This poignant World War II historical fiction unearths and honors the life of a young French Resistance fighter—from the New York Times bestselling author of The Anomaly.
Struck by a name written on a facade of his new home, acclaimed author Hervé Le Tellier embarked on a quest to recover the history of André Chaix, a resistance fighter, a maquisard, killed at the age of 20 in August 1944.
Deftly combining historical fragments into a vivid narrative, Le Tellier invites us on a journey through one of the most troubled the inexhaustible Second World War. While avoiding simplistic, romantic tropes, he evokes the courage of a young man taking up arms, like many others, in what is also the story of a magnificent love with an equally impressive young woman, Simone.
Made even more powerful and necessary by the current rise of fascism, The Name on the Wall gives voice to the ideals for which Chaix died and questions our deepest nature, this desire to belong to something greater than ourselves, which leads to the best and the worst.
Hervé Le Tellier is a writer, journalist, mathematician, food critic, and teacher. He has been a member of the Oulipo group since 1992 and one of the “papous” of the famous France Culture radio show. He has published fifteen books of stories, essays, and novels, including Enough About Love (Other Press, 2011), The Sextine Chapel (Dalkey Archive Press, 2011), and A Thousand Pearls (Dalkey Archive Press, 2011).
Hervé Le Tellier found himself a 'birthplace' in a tiny hamlet in the Drôme: as he explains to the agent, he's not looking for a holiday home, or a ruin that he can do up, or some architect's fantasy, no, he wants a home in a real community where you can buy bread and have an aperitif at the cafe. A place where he can invent some roots for himself. The place he finds was previously owned by a potter, who has decorated a horizontal bar in the facade of the house with enamelled plaques of her own. She removes them, leaving one as a present to the new owner. The last one reveals a name, crudely scratched into the roughcast. It wasn't until the strange springtime of 2020, when people were busy making their own fabric face masks, that Le Tellier noticed, not far from the baker where he went nearly every day to buy his bread, on a monument to those local residents who fell "pour la France" that there was a name that caught his attention, that should have caught his attention sooner. CHAIX ANDRE (mai 1924-août 1944).
This book is the respectful, thoughtful, modest result of Le Tellier's investigations into the life of this young man, a member of the resistance, a life that was over at the age of twenty years, two months and thirty days. Le Tellier considers the individual and his short life, but also nazism, the sort of music and films André and his girl Simone might have appreciated, the destiny of some of the artists under the Vichy regime, and finally the work of the resistance and the incident, so close to the end of the war, which killed André Chaix and five others from his division, plus two civilians. There are reproductions of original documents and photographs. The mystery remains: who scratched that name into the wet roughcast?
Le Tellier was known to me from L'Anomalie, which I enjoyed as a witty and inventive fabulous tale. Here the writer is a different animal: tender, scrupulous, contemplative. Very engaging.
Faut voir comme je regrette d’avoir donné une 2eme chance à Le Tellier : franchement qui a besoin d’une synthèse très artificielle et très plate de la seconde guerre mondiale en moins de 150 pages ? Sous prétexte de faire l’histoire d’un résistant, l’auteur se perd complétement dans des disgressions parfaitement banales, une enfilade d’anecdotes qui n’ont rien à voir avec le résistant en question. Le name dropping incessant est aussi hyper agacant et juste nul en fait .
Avis de mon mec en bonus : « c’est un exposé d’histoire de 3ème ou quoi? »
How does one write L’Anomalie and then go on to write … this?
