Tout juste arrivés au camping du lac aux Sables, Max, Laurence et Charlie sont enchantés par la beauté des lieux et se promettent des vacances de rêve. Pendant que la petite Charlie court se baigner, ses parents ouvrent une bouteille et trinquent à l’été. Puis un incident survient, qui fait pâlir le soleil, suivi d’un deuxième incident tournant à l’engueulade. Dans sa colère, Max insiste alors pour repartir aussitôt. Mais il fait nuit, l’orage gronde, ils sont distraits et prennent la mauvaise direction, enfonçant leur énorme VR dans un étroit chemin forestier qui les mènera vers l’horreur.
Dans ce roman au suspense haletant, Andrée A. Michaud déploie tout son talent afin de nous faire ressentir l’effroi de cette famille que le hasard entraîne dans une spirale sans fin.
Deux fois lauréate du Prix littéraire du Gouverneur général (Le Ravissement, 2001, et Bondrée, 2014), récipiendaire du prix Arthur Ellis et du prix Saint-Pacôme du roman policier pour Bondrée, ainsi que du prix Ringuet en 2006 pour Mirror Lake (adapté au cinéma en 2013), Andrée A. Michaud construit une œuvre éminemment personnelle qui ne cesse, depuis son premier roman, de susciter les éloges de la critique et des lecteurs avides de mystère. Son polar Lazy Bird, porté par des airs de jazz, est paru en 2010 au Seuil, en France, dans la collection Point noir.
3/5. Le début du livre, j'ai adoré! On embarque super bien dans l'histoire, c'est captivant. Par contre, la fin est sincèrement décevante. Je m'attendais à une fin plus surprenante et moins prévisible. Suis-je la seule à avoir été déçue? 😭
Pas mon style habituel, mais j’ai été satisfaite de ma lecture, c’était envoûtant et je voulais savoir ce qui allait arriver. Je ne sais pas trop encore ce que je pense de la fin? Mais je lirais d’autres œuvres de cette autrice! :)
Vraiment très perplexe de cette lecture. J’ai été impatiente d’en découvrir plus après les premières pages, mais la deuxième partie comporte tellement de longueurs (surtout pour le résultat auquel nous arrivons). J’ai l’impression que le roman aurait pu être 2-3x plus court pour la même chose.
Je sais qu’il s’agit d’un thriller. Tout est là. Le rythme rapide. L’action enivrante. L’ambiance glauque. La chasse à l’homme. Les indices qui s’imbriquent bien les uns aux autres au fil des pages qui défilent.
Mais ce roman m’a profondément fait de la peine. Je le considère plutôt comme un drame ?
L’histoire est triste. Les personnages m’ont fait de la peine. Les victimes comme les bourreaux m’ont fait éprouver une réelle pitié quant à leur sort respectif.
Un espèce d’effet papillon qui tourne au désastre dans ses moindres petits détails.
Et la fin. Ça m’a frustrée de ne pas savoir. Pour ne rien dévoiler, disons que la fin concernant un certain personnage m’a rendu le cœur gros.
Si on aime les formules classiques liées aux thrillers, il se pourrait que ce livre ne soit pas fait pour vous.
Honnêtement : je me sens encore perdue dans cette forêt 😰
J’ai pas fini le livre, je trouvais que la deuxième partie était de trop et ça m’a fâché. Maudite famille qui se mêle pas de ses affaires. C’est passé d’un thriller inquiétant en une histoire de mémérage de mère gossante en un claquement de doigt.
Dès le début, le manque de structure m’a dérangé. Les dialogues imbriqués dans des phrases interminables à la ponctuation douteuse… je n’avais jamais vu ça. Si cela avait pour but de créer un certain effet, ça n’a pas vraiment fonctionné pour moi.
