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C'est-comme-ça
Une réécriture personnelle des figures mythologiques, religieuses et de la pop culture, les présentant sous un nouveau jour, terriblement humain, en prise avec notre monde moderne
363 pages, Kindle Edition
First published March 19, 2025
24 people want to read
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Community Reviews
Displaying 1 - 12 of 12 reviews
April 15, 2025
2,5/5
Original et entraînant, plutôt sympa.
On passe un chouette moment
Mais pas emballée
Original et entraînant, plutôt sympa.
On passe un chouette moment
Mais pas emballée
March 17, 2025
Robin des bois est mort. Cassandre n’était pas particulièrement proche de lui mais elle a pourtant la sensation que sa mort est anormale. Après tout, il est encore une Croyance populaire et il n’aurait donc pas dû disparaître comme ça. Est-ce qu’une autre Croyance l’a tué ? Ou autre chose ? Cassandre va mener l’enquête.
⠀
Autant j’ai adoré After et Cimqa de la même autrice, autant je reste assez dubitatif devant ce texte. C’est vrai que j’avais énormément d’attentes, sûrement trop, et ça n’a pas dû aider mon ressenti…
⠀
L’idée de ces Croyances incarnées, qui peuvent disparaître quand plus personne ne croit en elles, qui peuvent changer physiquement lorsque leur représentation dans des œuvres évolue, ça m’a plutôt plu en fait, mais quelque chose dans l’exécution ne l’a pas fait pour moi.
⠀
Déjà, j’ai trouvé la mise en place très lente et poussive. Il a fallu bien la moitié du roman avant qu’il commence à se passer des choses que j’ai trouvé intéressantes. Avant ça, j’avais juste l’impression de passer mon temps à suivre Cassandre qui marche dans la rue, Cassandre qui prend les transports, Cassandre qui se demande où elle va dormir...
⠀
D’ailleurs, le personnage de Cassandre m’a vraiment posé problème tant je l’ai trouvée pleurnicharde et capricieuse, et ça ne m’a sûrement pas facilité l’immersion dans le roman non plus. Certains personnages sont heureusement plus intéressants qu’elle.
⠀
Un autre truc qui peut sembler anecdotique mais qui m’a vraiment embêté, c’est la surutilisation du mot « presque ». La presque-prophétesse, la presque-reine, le presque-dieu… C’était présent en permanence pour désigner absolument tous les personnages et j’ai trouvé ça vraiment gênant (pour ne pas dire agaçant).
⠀
Bon, ceci étant dit, il n’y a pas non plus que du négatif. Comme je le disais, la seconde partie m’a déjà plus emballé, et l’autrice aborde quand même des sujets intéressants. Comme la peur de la mort et d’être oublié, qu’on ressent bien à travers les Croyances, ou le fait qu’on vive dans un monde plein de désillusions où l’on est tellement conditionnés qu’on a du mal à croire en quoi que ce soit. Il y a aussi cette notion de « comment les gens pourraient croire en nous si nous-mêmes ne croyons pas en nous ? ». Pour le coup, j’ai trouvé tous ces aspects bien traités.
⠀
Mais voilà, au-delà de mes attentes sûrement un peu démesurées, je pense que ce qui a fait que j’ai été si déçu par ce roman, c’est qu’il y a pour moi un problème de positionnement du titre. Pour moi, il aurait eu plus de sens dans le label Naos parce que je l’ai vraiment ressenti comme un roman ado. Rien de péjoratif là-dedans, j’en lis aussi, mais je n’attends pas forcément les mêmes choses d’un roman adulte et ça conditionne aussi mon niveau d’exigence.
⠀
J’ai aussi été embêté de voir que la quatrième de couverture, malgré un résumé très fantasy, nous annonçait de la SF… J’ai passé le roman à attendre un twist qui allait vraiment en faire de la SF, et ça n’est jamais arrivé. Encore un point qui ne m’a pas aidé à apprécier le roman je pense.
