Comment ça va pas ?: Conversations après le 7 octobre

by Delphine Horvilleur

Fracassée comme tant d’autres après le massacre perpétré par le Hamas le 7 octobre 2023 en Israël, l’auteur voit son monde s’effondrer. Elle dont la mission consiste à porter la souffrance des autres sur ses épaules et à la soulager par ses mots, se trouve soudain en état de sidération, impuissante et aphasique.Dans la fièvre, elle écrit alors ce petit traité de survie, comme une tranche d’auto-analyse qui la fait revenir sur ses fondements existentiels.Le texte est composé de dix conversations réelles ou imaginaires  : conversation avec ma douleur, conversation avec mes grands-parents, conversation avec la paranoïa juive, conversation avec Claude François, conversation avec les antiracistes, conversation avec Rose, conversation avec mes enfants, conversation avec ceux qui me font du bien, conversation avec Israël, conversation avec le Messie.Ce livre entre en résonnance avec Vivre avec nos morts (puisqu’il s’agit ici, a contrario,   de l’angoisse de mourir avec les vivants), avec Réflexions sur la question antisémite (puisque c’est le pendant personnel, intime et douloureux à l’essai plus intellectuel et réflexif) et à Il n’y a pas de Ajar (puisque la musique, le ton, la manière des dialogues oraux font écho à ceux du monologue théâtral).Comme toujours avec l’auteur, le va et vient entre l’intime et l’universel, entre l’exégèse des textes sacrés et l’analyse de la société actuelle, entre la gravité du propos et l’humour comme politesse du désespoir, parvient à transformer le déchirement en réparation, l’inconfort en force, l’inquiétude en réassurance et le doute en savoir.

Genres: Jewish, Israel, France, Nonfiction, Politics

160 pages

First published April 16, 2024

About the author

Elle est une femme rabbin française appartenant à l'organisation juive libérale Judaïsme en mouvement issue du Mouvement juif libéral de France et de l'Union libérale israélite de France, écrivain et philosophe.

Elle est membre du Conseil des rabbins libéraux francophones ainsi que directrice de la rédaction de la Revue de pensée(s) juive(s) Tenou'a.
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She is France's third female rabbi, and (as of 2012) editorial director of the quarterly Jewish magazine "Revue de pensée(s) juive(s) Tenou'a". She leads a congregation in Paris, and is currently co-leading the Liberal Jewish Movement of France, a Jewish liberal cultural and religious association affiliated to the World Union for Progressive Judaism.

Reviews

[Jessica · Rating 5 out of 5]

Lire Delphine Horviller me donne toujours envie de me convertir au judaïsme alors que je suis clairement la plus athée des athées. C’est pour situer combien j’aime les mots de l’autrice.
Comment ça va pas? est bien plus triste que ses ouvrages précédents (oui même celui sur la mort), on y sent un désespoir de voir le monde tel qu’il est et vers où il semble se diriger (bienvenue Delphine on a du café ). Cette peur ancestrale qui remonte soudainement, ces amis qui soudainement exigent une prise de position, ce refus de la complexité des choses. Il y a aussi ceux avec qui le dialogue est riche et possible, un peu d’espoir malgré tout. Mais aussi un grand pessimisme que je partage totalement.

[Esha · Rating 3 out of 5]

Altijd een risico als geestelijk leiders zich politiek uitlaten. Horvilleur houdt het tot een minimum, maar genoeg om me eraan te herinneren hoe ver we uit elkaar staan. Desalniettemin weet ze iets in me op te graven en aan het licht te houden dat ik de rest van de tijd diep wegstop, voor mezelf en alle anderen. Daar kan ik alleen maar van onder de indruk zijn.

[Rebecca · Rating 4 out of 5]

(3.5) Horvilleur is one of just five female rabbis in France and is the leader of the country’s Liberal Jewish Movement. Earlier this year, I reviewed her essay collection Living with Our Dead, about attitudes toward death as illustrated by her family history, Jewish traditions and teachings, and funerals she has conducted. It is important to note that she expresses sorrow for Palestinians’ situation and mentions that she has always favoured a two-state solution. Moreover, she echoes Hammad with her final line, which hopes for “a future for those who think of the other, for those who engage in dialogue one with another, and with the humanity within them.” However, this is a lament for the Jewish condition, and a warning of the continuing and insidious nature of antisemitism. Who am I to judge her lived experience and say, “she’s being paranoid” or “it’s not really like that”? My job as reader is simply to listen.

