Pas facile d’échapper aux fantômes, quand on voit les morts… surtout quand son coloc’ en est un !
En partant faire ses études à Oxford à la suite du décès brutal de sa mère, Dotty pense fuir un don qu’elle déteste. Mais c’est sans compter sur Théodore, esprit particulièrement bavard d’un étudiant décédé depuis une trentaine d’années, ainsi que sur le charismatique Oreste, un exorciste autoproclamé au sourire charmeur.
Lorsqu’un meurtre paranormal endeuille la prestigieuse cité universitaire, Dotty comprend qu’elle ne peut échapper à son destin…
À PROPOS DE L'AUTRICE
En dehors de ses études, Camille Salaün est une adepte des jeux de rôle, de lecture et d’écriture. Passionnée de littérature fantastique, ses romans mélangent souvent mystère et magie occulte. Attachée à l’évolution de ses personnages, cette jeune auteure aime les laisser emporter sa plume selon leurs nombreux caprices.
Le coup de cœur absolu! J’ai adoré cette histoire, c’est beau, c’est poétique, c’est touchant, on a une enquête bien ficelée. Et vous savez maintenant à quel point j’adore ça: on a des personnages qui ont une vraie personnalité, qui nous font vivre des choses. L’histoire a touché un gros point sensible dans mon petit cœur. Et c’est très personnel mais je n’ai jamais été aussi touchée par une histoire. Je l’ai lu deux fois en une semaine, j’ai versé toutes les larmes de mon corps et ramassé les miettes de mon âme. A tous ceux qui ont failli se laisser tenter mais ont hésité, n’hésitez plus et foncez. C’est une merveilleuse histoire et la plume de l’auteure est incroyable. A lire et à relire sans modération, c’est une véritable pépite.
Le début est un peu longuet mais la seconde moitié est sympa 😊 J’aime bien les petites touches d’humour !
Petite lecture 📖 sympa 😊 ! Je dois avouer avoir trouvé le début un peu longuet (@bergam.tes_bookshelf me tape pas) MAIS la seconde partie était vraiment bien 🤩 ! Les personnages sont sympathiques, l’humour de @camillesalaun.auteure est très cool ✨ et l’intrigue tenait la groupe ! J’ai beaucoup aimé l’épilogue (j’ai un problème avec les épilogues OUI ET ALORS ?) ! Je le recommande aux fans de dark academia et d’enquêtes 📚 !
-------------------- Enorme COUP DE COEUR pour ce roman. J'ai adoré. Je l'ai lu en plein mois d'octobre et je n'ai pas réussi à m'en détacher. Les intrigues sur les meurtres paranormaux, l'univers, la poésie de la plume, la personnalité des personnages, on ne peut plus attachant. C'est mon nouveau comfort read d'octobre.
Dotty, Oreste et Théo sont LE trio. Je ne voulais plus les quitter, même en fermant la dernière page du roman. Je voulais continuer de vivre avec eux leurs années universitaires à Oxford, leur chasse aux Creux, leurs sauvetages héroïques dans l'ombre. Ce sont des personnages assez profond pour qu'on se reconnaisse en eux, des personnages qui se retrouvent, et qui finissent par former un cercle, un vrai groupe, qui se soutiennent, se défient, se disputent, se protègent, se taquinent.
L'amour et l'affection entre les personnages (principaux et secondaires) sont subtils mais bien présents, que ce soit en amitié, en couple, ou avec la famille. On ne crie pas sur tous les toits, pas de clichés extravagants qui nous font rouler des yeux. Juste des preuves que ceux qu'on aime sont toujours là, pour nous, avec nous. Il y a évidemment le sujet de la mort qui est magnifiquement abordé, le deuil, parfois la culpabilité, le manque et les regrets, au travers des personnages, morts ou encore vivants. Les touches d'humour allègent le roman, et on ne peut que l'apprécier davantage.
Le seul point d'amélioration que je relèverais, serait qu'il me manquait parfois plus d'informations. J'aurais aimé en savoir plus sur tout, sur tout le monde. Ce livre aurait pu faire 600 pages, je l'aurais tout autant dévoré. J'ai hâte d'avoir la suite, de retrouver Dotty, Theo et Oreste, et la plume de Camille Salaün.
