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Konráð #6
Lange schaduwen
Bij een meer in de buurt van Reykjavík wordt een dode man aangetroffen. Wanneer ze erachter komen om wie het gaat blijkt dat de politie jaren geleden contact met hem heeft gehad toen een goede vriend van hem spoorloos was verdwenen, en dat hij vlak daarna naar Noorwegen is geëmigreerd. De gepensioneerde politieman Konráð werkte destijds aan die zaak en raakt geïntrigeerd: waarom was de man nu in IJsland? En heeft zijn dood iets te maken met die oude vermissing?
Tegelijkertijd raakt Konráð verstrikt in zijn eigen verleden als er een onverwachte ontwikkeling is in een van zijn andere oude zaken, die opschudding veroorzaakt binnen de politie. Hoe meer er bekend wordt, hoe meer hij beseft dat oude zonden lange schaduwen werpen…
Tegelijkertijd raakt Konráð verstrikt in zijn eigen verleden als er een onverwachte ontwikkeling is in een van zijn andere oude zaken, die opschudding veroorzaakt binnen de politie. Hoe meer er bekend wordt, hoe meer hij beseft dat oude zonden lange schaduwen werpen…
287 pages, Paperback
Published February 4, 2025
18 people are currently reading
154 people want to read
About the author
Arnaldur Indriðason
51 books3,266 followersArnaldur Indriðason has the rare distinction of having won the Nordic Crime Novel Prize two years running. He is also the winner of the highly respected and world famous CWA Gold Dagger Award for the top crime novel of the year in the English language, Silence of the Grave.
Arnaldur’s novels have sold over 14 million copies worldwide, in 40 languages, and have won numerous well-respected prizes and received rave reviews all over the world.
Arnaldur’s novels have sold over 14 million copies worldwide, in 40 languages, and have won numerous well-respected prizes and received rave reviews all over the world.
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Community Reviews
Displaying 1 - 27 of 27 reviews
March 1, 2025
Wat ik lastig vind aan deze serie met Konraɗ is dat er twee verhalen door elkaar heen lopen: 1. Het verhaal dat al meerdere boeken speelt over de vader van Konraɗ, 2. De cold case/ actuele zaak waar hij induikt. Voor het eerste verhaal wordt van de lezer verwacht dat hij de voorgeschiedenis al kent. Dat doe ik niet - althans ik heb er lang geleden iets over gelezen - en dat maakt dat het lastig inkomen is. Als je er dan inzit, is het weer een goed verhaal.
December 25, 2023
Solid, auðlesin Arnaldarbók! Mér finnst Konráð alltaf skemmtilegur karakter. Fullmikil og flókin tengsl við stærri söguna sem hefur verið þráður í síðustu bókunum um Konráð, mundi hana ekki nógu vel til að ég héldi alveg þræði í þessari. Held að það hefði verið auðgert að skrifa betri upprifjun inn í söguna. Fínasta plot bara, fattaði það ekki fyrr en það var leitt út í lokin
April 22, 2024
Greinilega gert ráð fyrir að maður hafi lesið hinar bækurnar í seríunni. Þarf að byrja á fyrstu bókinni við tækifæri.
November 26, 2023
Mjög góð, ríghélt mér
June 10, 2025
Un Indridason grand cru où l'insupportable Konrad s'obstine encore et toujours à fouiller dans le passé de ses compatriotes pour établir un lien entre des événements antédiluviens qui n'en ont apparemment aucun.
Lors de l'épisode précédent de la série "Kónrað" (Les parias), le lecteur avait pratiquement obtenu la clé de pas mal de mystères et s'était dit un peu vite qu'il s'agissait peut-être du dernier de cette série bien sombre, avec un héros qui n'en est pas vraiment un, aussi mal à l'aise dans sa vie privée que dans son métier de flic, et qui porte sur ses épaules tout le poids d'un père toxique et à moitié escroc.