There is by turns a stream of consciousness or folktale quality to the narrative as Horvilleur enacts 11 dialogues – some real and others imagined – with her late grandparents, her children, or even abstractions (“Conversation with My Pain,” “Conversation with the Messiah”). She draws on history, scripture and her own life, wrestling with the kinds of thoughts that come to her during insomniac early mornings. It’s not all mourning; there is sometimes a wry sense of humour that feels very Jewish. While it was harder for me to relate to the point of view here, I admired the author for writing from her own ache and tracing the repeated themes of exile and persecution. It felt important to respect and engage.

Originally published on my blog, Bookish Beck.

[Clémence · Rating 5 out of 5]

Un livre à mettre entre toutes les mains.

Lire Delphine Horvilleur est toujours un plaisir, tant son travail de la langue est soigné. Elle accomplit l'exploit d'une écriture légère et profonde, drôle et réfléchie, précise et ludique tout à la fois.
Par cette écriture pleine de délicatesse, elle fait entendre des vérités essentielles, des angoisses eternelles, des paroles bouleversantes.
Ma note ne concerne que l'écriture et le format du livre (des chapitres très courts, qui se lisent facilement, mais sont liés les uns aux autres, il y a une vraie structure dans cet enchaînement de conversations), je ne serai absolument pas à ma place pour noter le contenu.

Mais sa parole qui invite à n'oublier aucune douleur, à ne pas faire le jeu des extrémismes et de la haine, est d'une importance cruciale aujourd'hui.

[Jean-Marie Lasbleis · Rating 2 out of 5]

Je comprends la sensibilité développée mais le point de vue palestinien est complètement invisibilisé. C'est comme si le 7 octobre était purement un acte antisémite alors qu'il a forcément d'autres causes complètement niées. Je suis déçu.

[Xavier Alexandre · Rating 4 out of 5]

Peut-être le livre de Delphine Horvilleur qui m'a le plus touché. Elle y exprime son désarroi d'avoir été une femme de gauche, pro-paix, pour le dialogue, et maintenant qualifiée de fasciste, conservateur, réac, juste parce qu'elle est juive justement, et parce que le destin d'Israël la concerne et l'inquiète. A mon humble échelle, exactement la même chose m'est arrivée.

[Liran Nadi Golan | לירן נדי גולן · Rating 3 out of 5]

Has some interesting conversation about intergenerational trauma, especially in the beginning, though it feels dragged out a little at times. Also a nice dive into Ashkenazi Jewish culture, including history and plenty of Yiddish. However, the author has some blind spots when it comes to Israel-Palestine that become apparent more in the middle of the book.

Horvilleur has good personal insight into historical antisemitism, as well as modern antisemitism in France. However, she does not have the same level of understanding about Palestine and issues facing Palestinians. Horvilleur addresses pro-Palestine individuals who use Palestine as a justification for their antisemitism, and the double-standards in how Jews are expected to interact in our political world. She does not address individuals who are pro-Palestine and against the actions of the Israeli military for genuine reasons. At one point in the last chapter, she addresses how Hamas hurts Israelis, how the Isralei government hurts Israelis, and how Hamas hurts Palestinians, but not how the Israeli government hurts Palestinians. Horvilleur tries to be sympathetic to the Palestinian people, and states that she is pro-ceasefire and against the killing of Gazan civilians, but she never really faces just how much the Israeli government and military has devastated Gaza.

Some parts toward the end redeem the book a bit. In the second to last chapter, she speaks against the current Israeli government, especially Ben-Gvir’s party, and the overall shift right-ward in Israeli politics. She warns against the current “arrogance” and “religious supremacy” of some Israeli Ministers, and of the danger of leaning too much on violent force. She also speaks of her frustration with how many people treat Israel-Palestine as an either-or scenario, where you can only support people and victims on one side: “There are certain bastards who would like to force us into partial deafness, depending on our context and our selective memories or debts of identity. You’re meant only to hear the screaming voices of one side, not the other.” Horvilleur begins the book with Palestinian poetry from Mahmoud Darwish and ends it with Israeli poetry from Yehuda Amichai, a clear attempt to listen to both voices.

Horvilleur ultimately fails to overcome some blind spots, but a real attempt is made. And her wordplay is fun.