Un premier tome que j’ai beaucoup apprécié ! Les personnages sont attachants. J’ai beaucoup aimé les petites touches d’humour et de sarcasme. C’est une lecture très agréable. J’ai hâte d’avoir la suite !
Ce roman m’a fait l’effet d’une petite madeleine de Proust avec un esprit Casper que j’ai beaucoup apprécié. Mais la magie de ce livre relève avant tout de la plume de l’autrice ! Une poésie raffinée qui s’écoule tout au long de livre. C’est vraiment sublime.
L’histoire en tant que telle m’a plu même si elle demeure un peu simple de mon point de vue. Je ne sais pas si ce doit être une saga mais tous les ingrédients y sont pour poursuivre l’aventure de nos trois protagonistes.
En revanche, je conseille ce roman a tous les adolescents et jeunes adultes grâce à la douce écriture de l’autrice !
Il y a des livres qu’on lit, et d’autres qu’on ressent. Le Spectre d’Oxford appartient à la seconde catégorie. Ce roman m’a enveloppée dès les premières lignes, comme un brouillard d’automne dans lequel on avance à tâtons, sans savoir où l’on va, mais sans jamais vouloir en sortir. Camille Salaün y mêle le mystère du surnaturel à la tendresse de l’humain, la douleur du deuil à la beauté des rencontres inattendues. Tout y est équilibré, sincère et vibrant. Et c’est précisément ce mélange de fantastique, d’humour et d’émotion qui m’a complètement conquise.
La première chose qui frappe dans Le Spectre d’Oxford, c’est la plume de Camille Salaün. Elle a ce talent de raconter des choses profondes avec une grande légèreté. Son style est fluide, expressif, parsemé de petites touches d’humour et d’observations fines sur la vie. On sent une vraie maîtrise de la narration : les descriptions ne sont jamais trop longues, mais toujours évocatrices ; les dialogues sonnent vrais, naturels, parfois drôles, parfois pleins de pudeur. L’auteure a une manière bien à elle de rendre l’étrange presque familier. Elle installe une ambiance gothique sans jamais tomber dans le cliché, et elle réussit à parler de la mort avec beaucoup de douceur. Ce n’est jamais morbide, au contraire, il y a une lumière constante dans son écriture, une chaleur discrète qui fait du bien. J’ai aussi été frappée par la précision de ses mots : chaque phrase semble pesée, mais rien n’est figé. On lit, on rit, on frissonne, et parfois on s’arrête un instant parce qu’une phrase nous touche droit au cœur. C’est une écriture sensible, poétique sans être prétentieuse.
L’univers d’Oxford est magnifiquement rendu. Dès les premières pages, on sent le soin apporté à l’atmosphère : les bâtiments anciens, les couloirs silencieux, les bibliothèques immenses, les jardins cachés derrière des grilles de fer forgé… tout respire le mystère. Camille Salaün a su capturer ce charme très particulier des vieilles universités britanniques, ce mélange de tradition, d’élégance et de secrets. On y croise des étudiants passionnés, des professeurs excentriques, et surtout… des fantômes. Mais pas n’importe lesquels. Ce que j’ai adoré, c’est la manière dont le fantastique s’intègre au réel sans jamais le dénaturer. Les esprits ne sont pas là pour effrayer : ils habitent simplement le monde des vivants, comme une présence parallèle. L’auteure aborde ce surnaturel avec beaucoup de tendresse, presque de respect. On a l’impression que ces fantômes font partie du décor, comme si Oxford elle-même refusait d’oublier ceux qui l’ont aimée. Il se dégage de cet univers une atmosphère à la fois douce et mélancolique. On oscille constamment entre le rêve et la réalité, entre la légèreté des échanges et la gravité des thèmes abordés. C’est un monde dans lequel on aimerait s’attarder, même après la dernière page.