Mais c'était compter sans la persévérance de Arnaldur Indriðason et sans l'obstination de son héros, le fameux Kónrað, Konni pour les intimes.
Et bien non, Konni, le flic à la retraite, n'en a pas fini avec les mystères du passé.
Dans les années 70, un homosexuel a été assassiné : son corps n'a pas été retrouvé mais un homme, Natan, a été arrêté et a fini par avouer le meurtre. Natan est mort en prison.
La victime c'était Skafti, « Skafti Timoteus Hallgrimsson, dont on pensait qu’il avait été assassiné à Reykjavik dans les années 70 ».
Dans les années 80, toujours en pleine guerre froide, c'est le propriétaire d'un pressing qui disparaît sans laisser de traces et « la police n’avait jamais su ce qu’était devenu Pétur Jonsson . Les recherches de grandes envergures engagées n’avaient jamais abouti. ».
Nous voici en 2019 : le corps de Skafti vient d'être retrouvé, mais pas vraiment là où on l'attendait.
Dans le même temps, c'est le cadavre de Franklin, un ami de Pétur, qui est retrouvé assassiné au bord d'un lac.
Est-ce qu' « il y aurait un rapport entre la mort de Franklin aujourd’hui et la disparition de Pétur il y a des dizaines d’années ? ».
Kónrað, le flic retraité au passé douteux (... de vieilles affaires bâclées), va reprendre du service, recommencer à creuser dans le passé de l'île, harceler ses concitoyens ou même interroger ses proches.
D'autant plus que c'est son ami Leo qui, à l'époque, avait mené l'enquête et inculpé le meurtrier de Skafti tandis qu'aujourd'hui « les médias voulaient savoir qui avait mené l’enquête à l’époque et pourquoi elle avait été autant bâclée. ».
Kónrað et le lecteur auront bien du mal à démêler les fils du passé et l'aide de son amie Eyglo avec ses séances de spiritisme ne sera pas de trop.
➔ L'intrigue est longue et lente à se mettre en place : l'insupportable Konrad s'obstine à fouiller dans le passé de ses compatriotes pour trouver un lien entre des événements qui n'en ont visiblement aucun.
Tel un jouet mécanique infatigable, il fonce, pose des questions, dérange, blesse, perturbe, et puis se heurte finalement à un mur de silence. Alors il repart sur une autre piste, fouine, pose ses questions, irrite, vexe, et puis bute à nouveau ...
« [...] – J’avais oublié ce détail.
– Lequel ?
– À quel point vous êtes insupportable, répondit Dagmar en se levant pour lui indiquer la sortie. Mais maintenant je m’en souviens. Vous passiez votre temps à poser des questions sans intérêt. Et à fouiner dans des affaires qui ne vous concernent pas. Je vois que ça n’a pas beaucoup changé. »
➔ Le lecteur fidèle va retrouver là tous les thèmes récurrents de cet auteur, c'est un véritable festival et le passé dans lequel farfouille Konrad est celui de la guerre froide.
Il y a donc l'insupportable présence américaine sur l'île.
Il y a l’espionnite à laquelle se livrent soviétiques et américains, utilisant les islandais comme des pions sur l'échiquier mondial, à l'époque où certains « avaient tourné le dos au socialisme après leur séjour au pays des lendemains qui chantent ».
Je vous parle d'un temps où l'on roulait en Lada et où les chalutiers russes croisaient au large de Reykjavík.
➔ Il y a ces pesantes histoires de famille, lourdes de secrets et de non-dits, là où se nouent la plupart des drames.