⠀
Mon avis doit paraître dur (c’est pas le but hein) mais j’avoue que j’ai toujours un peu de mal à prendre du recul quand je suis déçu par un livre que j’attendais vraiment. Gardez donc en tête que ma tolérance à tout ce qui m’a gêné aurait probablement été plus haute s’il s’était agi d’un livre pour lequel j’aurais eu moins d’attentes. Donc allez voir d’autres avis qui seront certainement plus mesurés (et même franchement positifs j’en suis sûr).
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Autant j’ai adoré After et Cimqa de la même autrice, autant je reste assez dubitatif devant ce texte. C’est vrai que j’avais énormément d’attentes, sûrement trop, et ça n’a pas dû aider mon ressenti…
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L’idée de ces Croyances incarnées, qui peuvent disparaître quand plus personne ne croit en elles, qui peuvent changer physiquement lorsque leur représentation dans des œuvres évolue, ça m’a plutôt plu en fait, mais quelque chose dans l’exécution ne l’a pas fait pour moi.
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Déjà, j’ai trouvé la mise en place très lente et poussive. Il a fallu bien la moitié du roman avant qu’il commence à se passer des choses que j’ai trouvé intéressantes. Avant ça, j’avais juste l’impression de passer mon temps à suivre Cassandre qui marche dans la rue, Cassandre qui prend les transports, Cassandre qui se demande où elle va dormir...
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D’ailleurs, le personnage de Cassandre m’a vraiment posé problème tant je l’ai trouvée pleurnicharde et capricieuse, et ça ne m’a sûrement pas facilité l’immersion dans le roman non plus. Certains personnages sont heureusement plus intéressants qu’elle.
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Un autre truc qui peut sembler anecdotique mais qui m’a vraiment embêté, c’est la surutilisation du mot « presque ». La presque-prophétesse, la presque-reine, le presque-dieu… C’était présent en permanence pour désigner absolument tous les personnages et j’ai trouvé ça vraiment gênant (pour ne pas dire agaçant).
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Bon, ceci étant dit, il n’y a pas non plus que du négatif. Comme je le disais, la seconde partie m’a déjà plus emballé, et l’autrice aborde quand même des sujets intéressants. Comme la peur de la mort et d’être oublié, qu’on ressent bien à travers les Croyances, ou le fait qu’on vive dans un monde plein de désillusions où l’on est tellement conditionnés qu’on a du mal à croire en quoi que ce soit. Il y a aussi cette notion de « comment les gens pourraient croire en nous si nous-mêmes ne croyons pas en nous ? ». Pour le coup, j’ai trouvé tous ces aspects bien traités.
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Mais voilà, au-delà de mes attentes sûrement un peu démesurées, je pense que ce qui a fait que j’ai été si déçu par ce roman, c’est qu’il y a pour moi un problème de positionnement du titre. Pour moi, il aurait eu plus de sens dans le label Naos parce que je l’ai vraiment ressenti comme un roman ado. Rien de péjoratif là-dedans, j’en lis aussi, mais je n’attends pas forcément les mêmes choses d’un roman adulte et ça conditionne aussi mon niveau d’exigence.
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J’ai aussi été embêté de voir que la quatrième de couverture, malgré un résumé très fantasy, nous annonçait de la SF… J’ai passé le roman à attendre un twist qui allait vraiment en faire de la SF, et ça n’est jamais arrivé. Encore un point qui ne m’a pas aidé à apprécier le roman je pense.
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Mon avis doit paraître dur (c’est pas le but hein) mais j’avoue que j’ai toujours un peu de mal à prendre du recul quand je suis déçu par un livre que j’attendais vraiment. Gardez donc en tête que ma tolérance à tout ce qui m’a gêné aurait probablement été plus haute s’il s’était agi d’un livre pour lequel j’aurais eu moins d’attentes. Donc allez voir d’autres avis qui seront certainement plus mesurés (et même franchement positifs j’en suis sûr).
