La papeterie ainsi que les spécialités culinaires et coutumes japonaises sont charmantes, et les détails de la vie de famille m'ont semblé un peu moins lourds que dans le tome précédent. Dans l'ensemble, c'était une douce lecture pour occuper un beau long week-end printanier.
Une belle lecture, reposante et envoûtante, contemplative aussi, qui parle des petits bonheurs mais aussi des tracas du quotidien. J'ai beaucoup aimé les pages calligraphiees en japonais reprenant les lettres écrites par la narratrice qui est écrivain public
4.5 augmentées à 5 pour Goodreads. Une histoire très douce, réconfortante malgré l'entrée en adolescence de QP, et qui nous fait voir l'aïeule sous un jour nouveau. Avec la Papeterie Tsubaki et La république du bonheur, c'est une très belle trilogie, emplie de bonheurs subtils.
Je n’avais pas lu les précédents tomes de la série. Est ce pour cette raison que je ne me suis pas du tout attachée aux personnages ? Ni ressenti aucune émotion sur la relation mère fille, ou lors des échanges pour les missions d’écrivaine publique de Hatoko ? Je n’ai pas du tout retrouvé l’atmosphère de ce pays si particulier qu’est le Japon et que j’avais adorée dans les livres de Aki Shimazaki. Le seul passage que j’ai apprécié est celui qui se passe sur l’île d’Izu Oshima, mais cela ne suffit pas. Plutôt déçue donc.
Ce troisième tome portant sur la propriétaire de la librairie Tsubaki me confirme que j'aime toujours autant les récits d'Ito Ogawa et des présidant personnages attachants. Même si, cette fois, la naïveté et la simplicité de certaines réflexions un peu déconnectées du monde réel en début de roman ont commencé à m'agacer, la douceur du roman m'a rattrapé et je me suis plongé à nouveau dans cet univers dans lequel l'artisanat, la lenteur, les véritables contacts entre personnes et l'empathie ont encore une valeur. Il reste probablement encore plein d'histoires à raconter et je ne serais pas fâché de retrouver toute la famille d'Hatoko.
Je suis à la fois ravie d’avoir lu ce 3e tome et triste à l’idée de quitter son univers à la fois doux et réconfortant. La lecture des œuvre d’Ogawa Ito est un cocon confortable et paisible. Cette écrivaine réussit à mettre du doux et du beau dans les hauts et les bas du quotidien, et ce, avec sagesse.🤍
J’avais tellement aimé les premiers tomes, pourtant celui-ci m’a laissé indifférente. Les histoires et les personnages étaient un peu « ordinaires » et certains passages étaient juste étranges et n’apportaient strictement rien à l’histoire. Un peu déçue de ma lecture…
J’aime ces histoires où il ne se passe pas grand chose, la vie qui s’écoule doucement avec ses douceurs et ses difficultés. J’aime cette autrice car elle met de la beauté sur les petits détails de la vie. C’est doux et poétique.
3,5 je pense. Je le trouve pas aussi bien que les précédents mais c'est toujours une jolie écriture qui nous partage des moments de vie. L'aspect familial est intéressant dans ce tome mais le côté écrivain public perd un peu de saveur. C'est pas mal.
Hatoko est mère de famille, mais elle est surtout propriétaire de la papeterie Tsubaki à Kamakura. Pendant ses deux grossesses consécutives, Hatoko a été obligée de rester à la maison, pour se reposer et prendre soin de ses deux bébés.
Mais puisque les enfants ont grandi et sont maintenant capables d’aller à l’école, Hakoto repart au travail : elle est écrivain public. Elle traduit sur papier les sentiments des autres pour leur écrire les lettres qui traduisent leurs sentiments.
Le livre suite donc les différentes commandes (amour, deuil, requêtes, pub…tout y passe!) que reçoit Hakoto. Elle doit adapter ses mots, son papier, son encre et son écriture; et quel bonheur de voir les différentes lettres retranscrites dans le livre!
Mais un jour, Hakoto reçoit la lettre d’un homme qu’elle ne connait pas. Il lui annonce que la grand-mère d’Hakoto a entretenu une liaison adultère avec son oncle à lui…c’est un véritable choc pour Hakoto qui n’avait jamais vu sa grand-mère comme une jeune femme indépendante et amoureuse. Mais les lettres de cette femme, qui elle aussi avaient été écrivain public, réservent bien des surprises!
