Vensāns ir satriekts, uzzinot, ka traģiski bojā gājis viņa kolēģis un labākais draugs Pjērs. Policistiem viss ir skaidrs – tas bijis negadījums, Pjērs paslīdējis un nokritis. Tomēr Vensāns uzskata, ka notikusi slepkavība. Kopā ar jauno žandarmi Servānu viņš sāk šķetināt notikumu pavedienu – tas, ko abi atklās, uz visiem laikiem mainīs viņu un daudzu citu dzīvi…
Karīne Žibēla man tiešām ir patīkams atklājums! Patika visas trīs lasītās grāmatas, lai arī katra citāda, tomēr autores stils manai sirdij tuvs. “Kamēr nāve mūs neapvienos” no latviski tulkotajām šķita “vismaigākā”, taču laimīgas beigas arī te nesagaidīsiet.
L'un des meilleurs Giebel que j'ai pu lire. Je n'ai rien vu venir! Le suspens est total, les révélations inattendues, les personnages tellement attachants. Et ce que j'aime également chez cet auteur, c'est la dimension politico-philosophique, la critique sous-jacente de notre société, que l'on découvre toujours en toile de fond.
Un Karine Giébel dont on reconnaît déjà le mécanisme mais où l'assise n'est pas aussi exacte et réussie que dans les romans suivants. L'histoire est tout de même intéressante.
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Ce livre est totalement different de ce à quoi m'avait habitué Giebel. Ses précédents livres que j'avais lu était très violents, beaucoup d'actions ou en tout cas une intrigue qui avance vite et qui nous tient en haleine.
Or "Jusqu'à ce que la mort nous unisse" est très lent comme roman. C'est une histoire qui prend son temps, très concentrée sur la montagne, l'amitié entre les deux personnages principaux. Mais aussi l'évolution de ces personnages en tant qu'individus. Et honnêtement j'ai beaucoup apprécié ce changement de ton de la part de Giebel. C'était différent, c'était rafraichissant.
En revanche, j'ai trouvé l’enquête un peu bancale. Les réponses sont souvent offertes à Vincent et Servane, ils sont plutot passifs sur l'intrigue. L'histoire leur arrive plutôt que ce soit eux qui fassent avancer l'histoire, c'est un peu dommage. Souvent ils sont en train d'attendre qu'un nouvel indice tombe du ciel et c'est pas super intéressant à lire. Ce qui m'a aussi un peu dérangé c'est l'impression que nos deux personnages prennent des décisions stupides ou agissent de manière stupide et ce tout le long du roman. C'est à dire que plus ils en apprennent sur l’enquête, ses dangers, combien de personnes sont concernées et plus ils vont agir de manière peu réfléchie et irresponsable. Venant de la part de 2 personnes adultes, c'était hyper frustrant à lire.
Enfin on en arrive à ce qui m'a déplu dans ce roman. Les, environ, 50 dernières pages. On est à la fin et le bouquin se casse complètement la gueule à mon avis. Pour commencer, ce roman mets des plombes à se terminer. Le dernier acte de cette histoire traine inutilement. L'auteur aurait facilement pu faire des coupures et abréger cette dernière partie. C'est fou le temps que ça prend pour conclure.
Mais surtout, à la toute fin, l'auteur fait ce que j'ai redouté tout au long de ma lecture: le roman se lance dans une romance de littéralement dernière seconde. C'est une romance inutile, insipide et limite offensante. Je ne comprends pas ce choix. Qu'apporte cette romance que l'amitié entre nos deux personnages n'apportait pas déjà? J'irai même jusqu'à dire que l'amitié était vitale dans le développement du personnage de Vincent, puis que jusque là il traitait les femmes comme des objets pour le sexe, hors là il avait une amitié puissante avec une femme, c'était cohérent avec l'évolution de son personnage. Mais encore pire que nuire au personnage de Vincent. Cette romance détruit le personnage de Servane. Servane qui tout au long du livre nous est présentée comme lesbienne. On a donc un type de personnage qu'on ne croise pas souvent dans les romans policier et l'auteur réussi quand même à juste la convertir en love interest à la fin. En plus ça sort de nulle part. Et je parle même pas du fait que l'auteur donne appui au gros préjugé qu'en fait les lesbiennes elles ont juste pas encore trouvé le bon homme. C'est assez terrible comme situation, je n'ai pas du tout aimé ce tournant à genre 5 pages de la fin du roman. Et oui je suis bien consciente qu'à la dernière page Servane reluque une femme et donc han han elle est bisexuelle en fait ? Mais pourquoi? Quel était le besoin de transformer cette amitié en romance, il faut me l'expliquer. En quoi le roman en bénéficie? Qu'est ce qui aurait changé s'ils étaient restés amis au lieu de s’avouer un amour à la con? Rien.