April 4, 2025
3,5/5
Un rythme un peu lent qui fait que je n’étais pas vraiment à fond dans ma lecture mais j’ai beaucoup aimé le propos et l’évolution de l’héroïne
Un rythme un peu lent qui fait que je n’étais pas vraiment à fond dans ma lecture mais j’ai beaucoup aimé le propos et l’évolution de l’héroïne
July 23, 2025
Depuis la sortie de son premier roman, Auriane Velten est une autrice sur laquelle j’entends énormément de bien, sachant secouer les codes de la normalité au rayon de l’imaginaire. Et une fois n’est pas coutume, c’est par son dernier roman que je commence avant de remonter vers les plus anciens, car ayant beaucoup aimé ma découverte, je veux voir ce que ce caméléon a dans le ventre.
C’est-comme-ça est son troisième roman, toujours chez Mnémos, après After en 2021 et Cimqa en 2023. Un roman tous les deux ans ! Et chapeau à elle quand on voit ses intrigues. En effet, l’autrice semble se renouveler à chaque fois : utopie avec After, uchronie avec Cimqa et polar fantastique avec ce roman-ci. Décidément, elle est prête à tout pour nous faire voyager dans son imaginaire débordant.
Alors que c’est mon deuxième roman mettant en scène le personnage de Cassandre ces derniers temps, j’ai beaucoup apprécié la proposition originale faite ici. L’autrice a en effet développé un univers où les personnages de nos contes, mythes et légendes ne sont plus juste des personnages mais des entités existants dans notre monde et tout démarre lorsque l’un d’eux disparaît, alors que sa croyance, dont il dépend, existe toujours. Mystère, mystère. Cassandre, qui ne veut pas croire qu’il a disparu pour rien, mène l’enquête mais des éléments de son passé vont venir la perturber et pas que !
Quelle revisite originale ! Je n’avais jamais lu un tel roman où autant de divinités et de personnages de légendes étaient des êtres contemporains de nous, avec des caractéristiques propres à ce qu’on a écrit sur eux, mais pas que. J’ai trouvé excellent ce mélange entre notre monde, notre quotidien, et ces entités, sachant qu’en plus l’autrice distille cela au gré de l’enquête de son héroïne et de ses découvertes, ce qui est très finement pensé. Pas d’info bombing ici mais une lente et savante construction. Peut-être un peu trop lente pour certains j’imagine, mais avec une imprégnation forte à l’univers suscitée par ce rythme lent qui m’a beaucoup plu.
J’ai ainsi pris un vif plaisir à suivre Cassandre dans son enquête pour remonter à ce qui est arrivé à son ami, ce qui lui fait croiser le chemin de nombre de personnages qu’on connaît bien d’Apollon, en passant par Zorro, Marianne, Roland, Hélène, Zeus et bien d’autres. L’autrice joue énormément avec nous, proposant des êtres tirés de tous les mythes et légendes du monde entier mais aussi de notre pop culture. Et elle nous interroge ainsi avec malice mais pertinence sur notre rapport à la foi, aux croyances, sur les étiquettes qu’on donne et dont on refuse de se débarrasser, ce qui peut empêcher les gens de changer et évoluer. Elle parle aussi de la peur du changement, de la peur de la perte de sens, de la peur du remplacement par la nouveauté, avec l’ennemi qui se dresse devant elle et qui donne son titre au livre, mais que je préfère vous laisser découvrir.
Tout s’enchaîne merveilleusement dans un décor de fantasy urbaine des plus réussis et original où elle ne tombe jamais dans la facilité mais imprime plutôt sa propre marque. C’est lent, c’est gris, c’est un peu morose et inquiétant, mais non sans espoir. C’est surtout entêtant et pénétrant. Je pense que la narration clivera beaucoup de lecteurs, j’ai adoré pour ma part. J’ai aimé suivre l’enquête à la fois simple et complexe, s’enrichissant de révélations et données philosophiques au fil de l’avancée de Cassandre. J’ai également beaucoup aimé la proposition de réinterprétation de ce personnage, à la fois classique et différent. L’ensemble : enquête, réflexions philosophiques, réécriture des personnages, fut parfaitement dosé à mon goût à tous les niveaux et je ne me suis jamais ennuyée, me laissant porter par cette ambiance singulière et ces rencontres qui se faisaient sur mon chemin, jusqu’à cette conclusion cependant étrange dans son côté si abrupt qui m’a fait douter sur l’intégrité de mon volume. Ne manquait-il pas des pages ? Non, cela semble voulu. Etrange.