➔ Et puis il y a bien entendu ces fameuses « disparitions islandaises » que Indridason a rendues célèbres au fil de ses bouquins et sans lesquelles un polar islandais n'en serait pas vraiment un, au point d'en faire presque un running-gag (si tant est que l'on puisse parler de gag ici, mais on peut, puisque l'auteur lui-même s'autorise un peu d'autodérision à ce sujet) : « j’espérais que l’enquête conclurait à une disparition typiquement islandaise. »
« [...] On entendait très souvent parler aux informations de touristes qui trouvaient la mort dans des accidents sur le réseau routier islandais de piètre qualité, qui s’égaraient et s’épuisaient loin dans les hautes terres inhabitées, qui tombaient d’une falaise, se noyaient dans la mer ou dans les lacs, ou qu’on retrouvait morts dans leurs chambres d’hôtel. La sécurité civile n’avait jamais eu autant de travail que depuis l’essor de l’industrie touristique.»
➔ Vous l'avez compris, après des débuts compliqués, la suite du roman tient toutes ses promesses et c'est un véritable Indridason d'exception qui ne décevra pas les fans de cet auteur ni les habitués de la série Konrad. Tant que vous n'avez pas lu Indridason, vous ne savez pas ce que c'est qu'un cold case.
Une fois n'est pas coutume, l'obstiné Konrad finira, à force d'entêtement, par déterrer les cadavres disparus et démêler les fils du passé, mais cette fois on se gardera bien de dire que, après les mystères résolus, c'est peut-être le dernier épisode de la série !
On a appris à tenir compte de la ténacité de l'écrivain et de l'acharnement de son héros : pas dit qu'ils aient sorti tous les squelettes des placards islandais ! Peut-être aurons-nous encore le plaisir de retrouver ce Konrad, le flic le plus insupportable du rayon polars avec ses « questions insistantes ».
La curiosité du jour :
Petite curiosité historique, au détour d'une page, Indriðason évoque le mouvement des « chaussettes rouges » et le combat des femmes de l'île pour gagner une place plus digne dans la société islandaise jusqu'à la fameuse grève du 24 octobre 1975 : la journée sans femmes lorsque 90% des islandaises ont cessé toutes leurs activités.
Lors de l'épisode précédent de la série "Kónrað" (Les parias), le lecteur avait pratiquement obtenu la clé de pas mal de mystères et s'était dit un peu vite qu'il s'agissait peut-être du dernier de cette série bien sombre, avec un héros qui n'en est pas vraiment un, aussi mal à l'aise dans sa vie privée que dans son métier de flic, et qui porte sur ses épaules tout le poids d'un père toxique et à moitié escroc.
Mais c'était compter sans la persévérance de Arnaldur Indriðason et sans l'obstination de son héros, le fameux Kónrað, Konni pour les intimes.
Et bien non, Konni, le flic à la retraite, n'en a pas fini avec les mystères du passé.
Dans les années 70, un homosexuel a été assassiné : son corps n'a pas été retrouvé mais un homme, Natan, a été arrêté et a fini par avouer le meurtre. Natan est mort en prison.
La victime c'était Skafti, « Skafti Timoteus Hallgrimsson, dont on pensait qu’il avait été assassiné à Reykjavik dans les années 70 ».
Dans les années 80, toujours en pleine guerre froide, c'est le propriétaire d'un pressing qui disparaît sans laisser de traces et « la police n’avait jamais su ce qu’était devenu Pétur Jonsson . Les recherches de grandes envergures engagées n’avaient jamais abouti. ».
Nous voici en 2019 : le corps de Skafti vient d'être retrouvé, mais pas vraiment là où on l'attendait.
Dans le même temps, c'est le cadavre de Franklin, un ami de Pétur, qui est retrouvé assassiné au bord d'un lac.
Est-ce qu' « il y aurait un rapport entre la mort de Franklin aujourd’hui et la disparition de Pétur il y a des dizaines d’années ? ».
Kónrað, le flic retraité au passé douteux (... de vieilles affaires bâclées), va reprendre du service, recommencer à creuser dans le passé de l'île, harceler ses concitoyens ou même interroger ses proches.
D'autant plus que c'est son ami Leo qui, à l'époque, avait mené l'enquête et inculpé le meurtrier de Skafti tandis qu'aujourd'hui « les médias voulaient savoir qui avait mené l’enquête à l’époque et pourquoi elle avait été autant bâclée. ».