Bref. J'ai beaucoup aimé le cadre de cette histoire, l'omniprésence de la montagne. L'amitié entre les deux personnages principaux était plaisante à lire, bien que tous deux se montrer terrible en tant qu'enquêteurs. Malheureusement, pour moi le livre se perd complètement dans sa toute dernière partie. La fin est en totale chute libre vers des territoires qui me déplaisent de plus en plus.
L'ambiance rustique et montagnarde renferme un charme fou. On s'y sent à l'étroit, à crapahuter sur des chemins rocailleux, toujours au bord du précipice, la sensation de vertige est tenace, mais le cadre est parfait pour y camoufler ses petits secrets et mener une existence à l'abri des regards curieux. Seulement, au bout d'un moment, l'histoire continue d'emprunter des tours et détours qui, après m'avoir longtemps fait espérer un intérêt quelconque dans le déroulement de la trame romanesque, ont fini par me lasser. Une intrigue trop routinière et une construction poussive font de ce titre une semi déception.
Avec Karine Giebel c'est un sur deux. Un très bon livre pour un que je n'ai pas aimé du tout. J'avais lu juste avant le Purgatoire des innocents que j'avais adoré mais malheureusement Jusqu'à ce que la mort nous unisse à été une grosse déception. Le rythme était extrêmement lent, sans action, l'enquête ne m'a pas vraiment intéresse et je ne me suis pas attachée aux personnages (j'ai quand même bien aimé Servane mais c'est la seule du livre). La fin était plutôt prévisible et je m'attendais à beaucoup de choses.
Dommage pour celui-là qui est quand même bien apprécié dans l'ensemble mais ça ne m'empêchera pas de lire d'autres livres de l'auteur !
C’est la première fois que je suis déçue d’un livre de cette autrice, j’ai pas du tout accroché à l’histoire.
J’ai pas aimé le lieu où se déroulait l’histoire, les personnages n’étaient pas attachants, l’intrigue ne m’intéressait pas plus que ça et les "méchants" de l’histoire sont juste ridicules et ennuyants.
Je me suis ennuyé du début à la fin, aucun rebondissement interessant, j’avais qu’une envie c’était de finir le livre pour en être débarrassé
Roman très déroutant pour un Karine Giebel. Dans les 500 premières pages, j'ai cru que je lisais un roman de quai de gare (roman à l'eau de rose). Par contre pour les 105 dernières pages, on ne se trompe pas ...... c'est du Karine Giebel ! A lire même si l'on s'ennuie un peu sur le début.
Drīzāk kalnu iedzīvotāju stāsts, nevis detektīvs, bet pārliecinošs. Tāds Alekss Igo galvenais varonis. Eh, un žēl, ka Žibēlas stilā - nav laimīgu beigu.
Jusqu’à présent, les romans que j’ai lus de Karine Giebel ont été assez mitigés et celui-là n’a pas échappé à la règle. Mon problème principal avec ce roman, ça a été la longueur du récit. Le début est très lent. L’accident du meilleur ami de Vincent, qui est le point de départ de l’histoire, arrive après environ 200 pages. Et même là, l’histoire ne se lance pas vraiment avant d’arriver autour de la page 400. Il a du coup été assez compliqué pour moi de m’accrocher à ma lecture, il ne passait pas grand-chose, je n’étais pas vraiment investie dans le sort des personnages et il n’y avait aucune tension, habituellement inhérente à un thriller. Finalement, le récit prend un peu de rythme à la fin du roman, pour arriver sur une tension insoutenable sur les 100 dernières pages. Je suis malgré tout ressortie assez sceptique de cette lecture. Je n’ai pas aimé la tournure qu’a pris leur enquête, on arrivait dans un thème qui ne m’attire pas particulièrement. Et si la fin était assez émouvante, il y a eu un développement de situation qui m’a semblé complètement improbable (n’hésitez pas à venir en MP si vous avez lu le roman et que vous vous demandez de quoi je parle). Tout compte fait, on est à nouveau dans une lecture en demi-teinte pour Karine Giebel. Mais j’ai quasiment tous ses autres romans dans ma PàL, je me laisse encore la possibilité de changer d’avis !
