Nobuaki est réveillé en pleine nuit par un étrange SMS qui met au défi deux de ses camarades de lycée de s’embrasser. Le mystérieux expéditeur du message prétend que la classe entière participe à un “King’s Game”. Jour après jour, les défis se succèdent, et les lycéens sont bien obligés de se rendre à l’évidence : ils ont 24 heures pour s’exécuter et la sanction en cas de désobéissance est la mort.
Suicides ou meurtres ? Puissance occulte ou criminel de chair et de sang ? Où qu’elles soient, quoi qu’elles tentent pour s’échapper, la mort vient trouver ses jeunes victimes, infaillible. Le couperet se rapproche dangereusement de nos héros… Parviendront-ils à découvrir la vérité avant qu’il ne s’abatte ?
It's a 'I'm very disappointed/not lives up to the hype/story ruined by melodramatic plots and a complete WTF ending' 2 stars.
And guess what? My mother Do Not Finish the book after reading the first few chapters!
I read the Chinese translation of this book. At first I was very excited when the Game first began, but the ending makes me rather angry instead.
The story begins when a bunch of ordinary Japanese high school students received a mysterious cellphone message which proclaimed the start of an Ousama Game (Ousama means 'King' in Japanese, originally Ousama Game is a common social game among Japanese young people); then students started to get 'orders' through their cellphones from the mysterious figure only known as the 'King', who ordered them to perform random tasks (harmless mischief at first). If they failed to complete their tasks within 24 hours, they would receive "punishment". At the beginning, students viewed the Game as a joke, but soon the King's orders grew more extreme and the students realized the consequence of disobeying the King and/or failing their tasks is death, things literally went to Hell.
At first, everything went well for me, but perhaps I had been misled to believe I was reading a detective novel/thriller so after I found out this Ousama Game is and students just died like flies for no good reason, I felt annoyed and cheated.
To make things worse, I feel nothing for the characters, for the longest of time none of them ever thought of telling the adults what was going on or calling the police when their fellow classmates were dying in an rapid speed. *facepalms*
Plus, even with a supernatural thriller, I would like to see some sound explanations for the students' ordeals! But in the end I got nothing! I hardly know who the King is! The "explanation" the author has came up with looks like a bucket of big fat BS in my eyes.
Suggestion: People, read 'Another' by Yukito Ayatsuji instead; it's a Japanese YA/light novel thriller with much better quality. (LINK: https://www.goodreads.com/book/show/7...)
News Break: I'd just discovered that there're at least two more sequels and one prequel in the Ousama Game series, and in one of those sequels somehow *every single high school student in Japan* is forced to play Ousama Game and the only way out for them is to complete the King's impossible request, my goodness it sounds a bit too similar with Battle Royale. I guess I will still read these books but I'm not feeling very eager to continue reading this series.
3,5 Je sais que ce livre est globalement pas le meilleur et a une écriture un peu juvénile malgré des propos beaucoup plus sombre. Un côté très gloque, mais étrangement addictif. Le point principal négatif va être que la fin ne répond a aucune de mes questions de manière satisfaisante. J’avais lu le manga et le même problème y était malgré que le livre explique un peu mieux.
A story too similar to Koushun Takami's Battle Royale--a structureless gore-ride driven only by its cruelty and sporadic, poorly executed suspense. Stories like this suck me in only because I am attracted to the dynamic between the instinctual breakdown of morality and sanity under the pressure to survive, and the idealist, purist, heroism that makes a blood-fest like this bearable. Honestly though, I couldn't stand the dialogues, they were all over the place and essentially replaced any solid description that will make me feel more grounded in the story. There is little to no characterization, and there's that dramatic, sentimental, sacrificial spirit and self-induced tragic atmosphere that I simply cannot stand. It's one big rush of a plot with too much linearity with no breaks in between to distinguish scenes, and too many narrative holes to establish a sense of that world.
