Sophia est étudiante en design textile. Son sujet de mémoire est imposé : elle devra étudier le wax. La jeune métisse y va à reculons, mais en travaillant dans une boutique de tissu, en visitant les usines du grand fabricant néerlandais Vlisco, en écoutant les confidences de femmes africaines, en découvrant le sens des motifs des wax offerts par son père, elle va découvrir la richesse de cette étoffe qui tisse des liens entre Afrique, Europe et Asie. Elle touche du doigt aussi les paradoxes d'un tissu né de la colonisation et devenu un motif de fierté et de reconnaissance pour les habitants d'Afrique de l'Ouest et centrale. Comme un écho à son histoire personnelle, et sa quête d'identité.
En parallèle d'une exposition événement "Wax" au Musée de l'Homme, à Paris.
Le premier mot qui me vient c’est “explicatif” : l’histoire de Sophia est finalement un prétexte pour nous raconter les origines du wax. C’était intéressant mais très documentaire
Otra novela gráfica con tintes autobiográficos usada para retratar una realidad sociopolítica. En este caso las huellas del colonialismo belga se manifiestan cuando una estudiante de diseñado textil, hija de padres separados (un hombre congoleño que volvió al Congo hace muchos años y una mujer belga que cuida a su madre bastante racista), tiene que realizar un trabajo sobre una tela llamada Wax, invento holandés con orígenes indonesios super popular en muchos países africanos. La historia de esta chica y como va atravesando distintas aristas de los dos conflictos de fondo, la colonización y la relación con sus padres, está muy bien llevada, aun cuando a veces transita los típicos lugares comunes para este tipo de historias y los puntos clave de la trama resultan bastante predecibles; te comprometés con la historia y los personajes y aprendés un montón de cosas (¡Thomas Sankara!).
Lo que se queda muy muy atrás para mí es el dibujo. Las expresiones faciales están más o menos bien (ponele), el resto muy amateur, no está a la altura de lo que quiere contar. Parece más a esos libros que cuentan algún hecho histórico con el subtitulo “el comic”, o una biografía de músicos, que una novela gráfica prestigiosa. Hasta el letreado es rarísimo, recuerda a las revistas de Columba. Es un buen primer trabajo pero hay potencial para mucho más.
j'ai aimé autant l'histoire humaine racontée dans cette bd documentaire que tout ce que j'y ai appris. Je me suis amusée à chercher les motifs de wax au fil des pages, j'ai ragé contre un certain racisme ambiant ("j'aime sortir avec des filles exotiques", "lisse tes cheveux, il ne faudrait pas que tu sois négligée"), j'ai découvert de nombreux détails sur le wax... et j'ai envie d'en savoir plus encore maintenant. et d'en voir plus aussi.
J'aime vraiment les histoires de personnes qui doivent apprendre/ faire la paix avec leurs origines. Qui apprennent à s'accepter aussi dans leur entièreté. Mon troppe préféré.