If the French could stop foaming at the mouth at books about WW2, that’d be great, thanks. If you wanted to write a “deep” book about the “inhumanity of man” to “make an impression” upon the reader, well. There are a lot of wars going on that might serve as eye-openers better than the constant reimaginings of WW2
AND ANOTHER THING,
The French and their glorification of the Résistance? That’s cute [derogatory]
28 juin 2024 À travers l’évocation d’une sombre époque « où la générosité et le courage ont côtoyé comme rarement l’égoïsme et l’abject » Le Tellier édifie la réflexion sur le totalitarisme et l’ordinaire du mal. « Qu’aurions-nous fait à leur place ? », semble toujours nous demander l’écrivain, s’agissant des bourreaux comme des sauveurs. Le texte entrecroise éléments d’histoire avec le récit de la vie d’André Chaix, fils de boulanger, amoureux de sa Simone. Il nous plonge dans l’histoire de la collaboration comme dans celle des maquisards. On redécouvre et même on apprend beaucoup de choses. Le livre a l’avantage de rassembler des détails issus des nombreux ouvrages et archives consultés par Le Tellier et de devenir une véritable somme historique. L’auteur parsème aussi son texte de souvenirs personnels, comment lui-même a perdu sa jeune compagne au même âge, suicidée à 20 ans. Nous rappeler aussi d’autres trajectoires, dont celle de Henri-Pierre Roché, qui commença à écrire Jules et Jim à Dieulefit justement, en mars 1941, juste après avoir appris la mort de son ami, l’écrivain allemand Franz Hessel, décédé des suites de la dysenterie après son internement dans le “camp de déportation des Milles, une antichambre d’Auschwitz près d’Aix-en-Provence pour les ennemis du Reich”. Livre salutaire et plein d’humanité. « Le nom sur le mur ». Hervé Le Tellier. Gallimard. 2024
« Je ne suis pas l’ami d’André Chaix, et aurais-je d’ailleurs su l’être, moi que presque rien ne relie à lui ? Juste un nom sur le mur. Chaix était un résistant, un maquisard, un jeune homme à la vie brève comme il y en eut beaucoup. Je ne savais rien de lui. J’ai posé des questions, j’ai recueilli des fragments d’une mémoire collective, j’ai un peu appris qui il était. Dans cette enquête, beaucoup m’a été donné par chance, presque par miracle, et j’ai vite su que j’aimerais raconter André Chaix. Sans doute, toutes les vies sont romanesques. Certaines plus que d’autres. Quatre-vingts années ont passé depuis sa mort. Mais à regarder le monde tel qu’il va, je ne doute pas qu’il faille toujours parler de l’Occupation, de la collaboration et du fascisme, du rejet de l’autre jusqu’à sa destruction. Ce livre donne la parole aux idéaux pour lesquels il est mort et questionne notre nature profonde, ce désir d’appartenir à plus grand que nous, qui conduit au meilleur et au pire ». Hervé Le Tellier.
Je m'attendais à ce que l'histoire d'André Chaix soit légérement plus "romancée". J'ai eu l'impression de lire une succession de dates et de noms de partis politiques/militaires ce qui, je dois avouer, a rendu ma lecture un peu laborieuse. Certains chapitres étaient très intéressants, notamment celui sur l'expérience sociale aux Etats-Unis dans l'université et d'autres moins. J'ai fini par abandonner ma lecture même si on ne peut pas nier le fait qu'Hervé Le Tellier magne très bien les mots et est vraiment doué pour l'écriture.
Le nom sur le mur est un épisode autobiographique de le vie d'Hervé Le Tellier qui a acheté une maison dans la Drôme et a vu une inscription, un nom écrit sur le mur de cette maison : André Chaix. Un peu plus tard, il a vu le même nom sur une plaque commémorative de résistants locaux tombés sous le feu allemand en 1944. Cette coïncidence l'envoûte complètement et il décide d'enquêter pour retracer la vie de cet inconnu.
C'est un projet qui rappelle étrangement celui de Patrick Modiano dans l'un des plus beaux livres du monde : Dora Bruder et on ne peut s'empêcher, pour son malheur, de juger la prose de Le Tellier à l'aune de celle de Modiano tellement l'amorce est identique. Alors disons simplement que le livre se lit très bien et est à bien des égards passionnant. Le Tellier a fait une recherche documentaire minutieuse et on a vraiment l'impression qu'il a épuisé son sujet. Il sort de surcroît de son chapeau des anecdotes succulentes (concernant Henri-Pierre Roché ou les frères Jacques), c'est un livre captivant que j'ai lu en deux jours.
Maintenant, le livre n'est pas vraiment fluide. Il décrit de manière méthodique, et donc brutale, les différents champs de sa recherche dans chacun des chapitres : La famille Chaix, puis celle de Simone, puis la guerre dans le région. Il n'y a pas de transition d'un chapitre à l'autre. Pire encore, certains chapitre n'ont, il faut bien l'avouer, pas grand chose à voir avec Chaix (voire la digression sur la collaboration, les allusions au FN par exemple) et quand ils se font moralisateurs (lorsqu'il juge les gens de cinéma ayant poursuivi leur activité pendant l'occupation en distribuant bons et mauvais points), cela devient au mieux hors sujet, au pire gênant.