**spoilers alert**
The ending was like WTF? A self-conscious virus? How does that explain the text messages? Or the letters? And everybody has to die to prevent the virus or whatever from spreading or else the entire humanity will perish? And what is with that notebook that contains all the truth or whatever? WHAT, THE, FUCK!? NOTHING MAKES SENSE IN THIS BOOK, NOTHING. In short, the story is utterly stupid, but at least there are some parts that are entertaining, which is the only reason why I gave it an extra star.
I enjoy this first book : the suspense is pleasant and the story is really addictive ! However, I didn't like the perverts challenges. Book review publishing here : http://milohomeblog.blogspot.fr/2014/...
Il est très rare que je lise des thrillers : en général ce n'est pas vraiment ma tasse de thé. Pourtant j'ai tellement entendu parler de « King's Game » et comme je l'avais gagné lors d'un concours sur la page des éditions Lumen, j'ai décidé de tenter le coup. Et j'ai vraiment bien fait ! Je l'ai dévoré en une seule journée, complètement prise par le rythme effréné, l'angoisse partagée avec les personnages, l'intrigue si impossible à démêler qu'on s'en arracherait les cheveux etc...
Je ne dirai rien de plus sur l'histoire, le résumé en dévoilant déjà bien assez. Elle est vraiment très prenante et si elle peut paraître simple au début ce n'est en fait absolument pas le cas ! Toutes les théories que l'on peut échafauder au cours de l'histoire finissent par tomber en miettes, tout ce qu'on croit avoir deviné s'avère complètement faux au final. L'écriture est simple mais efficace. Le rythme s'accélère au fil des pages, à mesure que l'intrigue s'épaissit et que le jeu s'accélère.
Pour ce qui est des personnages, au début, j'ai eu un peu de mal à me familiariser avec eux, en grande partie à cause des prénoms, japonais je pense, que j'ai eu grand mal à mémoriser. Mais, plus l'effectif s'est réduit dans la classe, plus ils se sont dévoilés et nous ont montré des facettes inattendues. Ce jeu les a poussés dans leurs derniers retranchements, les a changés à tout jamais, les a obligés à se montrer tels qu'ils étaient au plus profond d'eux-mêmes. La nature humaine s'est révélée dans ce qu'elle avait de plus cruel et perfide.
En bref, vous l'aurez compris, j'ai adoré ! J'ai vraiment hâte de lire la suite maintenant ! Heureusement qu'elle arrive bientôt ! Et aussi, je me demande si ce jeu infernal prendra fin un jour ! J'ai l'impression que la suite nous réserve encore pas mal de surprises, vu ce que nous laisse présager la fin du premier tome !
C'est la deuxième fois que je lis ce livre. Ma première lecture date de 2015, j'en garde un très bon souvenir et depuis j'avais envie de lire la suite, que je n'avais pas encore eu l'occasion de lire. En cette fin d'année 2023 on m'a offert tous les autres Tomes, je me suis alors replonger dans le premier. Bien que maintenant je n'ai plus le même âge que les personnages, j'ai tout de même réussi à plonger dans le livre et dans son univers. Tout comme pour ma première lecture, j'ai dévoré le livre qui se lit très bien et très vite. On enchaîne les chapitres sans difficulté et la lecture est très fluide, je trouve. Les personnages ont des noms japonais, ce que j'ai trouvé très perturbant au début car nous n'avons pas l'habitude de ces sonorités. J'avais dans un premier temps du mal a mémoriser les noms et a me souvenir qui avait fait quoi, mais finalement je me suis vite habitué. Il faut préciser que dans les premières pages du livre nous avons une liste des élèves, avec leur nom, prénom et leur sexe. Ça m'a vraiment aidé. Concernant l'histoire en elle-même, l'intrigue est assez bien construite, et les règles de base sont très vite fixées sans être dites clairement, ce que je trouve bien, car l'auteur nous laisse le soin de découvrir les éléments de l'intrigue. La fin quant à elle, apporte des éléments logiques, et possibles, même si l'on sait que cela reste une fiction (et heureusement !). Elle a également sont lot de mystère qui donne envie d'en savoir plus. Bref j'ai hâte de commencer les autres tomes, que j'attends de lire depuis 8 ans!