La première partie se conclut en laissant plusieurs détails en suspens. La deuxième partie quant à elle n’apporte pas vraiment de réponses à ces questions et est d’une longueur interminable. Le 3/4 aurait pu être supprimé sans impact sur l’histoire. Le seul point positif que j’ai trouvé est qu’on cherche tout de même à savoir ce qui va se passer jusqu’à la fin. Mais que dire de la fin…
deuxième lecture stressante de la semaine, moi qui ai un peu peur quand j’entends le thème musical de dossiers mystères… mais surprise! j’ai tout aimé sauf le sentiment de laisser les personnages en mauvaise posture lorsque je devais déposer mon livre pour retourner travailler.
mon coeur bat encore fort d’avoir été pris au jeu dans cette histoire qui mets les nerfs en boule.
J’ai bien aimé ma lecture! J’ai lu la première partie et écouté la deuxième sur OhDio.
J’ai beaucoup aimé la plume de l’autrice. L’intrigue de la première partie est enlevante, le rythme soutenu, tout est là pour nous donner envie de tourner les pages rapidement.
La deuxième partie est plus lente, mais j’ai trouvé ça bon quand même. J’ai été dérangée par l’attitude de la mère, j’ai roulé des yeux, mais c’était le but j’imagine?
Je ne comprends pas le gros buzz autour de ce livre. Oui, ça se lit rapidement, mais c'est long longtemps, ça s'essouffle et c'est prévisible. L'écriture est redondante et facile et je suis fâchée que Mariana Mazza l'ait un peu comparé à "Ce que je sais de toi".
Ouf tellement d’émotions contradictoires, je pense que c’est la première fois que j’ai autant de misère à me décider pour une note. Y’avait des parties qui valaient 2 ⭐️ et y’avait d’autres parties qui en valaient 4. J’ai vraiment pas aimé le style d’écriture; dialogues inclus directs dans les paragraphes, temps de verbes et le fait qu’il n’ait pas de chapitres. En même temps, le livre m’a vraiment perturbé, surtout la fin, je comprends rien😵💫
D’abord, à lire tous les commentaires liés aux dialogues à même les paragraphes, je suis contente d’avoir consommé ce roman en mode audio. La livraison est excellente, probablement la meilleure de tous les livres audio que j’ai écoutés.
J’ai beaucoup aimé la première partie, j’étais investie dans l’intrigue. Mais j’ai trouvé pénible la 2e partie. Pénible. Trop de détails, trop de personnages auxquels on ne s’attache pas.
J’aurais donné 4 à la 1ere partie et 2 à la 2. Donc 3 étoiles.
Je pensais ne pas vraiment aimer ce livre, car les dialogues sont inclus dans le texte en un seul bloc, ce que je trouvais bizarre au début. Mais finalement je me suis habituée et j’ai bien aimé. J’ai préféré la première moitié à la deuxième, que j’ai trouvé un peu longue, mais sinon c’était très bien. J’aurais aimé avoir plus le ressenti de Laurence dans cette deuxième partie.
Horrible livre un des livres que j’ai le plus détester de ma vie! Je ne comprends pas les review de 4 étoiles franchement ridicule et fini ultra mal. Énormément de details non nécessaires pour remplir des pages d’informations qui ne sert a rien. Des sujets lourds et pas vraiment de justice dans ce livre. Vraiment wow quel perte de temps premier et dernier livre que je lis de cette auteure
Wow, la première partie est d’une intensité incroyable, cette autrice écrit des atmosphères de tension et d’angoisse comme personne! Et que dire de la deuxième partie! Tellement malaisant …. wouahhhh!!!! Je me suis régalée!!!!!!
Écouté en audio... j'aurais dû le lire. Je suis beaucoup moins froussarde avec des mots sur des pages et je ne suis pas cliente pour de l'horreur en film... et je le réalise, en audio. En plus, les pubs sur OhDio m'ont agacée. Bref, mauvaises conditions. Contrairement à la plupart des gens, j'ai préféré la seconde partie.
