Les hommes sont omniprésents dans cet immeuble de femmes... dans leurs nostalgies, leurs blessures, leurs colères et leurs désirs enfouis. Cinq femmes d'âges et d'univers différents unies par un point commun fort : elles ne veulent plus entendre parler d'amour et ont inventé une autre manière de vivre ... Jusqu'au jour où une nouvelle locataire vient bouleverser leur quotidien. Juliette est séduite par leur complicité, leur courage et leurs grains de folie. Mais elle, elle, n'a pas du tout renoncé ! Et elle le clame haut et fort. Va-t'elle faire vaciller les belles certitudes de ses voisines ?
Ce roman vif et tendre oscille entre humour et gravité pour nous parler de la difficulté d'aimer, des choix existentiels, des fêlures des êtres humains et de leur soif de bonheur. On s'y sent bien.
Karine Lambert est une photographe belge. Ses clichés sont de minuscules instants essentiels : éclats de rire, de sensualité, de fragilité, de vérité. Dévoreuse de livres, elle a toujours rêvé de partager sa passion pour les mots. D’une façon ou d’une autre, avec des images ou des phrases, elle raconte ce qui la touche.
L’immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes a remporté en 2014 le Prix Saga Café qui couronne le meilleur premier roman belge. Il est également en cours de traduction en plusieurs langues étrangères.
J'ai trouvé ce livre beaucoup trop simpliste et je n'y ai pas trouvé tellement d'intérêt. D'une part, le contenu est plutôt plat, l'auteure dresse le portrait des personnages et c'est tout, il n'y a pas réellement de but à l'histoire, et d'autre part, avec un titre si évocateur je m'attendais à un roman plutôt féministe alors que.... pas du tout. C'était aussi très très hétéronormé donc complètement ennuyant, et le côté "simplet" de l'histoire est beaucoup trop stéréotypé du genre "les mecs sont tous des connards" "mon dernier mec m'a largué par sms je pleure nuit et jour". Bref, je ne recommande pas vraiment la lecture, mais cela dit, ça se lit tout de même très rapidement. La lecture n'est pas désagréable au point de ne pas vouloir le finir!
Muito desiludida... Esperava encontrar uma comédia romântica, com mulheres desanimadas com a sua vida amorosa, desencontros da vida e os homens em geral, mas não foi nada disso que encontrei. Não gostei do estilo da escrita tambem. Muitas frases, muito curtas, por vezes só duas ou três palavras. Não criava envolvimento. Nunca se percebia quem era a personagem que estava a falar, era difícil compreender entre quem eram os diálogos. No final, esperava que pelo menos uma delas encontrasse o seu final feliz, mas ficou tudo em aberto. Ou fui eu que não percebi, ou este livro não funcionou para mim.
Eh bien il y a du bon et du beaucoup moins bon. Commençons par un point positif: le principe. La propriétaire d'un immeuble décide de le rendre interdit aux hommes et n'accepte que des locataires qui acceptent de se plier à cette règle, ce qui donne un immeuble habité par une demi-douzaine de femmes célibataires. Juliette mise à part, toutes ont refusé à avoir des hommes dans leur vie. Le principe est intéressant grâce à ce que ça aurait pu donner. C'est bien écrit. L'écriture est simple, sans fioritures, et le style est concis, ça me plait. L'inconvénient, c'est que c'est, en gros, tout ce qui m'a plu.
Premier GROS point noir: Juliette. Je l'ai détestée d'entrée parce qu'elle a plusieurs défauts majeurs à mes yeux. Déjà, elle insiste lourdement auprès des autres locataires pour les convaincre que la règle "interdit aux hommes" est stupide et qu'elles sont folles de renoncer aux hommes. Comprenez moi bien, elle a le droit de le penser, mais elle ne lâche jamais l'affaire même quand on lui dit que le sujet est clos. Vous savez, comme les gros lourds en soirée qui insistent pour vous payer un verre alors que vous avez déjà refusé plusieurs fois. C'est très pénible. En plus, c'est la règle de l'immeuble, point. À Rome, on fait comme les Romains. Je suis navrée que Carla ne lui en ait pas parlé avant de partir, mais si ça ne lui convient pas, libre à elle de déménager. Personne ne la force à vivre là, après tout, et j'ai une sainte horreur des gens qui essayent sans arrêt d'imposer leur mode de vie aux autres parce qu'ils s'imaginent savoir mieux que les autres ce qui leur convient.