The plot was slow, the setting is beautiful but it reads like a mountain guide at some moments, the characters are too impulsive, most of their investigative progress is based on luck, and Vincent is absolutely obnoxious with very few redeeming qualities. All the plot twists and the ending were pretty predictable, but maybe I’ve just read too many books like this. The one good thing was Servane and her bad bitch attitude. BUT Karine Giebel managed to ruin that too.
*spoiler alert*
I had guessed Servane was gay and was pleased that there was lgbt+ representation. Things got complicated when Vincent fell in love with her. I thought it might be nice to see how he could move on and they could become great friends. Instead, Servane ends up falling in love with Vincent after his intense crush on her persists. 😐 Why was this necessary?? It just contributes to the “she just hasn’t met the right guy” crap. Very disappointing.
Karine Giébel est l'une de mes auteures favorites point. Je peux grandement témoigner de son énorme talent de par les émotions que ses livres réussissent à me faire vivre. En fait, il n'est pas rare que j'en vive plusieurs à la fois. Parfois, ces émotions sont même complétement à l'opposées l'une de l'autre...oui un bien étrange phénomène. Certains passages sont à la fois provocants et touchants, d'autres cruels et sensibles ou à la fois affreux, mais beaux et j'en passe. Bref, ses livres ont du mordant et ne me laissent jamais indifférent.
J'ai maintenant lu 11 de ses livres. Pour ce qui est de Jusqu'à ce que la mort nous unisse, j'ai tout de suite reconnu la justesse de ses phrases et la recherche précise de ses mots, mais j'ai trouvé que la cadence était différente de celle habituellement empruntée et je ne dis pas ça négativement, ça m'a beaucoup plus. La cadence était plus posée, plus calme. En général, ses livres débutent avec un événement beaucoup plus perturbant. En lisant ce livre j'ai compris pourquoi l'auteure a fait ce choix. Étant moi-même un adepte de la nature et de randonnées, l'un des endroits où je me sens le plus serein est au sommet d'une montagne ou bien en pleine nature. Alors, le fait que la nature prenne une grande partie de l'histoire demande de prendre cette cadence.
J'adore tout ce que Karine écrit, je suis un amateur de son écriture et de ses histoires provocantes. Selon moi, ce livre n'est pas moins bon que les autres, mais quelques questions sont demeurées sans réponse...J'en prends une en exemple. Je ne comprends pas très bien comment Servane a été aussi naïve dans sa confiance envers l'adjudant-chef. Tous les hauts dirigeants étaient corrompus alors pourquoi lui ne l'aurait pas également été? Je trouvais que c'était trop évident. J'aurais aimé qu'elle s'en méfie un peu avant de tout lui balancer.
Une autre petite critique, mais ce n'est pas la faute de l'auteure, c'est moi qui a de la difficulté avec les noms de famille qui se ressemblent trop. Parfois, j'avais de la difficulté à me faire une image de qui était qui. Par exemple, le nom de famille de l'adjudant-chef était Vertoli et celui du chef de secteur du Parc était Mansoni. Les 2 noms de ressemblaient, mais également leurs titres respectifs: Chefs.
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Ah lire un Karine Giebel n’est jamais une expérience à prendre à la légère, il faut s’y préparer. Celui-ci est mon 6è et beaucoup de lecteurs m’ont dit que c‘était leur préféré. Dans celui-ci, Mme Giebel prend le temps de nous brosser les personnages, de tisser les liens les unissant, surtout celui si particulier entre Vincent et Servane, deux authentiques, deux “bruts”, deux écorchés de la vie, même si d’autres personnages sont intéressants et auraient peut-être (à mon avis) mérité un peu plus de lignes. Il y est aussi question d’amitié. Je trouve le crescendo dans l’histoire très bien mené, plus de pages, mais dans le but de mieux nous accrocher plutôt que de servir l’intrigue, on ne s’ennuie pas, même s’il y a moins d’ ”action”, ce qui pourrait déplaire à certains. Comme toujours avec Giebel, c’est dans les recoins sombres du passé de ses personnages et dans les sublimes paysages et les longues nuits glacées de la montagne – personage à part entière de ce roman - que se cache la noirceur, les pulsions et les sombres cauchemars. La montagne pleure et on ne peut que l’écouter. Comme toujours aussi, les personnages livrent un combat, d’où l’on ne sait jamais ce qui triomphera. Quand Giebel écrit une histoire d’amour, j’ai peur… Très peur… C’est beau et on ne peut s’empêcher espérer les voir se libérer de l’obscurité. Pas mon préféré, mais j’ai beaucoup aimé.