Le style de livre est tantôt éploré lorsqu'il en appelle aux mânes d'André et lorsqu'il lui dit son admiration tantôt carrément journalistique lorsque par exemple et retranscrit in extenso les papiers (lettres, tracts) qu'il a réussi à obtenir. Le livre contient aussi des adjonctions au lecteur "Je l'ai déjà dit" ou "Sautez ce chapitre si il ne vous intéresse pas" qui m'ont assez horripilé.
Entendons nous, malgré les réserves émises , c'est un très bon livre mais l'ombre tutélaire de Modiano a probablement fait que cette critique était plus vacharde qu'elle aurait dû l'être.
Avec l’achat d’une maison qu’il voulait de famille, Hervé Le Tellier découvre l’histoire de celui qui y a habité. La maison est située dans la Drôme provençale à La Paillette, un quartier de Monjoux à côté de Dieulefit. Lentement, le lecteur remonte avec l’écrivain à ses côtés, la vie d’André Chaix. Il est né en 1924. Il vivra 20 ans, 2 mois et 30 jours.
À partir des objets retrouvés appartenant à André, Hervé Le Tellier fait revivre toute une époque, celle de l’engagement d’André dans la Résistance, en France, lors de la Seconde Guerre Mondiale.
Hervé Le Tellier est un formidable conteur. Non seulement, la vie de ce jeune résistant, emporté par la Grande Histoire, est détaillée à partir des menus objets retrouvés, de minuscules photographies, des extraits de journaux, mais c’est toute une époque qui défile devant nous.
Tout est prétexte à la digression et c’est savoureux. André avec Simone, sa belle, devait aller au cinéma et c’est Marcel Carmé qui s’invite dans le récit. André a travaillé deux ans comme céramiste dans le bourg de Dieulefit qui était devenu le village refuge d’un certain nombre d’enfants orphelins mais aussi d’artistes et d’écrivains. Hervé Le Tellier nous en présente quelques-uns. Etc.…
Pour que la commémoration de la naissance d’André Chaix ne soit pas qu’une énième célébration, oubliée dans le flot continu des nouvelles qui nous abreuvent et nous asphyxient, Hervé le Tellier rappelle ses positions par rapport à la banalisation des partis européens d’extrême droite et plus précisément en France. Et, cela fait un bien immense !
Et concluons avec Hervé Le Tellier « Ce que je sais, c’est que sans ce nom gravé sur un mur, sans André Chaix comme fil à plomb, je n’aurais su explorer cette époque où la générosité et le courage ont côtoyé comme rarement l’égoïsme et l’abject. » Chronique illustrée ici https://vagabondageautourdesoi.com/20...
Zu Beginn des Buches überwältigte es mich, mit welcher Feinfühligkeit und mit welch Bedacht über André Chaix geschrieben wurde. Es wurde der Mensch hinter einem Namen betrachtet, ohne ihn zu herosieren. Es ist wichtig und richtig, eine Einordnung in den historischen Kontext vorzunehmen. Im Verlauf des Buches schweift Hervé le Tellier hier meines Erachtens allerdings zu sehr ab (dies gibt er aber selbst zu, was ihm zu Gute gehalten werden kann). Dies hat mir ein wenig den Genuss am Lesen genommen.
Alors ça ne m’arrive quasi jamais mais j’ai arrêté en cours de route au 2/3. Je n’en pouvais plus des énumérations de lieux, de films, d’acteurs … j’ai l’impression que toute digression était la bienvenue pour noircir quelques pages supplémentaires. Bref, je n’ai pas aimé du tout alors que j’avais beaucoup aimé l’anomalie.
Figure tragique des années noires, André Chaix reprend vie sous la plume humble d'Hervé Le Tellier. Avec une justesse constante, il comble les trous de la vie ce jeune homme idéaliste, résistant et amoureux. De Simone, de la vie, de la liberté.
Le nom sur le mur n'est pas qu'un portrait d'homme, mais nous remet en son cœur les conséquences des extrêmes, des esprits clos, et des atteintes aux libertés qui cheminent doucement, mais surement.