Kónrað et le lecteur auront bien du mal à démêler les fils du passé et l'aide de son amie Eyglo avec ses séances de spiritisme ne sera pas de trop.
➔ L'intrigue est longue et lente à se mettre en place : l'insupportable Konrad s'obstine à fouiller dans le passé de ses compatriotes pour trouver un lien entre des événements qui n'en ont visiblement aucun.
Tel un jouet mécanique infatigable, il fonce, pose des questions, dérange, blesse, perturbe, et puis se heurte finalement à un mur de silence. Alors il repart sur une autre piste, fouine, pose ses questions, irrite, vexe, et puis bute à nouveau ...
« [...] – J’avais oublié ce détail.
– Lequel ?
– À quel point vous êtes insupportable, répondit Dagmar en se levant pour lui indiquer la sortie. Mais maintenant je m’en souviens. Vous passiez votre temps à poser des questions sans intérêt. Et à fouiner dans des affaires qui ne vous concernent pas. Je vois que ça n’a pas beaucoup changé. »
➔ Le lecteur fidèle va retrouver là tous les thèmes récurrents de cet auteur, c'est un véritable festival et le passé dans lequel farfouille Konrad est celui de la guerre froide.
Il y a donc l'insupportable présence américaine sur l'île.
Il y a l’espionnite à laquelle se livrent soviétiques et américains, utilisant les islandais comme des pions sur l'échiquier mondial, à l'époque où certains « avaient tourné le dos au socialisme après leur séjour au pays des lendemains qui chantent ».
Je vous parle d'un temps où l'on roulait en Lada et où les chalutiers russes croisaient au large de Reykjavík.
➔ Il y a ces pesantes histoires de famille, lourdes de secrets et de non-dits, là où se nouent la plupart des drames.
➔ Et puis il y a bien entendu ces fameuses « disparitions islandaises » que Indridason a rendues célèbres au fil de ses bouquins et sans lesquelles un polar islandais n'en serait pas vraiment un, au point d'en faire presque un running-gag (si tant est que l'on puisse parler de gag ici, mais on peut, puisque l'auteur lui-même s'autorise un peu d'autodérision à ce sujet) : « j’espérais que l’enquête conclurait à une disparition typiquement islandaise. »
« [...] On entendait très souvent parler aux informations de touristes qui trouvaient la mort dans des accidents sur le réseau routier islandais de piètre qualité, qui s’égaraient et s’épuisaient loin dans les hautes terres inhabitées, qui tombaient d’une falaise, se noyaient dans la mer ou dans les lacs, ou qu’on retrouvait morts dans leurs chambres d’hôtel. La sécurité civile n’avait jamais eu autant de travail que depuis l’essor de l’industrie touristique.»
➔ Vous l'avez compris, après des débuts compliqués, la suite du roman tient toutes ses promesses et c'est un véritable Indridason d'exception qui ne décevra pas les fans de cet auteur ni les habitués de la série Konrad. Tant que vous n'avez pas lu Indridason, vous ne savez pas ce que c'est qu'un cold case.
Une fois n'est pas coutume, l'obstiné Konrad finira, à force d'entêtement, par déterrer les cadavres disparus et démêler les fils du passé, mais cette fois on se gardera bien de dire que, après les mystères résolus, c'est peut-être le dernier épisode de la série !
On a appris à tenir compte de la ténacité de l'écrivain et de l'acharnement de son héros : pas dit qu'ils aient sorti tous les squelettes des placards islandais ! Peut-être aurons-nous encore le plaisir de retrouver ce Konrad, le flic le plus insupportable du rayon polars avec ses « questions insistantes ».
La curiosité du jour :
Petite curiosité historique, au détour d'une page, Indriðason évoque le mouvement des « chaussettes rouges » et le combat des femmes de l'île pour gagner une place plus digne dans la société islandaise jusqu'à la fameuse grève du 24 octobre 1975 : la journée sans femmes lorsque 90% des islandaises ont cessé toutes leurs activités.
