Jugendbuch geschrieben.
Ab der ersten Seite nimmt einen Simeon gleich voll mit ins Geschehen und man wird kopfüber und ohne lange Vorrede oder Erläuterung mit ins phantastische Geschehen genommen. Für mich zunächst ungewohnt, denn die Vielfalt der Charaktere die einen bereits in den ersten drei Kapiteln ereilt muss ich mir in meiner Vorstellung erst mit ihren einzigartigen Besonderheiten konstruieren.
Der Erzählstil nimmt einen aber so fesselnd und flott mit, dass ich beim Lesen das Gefühl habe, mit Simeon und seinen neu gewonnen Freunden mit in der Schule zu sitzen. Dass es dann noch einen Vermisstenfall gibt bringt auch noch einen tollen Spannungsbogen der wirklich gut erzählt ist. Die Sorgen und Probleme entsprechen denen der Zielgruppe und ich kann mir gut vorstellen, dass man mit magischem Vorwissen hier richtig schnell ins die Story eintauchen und mitfiebern kann. Dass sich durch das Zusammenspiel von Vampiren, Werwölfen und anderen magischen Gestalten immer wieder neue Handlungsstränge ergeben macht das Buch zu einem abwechslungsreichen Leseerlebnis.
Ich denke, dass diese Reihe großen Zuspruch finden wird, bin gespannt auf die nächsten Teile und kann es definitiv allen Fans von Fantasybüchern ans Herz legen.
February 9, 2023
Lu dans le cadre du PLIB 2023, j’ai adoré ce nouveau roman de l’auteure que j’ai découvert lors d’une précédente édition du plib avec “Les Tribulations d’Esther Parmentier”.
✨ Un monde où différentes créatures cohabitent : vampires, loup-garous, géants, sirènes, morts-vivants,...
✨ Une école atypique et adaptée aux besoins de chacun selon sa nature.
✨ Une intrigue qui tourne autour de multiples disparitions empreintes de mystères. La tension s'épaissit de plus en plus. L’auteure nous balade tout du long. Je n’avais pas du tout démasqué le coupable !
✨ Une ambiance halloweenesque parfaite pour des lectures spooky en cette période.
✨ Des personnages développés avec des personnalités propres. Ce sont des adolescents paranormaux avec des problèmes tout à fait normaux
✨ De beaux messages véhiculés tels que l'amitié, la différence, les différences de classes, la tolérance et l’entraide.
✨ Une superbe couverture.
✨ Une plume addictive et incisive. On retrouve la touche d’humour caractéristique de ses écrits. Le tout est très humoristique avec des répliques aussi cinglantes que fun.
Pour conclure, ce roman jeunesse est idéal pour la période automnale à l’heure des frissons d’octobre. Rempli d’humour, il ravira ses lecteurs.
✨ Un monde où différentes créatures cohabitent : vampires, loup-garous, géants, sirènes, morts-vivants,...
✨ Une école atypique et adaptée aux besoins de chacun selon sa nature.
✨ Une intrigue qui tourne autour de multiples disparitions empreintes de mystères. La tension s'épaissit de plus en plus. L’auteure nous balade tout du long. Je n’avais pas du tout démasqué le coupable !
✨ Une ambiance halloweenesque parfaite pour des lectures spooky en cette période.
✨ Des personnages développés avec des personnalités propres. Ce sont des adolescents paranormaux avec des problèmes tout à fait normaux
✨ De beaux messages véhiculés tels que l'amitié, la différence, les différences de classes, la tolérance et l’entraide.
✨ Une superbe couverture.
✨ Une plume addictive et incisive. On retrouve la touche d’humour caractéristique de ses écrits. Le tout est très humoristique avec des répliques aussi cinglantes que fun.
Pour conclure, ce roman jeunesse est idéal pour la période automnale à l’heure des frissons d’octobre. Rempli d’humour, il ravira ses lecteurs.
October 18, 2024
Spannendes Fantasyabenteuer
Da wir in unserer Familie große Fantasy- und vor allem Vampirfans sind, war klar, dass die "Schule der Mitternachtswelt" bei uns einziehen muss. Mein Sohn hat es als erster gelesen, da er vom Cover, bei dem manche Elemente im Dunkeln leuchten, und vom Klappentext so begeistert war.
