Née en 1985 à Annecy, Anna Triss dévore son premier livre de fantasy à l’adolescence et tombe amoureuse de ce genre littéraire. Cet événement marque le déclic d’une passion inconditionnelle : l’écriture. Pendant des années, enfermée dans sa petite bulle et guidée par son imagination, elle voyage dans ses mondes hétéroclites grâce à sa plume. Elle est fascinée par les créatures mythiques, les dragons en particulier. Elle écrit sa saga de dark fantasy « La Guilde des Ombres« , qui traite d’une confrérie d’assassins évoluant dans un univers riche et détaillé. Elle s’attache à approfondir la psychologie et la personnalité de ses sombres personnages tout en incorporant dans ses histoires la touche d’humour qui caractérise sa plume. Après avoir publié ses premiers livres dans une autre maison d’édition, Anna signe un contrat d’édition chez Plume Blanche pour « La Guilde des Ombres. » La publication de ses romans est un rêve de longue date devenu réalité. Titulaire d’une licence d’histoire de l’art et d’archéologie, elle adore voyager. Il n’est pas rare qu’elle puise l’inspiration dans ses pérégrinations, mais également dans l’art, le cinéma, les séries, les jeux et, bien entendu, la littérature. Mariée et maman d’un petit garçon, elle vit à la Rochelle où elle profite de son temps libre pour écrire de nouveaux contes peuplés de héros aussi atypiques que charismatiques.
Après presqu’un mois passé aux côtés de ma girl Panama, j’ai fini cette saga qui ne m’a PAS finie. Parce que oui, je suis une Ombre et j’ai été vaillante face aux épreuves (à nuancer à cause de quelques crises d’allergies dignes de Menos…).
Anna Triss conclut sa saga en beauté. Rien n’est laissé au hasard. Que j’ai aimé voir les personnages devenir qui ils sont. Que j’ai aimé les événements difficiles et rocambolesques. Que de batailles mentales et sur le terrain. Que d’émotions. L’attente de la confrontation finale m’a causé une accélération de mes pulsations cardiaques semblables à une coureuse en plein marathon… mais l’action est présente DÈS le début. Pas de répit pour les Ombres.
Les personnages m’ont marquée. Ils vont me manquer. Je vais peut-être (enfin) pouvoir retrouver un rythme de sommeil plus stable (on sait pas).
Merci Anna Triss !
Ah, et que je n’entende personne dire que la fantasy française n’a pas de représentant.e.s.
C’est fini, la saga touche à sa fin… Un peu nostalgique de quitter ces personnages, mais quelle fin épique ! J’ai pris le temps de savourer ce dernier tome. J’attendais beaucoup des confrontations et je n’ai pas été déçue du tout. Les intrigues politiques et la stratégie militaire sont juste incroyables dans cette saga. J’ai versé quelques larmes, mais c’était inévitable. Le seul bémol qui fait que ce n’est pas un coup de cœur, c’est un peu trop de spicy pour moi.
Fin de cette hexalogie qui m'aura accompagné une bonne partie de l'année. Ce tome est fidèle au reste de la saga qui est très sympathique avec un bon rythme et construction/développement de l'univers et de ses personnages. Mais la fin n'est pas au-dessus du reste et même si très bien ficelée, est assez peu originale.
My first saga after plenty of time without reading. It accompanied me from February to June. - Characters are well-written, as well as the issues encountered. - Many plot twists, morally grey characters that feel real, and fantastic world-building. - Dark elements tackled, which will not suit all audiences. The TW list is available on the Instagram of Anna Triss (anna.triss). - Spicy scenes/dialogues that contribute to the character building, in many ways. However, this may seem like too much if you're not used to it/not a fan of it. (Especially in T2).
Bon bah c'est fini. Franchement la saga était pas trop mal mais le deuxième tome m'a tellement déçue et fatiguée que ça me restait tout de même en tête pour tout le reste des tomes suivants. Notamment parce que le sexe avait une place beaucoup trop importante dans le livre a mon goût. Cela s'ajoute au ton très misogyne de la saga qui ne cessait de m'agacer. Bref il y avait quand même beaucoup de bonnes choses comme les personnages attachants et l'intrigue plutôt bien ficelée bien qu'un peu prévisible.
La grande force de ce tome et de cette saga en général, c’est un world building de compète et des personnages auxquels il est impossible de ne pas s’attacher. Sauf bien évidement à celui que j’exècre le plus dans tous les romans que j’ai pu lire jusqu’ici : Khamar. Malgré cela mon ressenti est mitigé et d’autant plus dans ce dernier tome. Forcément on s’attend à des batailles finales, des combats, du sang, de l’adrénaline … et malheureusement je ne me suis pas senti immergée. Je n’ai pas éprouvé l’angoisse comme j’ai pu le vivre dans Keleana ou même Acotar. Un goût de trop peu à ce niveau là. La fin aussi m’a semblé trop sage, trop facile et ce malgré la perte de personnages que je commençais vraiment à apprécier. Summer sera celui qui va le plus me manquer avec ses joutes verbales exceptionnelles. Beladyn aussi, ce beau goss qui fait craquer toutes les humaines alentour. Panama et Aube ont été les personnages qui m’ont le plus épaté avec une évolution hors du commun. Mon bilan pour cette saga : des avis en dents de scie en fonction des tomes, des protagonistes haut en couleur, un world building à la hauteur de la plume incroyable de l’autrice mais je suis bien contente d’en avoir fini avec tous ces gros pavés.