Mes attentes étaient élevées... mais c'est un cas de "rencontre manquée".
Écouté sur OHdio. Très bonne réalisation avec le bruitage qui contribue à l’ambiance mystérieuse et tragique. Le thriller n’est pas mon style de prédilection. Je me suis laissée tenter car ça se passe en forêt. Je peux reconnaître la qualité du roman. Et l’intérêt de le lire. Mais je reste sur ma position. Des thrillers, je préfère voir ça en film. Pas en livre.
je recommande vivement en version audio. un vrai chef-d'œuvre. bien équilibré, sans longueurs et narrer avec brio. merci beaucoup à Madame Andrée A. Michaud.
C’est bien écrit et l’histoire est engageante. J’ai apprécié le contraste de rythme entre la première et la deuxième partie. Cela dit, je ne suis pas certaine de comprendre le hype. C’était bon, mais assez oubliable à mon avis.
Début très intriguant et rythmé. La seconde partie est toutefois devenu beaucoup plus lente et certains passages étaient longs, ce qui m’a fait décrocher.
Avec son titre « Baignades » annonce de belles perspectives. Des journées chaudes d’été, des rires, des éclaboussures, des gouttes d’eau qui viennent perler les cheveux. Il appelle aux vacances et à la tranquillité. C’est d’ailleurs ce que viennent chercher Max, Laurence et leur fille Charlie dans un camping, coin de nature sauvage près d’un lac. Deux semaines rien qu’à eux pour prendre le temps d’être pleinement ensemble. L’endroit où ils posent leur camping-car semble paisible, et leurs voisins charmants.
Un premier incident de « Baignades » vient fissurer la belle harmonie familiale. Il faut du temps pour calmer tout le monde, mais les voisins proposent un barbecue pour assainir les tensions. C’est précisément à ce moment-là qu’un second incident, bien plus grave celui-là, fracture la promesse de cette pause estivale. Max, dans une rage folle, décide de lever le camp. Peu importe l’alcool bu lors de la soirée, peu importe la nuit qui approche, peu importe l’orage qui gronde… C’est le début d’un engrenage infernal qui va propulser la famille dans une spirale de mauvaises décisions. La voilà engagée sur un étroit chemin forestier, sous des trombes d’eau. La forêt devient alors le théâtre d’un huis clos glaçant.
« Baignades » raconte ce cruel effritement de la normalité pour devenir quelque conte cruel où se mêlent lucioles, bûcheron et chasseurs. La lente descente aux enfers est d’une intensité rare et le lecteur est littéralement suspendu à son livre. Chaque nouvelle décision prise le fait hurler tant le drame potentiel qui peut en découler est anxiogène. Andrée A. Michaud utilise une tension viscérale permanente pour planter les germes de ces catastrophes en chaîne que rien ne semble pouvoir arrêter. C’est diabolique et implacable.
Cette forêt, précédemment si accueillante, devient le berceau d’instincts vils et d’instincts de survie. Elle est un révélateur de personnalité, déploie tout l’éventail des peurs humaines et oblige les différents personnages à se dévoiler. L’atmosphère de « Baignades » est asphyxiante, et le lecteur, transi de froid puis de chaud, ressent la peur, la sueur, et les angoisses de Laurence et de Charlie. Les pensées s’emballent, les mots ébranlent, et les actions terrifient. Ce roman est une expérience immersive incroyable, tant le style d’Andrée A. Michaud étrangle.
Construit comme un thriller, avec tous les codes du genre, « Baignades » est pourtant un vrai roman noir où l’atmosphère est le personnage principal. C’est elle qui vous empoigne les tripes. C’est elle qui s’insinue dans votre âme pour vous obliger à éprouver les émotions de tous. L’écriture d’Andrée A. Michaud joue un rôle d’amplificateur pour donner à ce décor plus de poids encore.