Autre défaut, Juliette a un gros problème avec l'amour et se jette sur le chocolat pour compenser. Plus cliché, tu meurs. Toute sa vie, y compris son travail quand il est mentionné, tourne autour de l'amour et de sa recherche de l'homme idéal. Je ne sais pas si l'auteur a juste voulu en faire une éternelle optimiste désespérément romantique, mais Juliette me parait franchement pathétique avec son idée fixe de "pas d'homme = pas de bonheur". Je comprends très bien que le manque d'attention et d'amour dont elle a souffert dans son enfance ait exacerbé son besoin d'être aimée à un niveau presque pathologique (et encore, c'est prendre un sacré raccourci), mais j'ai l'impression qu'un doudou lui aurait été plus utile qu'un homme. Le célibat lui est clairement insupportable et c'est souvent signe qu'on n'est pas prêt à assumer une véritable relation. Comme quoi, la règle d'or de l'immeuble, celle qu'elle dénigrait tant, aurait pu lui faire beaucoup de bien, surtout que ça nous aurait évité le cliché suivant.
Les autres locataires ont finalement une histoire assez similaire. A part la Reine, qui se terre dans son immeuble pour qu'aucun homme ne voit son déclin, Giuseppina, Rosalie et Simone se sont réfugiées là parce qu'elles ont été blessées par des hommes. Des goujats, des lâches et des hommes abusifs. Ces femmes n'ont jamais rencontré un homme bien. Finalement, Juliette a vu juste sur au moins une chose: "Parce qu'on vous a empoisonnées, vous faites la grève de la faim". C'est ça, et rien de plus. Et c'est très dommage. Elles ont toutes choisi le célibat "faute de mieux", pour ne plus avoir mal. Mais outre le fait que si on ne prend le risque de se faire mal, on ne sera jamais heureux non plus, ces femmes qui s'imaginent s'être affranchies des hommes se sont en fait volontairement emprisonnées pour les éviter. La féministe que je suis a beaucoup de mal à voir le côté libérateur de la chose.
Autre souci avec ces personnages: si l'auteur a bien pensé à développer leur passé douloureux, leur avenir est des plus incertains et leur évolution à peine ébauchée dans la dernière lettre de la Reine. Là aussi, on aurait pu se focaliser sur leur guérison. Juliette, avec sa quête acharnée du bonheur, aurait pu les inspirer et les pousser à ne pas abandonner leur rêve. je suis assez déçue de voir que ces femmes passent de profondément meurtries par leurs expériences passées à pleines d'espoir en l'espace de quelques lignes. Le changement, c'est long et progressif. Il ne suffit pas d'un coup de baguette magique pour soudainement dépasser sa peur et sa douleur.
La Reine m'a parue intéressante jusqu'à ce qu'elle fasse son petit laïus sur le fait qu'elle avait choisi les "mille étincelles" au lieu d'une relation longue durée. Parce que maintenant qu'elle est vieille et que ses douleurs l'empêchent de danser, ce qui était son principal atout de séduction à l'époque, elle reste seule avec ses bambous au dernier étage de son immeuble, comme une princesse prisonnière dans sa tour. Elle pourrait continuer à vivre, sans homme, juste pour elle-même, mais non, l'auteur a choisi de la présenter comme seule, malheureuse et amère. Le "je regrette d'avoir couché à droite à gauche et au centre au lieu de me trouver un gentil mari qui me tiendrait compagnie dans mes vieux jours" est à peine sous entendu et j'avoue que je ne suis pas très friande de ce genre de jugement moralisateur.
Autre point important à mes yeux, dans la société actuelle, une femme qui choisit de ne pas chercher de petit ami est souvent la cible de rumeurs et théories diverses. Les plus répandues sont que cette femme est déviante, lesbienne, frigide ou vieille folle à chat. Ici, on a effectivement des personnages extérieurs à l'immeuble qui pensent ce genre de choses et j'aurais aimé, vraiment, qu'on leur montre qu'ils avaient tort. Mais si Juliette prend la défense des autres locataires quand son meilleur ami demande si elles ne seraient pas lesbiennes, le voisin qui désigne l'immeuble comme une secte, ne bénéficie pas du même traitement.
Je pense aussi que Juliette aurait dû rester quelques temps célibataire dans cet immeuble sans homme et consulter un psy. Je l'ai déjà dit, elle ne me parait absolument pas prête à s'engager dans une relation sérieuse et ce n'est pas en se jetant sur un nouveau petit ami qu'elle va aller mieux. J'aurais aimé qu'elle trouve son bonheur par elle-même avant de rencontrer quelqu'un et elle aurait pu profiter du célibat imposé par l'immeuble pour travailler sur elle-même et sur ses problèmes relationnels. Oui, parce qu'on peut aussi s'imposer un célibat le temps de déterminer nos espoirs et nos attentes dans la vie, pas forcément parce qu'un homme nous a fait du mal. Bref, Juliette aurait dû apprendre à ne plus faire reposer la responsabilité de son bonheur sur une autre personne qu'elle-même et son séjour dans l'immeuble aurait pu l'y aider. En fait, pour elle comme pour les autres locataires de l'immeuble, la fin m'a vraiment fait l'effet d'être tombée complètement à côté. Rien n'est résolu, finalement. Il manque 200 pages de thérapie pour tout le monde entre le début et la fin.