L’éditeur aime participer aux »pépites de l’imaginaire », voici un titre que j’y aurais parfaitement vu, tant je l’ai trouvé original et culotté, clivant et osé aussi. J’ai beaucoup aimé me coller aux baskets de cette Cassandre 2.0 afin de mener l’enquête sur les personnages cultes et légendaires de nos contes et mythes. C’était lent, entêtant, gris et surtout cela faisait réfléchir sur notre rapport aux croyances et aux objets de celles-ci. Fin, vraiment très fin.
Article complet : https://lesblablasdetachan.wordpress....
C’est-comme-ça est son troisième roman, toujours chez Mnémos, après After en 2021 et Cimqa en 2023. Un roman tous les deux ans ! Et chapeau à elle quand on voit ses intrigues. En effet, l’autrice semble se renouveler à chaque fois : utopie avec After, uchronie avec Cimqa et polar fantastique avec ce roman-ci. Décidément, elle est prête à tout pour nous faire voyager dans son imaginaire débordant.
Alors que c’est mon deuxième roman mettant en scène le personnage de Cassandre ces derniers temps, j’ai beaucoup apprécié la proposition originale faite ici. L’autrice a en effet développé un univers où les personnages de nos contes, mythes et légendes ne sont plus juste des personnages mais des entités existants dans notre monde et tout démarre lorsque l’un d’eux disparaît, alors que sa croyance, dont il dépend, existe toujours. Mystère, mystère. Cassandre, qui ne veut pas croire qu’il a disparu pour rien, mène l’enquête mais des éléments de son passé vont venir la perturber et pas que !
Quelle revisite originale ! Je n’avais jamais lu un tel roman où autant de divinités et de personnages de légendes étaient des êtres contemporains de nous, avec des caractéristiques propres à ce qu’on a écrit sur eux, mais pas que. J’ai trouvé excellent ce mélange entre notre monde, notre quotidien, et ces entités, sachant qu’en plus l’autrice distille cela au gré de l’enquête de son héroïne et de ses découvertes, ce qui est très finement pensé. Pas d’info bombing ici mais une lente et savante construction. Peut-être un peu trop lente pour certains j’imagine, mais avec une imprégnation forte à l’univers suscitée par ce rythme lent qui m’a beaucoup plu.
J’ai ainsi pris un vif plaisir à suivre Cassandre dans son enquête pour remonter à ce qui est arrivé à son ami, ce qui lui fait croiser le chemin de nombre de personnages qu’on connaît bien d’Apollon, en passant par Zorro, Marianne, Roland, Hélène, Zeus et bien d’autres. L’autrice joue énormément avec nous, proposant des êtres tirés de tous les mythes et légendes du monde entier mais aussi de notre pop culture. Et elle nous interroge ainsi avec malice mais pertinence sur notre rapport à la foi, aux croyances, sur les étiquettes qu’on donne et dont on refuse de se débarrasser, ce qui peut empêcher les gens de changer et évoluer. Elle parle aussi de la peur du changement, de la peur de la perte de sens, de la peur du remplacement par la nouveauté, avec l’ennemi qui se dresse devant elle et qui donne son titre au livre, mais que je préfère vous laisser découvrir.
Tout s’enchaîne merveilleusement dans un décor de fantasy urbaine des plus réussis et original où elle ne tombe jamais dans la facilité mais imprime plutôt sa propre marque. C’est lent, c’est gris, c’est un peu morose et inquiétant, mais non sans espoir. C’est surtout entêtant et pénétrant. Je pense que la narration clivera beaucoup de lecteurs, j’ai adoré pour ma part. J’ai aimé suivre l’enquête à la fois simple et complexe, s’enrichissant de révélations et données philosophiques au fil de l’avancée de Cassandre. J’ai également beaucoup aimé la proposition de réinterprétation de ce personnage, à la fois classique et différent. L’ensemble : enquête, réflexions philosophiques, réécriture des personnages, fut parfaitement dosé à mon goût à tous les niveaux et je ne me suis jamais ennuyée, me laissant porter par cette ambiance singulière et ces rencontres qui se faisaient sur mon chemin, jusqu’à cette conclusion cependant étrange dans son côté si abrupt qui m’a fait douter sur l’intégrité de mon volume. Ne manquait-il pas des pages ? Non, cela semble voulu. Etrange.