L’héroïne, Dotty, quitte les États-Unis après la mort brutale de sa mère. Elle espère qu’à Oxford, elle pourra recommencer une nouvelle vie, loin de son passé et de ce don qu’elle déteste : la capacité de voir les morts. Mais dès son arrivée, ses espoirs de tranquillité s’envolent : son nouveau colocataire s’appelle Théodore… et il est mort depuis trente ans. Ce fantôme, bavard, élégant et parfois un peu trop curieux, va chambouler son quotidien. À travers lui, Dotty découvre une autre facette de son pouvoir, moins effrayante, presque apaisante. Et puis il y a Oreste, un exorciste autoproclamé au sourire énigmatique, qui ne laisse personne indifférent. Lorsque des phénomènes étranges et un meurtre surnaturel frappent Oxford, Dotty se retrouve malgré elle au centre d’une enquête entre le monde des vivants et celui des morts. Ce que j’ai adoré, c’est la progression émotionnelle de l’histoire. Ce n’est pas qu’une intrigue policière ou fantastique : c’est surtout un récit sur l’acceptation de soi, sur la façon de vivre avec sa différence, sur le deuil et la transmission. Camille Salaün aborde la perte d’un être cher avec une infinie délicatesse. Il y a de la douleur, oui, mais aussi de la lumière, celle qu’on retrouve dans les souvenirs, les rencontres, les petits miracles du quotidien.
Dotty est une héroïne terriblement humaine. Elle n’a rien d’une héroïne parfaite : elle doute, elle se trompe, elle se replie sur elle-même parfois. Mais c’est précisément ce réalisme qui la rend si attachante. Sa peur de son don, sa culpabilité, sa maladresse… tout sonne vrai. Au fil du roman, on la voit s’ouvrir peu à peu, trouver sa place, apprivoiser ce qu’elle est. Son évolution est magnifique à suivre. Théodore, le colocataire fantôme, est un vrai bijou de personnage. Il apporte une légèreté bienvenue, une touche d’humour et d’élégance. Derrière ses répliques pleines d’esprit, on devine une grande solitude, une tristesse discrète, et cela le rend encore plus émouvant. Sa relation avec Dotty est d’une justesse rare : ni simple amitié ni romance, mais un lien d’âme, sincère et profond. Et puis Oreste… mystérieux, charmeur, parfois agaçant, souvent désarmant. Il incarne parfaitement cette figure ambiguë du héros à la fois rationnel et sensible. Son rapport au surnaturel, très différent de celui de Dotty, crée des échanges passionnants entre eux. Les personnages secondaires, bien que plus discrets, sont tous soignés : chaque apparition compte, chaque mot a du sens. Personne n’est là “juste pour décorer”. On sent que l’auteur a voulu créer un petit monde cohérent, vivant, où chaque personne a sa place et son histoire.
Derrière son intrigue fantastique, Le Spectre d’Oxford aborde des thèmes profondément humains. Le deuil est au cœur du roman, mais jamais de manière pesante. Il est traité avec pudeur, comme un fil invisible reliant les personnages. Dotty apprend peu à peu que la mort ne signifie pas forcément la fin, mais parfois un nouveau type de présence. Il est aussi question d’acceptation de soi : apprendre à vivre avec ce qu’on est, même quand cela nous fait peur. Dotty incarne ce cheminement intérieur avec beaucoup de sensibilité. Et puis il y a les liens invisibles, ceux qui unissent les vivants et les morts, les amis et les âmes perdues, les souvenirs et les lieux. C’est un roman sur la trace que chacun laisse derrière soi, sur la manière dont certaines rencontres peuvent changer une vie.
Le Spectre d’Oxford est un roman qui se referme doucement, mais qui continue de résonner longtemps après. On pense à Dotty, à Théodore, à leurs échanges entre deux mondes, à cette brume d’Oxford qui cache autant de secrets que de promesses. Camille Salaün signe une œuvre à la fois sensible et lumineuse, qui parle des fantômes avec tendresse, du deuil avec espoir, et de la différence avec bienveillance. C’est un récit plein de charme, d’humour et d’émotion, à la croisée de la littérature anglaise classique et du fantastique moderne. Si vous aimez les ambiances gothiques, les histoires empreintes de douceur, les personnages profondément humains et les romans qui vous font réfléchir tout en vous réchauffant le cœur, alors Le Spectre d’Oxford est fait pour vous. Un énorme coup de coeur
Le spectre d’Oxford est LA lecture de la saison. Entre le côté dark academia qui nous rappelle la rentrée scolaire, l’ambiance sombre qui nous plonge doucement dans l’arrivée d’Halloween, la pluie anglaise qui nous ramène à l’automne, le roman colle parfaitement à tout ce que vous pourriez avoir envie de lire en ce moment. Et en plus de ça, c’est une excellente lecture qui vaut le détour.