On aurait pu avoir une belle ode au féminisme, une réflexion sur l'amour en général (et pas uniquement romantique) et rappeler qu'on peut être heureuse même en étant célibataire. Mais au lieu de ça, on se retrouve avec des clichés et du Disney qui nous amènent à une fin convenue et sans grand intérêt. C'est vraiment dommage et je suis très déçue. Désolée Mme Lambert, j'espère que j'aimerais plus vos prochains livres.
Ce roman me laisse perplexe. Est-ce un roman décrivant des instantanés de vie à la manière de photos (l’auteur n’est-elle pas photographe ?) ou bien est-ce une daube ?
Même en étant la plus large d’esprit possible, je ne peux mettre de côté l’ennui profond que j’ai ressenti tout au long de ce court roman. Certes, j’ai pouffé de rire à trois reprises. Cela suffit-il pour autant à qualifier cette succession de scénettes de chef-d’œuvre ? Rien n’est moins sûr.
L’auteur a voulu peindre le portrait de femmes meurtries, blessées en amour. Elle a voulu restituer des instants de vies, de souffrances amoureuses, décrire des situations tragiques vécues par les héroïnes. Mais c’est fait de manière maladroite. Se contenter d’instants empêche de profiter de la profondeur qu’aurait mérité un tel sujet.
L’amitié est présente, mais à côté de ça, pour un immeuble de femmes qui ont renoncé aux hommes, je trouve qu’elles en parlent un peu trop, de leur manque d’hommes. Je n’attendais pas un discours féministe, décriant la gent masculine et stigmatisant les hommes à la manière de monstres infréquentables et inférieurs, mais je ne m’attendais pas non plus à un groupe de femmes qui ont le feu aux fesses.
Naturellement, aborder la question du désir, et comment composer avec l’absence de relations charnelles dans ce livre ne manque pas d’à propos, mais là encore, quelle maladresse !
La psychologie des personnages est survolée, on a droit de temps en temps au fil des pages à quelques lignes de portraits. C’est trop court pour être apprécié.
Les plus optimistes diront que ce livre peut être ressenti comme une relation amoureuse passionnelle mais ratée : de l’espoir, des moments où on se dit « waouh !!!! » et de lourdes désillusions.
This is one of the dumbest books I've ever read. The characters are terribly one-dimensional, the plot is nowhere to be found, the language is cheesy and the whole idea of the fact that women just CAN'T live without men is horrible. Absolutely, 100% would not recommend to anyone
Vivant dans un immeuble réservé aux femmes, interdit aux hommes, un groupe de femmes, réunit autour de la Reine, propriétaire et ancienne danseuse étoile, face face à l'incompréhension de la dernière venue quant à leur renoncement des hommes, au point de s'interroger et de se sentir hors de la normalité. Ce qui aurait pu être un livre militant sur la liberté et l'indépendance des femmes qui peuvent tout à fait vivre sans hommes, est, en fait, un plaidoyer sur l'aspect "contre-nature" de leur décision. Sauf que justement, les hommes sont responsables du rejet pour leur sexe de chacune des personnages à l'exception de la dernière arrivée. Ce personnage, justement, incapable de vivre seule, de s'accepter dans son indépendance, est incapable d'envisager sa vie pour et par elle-même. Epitomie de la femme enfant qui a besoin d'un homme pour se sentir exister, on est renvoyé-e à un schéma archaïque pour qu'une femme soit considérée comme normale, elle doit avoir un homme. Lecture facile, mais au final, je trouve que les princes sont pour les contes de fées et qu'une femme sans homme est tout aussi normale qu'une avec. Avec un peu de recul, je ne mets que 2 étoiles car cet ouvrage est par trop conventionnel dans ses vues des femmes et de ce qu'elles devraient être ou faire pour être "normales" et ça me dérange.
«Y dentro, como una mañana gris, una chica que baila y que calla... Y en la música del silencio una chica que baila y que viene a morir.» 3.5 ⭐️ me ha gustado muchísimo esta lectura 🥺 es perfecta para leer en el metro o en ratos muertos. empatizarás con todas y las querrás... porque en fin, la experiencia femenina 🤝
Una lettura scorrevole e disimpegnata, ma che non lascia molto una volta terminato.