Je pressens déjà qu’écrire cette chronique va être compliqué. King’s Game me faisait envie depuis un moment. Depuis que les éditions Lumen avaient annoncé sa sortie, en fait. Je ne lis pas beaucoup de romans baignant dans la culture japonaise, et l’intrigue, bien que froide, cruelle et sanglante, laissait présager que ça allait me plaire. Je ressors de cette lecture avec un sentiment indéfinissable. Je suis encore abasourdie, dans le bon, comme dans le mauvais sens.
Nous suivons Nobuaki (oui, le même nom que l’auteur. Ne cherchez pas), un jeune lycéen qui mène une existence banale. Dans sa classe de 32 élèves, tout se passe relativement bien. Il y a des amourettes, des amitiés, des conflits… tout ce qu’un ado lambda à l’habitude de vivre au quotidien. Un jour cependant, chaque étudiant de sa classe reçoit un texto. L’expéditeur se dit être “Le roi” et leur lance un défi. Dans un temps imparti, ceux qui sont désignés par le défi doivent l’exécuter. S’ils refusent, ils recevront un gage. Et le gage, c’est la mort. Au début, nombreux sont ceux qui ne parviennent pas à prendre au sérieux ce jeu macabre, mais à mesure que les gages tombent, les élèves comprennent qu’ils sont prisonniers d’un inconnu qui s’amuse avec eux comme s’ils n’étaient que des marionnettes.
Je préviens tout de suite, ma chronique risque d’être à l’image de ma caboche lorsque je repense à ma lecture : fouillie, brouillon, contradictoire. J’ai aimé ce livre, et en même temps je n’ai pas aimé. Déjà, retenons que King’s Game fait partie de ces thrillers hautement addictif. Il m’a fait lever des sourcils dubitatifs un nombre incalculable de fois, mais à aucun moment je ne suis parvenue à lâcher ma lecture. En quelques heures, je me suis prise au jeu du roi, cherchant les indices et tentant de comprendre ce qui se tramait en coulisses. Ce livre joue parfaitement son rôle, il prend le lecteur à la gorge et aux tripes et ne nous lâche qu’une fois la dernière page tournée.
À plusieurs reprises, j’ai eu en tête les images de Battle Royal, le film japonais de Kinji Fukasaku, aujourd’hui très connu. C’est la même ambiance un peu malsaine, le même style surjoué… Et ça explique aussi pourquoi d’un autre côté, je me suis sentie extérieure et mitigée. Les réactions des personnages sont surfaites, et puis à d’autres moments inadéquates. Ce qui pourrait passer pour de la nuance à première vue sonne faux, et je pense que je l’ai perçu de cette façon parce que je ne suis pas habituée à la littérature japonaise et que c’est un aspect des personnages que l’on retrouve systématiquement dans leurs mangas, leurs animés ou encore dans leurs romans. Même si certains passages sont fort détaillés et explicites, une distance se créer, ce qui m’a empêchée de me sentir horrifiée pour de bon.
L’histoire en elle-même est un point fort. L’auteur maîtrise son intrigue et entretient le contexte macabre jusqu’à la fin. Il y a du sang, du gore, des passages extrêmement dérangeants, et une petite voix nous chuchote tout le long que nous ne sommes pas au bout de nos surprises. On pourrait dire qu’il y a parfois de la surenchère, moi en tout cas, j’ai beaucoup aimé cet enchaînement d’actions et de défis toujours plus compliqués et inattendus.
La plume est sans doute ce qui m’a le plus dérangé. Comme je le disais plus haut, la façon dont Nobuaki Kanazawa a mis en place son intrigue est intéressante et novatrice, mais le style d’écriture est parfois tellement décousu, que je me suis surprise à revenir en arrière pour comprendre ce qu’il en ��tait, comment j’avais pu en arriver là. Le héros se lance parfois dans de longues introspectives et parle même à voix haute alors qu’il est seul. Les personnages ne sont pas crédibles à mes yeux. Là encore, c’est peut-être un problème de culture, car ils ne répondent pas comme moi je l’aurais fait dans une situation pareille. Pour ceux qui ne sont pas familiers avec les mentalités japonaises, il risque d’y avoir quelques petites difficultés à ce niveau-là.