Je m’attendais à un roman mais il n’en n’est rien et ce récit n’en reste pas moins très agréable à lire. Le point de départ est une pierre gravée du nom d’André Chaix fixée sur la maison qu’Hervé Le Tellier vient d’acheter. Il fait des recherches sur l’homme et par ce biais nous replonge dans la seconde guerre mondiale, ses héros et ses coupables. N’hésite pas à faire des parallèles avec notre époque, nous oblige à un travail de mémoire. Très bon moment de lecture.
Was Herve Le Tellier inspired by Patrick Modiano's Dora Bruder, or by Phillipe Jaenada? I rather like this idea of taking a life of a "little person" and tracing it back through the past, and using that as the unifying principle to describe a place, a time, a cultural era.
In this case, Herve Le Tellier is inspired by finding the name "Andre Chaix" scratched on the wall of a house he occupies in a village in Drome, France, during the pandemic. It turns out that this was a young resistance fighter who was killed a couple of weeks after D-day, in a confrontation with a German tank unit. The author manages to get in touch with surviving relatives and with the daughter of Andre's former girlfriend, who provide him with memories and physical memorabilia (photos, letters). Remarkable that these artifacts have been conserved for more than half a century by someone who was not even a blood relation! To me that indicated the power of personal history, the reluctance some people have to destroy the physical souvenirs from other people, even if long-dead, even if we never knew them. I am the kind of person who stops to look at yellowed photographs at brocantes and vintage markets and wonder about these people's backstories - so this really resonated with me.
From this base, the author reconstructs Andre's short life, and from Andre's life, he meanders through daily life in WWII, Vichy, movies of the time, the maquis, panzer tanks and the deadly skirmishes with the retreating German army in the summer and fall of 1944. It's a pretty light touch and the book is less than 200 pages long. But in the spirit of "the personal is political", a story like this, built around an ordinary young man from a small village, can be more impactful than a big tome. I hope that this book will find readers among young people who have only the vaguest knowledge of WWII, and who may benefit from a reminder of just how atrocious war really was for their grandparents and great-grandparents.
Pour moi, Le Tellier est l'un de rares écrivains qui se méfient des pièges du genre qu'ils exploitent. Ici, dans un récit consacré au destin d'un résistant mort pour la France, il esquive l'affabulation, il déjoue la tentation d'offrir sa propre expérience comme miroir et devant le peu de faits qu'il possède sur son sujet, il se propose (chose remarquable et inattendue d'un romancier aujourd'hui) de compléter sa connaissance du contexte historique sur la résistance et sur la libération. Aucune envie pourtant de parader avec l'érudition, mais de montrer le respect vers cette victime, vers ce volontaire des Forces françaises de l'intérieur, qui s'est engagé de son propre chef pour combattre les nazis. Ce qui est inévitable aussi et que Le Tellier a aussi su éviter explicitement, c'est de faire une parallèle avec le présent, avec la France et l'Europe d'aujourd'hui, avec la droite qui devient de plus en plus puissante, et à laquelle nous assistons pour la plupart paralysés ou résignés. Mais entre les lignes... C'est finalement au lecteur de faire cette parallèle.
Partant d’un jeune résistant de la seconde guerre mondiale tué à 20 ans, Hervé Le Tellier met les petits plats dans les grands et nous parle de la résistance et de la collaboration ; du nazisme et des victimes ; de l’odieux et du vertueux ; de la petitesse et du suivisme face à au refus de céder. Un livre qui m’a souvent rappelé Exterminez toutes ces brutes tant les même schémas se répètent, encore et encore.
Et que penser de l’après guerre, des fondateurs du FN (futur RN), de cette amnistie générale servant à former un roman national destiner à réunir le pays ?
Et s’il est désespérant d’y constater nos compétences moutonnières, voilà un livre indispensable à l’heure de la remontée des fascismes et des extrémismes populistes
Comme Modiano avec Dora Bruder, Hervé le Tellier part d’un nom pour redonner vie à un inconnu de la seconde guerre mondiale. Mais avec ses digressions et sa façon de faire revivre une époque, il m’a plus fait penser à Jaenada qu’à Modiano. Quoiqu’il en soit, il fallait du talent pour faire vivre autant en si peu de pages, pour faire que quelques lignes poussent à la réflexion, pas seulement sur le passé mais aussi sur notre présent. Et tant pis si l’auteur brise allègrement les promesses qu’il avait faites au lecteur dans le premier chapitre, c’est une lecture à la fois facile, précise, touchante et plaisante.