March 11, 2025
[RECENSIE] Lange schaduwen van Arnaldur Indriason
ZIJN VERTEL- EN SCHRIJFTECHNIEK ZIJN ALS EEN KERS OP DE TAART
++ ‘Al op het ogenblik dat ze de doos uit de dubbele bodem van de klok had genomen had ze gemerkt dat die niets anders dan onmacht, walging en marteling met zich meedroeg’ ++
Oorspronkelijke titel: Sæluriki
ISBN: 978 90 445 5058 0
Uitgegeven door: Uitgeverij Volt, Singel Uitgevers
Pagina’s: 287
Vertaling: Adriaan Faber
Beoordeling: ⭐️⭐️⭐️⭐️
Hij staat bekend om zijn sfeer beschrijvende en beeldvormende verhalen. De IJslandse auteur Arnaldur Indriδason heeft daar ook al menige prijs voor mogen ontvangen. Al zijn ze soms wat donkergetint, wint het dat nooit van de menselijkheid, betrokkenheid en compassie die daar als kleine kristallen achter schuilen. Of het een gevolg van het klimaat is of een andere oorzaak heeft, Indriδason heeft zich uit de nauwelijks 300.000 IJslanders duidelijk onderscheiden door zijn uitzonderlijk ontwikkelde schrijfkunst. Lange schaduwen is zijn zesde boek met de gepensioneerde politieman Konrá in de hoofdrol. En zijn gulden regel dat informatie altijd in dienst moet staan van het verhaal, is in Lange schaduwen weer heel nadrukkelijk door hem als sluitend bewijs naar voren gebracht.
Konrá wordt getriggerd als in de buurt van Reykjavik het lichaam van een dode man wordt gevonden. Identificatie van het stoffelijk overschot leert dat het heeft toebehoord aan Skafti waarvoor destijds Natan, vermoedelijk onschuldig, is veroordeeld. Konrá was ook bij de zaak betrokken en zijn collega en vriend Leó heeft destijds het verhoor geleid en met een bekentenis van Natan gekomen. Het wordt zaak om Leó hierover te spreken maar nadat de vriendschap wat is bekoeld, ziet hij hem niet zo vaak meer. Een begrafenis van een familielid van hem lijkt een goede kans…
Daarnaast loopt nog steeds de tweede verhaallijn waarin Konrá op zoek is naar het levensverhaal van zijn vader.
++ ‘Hij moest stevig tegen het portier duwen om de auto uit te kunnen komen, daarna kroop hij langs de wagen uit de struiken en sloop op het huis af’ ++
De plotopbouw loopt parallel aan de zoektocht van Konrá naar zijn oude vriend Leó. Een eerste confrontatie bij de uitvaart verloopt anders dan verwacht en de oud-politieman zal een ander pad moeten bewandelen om meer te weten te komen over het precieze verloop van de oude zaak rond de dood van Skafti. De chef van de recherche Marta laat weten dat zij ook niet direct zit te wachten op de bemoeienis van Konrá. Enige mogelijkheid om de waarheid boven tafel te krijgen is zelf naar mensen te gaan zoeken die wellicht iets meer kunnen vertellen, dat een schier onmogelijke zaak lijkt…
Indriδason dankt zijn reputatie voor een groot deel aan zijn vertelkunst en zijn techniek om dat ook op papier te krijgen. Dat lukt bij het ene boek beter als bij het andere en ook ieder verhaal leent zich daar niet zo voor. Met Lange schaduwen heeft de auteur weer alle registers open kunnen trekken om er iets interessants van te maken. Hij schroomt hierbij ook niet om actuele maatschappelijke onderwerpen te noemen en op uiterst vileine wijze met een enkel woord te voorzien van zijn mening. Over de personages zoals die zijn neergezet hoef je weinig vraagtekens bij te plaatsen, het is bij ieder karakter snel duidelijk wat voor personage Indriδason neer heeft willen zetten. Als lezer hoef je weinig verbeeldingskracht in fantasie te hebben om daar een beeld bij te vormen. Terugkijkend blijkt dan dat niet de spanning of het aantal slachtoffers het succes bepaalt maar het schrijftalent in al zijn facetten het verhaal interessant maakt.