[Franck Emsallem · Rating 5 out of 5]

Voici un essai remarquable qui décrit très bien l’état de sidération dans lequel se trouve la grande majorité des Juifs depuis le 7 octobre 2023. En imaginant des discussions imaginaires avec plusieurs personnes (y compris avec ses grands-parents morts depuis quelques années), Delphine Horvilleur met des mots sur le malaise qui s’est installé très rapidement. Sans jouer au va-t-en guerre et fidèle à sa parole de paix, elle exprime son incompréhension des réactions du reste du monde face à l’horreur absolue et s’inquiète à juste titre de la montée d’un antisémitisme décomplexé. Notons que son discours est très loin d’être dogmatique et partisan. À faire lire de toute urgence à ceux qui ne nous demandent plus « comment ça va ? ».

[Rene John · Rating 4 out of 5]

14 mars 2024
Le titre de cet essai peut surprendre, mais il a l’avantage d’annoncer clairement qu’il ne s’agit pas d’une analyse géopolitique sur les relations israélo-palestiniennes. L’ambition de ce petit traité est à la fois plus modeste et plus audacieuse. Au fil de conversations réelles ou imaginaires Delphine Horvilleur parle de la douleur, de la mémoire transgénérationnelle, des fantômes du passé, du langage, de la vulnérabilité et de l’empathie… Bien que la thématique n’ait rien de léger, le propos, teinté de dérision, ne manque pas d’humour.
« Le propre de la guerre, selon l’autrice, est d’assassiner le langage, en même temps que les innocents et la subtilité ». La rabbine fustige ainsi les antiracistes, qui se sont, selon elle, détournés de la lutte contre l’antisémitisme, étrille les féministes sur leur silence face aux violences sexuelles commises contre des Israéliennes par le Hamas, déplore le retour du langage antisémite dans la vie politique, à gauche comme à droite.
Heureusement, écrit Delphine Horvilleur, « nous ne sommes pas “que” ce qui nous est arrivé… seulement ce qu’on en fera ». Et d’esquisser un chemin pour transcender la souffrance et ne pas désespérer d’aboutir, un jour, à une société juste. Donnant à ce manuel de survie une dimension universelle.
« Comment ça va pas ? Conversations après le 7 octobre ».
Delphine Horvilleur. Bernard Grasset. Paris. 2024.

Fracassée comme tant d’autres après le massacre perpétré par le Hamas le 7 octobre 2023 en Israël, l’auteur voit son monde s’effondrer. Elle dont la mission consiste à porter la souffrance des autres sur ses épaules et à la soulager par ses mots, se trouve soudain en état de sidération, impuissante et aphasique.
Dans la fièvre, elle écrit alors ce petit traité de survie, comme une tranche d’auto-analyse qui la fait revenir sur ses fondements existentiels.
Le texte est composé de dix conversations réelles ou imaginaires : conversation avec ma douleur, conversation avec mes grands-parents, conversation avec la paranoïa juive, conversation avec Claude François, conversation avec les antiracistes, conversation avec Rose, conversation avec mes enfants, conversation avec ceux qui me font du bien, conversation avec Israël, conversation avec le Messie.
Comme toujours avec l’auteur, le va et vient entre l’intime et l’universel, entre l’exégèse des textes sacrés et l’analyse de la société actuelle, entre la gravité du propos et l’humour comme politesse du désespoir, parvient à transformer le déchirement en réparation, l’inconfort en force, l’inquiétude en réassurance et le doute en savoir.

[Mariana Cecillon · Rating 5 out of 5]

Delphine Horvilleur me hace conectar con una espiritualidad que me sorprende y me interesa.

Desde el 7 de octubre hay una fractura en el mundo. Una más. No una nueva, simplemente una más. Algunas reciben más prensa que otras, pero todas ellas manifiestan hasta qué punto las ideologías, los nacionalismos, las religiones, las deudas identitarias y la memoria selectiva quieren forzarnos a “elegir un lado”. Vivimos rodeados de conflictos signados por una dicotomía intolerante que nos aleja cada vez más de nuestra humanidad y de nuestra empatía. No se nos permite llorar el dolor de unos Y de otros. El péndulo de la Historia, en su constante vaivén, nos antagoniza de forma cíclica como especie.

Con mucha nobleza, una pizca de humor e ironía, Horvilleur le pone voz —su voz— a una postura que exige un grado más de reflexión, y que por su falta de amarillismo y antagonismo, resuena menos fuerte que otras. El dolor y el sufrimiento de las víctimas de Gaza, no hace de todos los Israelitas —ni, por extensión, de todos los judíos—, “poderosos” (como oposición a la fragilidad de una víctima) ni culpables de una masacre.