Le nom sur le mur. Cette lecture va bien avec ma précédente lecture du Soldat Désaccordé de Gilles Marchand. Car cette fois l’histoire racontée est bien réelle. La manière qu’a Le Tellier de nous amenés dans la vie d’André Chaix en essayant « de ne pas cambrioler sa mémoire » comme le dit très bien l’auteur, est excellente. Quelle bonheur de lire des livres de cette qualité, sur une période qui me fascine tant et dont notre propre pays, nos propres régions et parfois nos propres villages gardent encore les stigmates. Le courage de ces hommes de ne sera jamais dépassé si tant est qu’il soit égalé un jour. Merci André Chaix.
Intrigued by an inscription on the wall of his new house, Le Tellier investigates the very short life and unglamorous death of Résistant André Chaix. Writing about this boy enables him to fill this short book with reflexions on the war, the occupation, courage, heroism etc. Just about every photo and scrap of information about Chaix is reproduced. It's sweet and gamely written, but a bit pointless, as if the author had run out of inspiration and decided on a kind of exercice to keep his hand in, so to speak.
I was very interested in the concept of this book at the beginning, and I was enjoying the first few chapters, but it pretty quickly became super jumbled and difficult to get through. At the end of it I'm not really sure what the author's goal was in writing it other than to scratch an itch he had about a very specific bit of research he did. It wasn't clear enough to be a coherent historical account, it was way too speculative to be an attempt at a biography, and it wasn't organized enough to be a very good read.
Extrêmement décevant … À partir d’une découverte fortuite d’un nom sur un mur d’une maison qu’il vient d’acquérir, l’auteur retrace la vie d’un jeune maquisard mort à 20 ans. Mais n’est pas Modiano qui veut … et l’évocation du jeune homme , comme celle de la Résistance sont lourdes, pataudes et souffrent de constantes irruptions de la vie de l’auteur. Le besoin qu’il décrit de garder la mémoire d’Andre Chaix et de son lien personnel avec celle ci se concrétise dans un texte trop médiocre.
Très beau récit où Hervé Le Tellier part sur un nom apposé sur une plaque d’une maison de famille qui se trouve être celui d’un jeune résistant tué par les nazis en 1944. De digressions en digressions, cela lui permet de revenir sur les thèmes de la bravoure et du dévouement et mais également sur l’abjection et l’égoïsme qu’on voit malheureusement réapparaître de plus bel devant nos yeux.
L'histoire d'André Chaix n'est pas un roman mais une enquête menée par l'auteur pour découvrir qui était cet homme . Une réflexion sur l'attitude des uns et des autres en période de guerre. Parfois un peu trop d'informations à mon goût mais la recherche approfondie faite par Hervé le Tellier passionera certainement les passionnés de cette époque.
Un livre inutile, je regrette qu'après son beau livre Prix Goncourt, au lieu d'attendre et d'écrire un deuxième livre de haut niveau, Le Tellier ait opté pour une opération commerciale : livre court, un peu, bio, un peu d'histoire, deux commentaires sentimentaux et des photos. Opération marketing bon marché.
This is a short work about a hero of the French Resistance in WW2. The author creates a life that was, as well as filling in the gaps as possible--all while discussing the inhumanity and irrationality of human behavior that permitted the rise and agenda of the Nazis to succeed (and without overlooking or ignoring the compliance and assistance of various other ethnic groups in Nazi atrocities).
Superbe récit, à la fois très émouvant et très intéressant. Et ma manière dont Hervé Le Tellier part du particulier, André Chaix, pour en arriver à l histoire, et à l actualité avec le Front/Rassemblement National, est à mon avis remarquable.
Roman dédié à la figure du héros de la résistance André Chaix. J'avais très envie de le lire. Par contre, j'ai été un peu deçue même si j'ai aimé l'histoire (très documentée en plus). L'ensemble ne m'a pas emporté, en fait j'ai mis pas mal de temps à le finir.