Dans ce récit nous suivons Dorothy - Dotty -, Théodore et Oreste dans une enquête hors du commun. Dotty voit les spectres depuis son enfance, tout comme sa mère. Si dans un premier temps, elle leur adressait la parole, elle a très vite décidé de les ignorer car ils prenaient trop de places dans sa vie. En quittant son pays pour Oxford, elle pensait enfin être libérée de la pression de ces spectres, mais c’est sans compter la présence du spectre qui hante son dortoir : Théodore. De cette rencontre, découle celle d’Oreste, un autre élève capable de voir les fantômes et leader d’une organisation très spéciale qu’il invite Dotty à rejoindre. Elle refuse dans un premier temps, mais par la force des choses, elle va s’y retrouver contrainte …
L’ambiance générale du roman est vraiment parfaite. Oxford, obscurité, mystère, spectres, tout ce qu’on adore lire en automne. L'univers est bien décrit, le worldbuilding et toutes les connaissances autour des fantômes sont très bien documentés.
Ce que j’ai aimé par dessus tout, c’est la dynamique entre les trois personnages dont on suit les points de vue : Dorothy, Théodore et Oreste. Chacun avec leur caractère, ils ont pourtant beaucoup en commun. Dorothy est touchante, Théodore est tellement drôle et Oreste est cynique à souhait, mais ensemble, ils forment un tout qui vaut le détour et qui crée un joli rythme pour l’enquête et le récit.
La plume de l’autrice est très plaisante et les pages se tournent sans coupure, ni ennui. Les théories et les surprises ne vous laisseront pas en reste. Je vous le conseille à 1000% pour le lire dès demain !
Nous sommes ici dans un récit écrit à la troisième personne.
Une intrigue qui va se développer dans un cadre universitaire, à Oxford et qui va voir des éléments paranormaux. Avec notamment l'apparition de fantômes soit les revenants qui n'ont pas réussi à traverser.
Nous allons suivre l'histoire de Dotty, jeune femme qui possède le Don de voir ces revenants depuis qu'elle est toute jeune. Elle va faire la rencontre de Théodore, jeune étudiant décédé et vivant désormais sous forme spectrale.
Ces deux-là, avec d'autres personnages, vont fonder en quelque sorte un club pour "contrer les forces du mal" qui vont venir hanter Oxford.
En parallèle, nous avons une intrigue secondaire, qui est une enquête pour découvrir le meurtrier de Théodore.
Globalement, c'est une lecture qui m'a beaucoup changé de ce que j'ai l'habitude de lire. le récit à la troisième personne est ok ici, même si je trouve qu'il nous permet un détachement des personnages, là, ou moi, j'aime être proche d'eux.
A la fin du livre, j'avais encore des interrogations et j'ai eu l'occasion d'échanger avec l'auteur. J'ai notamment appris qu'il y aurait un tome 2 et cela nous permettra forcément d'éclairer les quelques passages d'ombre qui me restait.
J'ai aussi aimé ce livre qui va "casser les codes" en montrant un côté peu vu et malheureux. A savoir, la violence subite par des hommes et infligée par des femmes. Nous le savons et en entendons beaucoup parler dans le cas contraire. Mais oui, ce schéma existe également et j'ai trouvé ça bien d'en parlé ici.
J'ai adoré les formes d'amitié et une relation particulière entre Dotty et sa mère !
Ce livre m'a donné l'impression d'être d'une douceur épatante compte tenu des thèmes abordés. Une très bonne surprise pour un livre que j'ai acheté sur un coup de tête dans un salon grâce à sa couverture magnifique et son histoire mêlant fantastique et enquête.