Siento que el debate actual solo admite esta mirada: de un lado un Estado poderoso y ultramilitarizado. Del otro, niños huérfanos y un genocidio. No se permite concebir como víctimas a las fatalidades del lado israelita, entre varios argumentos antisemitas, por tener un estado militar y económicamente mejor preparado, o por el liderazgo arrogante de la ultraderecha al poder o por la disparidad de número de muertos. La opinión mayoritaria parece olvidar con sorprendente facilidad que frente al poder militar israelí, hay un grupo terrorista sanguinario, que desde su manifiesto político y su ejercicio del terror, instrumentaliza y somete a su propio pueblo a la violencia.

Hay muchas ideas que Horvilleur expresa mejor que yo. Y para eso está este libro. Para invitarnos a pensar un nuevo tipo de mesianismo. Uno que permita reconstruir una conversación perdida, revisar nuestra tolerancia y, sobre todo, volver a pensar en el otro.

[CharlyyGentlePhoenix · Rating 4 out of 5]

Bienvenue dans « Ca passe ou ça casse » l’émission du Phoenix. On va tenter de vous convaincre en parlant notamment du début. Alors, ça passe ou ça casse ?

Aujourd’hui au menu :

« Comment ça va pas ? Conversations après le 7 octobre » -Delphine Horvilleur - 160 pages – Grasset - Le 21 Février 2024

Il s’agit d’un recueil de conversations « vraies ou imaginaires » …
Conversation avec ma doleur –
« Oy a brokh’ » désigne la capacité très juive de savoir se plaindre avec humour. La puissance d’un sanglot qui pouffe de rire.
C’est censé être une conversation sur la douleur mais j’y vois beaucoup d’humour.

Conversation avec mes grands-parents –

Conversation avec la paranoïa Juive –

— De Dieu ? Tu parles de Dieu, Mémé ?
— Mais non. Ça, c’est les goys qui l’appellent comme ça, ceux qui croient en lui… Nous les yids, les jvifs, on lui donne toujours un autre nom. Parfois, on l’appelle ADONAI, mais, comme on est un peu intime avec lui, et que ça fait très longtomps qu’on lui parle et qu’il s’en fout, alors on lui donne des petits noms mignons.

(« Adonai » est aussi une chanson de « Eths » donc je n’arrive pas à savoir si elle est contre ou pour la religion Juive… Allez écouter ça sonne bien en tout cas…)

Conversation avec Claude François –

Conversation avec les Anti-Racistes –

Etc …

(C/C du résumé)…
*« Fracassée comme tant d’autres après le massacre perpétré par le Hamas le 7 octobre 2023 en Israël, l’auteur voit son monde s’effondrer. (…) Dans la fièvre, elle écrit alors ce petit traité de survie, comme une tranche d’auto-analyse qui la fait revenir sur ses fondements existentiels. »

Que vous soyez juifs ou non, cela pourra vous plaire. Il n’y a pas de hiérarchie des douleurs.

Alors ça passe ou ça casse ?!...

Phoenix
++

[adeline Bronner · Rating 5 out of 5]

Émouvante, tendre, en colère, déprimée mais toujours ce merveilleux humour.
Notre Rabbine nous accompagne dans ces moments terribles où nous sommes sommés de dire notre humanité pendant qu’on crache ou méprise nos morts et nos absents.
Mais nous tenons bons. Comme en 2015, nous restons debout. Sonnés mais debout.
« il faut parler yiddish. Ne vous y méprenez pas, ce n’est pas la langue des juifs. C’est celle des hommes qui perçoivent, des profondeurs du désespoir, que leur humanité chancelante demande à être sauvée »

[Anne · Rating 4 out of 5]

A la suite de la tragédie du 7 octobre, l’autrice décrit ce drame qui la traverse. Au moyen de conversations imaginaires avec ses proches, ses aïeuls décédés, ses amis ou ses ennemis, elle parle de l’incompréhensible, de la destinée des juifs au travers des siècles et des lieux, de la volonté de certains de détruire ce que d’autres souhaitent construire, à savoir vivre en paix ensemble.
Parfois un peu trop érudit pour moi, mais écrit avec talent, à la fois poignant et émouvant, drôle et terrible.

[Pierre Lab · Rating 5 out of 5]

J'admire énormément Delphine Horvilleur. J'utilise très rarement ce mot parce qu'il en faut beaucoup pour me marquer, m'impacter à ce point. Avec elle cela vient très naturellement, comme une évidence.
Son dernier ouvrage "Comment ça va pas ?" est remarquable (comme les précédents). À travers ses peurs, ses craintes, ses questionnements, Delphine Horvilleur prône un message de paix, de tolérance pour un monde qui en a plus que jamais besoin.