Sa plume joue avec les rythmes en insérant par exemple les dialogues dans la narration, et crée des ruptures. Certains choix narratifs participent à une musicalité unique et permettent de bousculer et de captiver en même temps. Les descriptions cinématographiques et les moments d’introspection pure prennent à la gorge. Peu sont capables d’une telle prouesse, et en France, je n’en vois que deux : Maud Mayeras et Sandrine Collette. L’écrivaine creuse dans la psychologie avec une précision quasi chirurgicale pour montrer à quel point un micro-évènement peut faire imploser une famille de l’intérieur.
« Baignades » se divise en deux parties. La première, haletante, vous empoigne dès la première ligne. La seconde, plus calme, n’en est pas moins terrifiante puisqu’elle explore « l’après », ce territoire opaque et étrange de la réadaptation, voire de la reconstruction où les plaies suintent encore malgré les pansements posés à la hâte. Quel est le prix de l’oubli ? Quel est le coût du pardon ? Quelle place prennent les traumatismes et les non-dits ?
Cette seconde partie débute quatre ans plus tard, dans une maison de campagne où une famille se réunit pour fêter la Saint-Jean. La tension de la première partie a disparu, mais c’est une autre forme d’étranglement qui prend place. L’inconfort des souvenirs et des séquelles invisibles a muté. Les non-dits ont pris toute la place et l’anxiété d’avoir à avouer certains liens est omniprésente.
Un nouveau personnage prend place, et c’est par ses yeux que le lecteur est à nouveau placé dans le rôle du témoin. C’est un peu comme si l’on assistait aux différentes scènes vues d’en haut. La priorité est donnée à maintenir l’harmonie et, de fait, une certaine normalité. Mais c’est une normalité d’apparat. L’instinct de protection s’entremêle à une méfiance visqueuse. Ainsi, « Baignades » se recentre sur les dynamiques familiales, et sur les liens. À travers les silences, le doute, et la suspicion, tout devient prétexte à réinterroger le passé.
L’ensemble de « Baignades » ressemble à un monstre tapi dans les bois. Sauf que ce monstre n’en a que le nom. C’est l’Homme le véritable danger, l’Homme avec ses failles et ses instincts. Andrée A. Michaud met en scène notre humanité fragile, qui ne tient finalement qu’à un fil, et interroge la responsabilité des actes, la survie qui écrase et l’amour qui titube.
J’ai été subjuguée par ce texte, par son intensité remarquable et par son écriture si précise. « Baignades » est profondément ancré dans une littérature du ressenti, du séisme intérieur et de l’intime. Si vous voulez savoir comment une nuit peut vous hanter une vie entière, n’hésitez pas. Les abîmes des émotions humaines vous attendent…
Omg je suis sans mot! Je viens de le finir et je ne m’attendais pas à cette fin! Mais quel cauchemar pour Laurence et Charlie. J’ai tellement aimé. J’ai écouté la première partie en audio durant un weekend de camping… exactement comme dans le livre! J’ai eu peur. J’ai été captivé du début à la fin! Je dirais même que ce livre fait partie de mes coup de cœur❤️ très différent de ce que j’ai l’habitude de lire!
Max, Laurence et leur fille de 5 ans, Charlie, prennent des vacances au camping du lac aux Sables. Ils passent un bon moment jusqu’à ce que ça bascule et qu’ils décident de quitter l’endroit à la tombée de la nuit, malgré un orage qui se profile. Puis les choses basculent encore, et encore.
Andrée A. Michaud est la reine québécoise des ambiances angoissantes et oppressives ! On se retrouve encore dans la forêt, un lieu riche que l’autrice aime exploiter à son maximum. On sent les odeurs, on voit l’environnement hostile, bref, on est LÀ avec les protagonistes. Comme dans tous ses romans, quelques personnages sont en proie à une lutte entre la part d’ombre et celle de lumière qui les constituent. D’autres doivent puiser au fond d’eux la force de se sauver.