Das ist seine Rezension:
Als der Halbvampir Simeon auf die Mitternachtsschule gehen soll, findet er sowohl Feinde als auch Freunde. Das Schuljahr beginnt ziemlich chaotisch, unter anderem mit Verschwinden von Schülern. Als immer mehr Schüler verschwinden ermitteln Simeon und seine Freunde auf eigene Faust.
Ich finde das Buch spannend, weil es auf eine Art, die ich nicht beschreiben kann, fesselt und immer wieder etwas passiert. Ich mag es, dass Fantasy mit der realen Welt verbunden wird. Die Figuren, vor allem die Hauptfigur war mir gleich sympathisch. Leider fand ich manche Sätze so verworren, dass ich sie doppelt lesen musste. Zudem springt die Erzählung an manchen Stellen etwas hin und her.
Mit dem Buch hat Maëlle Desard eine Geschichte geschrieben, die mich sprichwörtlich in das Buch hineingezogen hat. Ich freue mich schon auf den nächsten Band. Ich kann dieses Buch allen Leuten empfehlen, die Fantasy und Abenteuer mögen.
J., 13 Jahre
Da wir in unserer Familie große Fantasy- und vor allem Vampirfans sind, war klar, dass die "Schule der Mitternachtswelt" bei uns einziehen muss. Mein Sohn hat es als erster gelesen, da er vom Cover, bei dem manche Elemente im Dunkeln leuchten, und vom Klappentext so begeistert war.
Das ist seine Rezension:
Als der Halbvampir Simeon auf die Mitternachtsschule gehen soll, findet er sowohl Feinde als auch Freunde. Das Schuljahr beginnt ziemlich chaotisch, unter anderem mit Verschwinden von Schülern. Als immer mehr Schüler verschwinden ermitteln Simeon und seine Freunde auf eigene Faust.
Ich finde das Buch spannend, weil es auf eine Art, die ich nicht beschreiben kann, fesselt und immer wieder etwas passiert. Ich mag es, dass Fantasy mit der realen Welt verbunden wird. Die Figuren, vor allem die Hauptfigur war mir gleich sympathisch. Leider fand ich manche Sätze so verworren, dass ich sie doppelt lesen musste. Zudem springt die Erzählung an manchen Stellen etwas hin und her.
Mit dem Buch hat Maëlle Desard eine Geschichte geschrieben, die mich sprichwörtlich in das Buch hineingezogen hat. Ich freue mich schon auf den nächsten Band. Ich kann dieses Buch allen Leuten empfehlen, die Fantasy und Abenteuer mögen.
J., 13 Jahre
October 30, 2024
À quelque jours d’Halloween j’avais envie de lire quelque chose dans l’ambiance mais sans pour autant me faire de grosses frayeur (car je suis une trouillarde). Donc l’école de minuit de chez Rageot m’a semblé un bon compromis. Le bonus ? Je peux partager cette lecture avec ma grande !
Être mi humain et mi vampire tout en étant ado ne doit pas être simple… Et Siméon nous le prouve ! Et franchement… Je me suis retrouvée à rire plusieurs fois devant ma lecture. Je trouve l’autodérision de Siméon vraiment drôle le rendant attachant.
Les personnages secondaires sont intriguant et tous différents. C’est sympa une petite bande d’ado monstre hétéroclite. L’approfondissent de l’amitié. Des différences, des sentiments… Le tout sous un fond de disparition, de mystères et de quête de soi.
En bref : une lecture très plaisante et qui se lit très vite. Les réflexions très jeunes m’ont fait sourire. L’intégration de tous ces monstres intéressante et l’intrigue plus complexe qu’il n’y paraît. J’ai beaucoup aimé le côté enquête. Je recommande à ceux qui apprécie les lecture Young adult (12 ans +)
Être mi humain et mi vampire tout en étant ado ne doit pas être simple… Et Siméon nous le prouve ! Et franchement… Je me suis retrouvée à rire plusieurs fois devant ma lecture. Je trouve l’autodérision de Siméon vraiment drôle le rendant attachant.