Il raconte l'histoire de Dotty qui commence ses études à Oxford avec la conviction qu'elle laisse derrière elle son don qui lui permet de voir les fantômes. Manque de chance, sa chambre est hantée par Theodore, un fantôme des plus bavards. Celui-ci lui fait rencontrer Orestre, un exorciste en herbe. Si Dotty refuse d'abord de se laisser entraîner dans la quête surnaturelle d'Oreste, elle se laisse convaincre quand un corps est retrouvé sur le campus et qu'ils découvrent qu'un grand danger pourrait bien menacer leur monde.
La plume de l'autrice est assez originale, et j'ai adoré. Elle m'a véritablement donné envie de tourner page après page.
Les personnages sont tous très attachants et travaillés, y compris les personnages secondaires ou mineurs. Les liens entre les personnages principaux se sont construits au fur et à mesure et un début de sentiments amoureux a été initié entre deux personnages qui m'a laissé sur ma faim.
L'intrigue est simple, mais bien ficelées et une grande attention est portée aux détails. J'ai vu venir certaines révélations mais d'autres m'ont surprise.
J'espère sincèrement que l'autrice accordera une suite à ses personnages et je n'hésiterai pas à la lire ( ou à lire tout autre livre qu'elle pourrait publier à l'avenir)
Voilà un roman qui a attiré mon oeil dans le rayon policier, avec ce titre intriguant. Le résumé m’a convaincu et je ne regrette pas d’avoir tenté.
Nous partons donc à la rencontre de Dorothée qui part faire ses études à Oxford. On entre vite dans le vif du sujet à savoir sa faculté de voir les fantômes et en lien la trame de la première intrigue qui touche sa maman. J’ai de suite accroché au fil conducteur de cette histoire aux vibes de Ghost Whisperer. Il règne une ambiance particulière dans ces pages, peut être un peu de cosy malgré des passages un peu sombres.
Les personnages principaux sont véritablement touchants. Chacun part leur caractère et leur histoire apportent une plus value et une profondeur au texte. Je me suis rapidement attachée à eux, notamment à Théodore qui m’a fait passer par plusieurs émotions.
La plume est immersive, simple et fluide. Ainsi la lecture est entrainante, j’avais envie de tourner les pages sans m'arrêter. L’auteur réussit à véritablement créer une atmosphère, ni trop pesante ni trop légère avec une pointe d’humour pour englober le tout. J’ai été quelque peu surprise par l’écriture à la troisième personne mais en avançant dans ma lecture, j’ai finalement trouvé que le choix est judicieux. Cela apporte un petit plus, un brin d’intensité au récit.
Une lecture donc très plaisante que je vous conseil si vous appréciez les histoires de fantômes qui ne font pas trop peur.
Gros coup de cœur ❤️ pour ce roman dont j’ai trouvé la plume sublime, les personnages attachants et l’histoire très prenante.
On suit trois personnages - Dorothy, Oreste et Theodore - la première voit des fantômes et tente de les ignorer, le second lutte contre les esprits à coup d’exorcisme et le troisième est un spectre un peu trop bavard. Pourtant, ils vont devoir s’associer à la suite d’un meurtre dans l’école, et de cette association va naître une belle amitié.
Le récit est entraînant, plusieurs intrigues s’entremêlent, les personnalités des personnages sont vraiment bien travaillées, et l’atmosphère Dark Academia, gothique et sombre m’a transporté. En plus l’histoire se passe à Oxford, un lieu chargé de mystère, qui colle parfaitement avec le récit.
La plume est poétique, les émotions infiniment bien décrites, j’avais envie de rester avec ces trois personnages ❤️ extrêmement touchant, chacun à leur manière, dont on devine les failles à travers les personnalités.
Et mention spéciale pour cette belle couverture qui reflète parfaitement le roman.