[Julien Levy · Rating 5 out of 5]

I recommend this book if you want to understand how many people felt after October 7 2023.

It follow her way of thinking, it includes references to her other book maybe all her book are the same ? She has talent putting together Torah teaching, littérature and real world events. I do think she has a political agenda or strong view that bother me, her writing is not from a rabbi neutral point of view.

[Perlie · Rating 5 out of 5]

While Horvilleur and I probably don't agree on lots, I am behind her on this work! She's insightful, funny, honest, vulnerable, and shines a strong light on what's happening now in the world, and reflects so many of our feelings. Please read this. She says things we need to hear in our current reality. A week after having read this, I chatted with another French Jewish woman, who echoed so much of what Horvilleur says. It's painful and sadly - unifying.

[Christine · Rating 5 out of 5]

Je ne connaissais pas cette auteure. Delphine Horvilleur est non seulement ecrivaine mais également rabbine.

A travers son regard humaniste on comprend que les évènements du 07 octobre 2023 ont marqué la communauté juive Un conflit entre deux peuple qui persistent. A travers son texte elle nous ouvre les yeux sur le comportements de certaines personnes.

A lire pour comprendre l'actualité du jour

[The Reading Bibliophile · Rating 5 out of 5]

Malgré sa douleur immense, Delphine Horvilleur a écrit un livre digne, subtil, nuancé... humain en somme toute. Tellement à son image. Plus que jamais, on a besoin de personnes publiques comme elle et on a besoin que ceux qui nous gouvernent écoutent des gens comme elle tout le temps. Il en va de la sauvegarde de nos libertés.

[Mathilde Michel · Rating 4 out of 5]

"Comment ça va pas" by Delphine Horvilleur is a book that explores the pain and problems facing the Jewish community after the event of 7 October. Despite the seriousness of the subjects covered, the book is easy to read and offers a thorough reflection on the challenges facing the Jewish community. It is a captivating book that makes us aware of realities that are often overlooked.

[Judy · Rating 5 out of 5]

This essay conveys the difficulty with which Rabbi Delphine Horvilleur views the world after October 7. She is a Rabbi whom I greatly admire and I find that I am in agreement with her perception, which I why I ordered the book in the first place. If only her ideas about peace and fairness could prevail in the future.

[Anouck Gn · Rating 5 out of 5]

Impossible de le reposer une fois commencé, on n’arrête pour ainsi dire pas une conversation au milieu. Merci d’avoir posé les mots qui hantent nos cœurs depuis des mois. Et merci pour cet humour toujours salvateur.

[Jul Dem · Rating 5 out of 5]

“Si ce livre ne devait servir qu’à une chose, j’aimerais que cela soit à permettre leur conversation, ou à la poursuivre »

« Penser à l’autre,
Penser à l’homme,
Penser aux lourds paniers qu’il faudra poser,
Pour retrouver l’espoir… »

[Famillallalcha · Rating 2 out of 5]

Ça été difficile à lire du l'interprétation de certaines idées. J'aurais vraiment aimé conversé avec elle. M'avoir que son point de vue me pertube.Pour moi, les deux chapitres sont intéressants et sensés .
J'aurais dû annoter cette lecture

[Clara Rohmer · Rating 5 out of 5]

Toujours les mots justes, un livre boussole pour les jours où nous nous sentons perdus.

[Alain Bitton · Rating 5 out of 5]

There is nothing else to add.
This book must be read and translated.
She says it all.
Elle a tout dit avec une subtilité et sans accuser personne. Brilliant Delphine

[Carine Even · Rating 4 out of 5]

Ces conversations sont des cris de douleur et de tristesse. L’important est la paix et la sécurité de tous quel que soit leur camp.

[Audrey Cajfinger · Rating 5 out of 5]

Delphine Horvilleur trouve les mots justes qui soulage un peu cette peine qu’elle décrit si bien avec humour et sensibilité.

[Carole N. · Rating 5 out of 5]

Elle a su trouver les mots justes à nos maux.

[Ellie H · Rating 5 out of 5]

J’ai pas les mots, ni en français, ni en anglais (ma langue maternelle) pour exprimer à quel point j'aime ce livre. J'aimerais que tout le monde voie le monde comme Delphine Horvilleur.

[Ariana · Rating 5 out of 5]

Brilliant 🌟