L'atmosfera che l'autrice riesce a creare è molto affascinante: un graziosissimo quartiere con abitanti bizzarri ma simpatici, rassicurante e privo di pericoli e zone d'ombra, che ti fa subito venire voglia di trasferirti là. Anche le protagoniste sono gradevoli, ma forse troppo stereotipate: la ballerina che non riesce ad accettare il tempo che passa, l'insegnate di yoga che nomina ininterrottamente chakra, karma e compagnia bella, la giovane donna che vuole l'amore e lo cerca disastrosamente su internet... Insomma, non è certo una storia realistica, ma se il suo proposito è alleggerirci qualche ora dallo stress quotidiano e consigliarci quanti buoni motivi ci siano per non rinchiuderci in casa, allora è un libro che ha fatto centro.
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Écriture légère, fluide, l'idée de l'immeuble des femmes qui ont renoncé au hommes est sympa mais le problème c'est que je l'ai trouver superficiel, sa ne m'a pas fait du bien, et pas du mal non plus car sa se lit vite. L'humour est là certes mais j'ai trouvé les personnages assez peu analysés. Le livre raconte en gros qu'il n'y a pas de bonheur pour une femme sans homme.. Pour moi une femme peut réussire sa vie et trouver son bonheur même sans homme 😁😉😎
Pati istorijos idėja tikrai nėra bloga, net labai intriguojanti, bet pasakojimo stilius ir siužetas toks menkavertis, kad tikrai pradedi gailėti to medžio, kuris buvo paaukotas šiai knygai išleisti. Ne daug vertės pridėjo ir vertimas. Kaip ir rašyta knygos anotacijoje, pagal girdėtą pasakojimą parašyta knyga visiškai pateisina patarlę “girdėjau, kad skambina, tik nežinau, kurioje parapijoje”.
Muito fraco 🥺 A história de várias mulheres que em alguma altura da sua vida foram marcadas por más experiências com o sexo masculino e como solução decidiram abdicar de relacionamentos com eles. Um livro descabido
Mi primer libro del año, es un libro para pasar el rato una tarde, de lectura sencilla, capítulos cortos y mucho diálogo se hace amena. Creo que la escritora podría haberle sacado más partido a los personajes ya que no profundiza mucho en ellos. La Reina, es un personaje con un pasado que se podía haber sacado chica.
A lo que voy, la novela nos traslada hasta un bonito edificio situado en un callejón del distrito XX de Paris, en el que viven 4 mujeres muy diferentes todas ellas pero unidas por una misma decisión . La propietaria, apodada La Reina, bailarina retirada que se gana la simpatía de sus inquilinas, solo tiene una norma que deben acatar " No hay hombres en sus vidas, ni en el Edificio" Esto no supone ningún problema para 3 de las inquilinas ( Simone, Giuseppina, Rosalie) pero para Juliette, la última en llegar, se siente agusto con sus compañeras de piso, pero no aceptará la norma impuesta de renunciar al amor.
C'est sans réelle fantaisie, mais avec élégance et lyrisme, qu'est racontée cette folle histoire de “renoncement” aux hommes. Juliette, nouvellement arrivée dans l'immeuble en question, est une célibataire de 30 ans, en quête d'amour, qui ne comprend pas ce choix. Mais l'amitié aidant, elle va vite trouver sa place parmi cette communauté attachante et conviviale. Moi aussi j'ai fini par m'y sentir à l'aise, malgré les quelques artifices prodigués dans l'écriture. J'ai beaucoup apprécié le message positif et sans prétention de cette lecture !
J’ai trouvé ce livre sympa mais sans plus. Chaque protagoniste a sa propre histoire, ses propres raisons qui lui ont fait renoncer aux hommes. Mais au final, c’est trop académique. L’auteure expose le vécu de chacune, l’une après l’autre et insère des scènes de vie. Ça se lit vite mais ça n’est pas vraiment original.
What a wonderful way to end this year with this little book that presents in a candid and yet harsh way common life. But this book is not about giving up on men but about giving up life. A choice that has to be assumed and to bring peace to the soul. If this does not happen, it means that it is not the right choice. Enjoy life!
⭐2.5 vienintelis geras dalykas, tai pati tema: moterų namas, draugystės, bendrystės. Visa kita taip lėkšta ir paviršutiniška. Gerai, kad knyga plona...
Das Buch wurde mir vom DIANA Verlag alles rezensionexemplar zu Verfügung gestellt. Vielen Dank dafür.