Un aspect de l’histoire m’a aussi titillé du début à la fin : la réaction des adultes. Les parents s’inquiètent à peine, ne se posent aucune question en voyant que les camarades de leurs enfants calanchent les uns après les autres. La police ? Elle se contente de ramasser les corps ; lorsque les élèves leur parlent du jeu du roi, ils se contentent de chasser leurs paroles d’un geste de la main en disant qu’ils ont trop d’imagination. Pour moi, c’est LE truc hautement improbable. Qu’on soit japonais, français, portoricain ou mongol, personne ne réagirait de cette façon. Il y aurait eu une enquête approfondie, des interrogatoires, des surveillances… Et là, rien du tout.
N’allez pas vous imaginer que c’est une déception. Je ne suis pas mitigée pour de bon, parce que quelque part, ce livre a vraiment quelque chose, une petite étincelle qui attire et qui donne envie d’aller encore plus loin pour comprendre sur quoi repose toute l’intrigue. D’un autre côté, il y a énormément de points noirs, j’en ai conscience. C’est assez paradoxal. Globalement, c’est une histoire réellement prenante, qui fait passer son lecteur par tous les états nauséeux possibles. J’ai été très surprise à de nombreuses reprises. L’auteur trouve toujours le gage qui nous tire un haut-le-cœur et nous laisse baba.
En résumé, ce fut une lecture… étrange. Aimée ou pas aimée, je ne sais pas encore ; je vous dirai ça quand j’aurai lu la suite. King’s Game est une histoire très ancrée dans la culture japonaise, ce qui en rebutera certains, mais c’est aussi une intrigue bien ficelée, une ambiance glauque et des surprises à foison.
I really loved that book the only thing that make me rate it a 4 stars and not 5 is the ending which really disappointed me.
I loved the whole book except for the second half of the penultimate chapter and the last chapter, I was so into it and felt a lot of stress for the characters which is a thing that I really enjoy actually.
Unfortunately as I said I really don't like the ending, I've started this book like 3 years ago without finishing it, I never read the last chapters, I've read the book again last week and I could not wait to read the end which made me even more disappointed.
But overall it is a really good book and I will read it again maybe during the holidays just to have a great time.
Le concept d'un roi qui donne des ordres a exécuté est génial : l'intrigue est en suspens tout le long, on ressent la tension, on a envie de savoir qui est le roi, qui tirent les ficelles du jeu, pourquoi eux,... Je n'ai pas lâché le livre jusqu'à comprendre ! Suivre cette classe pendant plusieurs jours, les voir réaliser ou non les ordres, les sanctions qui suivent, l'acharnement du perso principal pour découvrir ce qu'il se passe et sauver ses camarades... le tout a fait que ça a été une bonne lecture !
Pourtant, l'écriture est "enfantine", c'est trop YA pour un livre qui a ce thème et ça m'a vraiment gêné à plusieurs reprises : il y a du sang, des morts et la plume ne correspond pas du tout à ça. La fin aussi m'a plutôt déçu, l'explication est cool mais tout va beaucoup trop vite à partir de là et c'est assez décousu, je trouve. Par contre, le choix final du perso principal et le dernières pages donnent clairement envie de découvrir la suite ! Mais je ne me suis pas assez attachée à lui, à l'histoire, encore moins à l'écriture, pour la lire.
Je vais rester sur cette note-là, pour en garder un bon souvenir ! En tout cas, ça reste un roman prenant, immersif mais qui manque de puissance dans pas mal de passage.
5 tomes lus • terminé. un autre exemple de « idée intéressante mais exécution désastreuse ». le principe est glauque mais plutôt intéressant sur le papier, mais la conclusion est, comme trop souvent avec les survival games, clairement bancale et pleine d'incohérences. le pouvoir de la manipulation / hypnose / messages subliminaux je veux bien mais pour des crises cardiaques quoi, pas du démembrement et de la décapitation 💀 + jsp trop quoi penser du fait que le personnage principal est smh un self-insert de l'auteur.