L’éditeur aime participer aux »pépites de l’imaginaire », voici un titre que j’y aurais parfaitement vu, tant je l’ai trouvé original et culotté, clivant et osé aussi. J’ai beaucoup aimé me coller aux baskets de cette Cassandre 2.0 afin de mener l’enquête sur les personnages cultes et légendaires de nos contes et mythes. C’était lent, entêtant, gris et surtout cela faisait réfléchir sur notre rapport aux croyances et aux objets de celles-ci. Fin, vraiment très fin.
Article complet : https://lesblablasdetachan.wordpress....
April 13, 2025
En me plongeant dans C’est-comme-ça, j’espérais découvrir un univers où personnages mythologiques, figures de contes et croyances en tout genre cohabitent. J’étais curieuse de voir comment ces différents imaginaires allaient se confronter et s’entrelacer. Et je dois dire que ce fut une excellente surprise : l’ensemble est finement pensé, et le mélange fonctionne à merveille, donnant naissance à un univers vraiment original. Cela m’a d’ailleurs beaucoup rappelé la série Once Upon a Time, qui repose également sur ce principe de melting-pot de légendes et de contes.
L’intrigue débute par une enquête, de quoi éveiller la curiosité dès les premières pages. Si cela semble assez classique au départ, on se rend rapidement compte que l’histoire gagne en profondeur, abordant des thématiques fortes et universelles. Le récit interroge notamment notre rapport aux croyances. Et cette idée, portée avec sensibilité et intelligence par Auriane Velten, m’a vraiment touchée. Elle invite à réfléchir : que se passe-t-il lorsque l’on cesse de croire ?
Le mythe principal autour duquel gravite le roman est celui de Cassandre, issu de la mythologie grecque. Malheureusement, c’est un mythe que je connais peu, voire pas du tout, et j’ai eu le sentiment de passer à côté de certaines références. Ce point m’a un peu frustrée, je l’avoue. Avec le recul, j’aurais aimé me renseigner un peu plus avant ma lecture. Mais pour les amateurs de ce mythe, cela doit sans doute ajouter une couche de richesse et de plaisir à la découverte.
Le rythme du récit m’a semblé bien équilibré. L’action démarre rapidement, la tension est palpable dès le début, et on découvre progressivement l’univers en même temps que l’intrigue se déploie. C’est une construction que j’ai trouvée très agréable.
Je dois dire que j’ai été un peu déstabilisée, au départ, de croiser des figures mythologiques aux côtés de personnages issus de mon enfance, comme Robin des Bois ou Zorro. Mais cette audace m’a finalement beaucoup plu ! Cela fonctionne étonnamment bien et contribue à la singularité du roman.
En somme, une lecture que je vous recommande vivement, surtout si vous aimez les récits qui mêlent l’imaginaire, le mythe et la réflexion avec originalité.
L’intrigue débute par une enquête, de quoi éveiller la curiosité dès les premières pages. Si cela semble assez classique au départ, on se rend rapidement compte que l’histoire gagne en profondeur, abordant des thématiques fortes et universelles. Le récit interroge notamment notre rapport aux croyances. Et cette idée, portée avec sensibilité et intelligence par Auriane Velten, m’a vraiment touchée. Elle invite à réfléchir : que se passe-t-il lorsque l’on cesse de croire ?
Le mythe principal autour duquel gravite le roman est celui de Cassandre, issu de la mythologie grecque. Malheureusement, c’est un mythe que je connais peu, voire pas du tout, et j’ai eu le sentiment de passer à côté de certaines références. Ce point m’a un peu frustrée, je l’avoue. Avec le recul, j’aurais aimé me renseigner un peu plus avant ma lecture. Mais pour les amateurs de ce mythe, cela doit sans doute ajouter une couche de richesse et de plaisir à la découverte.