J'ai trouvé l'intrigue assez ennuyeuse. On devine rapidement qui sont les grands méchants et les personnages sont de veritables clichés : la gentille petite Servane qui a tout de même du répondant face au ténébreux Vincent, coureur de jupons blessé par la vie et amoureux de la montagne. La tournure que prend leur relation est assez abberante.
L'enquête des personnages est longue et maladroite avec des éléments tirés pas les cheveux. Petit exemple parmi tant d'autres : le curé en quête de vengeance qui prend pour cible le meilleur ami de celui-là même qui est la cause de l'enquête mais qui au final... (attendons donc la toute dernière page pour savoir ce qu'il en est ; j'en ai déjà trop dit !).
Il y avait quelques révélations concernant le passé de Vincent qui sont arrivées comme un cheveu sur la soupe, en plein milieu de l'action et en toute fin du roman. Pourquoi ces ajouts alors que la "trahison" de Laure justifiait déjà le côté farouche et méfiant de Vincent ?
En comparaison d'autres romans du même auteur, celui-ci n'est pas le plus remarquable.
Le point positif est qu'il m'aura donné des envies de séjour à la montagne et de randonnées.
J'étais plus que contente de découvrir un nouvel ouvrage de Karine Giebel, qui, pour le moment, ne parvient pas à me décevoir. Dans ce roman, j'ai particulièrement aimé le décor et l'ambiance choisis par l'auteure. Les montagnes de Savoie offrent des paysages merveilleux à l'imagination du lecteur, notamment grâce à une écriture fluide et évocatrice. J'ai adoré le duo formé par Vincent Lapaz, ours solitaire et machiste, et Servane, jeune flic lesbienne. Leurs échanges sont savoureux et j'ai beaucoup apprécié suivre l'évolution de ces deux personnages et de leur relation. L'auteure utilise certains clichés puis creuse, trouve et expose les explications à tel ou tel comportement. Le tandem est très attachant. J'ai été déçue par la fin de ce thriller que j'avais trop vu venir. Le suspens est présent à certains moments mais peut être un peu trop rare pour rendre l'histoire vraiment haletante de bout en bout. Pas le meilleur Giebel, mais malgré quelques points faibles, j'ai passé un très bon moment de lecture.
⭐️ 4/5 Bon.. J’ai vraiment bien aimé ma lecture, je n’ai jamais été déçue par Karine Giebel, son écriture, la façon de raconter l’histoire et d’emmener l’intrigue est toujours juste. Cependant j’admets que ce livre est un peu différent de ceux que j’ai déjà lu (juste une ombre et ce que tu as fait de moi) : plus lent, moins prenant. Cela reste une bonne lecture! Des retournements assez prévisible : Laure, Vertoli, etc..
C’est un peu gênant également que Servane se revendique lesbienne durant tout le roman pour au finir tombée amoureuse de Vincent. Alors les traumas lient, et les sentiments peuvent venir suite à une belle amitié mais de la à changer une orientation sexuelle, je ne pense pas. L’autrice aurait du directement dire que la protagoniste était bisexuelle car là c’est amené bizarrement. Une amitié forte était suffisante même si habituellement je dis jamais non à un peu de romance.
Mais malgré ça, ça reste du Karine Giebel : prenant, haletant et touchant même avec quelques lenteurs.
Gros plus pour le cadre de la montagne
«Et aujourd’hui, la montagne pleure…»
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On the cover of this book is the Lac d'Allos located near the Parc du Mercantour. The author relied on all the surroundings of the park for the script and to respect the name of the place, which I appreciate at home. The plot is based on the disappearance of Pierre, Vincent's best friend who is a mountain guide, he will be found dead in a ravine and with the new recruit of the gendarmerie Servanne, they will think of a murder and this Will wake up secrets well guarded and we will put ourselves after their skin, watching them, scaring them. I found the beginning a little long time the story is set up but I loved this book maybe less than The purgatory of the innocent but more the story advanced more I wanted to know the continuation On what had happened in the past in history. The character of Servanne and Vincent were very endearing. Anyway with this quad author I read one of his books I'm never disappointed.
Alors que j'ai détesté meurtres pour rédemption, que je n'ai d'ailleurs jamais réussi à finir, ce livre-ci est une sacrément bonne surprise! J'ai vraiment beaucoup aimé et eu du mal à le lâcher. Pourtant il ne se passe pas grand chose (en comparaison à d'autres livres du genre qui enchaînent les rebondissements), le rythme est même plutôt calme, pourtant l'histoire est prenante, addictive. Le cadre est enchanteur et donne des envies d'évasion. Les personnages sont attachants et complexes. L'histoire est globalement assez prévisible (c'est pourquoi je n'ai pas mis 5*) mais on est quand même pris dans cette (en)quête au même titre que Vincent et Servane.