D'abord, l'histoire est très bien ficelée. Les personnages sont multidimensionnels et tous attachants (plus ou moins, chacun ses goûts). Les rebondissements sont cohérents, sans pour autant être prévisibles. Pas de volte-face soudain ou absurde ici. Toutes les clés sont données et le lecteur attentif est récompensé. Ensuite, le style est parfait à mon sens et très travaillé. L'auteur nous présente trois points de vue. Le style s'adapte aux POV de chaque personnage. Pas seulement les dialogues, mais bien tout le chapitre. C'est très surprenant car particulièrement rare. C'est aussi pourquoi j'ai été totalement absorbée par le contenu. Enfin, le livre en lui-même est un très bel objet. L'esthétique est soignée, chaque personnage a vraiment sa propre DA. Le papier est très agréable aussi.
Je ne m'attendais pas à tomber sur un tel récit et j'en suis ravie. La rumeur court qu'un tome 2 va sortir. Tant mieux. J'en ai besoin. Le plus rapidement possible s'il vous plaît.
J’ai vraiment passé un bon moment de lecture ! On suit les aventures occultes d’un trio composé d’une étudiante en histoire qui voit les fantômes, d’un étudiant en droit qui pratique des exorcismes entre deux devoirs, et d’un autre étudiant qui n’a plus de pouls depuis trente ans. Le tout se déroule à l’université d’Oxford, dans une atmosphère à la fois studieuse, inquiétante et mystérieuse. Je me suis vraiment attachée aux personnages, notamment à celui de Théodore, qui est un fantôme absolument adorable. Je pense qu’un tome 2 est prévu, et j’ai très hâte de le lire, car j’ai adorée la plume de l’autrice. Si vous avez aimé la série A Discovery of Witches, vous retrouverez une ambiance légèrement similaire dans ce livre.
A tous les fans de Ghost Wisperer : foncez, vous allez vous régaler !😇 Entre paranormal, enquête et humour, j'ai adorer suivre le Cercle ! J'avais hâte de commencer ce roman, déjà parce que j'ai une petite fixette (riquiqui) sur Oxford, mais aussi parce qu'il promettait de me glisser doucement dans l'ambiance d'automne.🍂 Et j'ai eu tellement raison !! Ce n'est pas un livre d'horreur, c'est une ambiance entre obscurité et lumière. Les thèmes sont durs (suicide, deuils, meurtres) mais abordés avec une touche d'humour. J'ai adoré les personnages, que j'ai trouvé très attachants, et le fait qu'on soit pris par l'histoire et qu'on avale les pages sans même s'en apercevoir. Je vous conseille ce livre, tout particulièrement en ce début d'automne !
J’ai découvert cette autrice sur Instagram, où elle partageait des aesthetics et des posts sur ses personnages qui m’ont beaucoup attiré. Sans parler de la couverture qui est sublime. Le résumé m’a de suite intéressé, et me voilà en librairie à acheter ce livre pour plusieurs raisons totalement inhabituelles (dont une dont je ne peux pas vous parler parce que c’est privé) pour moi et sans vraiment savoir si ça allait me plaire, puisque je n’ai même pas voulu aller voir les avis d’autres lecteurs. Au final, quelle belle surprise j’ai pu avoir en lisant ce roman!
On fait la connaissance de Dorothy, Théodore et Oreste, nos 3 personnages principaux, étudiants à la prestigieuse université d’Oxford, en Angleterre. Dotty est américaine, Theo est un fantôme et Oreste un exorciste. Rien ne prédestinait ces personnes à se croiser au cours de leurs vies (mauvais choix de mot pour Theo), et pourtant, leurs destins s’entrechoquent pour faire naître une amitié plutôt hors du commun. Ces 3 protagonistes sont attachants au possible, chacun pour différentes raisons, mais ça a été un vrai plaisir de vivre cette aventure à leurs côtés.
On parle d’esprits, d’un meurtre, des Enfers, d’exorcisme, de rituels. On touche aussi aux différentes émotions autant chez les personnages qu’en tant que lecteur. En somme, ce livre est un cocktail de beaucoup d’aspects que j’aime dans mes lectures.