Le rythme du récit m’a semblé bien équilibré. L’action démarre rapidement, la tension est palpable dès le début, et on découvre progressivement l’univers en même temps que l’intrigue se déploie. C’est une construction que j’ai trouvée très agréable.
Je dois dire que j’ai été un peu déstabilisée, au départ, de croiser des figures mythologiques aux côtés de personnages issus de mon enfance, comme Robin des Bois ou Zorro. Mais cette audace m’a finalement beaucoup plu ! Cela fonctionne étonnamment bien et contribue à la singularité du roman.
En somme, une lecture que je vous recommande vivement, surtout si vous aimez les récits qui mêlent l’imaginaire, le mythe et la réflexion avec originalité.
October 10, 2025
Auriane Velten being Auriane Velten, les idées et concepts entourant le récit sont créatives et intéressantes, rien que pour ça l'univers et ses fonctionnements sont intéressants et ça donne envie de poursuivre sa lecture. J'ai passé un bon moment, mais j'ai été moins transcendée que les autres de l'autrice par l'histoire ou les personnages (sacrés personnages pourtant).
Et par contre je veux bien être nuancée mais y a des limites : ce n'est pas une fin ouverte, c'est une histoire pas finie. Je ne comprends ni l'utilité ni la poésie d'une fin pareille autrement qu'aucune idée de comment finir l'histoire. C'est dommage
Et par contre je veux bien être nuancée mais y a des limites : ce n'est pas une fin ouverte, c'est une histoire pas finie. Je ne comprends ni l'utilité ni la poésie d'une fin pareille autrement qu'aucune idée de comment finir l'histoire. C'est dommage
September 6, 2025
J'ai aimé l'idée de départ.
J'ai adoré le style d'écriture.
J'ai trouvé que le mélange des mythologies et cosmogonies marchait super bien.
J'ai surtout trouvé que le propos du livre était hyper intéressant. Les valeurs et croyances sont ce qui font vivre les humains, mais ici, ils font aussi vivre lesdites croyances. Et lorsqu'on perd foi en ça, on laisse le champ ouvert à toutes les injonctions sociétales et autres discours péremptoires et stéréotypés dont on nous abreuve en continu.
Malheureusement, la fin est à mon sens trop ouverte et précipitée.
J'ai adoré le style d'écriture.
J'ai trouvé que le mélange des mythologies et cosmogonies marchait super bien.
J'ai surtout trouvé que le propos du livre était hyper intéressant. Les valeurs et croyances sont ce qui font vivre les humains, mais ici, ils font aussi vivre lesdites croyances. Et lorsqu'on perd foi en ça, on laisse le champ ouvert à toutes les injonctions sociétales et autres discours péremptoires et stéréotypés dont on nous abreuve en continu.
Malheureusement, la fin est à mon sens trop ouverte et précipitée.
October 3, 2025
2,5/5.
Vraiment trop mitigée sur cette lecture. L’idée de départ m’a vraiment séduite, mais au cours de ma lecture j’ai été plutôt frustrée. Une bonne première partie du livre est molle (trop), Cassandre notre personnage principal m’a franchement hérissé (elle est clairement insupportable) et la fin … n’est est pas vraiment une (je déteste les fins ouvertes).
Le livre se lit en revanche très bien, l’écriture est fluide !
Vraiment trop mitigée sur cette lecture. L’idée de départ m’a vraiment séduite, mais au cours de ma lecture j’ai été plutôt frustrée. Une bonne première partie du livre est molle (trop), Cassandre notre personnage principal m’a franchement hérissé (elle est clairement insupportable) et la fin … n’est est pas vraiment une (je déteste les fins ouvertes).
Le livre se lit en revanche très bien, l’écriture est fluide !
September 27, 2025
une lecture très sympathique, un roman original et qui nous rappelle l'importance des fictions dans notre vie. de l'humour et de la profondeur en même temps, les personnages sont hauts en couleurs et la fin est très réussie
May 12, 2025
3,5 ⭐️
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