Toute la première partie est addictive. La petite famille s’en sortira-t-elle ? Sur quoi sont-ils tombés ?
Puis, vient la deuxième partie qui a lieu quatre ans plus tard alors que Laurence va passer la Saint-Jean-Baptiste chez ses parents, comme c’est leur tradition. Honnêtement, j’aurais synthétisé pour ne garder que l’essentiel. Ç’aurait été plus punché. Là, j’ai eu des pertes d’intérêt dans tout le récit de la réunion familiale et des suspicions de la mère. C’était, à mon avis, une surenchère de doute, pis d’inquiétudes, pis de méfiance. C’était redondant.
Les 30 dernières pages sont, selon moi, moyennes. La fin m’a déçue. J’y ai peu cru. J’aurais aimé quelque chose de plus spectaculaire. D’autant plus que toute la narration du rassemblement familial, j’ai trouvé ça moins dynamique et moins original. Dommage. Ça demeure, somme toute, un bien bon roman.
Mais, OMG, la révélation à la page 200 !
As-tu lu Baignades ? As-tu déjà lu Andrée A. Michaud ? Es-tu fan ?
3/5 pour la première partie, 2/5 pour la deuxième. J'ai écouté la version audio du roman, bien narrée par Ève Duranceau. J'ai bien aimé les effets sonores et les instruments à corde qui contribuaient à rendre l'ambiance inquiétante. J'ai apprécié la 1re partie et je voulais connaître le dénouement de l'histoire. J'avais l'impression de regarder un film d'horreur et d'être découragée par les décisions parfois irréfléchies que prennent les personnages. Par contre, j'ai été déçue de la (trop longue) 2e partie. J'ai trouvé le personnage de Madeleine bizarre dès le début. Je ne comprenais pas sa façon de réfléchir. Comment peut-elle trouver que son fils sent la neige au mois de juin, ça sent quoi la neige ? Pourquoi la fixation sur les odeurs ? Et pourquoi est-elle autant préoccupée par la vie sexuelle de sa fille ?? Si l'intention de l'autrice était de rendre les lecteurs mal à l'aise en lisant les réflexions de Madeleine, c'est réussi. Je me suis forcée pour terminer l'histoire et j'ai appris que, comme lectrice, je n'aime pas les fins ouvertes! 😅
La première partie m’a vraiment accrochée! Ça faisait longtemps que je n’avais pas eu autant de misère à poser un livre pour aller dormir! Malheureusement, la deuxième moitié m’a moins captivée. Je croyais vraiment que ce serait un 5 étoiles, mais la fin m’a déçue. Elle laisse trop place à l’interprétation à mon goût; j’aurais préféré quelque chose de plus clair. À noter : il n’y a pratiquement pas de chapitres et les dialogues sont intégrés dans les blocs de texte (C’est surprenant au début, il faut s’ajuster). J’aurais aimé que la première partie soit un peu plus longue, et la deuxième un peu plus courte. J’ai très hâte de voir le film (prévu pour 2026)!!
Premier livre que j’ai écouté en livre audio, j’ai bien aimé l’expérience avec la musique et la narratrice est excellente. J’ai adoré la première partie du livre, si ça c’était arrêté là j’aurais donné 4 étoiles.
Par contre, la deuxième partie laissait à désirer… beaucoup de longueurs et beaucoup de personnages un peu inutiles. J’aurais donné 2 étoiles à cette partie.
Donc ça donne 3 étoiles comme moyenne, la note de passage quoi.
Mmm… 1ère partie j’ai vraiment adoré, très intrigante et le rythme est soutenu j’aurais donné 4 étoiles. Par contre, 2e partie beaucoup trop de longueurs et de futilités… ça a un peu tout gâché à mon avis, un 2 étoiles max.. donc j’y vais pour 3/5. Lu en partie, puis écouté en livre audio, vraiment excellent je recommande plus le format OHdio qui est très bien livré!