This entire review has been hidden because of spoilers.
Le début m'a vraiment plu, j'étais a fond, mais alors au bout d'un moment ce n'est plus que de la violence gratuite, sans mécanisme ni réflexion... quand l'enquête commence un peu on se dit que ça va peut être avancé ! Mais non, dommage, on comprends rapidement le lien entre la classe et le village il y a 32 ans mais le reste est survolé pour laisser place à des descriptions gores et sanglantes ... Je suis vraiment vraiment déçue de la tournure de ce roman ...
I love the concept, the suspense and the horror! However, the challenges that are all about sex and the unrealistic reaction of adults are two aspects that really bug me. I don't find the attitude of the characters to be really realistic or relatable either. I don't know yet if I will continue reading this series. This manga intrigued me and I really love the concept but some elements are disjointed, implausible and even unpleasant.
compared to the mangas this is pretty meh. it read a lot like a 14 year old wattpad writer trying to novelize it. i guess light novels are always like that bc they're usually translated by fans and not professionals, so i'm giving it 3 stars anyway because i'm sure it's better in its original japanese
Fan de mangas d'horror/survival, j'avais repéré "King's Game" depuis longtemps. Quand les Editions Lumen ont annoncé la sortie du roman du même nom (écrit avant les mangas), j'ai préféré attendre pour le découvrir en premier. Je remercie Emily et les éditions Lumen pour cette lecture addictive et troublante. C'était la première fois que je lisais un roman japonais mais curieusement, j'ai retrouvé tout ce qui me plaisait dans les mangas. La construction du récit est semblable, tout comme le rythme incroyablement soutenu !
"King's Game" démarre sur les chapeaux de roues. L'auteur qui a donné son nom au personnage principal va à l'essentiel, sans perdre de temps. Nous savons que l'histoire se déroule au Japon, à Hiroshima, dans un lycée tout ce qu'il y a de plus normal. Nobuaki Kanazawa ne nous donne pas de détail inutile, il place rapidement le décor puis lance l'intrigue avec le King's Game. Ce "Jeu du Roi" est très pratiqué dans la classe du héros, Nobuaki. Lorsque les SMS commencent à arriver, les trente-deux élèves ne prennent pas les menaces au sérieux. Dans les premiers messages, le Roi exige que deux élèves s'embrassent puis se lèchent les pieds et ils obéissent. Pourtant, quand les premiers jeunes commencent à refuser les ordres du Roi puis mourir, les autres vont tout de suite se rendre à l'évidence : Le King's Game est un jeu mortel où il n'y a aucun échappatoire. La construction du roman ressemble à celle des mangas et du film Battle Royale. A chaque début de chapitre (ou presque), il est minuit et le SMS du Roi arrive sur tous les portables de la classe. Le Roi ordonne et les adolescents ont vingt-quatre heures pour exécuter leur gage. A chaque fin de chapitre, nous retrouvons le décompte des morts et des survivants. Plus nous avançons, plus les morts seront nombreuses et... sanglantes. Peu à peu, la tension devient insoutenable, le rythme ne cesse de s'accélérer, jusqu'à l'hécatombe! King's Game est un roman dur, à ne pas mettre entre les mains des plus jeunes. Il y a de nombreuses scènes gores et sanguinolentes. Certains passages sont extrêmement gênants, le Roi est un véritable psychopathe! Si l'hémoglobine ne vous effraie pas, vous allez adorer!