Je suis finalement contente d'avoir retenté l'expérience avec cette auteure. Comme quoi, ça a parfois du bon de laisser une seconde chance...
✨Citation: « La montagne a perdu un fils, et la montagne pleure. »💫
C’est le livre que j’ai gagné au concours de @partir_lire_un_livre , je dois avouer que de moi même j’aurais peut-être pas acheté le livre peut-être a cause du titre ou autre, j’imaginais un truc sanglant peut-être long à lire. EH BAH PAS DU TOUT, j’ai dévorée les 604 pages du livre en une petite journée, j’étais même triste que ça finisse, j’ai adoré comme pas possible car en général j’arrive à prévoir ce qui va ce passer, MAIS PAS CETTE FOIS (sauf un truc mais y a de grande chances que vous ça ne vous marque pas). Donc j’étais au anges d’être enfin surprise par un livre! De plus Karine Giebel prends le temps de nous décrire les paysages magnifiques du Vercor et de ses montagnes, bref un délice à lire, ça ce lit tout seul et franchement c’est juste super agréable à lire. 🌸
C'est seulement mon 2e de Karine Giebel, mais le 1er ma convaincue que c'était vraiment mon genre de lecture.
Jusqu'à ce que la mort nous unisse, un vrai page turner... Un peu lent à mon goût pour le premier tiers, mais même à ça, j'avais déjà embarqué dans l'histoire. À partir du tiers du livre, incapable de le lâcher! Les excursions dans les montagnes, les paysages tellement bien décrits que j'avais l'impression d'y être, les personnages brisés mais si attachants...
J'avais hâte de finir ce livre, comme toujours quand j'embarque vraiment dans l'histoire. Maintenant, je regrette un peu de l'avoir lu si rapidement.
"La montagne pleure" reste à jamais gravée en moi!
Ce livre s'en va maintenant chez mon amie qui saura, j'en suis sûre, l'apprécier autant que moi!
loin d’être l'un des meilleurs livres de KARIN GIEBEL c'est même pour ma part celui que j'ai le moins apprécié, l'on ne peut nier le tissage exceptionnel des personnages et des événements, de très bon plot twist un cadre décrit d'une façon admirable et des personnages qui au fur et à mesure de l'avancement du livre entre dans nos cœurs assez facilement, mais les 400 premiers pages étaient un peu mous du cul l'on va dire il manquait un peu de sang chaud dans ce livre et j'ai pour la première fois dans un livre de Karin prédit un des plots twist les plus important dans l'histoire ce qui est RARE très rare dans ses livres d'habitude.
Le troisième livre du black novemebr challange. Ce n'était pas exactement ce à quoi je m'attendais. L'enquête policière est reléguée au second plan au dépens d'une romance d'ado. C'était tout de même un petit plaisir. Les personnages sont très attachants et les descriptions sont enchanteresses. Au coeur des Alpes, en pleine montagne, l'autrice nous fait rêver avec les jolis tableaux qu'elle a réussi à peindre. Ma lecture tombait à pic avec l'adaptation du livre ; un téléfilm qui ne rend pas justice à la complexité de l'histoire ni aux personnages mais qui illustre superbement le parc du Mercantour et les autres paysages alpins.
Un livre avec beaucoup de description, on est plongé dans l’univers que l’autrice nous partage. J’ai apprécié pourvoir comprendre et regardé ce paysage à travers les yeux des personnages.
En parlant d’eux un bon développement sur les 2 protagonistes ! Le fait que certains problèmes soient cohérents avec ceux de la société actuelle me plaît.
L’action se passe principalement sur les 150 dernières pages du livre même si le début d’une enquête fait le jour avant
'' Chaque homme ici présent était coupable. D'avoir tué ou gardé le silence. Un secret déterré par erreur et qu'il fallait à tout prix remettre en bière. ''
'' La lâcheté a quelque chose de fascinant. Peut-être parce qu'elle ne connaît pas de limites, contrairement au courage. "
Très bon polar. Il y a tout ce qu'il faut : des personnages attachants et d'autres détestables ; un vrai suspens, on mène l'enquête ; un décor beau et dangereux à la fois. Bref, on dévore les pages!