Klappentext
Keine Männer – das ist die Regel. Die Bewohnerinnen eines verwunschenen Hauses mitten in Paris haben der Liebe abgeschworen. Kater Jean-Pierre ist das einzige männliche Wesen, dem sie Zutritt zu ihrer Welt gestatten. Als die junge Juliette einzieht, stellt sie das Leben der unterschiedlichen Frauen auf die Probe. Denn sie hat die Liebe noch nicht aus ihrem Herzen verbannt ...
Inhalt
Juliette zieht in das Haus ohne Männer. In dem Haus leben 4 weitere Frauen, im Laufe des Buches erfahren wir warum sie Männern abgeschworen haben und wieso auch in diesen Haus keine Männer erlaubt sind. Nicht ein mal Handwerker oder Pizza boten, es muss immer eine Frau kommen. Das männliche Geschlecht darf nur bis zum Zaun kommen. Ausser natürlich der Kater Jean-Pierre. Doch mit dem Einzug von Juliette kommt neuer Wind in das Haus und man merkt das die Frauen immer umgeben von Männern sind. Ob es nun der Kater ist oder einfach nur Musik. Auch zerren und leben sie teilweise in der Vergangenheit, diese sind voll mit Männern ob nun gute oder schlechte. Sie können sich teilweise nicht von ihren Männern und ihrer Geschichte lösen und habe durch das erlebte auch sein Vertrauen mehr in die Liebe auch wenn sie noch Lust verspüren. Juliette hat der Liebe und auch den Männern nicht abgeschworen und ist weiter auf der Suche nach einem Mann für das leben ob sie ihn findet müsst ihr selbst heraus finden.
Fazit
Das Buch ist nicht wirklich lang und man hat es schnell durch gelesen. Dennoch auch bei dieser Kürze hat das Buch nicht wirklich Würze ! Was ich ein wenig schade fand. Stellen Weise ist es wirklich zäh und stellen Weise auch langweilig. Es ist auch nicht so einprägen das man jetzt von allen 5 Charaktere die einzelnen Geschichten noch weiß ohne sie durch einander zu bringen. Es ist ein Buch für zwischen durch und leider für mich auch nicht mehr. Von mir gibt es ⭐⭐⭐ 3/5
Напевно, треба завершувати з французькою літературою; ще одна книжка яка зовсім не зачепила бо не було особливо чим. Спочатку ніби набирається цікава компанія - жінки, що живуть в одному домі, та не допускають туди чоловіків, навіть якшо це елетрик. Але потім історії стають пласкими, нудними, ти ледво продираєшся через зовсім ординарне життя сучасної дівчини і думаєш: "а нашо мені це взагалі, якшо в мене під носом всі ті ж самі історії, ціна яким - одна кава з подругою". Там, здається, навіть Тіндер згадується - що дає відчуття наче я статтю у ФБ читаю. Чомусь не люблю згадки про сучасні програми-сайти-тренди у книжках. Це робить їх дуже мінливими, як і самі програми.
j ai eu beaucoup de mal à entrer dans l histoire , mais quite à sauter quelques paragraphes j ai fini par m immerger dans cet univers et ces protagonistes. j ai pu me retrouver un peu dans chacun d eux, jusqu' à être bouleversée par le chapitre final... une jolie lecture, qui porte au delà de la dernière page, vers une reflection sur notre rapport au monde qui nous entoure. poésie...
Um romance fora do vulgar, que me fez sorrir pelos momentos em que eu própria já pensei se não haveria um andar para mim neste prédio. Uma leitura curtinha e que nos pensar se estamos a renunciar o amor ou apenas o sofrimento.
"Então porque desististe? Não desisti dos homens. Desisti, sim, de sofrer. ... A formação de um casal não é a única resposta à pergunta "como ser feliz?"
Je m'ennuyais tellement que j'ai fini par lire en diagonale. Je n'ai plus envie de me forcer avec mes lectures. Si un livre ne me plaît pas, je préfère le lire rapidement et passer à autre chose. Il est très déçevant, je m'attendais à quelque chose de différent. Tant pis.
C’est un immeuble particulier où les locataires ne laissent pas entrer d’homme...leurs histoires, très différentes , les ont amené à ce même choix...sauf Juliette, la dernière arrivée, qui ne veut pas renoncer.
Libro molto scorrevole e molto molto carino. Un libro scritto in modo semplice e leggero, una ventata di aria fresca. Mi è piaciuto davvero tanto tanto tanto. Lo consiglio come libro per uscire dal blocco del lettore o semplicemente come libro leggero dopo una lettura molto più pesante ed emotiva.