Les personnages sont nombreux et ne sont pas tous développés. D'habitude, c'est un élément important pour moi mais pas dans ce genre d'histoire. "King's Game" n'est pas un roman mélodramatique. Le but n'est pas de nous faire pleurer à chaque mort mais de nous angoisser, de nous faire douter et de nous retourner le cerveau. J'ai cherché, comme Nobuaki l'identité du roi. Fait-il parti de la classe ? Est-il doté de pouvoirs occultes pour parvenir à de tel massacre ? Pourquoi fait-il cela ? Les réponses n'arrivent évidemment qu'à la fin. Globalement, j'ai trouvé les explications tirées par les cheveux mais c'est souvent le cas avec le survival/horror. Je m'étais fait la même réflexion pour le manga "Doubt" que j'ai pourtant adoré. Néanmoins, si j'ai compris le pourquoi du comment, l'épilogue reste flou et confus. Pour moi, l'auteur a été trop vite sur les dernières pages. Nous ignorons tout de la vie de nos personnages avant le King's Game. Nous ne connaissons pas leurs personnalités mais nous allons découvrir jusqu'où sont-ils prêts à aller pour survivre. La peur de la mort fait ressortir le pire en eux et certains jeunes n'hésiteront pas à commettre l'irréparable pour rester en vie. D'autres au contraire (mais ils sont rares), resteront droits et fidèles jusqu'au bout...
Pour conclure, j'ai lu "King's Game" en une journée, impossible de le lâcher avant de découvrir le mot de la fin. J'ai maintenant hâte de lire la version manga, pour comparer et peut-être mieux comprendre la fin!
Tout d’abord, je remercie les éditions Lumen et Emily pour ce service-presse. C’est une très bonne lecture ! En effet, si vous cherchez un roman qui se lit en moins de trois heures, vous trouverez votre bonheur avec ce livre !
Ce thriller haletant m’a entraînée de chapitre en chapitre. Au fil de la lecture, on ressent les mêmes frissons que les héros et on veut connaître la suite de ces mésaventures. Et quand la Mort vient chercher l’un des candidats au jeu du Roi, elle ne fait pas dans la dentelle ! Les descriptions sont sanglantes ! De quoi choquer le lecteur qui ne cesse de se demander qui sera le prochain sur la liste…
Néanmoins, disons-le : l’intrigue est entraînante, le suspense est génial, mais au fond, l’histoire reste simple. Elle contient des gages plutôt gamins : embrasser un tel, coucher avec un tel, etc. Je ne dirai pas pour autant que ce roman est destiné à la jeunesse car l’ambiance devient très vite malsaine.
Je me dois cependant de relever deux grands défauts : l’écriture – plus précisément la traduction ? – et les noms des personnages.
Premièrement, n’étant pas fan de mangas – car il faut savoir que ce roman en est un à la base – je me suis perdue dans les noms japonais, et très vite, je n’ai plus cherché à comprendre qui était qui. Donc, en ce qui concerne l’histoire et la personnalité de chacun des personnages, passez votre tour si vous y tenez. Personnellement, cela ne m’a finalement pas trop gênée.
Deuxièmement, l’écriture est parfois hachurée, notamment aux moments où l’auteur mêle les pensées du personnage ou des retours en arrière. On ne comprend pas toujours où l’on débarque, puisqu’il n’y a pas vraiment de coupures qui avertissent ce changement.
Enfin, la fin m’a laissée perplexe. Elle n’est pas mauvaise mais trop vague à mon goût. Donc, je ne sais pas trop quoi en penser… Mais vivement la suite !
En bref, malgré quelques défauts, c’est un livre qui se dévore. Une lecture rythmée, un thriller angoissant et sanglant et un malaise continuel… Tout ce qu’il faut pour une recette explosive !
Il est très rare que je lise des thrillers : en général ce n'est pas vraiment ma tasse de thé. Pourtant j'ai tellement entendu parler de « King's Game » et comme je l'avais gagné lors d'un concours sur la page des éditions Lumen, j'ai décidé de tenter le coup. Et j'ai vraiment bien fait !
Je l'ai dévoré en une seule journée, complètement prise par le rythme effréné, l'angoisse partagée avec les personnages, l'intrigue si impossible à démêler qu'on s'en arracherait les cheveux etc...
Je ne dirai rien de plus sur l'histoire, le résumé en dévoilant déjà bien assez. Elle est vraiment très prenante et si elle peut paraître simple au début ce n'est en fait absolument pas le cas ! Toutes les théories que l'on peut échafauder au cours de l'histoire finissent par tomber en miettes, tout ce qu'on croit avoir deviné s'avère complètement faux au final.
