Marien Defalvard entreprend l'écriture de son premier roman en 2007, année durant laquelle, quelques semaines avant son quinzième anniversaire, il obtient son baccalauréat, avant d'entamer une hypokhâgne au lycée Louis-le-Grand1. Du temps qu'on existait se distingue notamment par la jeunesse de son auteur2. Si Le Magazine littéraire le présente comme « étonnamment proche de Raymond Radiguet »3, L'Express le qualifie pour sa part de « Justin Bieber des lettres »4. Avec Alexis Jenni (L'Art français de la guerre), Marien Defalvard retient l'attention des critiques à l'occasion de la rentrée littéraire 20115. Du temps qu'on existait figure dans la première sélection du prix Renaudot6 (mais il est absent de la deuxième liste communiquée le 5 octobre) et du prix Décembre7.