Les personnages secondaires sont intriguant et tous différents. C’est sympa une petite bande d’ado monstre hétéroclite. L’approfondissent de l’amitié. Des différences, des sentiments… Le tout sous un fond de disparition, de mystères et de quête de soi.
En bref : une lecture très plaisante et qui se lit très vite. Les réflexions très jeunes m’ont fait sourire. L’intégration de tous ces monstres intéressante et l’intrigue plus complexe qu’il n’y paraît. J’ai beaucoup aimé le côté enquête. Je recommande à ceux qui apprécie les lecture Young adult (12 ans +)
November 17, 2024
Wenn man das Buch in den Händen hält, merkt man schon, in welchem Genre man sich mit diesem Buch bewegt. Die Farbgebung und Gestaltung empfand ich typisch für ein Fantasybuch. Die drei Charaktere in der Mitte sprachen mich jetzt nicht unbedingt an - sie erweckten bei mir gleich Harry-Potter-Assoziationen und auch konnte ich die korpulente Gestalt des Hauptcharakters nicht wirklich gut erkennen an einer Figur, wie sie auf den ersten Seiten sehr bildlich geschildert wird. Umdo mehr sprachen mit der Titel an und auch die Idee, dass die Schrift im Dunkeln leuchtet, fand ich sehr cool und war total catchy für meine Kinder. Wir brauchten ein wenig, um in die Geschichte zu finden - es war wirklich eine ganz eigene Welt, die entworfen wurde, in der es auch wieder neue Wesen gab, mit denen man erst vertraut werden musste. Umso mehr half der Schreibstil und die bildhafte Sprache, sich das alles auch vorstellen zu können und der Handlung folgen zu können. Der Mix aus Fantasy, Abenteuer und damit Spannung und Freundschaft war sehr ansprechend und macht Luft, die Reihe weiterzuverfolgen!
November 8, 2024
Das Cover ist cool, etwas düster und geheimnisvoll gestaltet. Total cool ist natürlich das es im Dunkeln leuchtet, leider hab ich dies erst zu spät mitbekommen 🫣😍
Simon ist ein Halb-Vampir. Er geht endlich auf die Schule für Schattenwesen. Es sind Verschiedene Wesen auf der Schule von Vampire bis Sirenen und auch eine Werwölfin.
Immer wieder verschwinden Schüler von der Schule, auch ein Freund von Simon. Dies führt dazu das Simon Forschungen anstellt. Freundet sich mit dem Feind an.
Simon denkt viel, etwas zurückhaltend. Doch offen gegenüber andere.
Er ist sehr loyal allen gegenüber, doch auch Vorurteile hat er auch.
Zu meiner Überraschung habe ich nicht gedacht das es so endet. Und es mich auch das ganze Buch über so mitnimmt.
Es ist simple geschrieben, einfach zu lesen mit viel Spannung. Ich habe nicht das Interesse verloren es lesen zu wollen.
Es ging um das was einem "versprochen" wurde.
Ich bin gespannt was mein Sohn dazu sagt 🤗
Simon ist ein Halb-Vampir. Er geht endlich auf die Schule für Schattenwesen. Es sind Verschiedene Wesen auf der Schule von Vampire bis Sirenen und auch eine Werwölfin.
Immer wieder verschwinden Schüler von der Schule, auch ein Freund von Simon. Dies führt dazu das Simon Forschungen anstellt. Freundet sich mit dem Feind an.
Simon denkt viel, etwas zurückhaltend. Doch offen gegenüber andere.
Er ist sehr loyal allen gegenüber, doch auch Vorurteile hat er auch.
Zu meiner Überraschung habe ich nicht gedacht das es so endet. Und es mich auch das ganze Buch über so mitnimmt.
Es ist simple geschrieben, einfach zu lesen mit viel Spannung. Ich habe nicht das Interesse verloren es lesen zu wollen.
Es ging um das was einem "versprochen" wurde.
Ich bin gespannt was mein Sohn dazu sagt 🤗
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