L'écriture est simple mais efficace. Le rythme s'accélère au fil des pages, à mesure que l'intrigue s'épaissit et que le jeu s'accélère.
Pour ce qui est des personnages, au début, j'ai eu un peu de mal à me familiariser avec eux, en grande partie à cause des prénoms, japonais je pense, que j'ai eu grand mal à mémoriser. Mais, plus l'effectif s'est réduit dans la classe, plus ils se sont dévoilés et nous ont montré des facettes inattendues. Ce jeu les a poussés dans leurs derniers retranchements, les a changés à tout jamais, les a obligés à se montrer tels qu'ils étaient au plus profond d'eux-mêmes. La nature humaine s'est révélée dans ce qu'elle avait de plus cruel et perfide.
En bref, vous l'aurez compris, j'ai adoré ! J'ai vraiment hâte de lire la suite maintenant ! Heureusement qu'elle arrive bientôt ! Et aussi, je me demande si ce jeu infernal prendra fin un jour ! J'ai l'impression que la suite nous réserve encore pas mal de surprises, vu ce que nous laisse présager la fin du premier tome !
J'ai apprécié ma lecture, je dois dire que j'ai simplement piqué ce livre a mon frère, par curiosité mais je n'ai pas été déçue (sachant que de toutes facons, je ne m'attendais à rien de bien spécial). Ca a été une lecture addictive, disons qu'on nous tiens en haleine tout le long, l'écriture est simple mais il se passe toujours quelque chose et c'est un vrai bon point pour le bouquin. Cependant ca n'a pas été un coup de coeur, loin de là. Je lirai peut être la suite mais malgré la fin (qui est mis en suspens), je ne suis pas vraiment "pressée" de lire le deuxième tome. Rien urge ! Je trouvais les ordres du roi vraiment gamins, principalement au début, on aurait dit les fameux gages qu'on faisait quand on était au collège et ça m'a un peu gênée. Je pense que l'auteur aurait pu trouver de meilleurs ordres. Bref, une bonne lecture, du bon temps, mais ce n'est pas un roman qui va changer une vie.
Tout d’abord je tiens à remercier les éditions Lumen puisque c’est lors d’un concours sur leur page que j’ai pu gagner ce roman.
Lorsque ce titre a été annoncé, je n’étais pas sûre de l’acheter, car ayant lu et beaucoup aimé le manga je ne voyais pas vraiment l’intérêt de relire la même histoire.
Le concours m’a permis de le lire et je n’ai pas regretté. L’histoire et les sentiments des personnages sont beaucoup plus développés et malgré le fait que je connaissais déjà ce qui allait se passer ensuite, l’auteur a su me tenir en haleine.
Le final nous laisse sur un suspense, j’ai vraiment hâte de lire la suite en version roman même si j’ai déjà lu les premiers tomes du manga !
C’était le premier roman des éditions Lumen que j’ai lu. Très belle découverte, j’en lirais certainement d’autres.
En résumé, une très bonne surprise pour moi, même si j'en retire quelques points négatifs. Une lecture qui prend tout de même aux tripes, et dont l'auteur va au bout des choses et n'hésite pas à entrer dans les détails, ce qui cause parfois des haut-le-cœur. L'intrigue en elle-même est très bien trouvée, et je me suis vue à plusieurs reprises me demander qui était le Roi et surtout pourquoi il perpétrait tout ceci.
Je l'ai ouvert parce que je trouvais l'idée intéressante, mais après 100 pages j'en avait déjà marre. En fait l'histoire en elle même est bien, mais l'écriture ne m'a pas plus, et les noms japonnais n'aide pas.. L'univers japonnais n'est pas assez développé, du coup on retrouve seulement les noms qui des personnages qui y font référence. J'ai fini le livre en diagonale parce que je voulais quand même connaitre le roi !
Du coup une lecture très décevante, et un bouquin "fini" en moins de 2h.