La plume de Camille est légère, poétique, incroyablement fluide et réfléchie. Tous ses mots sont choisis avec une intention toute particulière d’immerger le lecteur dans le monde de notre trio d’étudiants. Le rythme est agréable et les pointes d’actions tombent toujours au bon moment. Attention, on reste tout de même sur une fantasy plutôt cosy qu’effrénée. On oscille entre les moments plus calmes et ceux plus prenants, de manière parfaitement dosée.
Une excellente lecture qui frôle le coup de cœur grâce à cette plume que j’ai beaucoup aimé. J’attendrai avec impatience le prochain roman de l’autrice, pour pouvoir me replonger dans les mots si justes de sa belle plume.
J'ai énormément aimé cette lecture. Je me suis prise totalement au jeu d'enquête et j'ai adoré comment tous les éléments se sont révélés au fur et à mesure.
Les personnages m'ont réellement touchés, on s'attache très facilement à Théodore, Dotty et Oreste et ça a rendu ma lecture tellement agréable.
J'ai acheté ce livre au Festival du Livre de Paris en 2025 - j'étais sa 50eme vente ! - et je ne peux que vivement recommander cette lecture. Un livre totalement adapté à la saison avec l'automne qui arrive et si vous êtes en manque de spookiness.
La vibe Dark Academia a su me conquérir, cette vibe un peu automnale à Oxford était parfaite pour la saison et j’ai vraiment beaucoup aimé. Les personnages sont très bien développés malgré les 368 pages. Dotty est très attachante, Oreste très énigmatique et Théodore tellement touchant. Le fil rouge de l’histoire est très bien amené et c’est un véritable page turner, en tout cas selon moi.
Je ne peux vous en dire plus sans vous spoiler quoi que ce soit… Allez le lire pour le découvrir !!
Je suis plutôt novice dans la Dark Academia, mais j'avoue que c'est une ambiance que j'ai vraiment apprécié! Mystère, université et ambiance plutôt sombre, tout est réunit pour créer une atmosphère que j'ai trouvé presque envoûtante. Camille Salaün y ajoute une dimension paranormale, en adéquation totale avec l'univers dépeint, et ça, c'était vraiment top !⠀ ⠀ Parmi les personnages, Oreste se démarque incontestablement. Son caractère complexe, sa vulnérabilité bien cachée derrière une carapace difficile à briser, et son évolution au fil des pages en font un héros qui m'a particulièrement plu. 🥰⠀ ⠀ Du côté de l’intrigue, le roman prend son temps pour poser ses bases, ce qui peut demander un peu de patience. J’ai eu besoin d’un moment pour m’adapter à la plume de Camille Salaün, surtout en raison de la narration à la troisième personne, qui m’a laissée distante dans les premiers chapitres. Mais une fois plongée dans l’histoire, j’ai trouvé mes marques, et l’enchaînement des événements s’est révélé fluide et prenant. L’autrice sait créer de la tension et jouer avec le suspense, ce qui a rendu la deuxième moitié de ma lecture très addictive. En plus, la dimension liée au deuil m'a vraiment touché !⠀ ⠀ Je recommande ce roman à ceux qui aiment les ambiances mystérieuses, où s'entremêlent enquête paranormale et personnages bien construits ! Une découverte que je ne regrette pas, qui mériterait même une suite pour davantage développer certains liens entre les personnages. 👀😋⠀
Très bonne dark academia, des personnages attachants, un mystère bien ficelé bien que sa résolution soit un brin rapide. Les descriptions sont vivaces avec des descriptions poétiques.
C’était très agréable de me plonger dans cette aventure YA d’épouvante, mi-drôle, mi-mélancolique, avec son trio attachant de personnages principaux. Je trouve que sa force est sa narration, toujours saupoudrée d’une pointe d’excentricité, comme ses personnages, et consciente en continu des thèmes qui portent l’histoire.
Camile Salaün a une plume qui happe aisément, et elle n’a pas peur d’alterner entre des moments doux et drôles, et des passages plus inquiétants (voire qui font parfois franchement froid dans le dos !). Ça nous donne un résultat qui me rend bien nostalgique des romans d’horreur pour ados des années 90s que j’adorais.
Mention spéciale pour Théodore, que j’ai beaucoup apprécié. Coloc un poil envahissant, certes, mais quand même hautement sympathique !