Ce roman est comme la mer, les vagues qui se répètent mais ne sont jamais identiques. Pleines de vies mais offrant un grand calme et une grande sérénité, les pages de ce roman nous emmènent dans la vie de cette famille qui prend le temps d’aimer la vie en aidant les autres.
Ce livre nous décrit la vie d'une mère de famille qui a une activité d'écrivain public. C'est l'opportunité pour l'auteur de décrire des situations de vie actuelles, telles qu'empêcher un parent âgé de conduire, communiquer à sa belle mère quelque chose qui pourrait être embarrassant, un homosexuel qui informe ses parents de son coming out. En plus la narratrice découvre que sa grand mère a eu une histoire d'amour passionnée avec un homme marié. D'où le titre du livre. J'ai passé un bon moment en lisant ce livre, qui analyse avec beaucoup de justesse les hauts et bas familiaux. L'auteur est par ailleurs très gourmande et décrit des tas de patisseries japonaises qui font moyennement envie.
Mieux que le deuxième tome, moins bien que le premier. On continue à suivre la vie de mariée et maman de Hatoko, qui jongle maintenant entre vie de couple, vie de maman et vie professionnelle. Des thèmes intéressants sont (très) légèrement abordés dans ce troisième tome
Ce tome m'a semblé un peu brouillon et moins bien construit que les 2 premiers. J'ai aimé le fait que d'anciens clients reviennent. Une chose cependant:
Cette série de romans d'Ito Ogawa est de ces livres qu'on ouvre comme on irait à un rendez-vous pour un café avec une amie, légère et ouverte aux confidences, car on est sûre qu'elle nous racontera des histoires d'inconnues, collègues ou amies ou voisines qui partagent toutes la même condition de femme, et on sait d'avance que derrière chaque histoire il y a une crainte commune, ou un ressentiment ou un souvenir de femme, une histoire d'amour oubliée, ou une philosophie de vie... On retrouve la même atmosphère douce et rêveuse des 2 volets précédents. L'autrice nous raconte différentes histoires d'amour empruntes de nostalgie et de passion passée.
Suite de La papeterie Tsubaki (même si les livres peuvent être lus séparément, pourquoi les éditeurs ne précisent-ils pas qu'il s'agit d'un tome 2 ?). Notre écrivaine publique a pris confiance en elle, fondé une famille, fait le deuil de sa grand-mère. Elle doit maintenant affronter la crise d'adolescence de sa belle fille, en continuant d'écrire le courrier d'une galerie de personnages variés. Toujours touchant, le récit parvient à faire naître des émotions pour les clients éphémères, qui prennent le temps d'exister autant que les personnages principaux, ce qui est très agréable.
C’est tellement mignon de voir dans ce troisième tome la famille s’agrandir avec l’arrivée de nouveaux enfants. Encore une fois, j’adore cette atmosphère douce et apaisante qui me donne envie de me plonger dans le livre avec une tasse de thé. Je m’attendais pas du tout à ce qu’il y ait encore un autre volume, donc ça a été une agréable surprise.
Lecture vraiment douce et chouette! J’ai préféré ce tome au premier, La papeterie Tsubaki, même si c’était très sympa de retrouver les personnages. J’ai aimé pouvoir plonger davantage dans l’histoire des personnages, découvrir les petits tracas du quotidien qui peuvent tenailler tout à chacun et réaliser que le meilleur remède contre tous les maux se cache souvent dans la simplicité. De beaux moments de vie sont partagés, même s’ils n’ont rien d’exceptionnel, car ils marquent juste que le plus important dans une existence, c’est de profiter de chaque instant, sans trop non plus se poser de questions, en restant à l’écoute et ouvert à vivre de nouvelles choses.
J’ai adoré ces trois tomes mais je crois que celui-ci détrône le premier et devient mon préféré. Je ne sais pas. En tout cas j’adore l’ambiance de ces livres, j’ai aimé suivre l’histoire de l’aînée, l’évolution du couple, QP qui a bien grandi.
La vie de notre héroïne continue de s’écouler, au fil des saisons, une tasse de thé et une pâtisserie à la fois, accompagné des lettres qui nous font voyager dans le temps.