Samengavat is Lange schaduwen weer een feestje om te lezen. De ervaring en kennis van de auteur, gecombineerd met zijn fabuleuze vertel- en schrijftechniek leveren gezamenlijk het resultaat voor uiterst hoog leesplezier. Met dit boek onderscheidt Indriδason zich wederom tussen al het Scandinavisch geweld.
Eindoordeel: 4,0 sterren
Spanning: 3 sterren
Plot: 4 sterren
Leesplezier: 5 sterren
Schrijfstijl: 5 sterren
Originaliteit: 4 sterren
Psychologie: 4 sterren
ZIJN VERTEL- EN SCHRIJFTECHNIEK ZIJN ALS EEN KERS OP DE TAART
++ ‘Al op het ogenblik dat ze de doos uit de dubbele bodem van de klok had genomen had ze gemerkt dat die niets anders dan onmacht, walging en marteling met zich meedroeg’ ++
Oorspronkelijke titel: Sæluriki
ISBN: 978 90 445 5058 0
Uitgegeven door: Uitgeverij Volt, Singel Uitgevers
Pagina’s: 287
Vertaling: Adriaan Faber
Beoordeling: ⭐️⭐️⭐️⭐️
Hij staat bekend om zijn sfeer beschrijvende en beeldvormende verhalen. De IJslandse auteur Arnaldur Indriδason heeft daar ook al menige prijs voor mogen ontvangen. Al zijn ze soms wat donkergetint, wint het dat nooit van de menselijkheid, betrokkenheid en compassie die daar als kleine kristallen achter schuilen. Of het een gevolg van het klimaat is of een andere oorzaak heeft, Indriδason heeft zich uit de nauwelijks 300.000 IJslanders duidelijk onderscheiden door zijn uitzonderlijk ontwikkelde schrijfkunst. Lange schaduwen is zijn zesde boek met de gepensioneerde politieman Konrá in de hoofdrol. En zijn gulden regel dat informatie altijd in dienst moet staan van het verhaal, is in Lange schaduwen weer heel nadrukkelijk door hem als sluitend bewijs naar voren gebracht.
Konrá wordt getriggerd als in de buurt van Reykjavik het lichaam van een dode man wordt gevonden. Identificatie van het stoffelijk overschot leert dat het heeft toebehoord aan Skafti waarvoor destijds Natan, vermoedelijk onschuldig, is veroordeeld. Konrá was ook bij de zaak betrokken en zijn collega en vriend Leó heeft destijds het verhoor geleid en met een bekentenis van Natan gekomen. Het wordt zaak om Leó hierover te spreken maar nadat de vriendschap wat is bekoeld, ziet hij hem niet zo vaak meer. Een begrafenis van een familielid van hem lijkt een goede kans…
Daarnaast loopt nog steeds de tweede verhaallijn waarin Konrá op zoek is naar het levensverhaal van zijn vader.
++ ‘Hij moest stevig tegen het portier duwen om de auto uit te kunnen komen, daarna kroop hij langs de wagen uit de struiken en sloop op het huis af’ ++
De plotopbouw loopt parallel aan de zoektocht van Konrá naar zijn oude vriend Leó. Een eerste confrontatie bij de uitvaart verloopt anders dan verwacht en de oud-politieman zal een ander pad moeten bewandelen om meer te weten te komen over het precieze verloop van de oude zaak rond de dood van Skafti. De chef van de recherche Marta laat weten dat zij ook niet direct zit te wachten op de bemoeienis van Konrá. Enige mogelijkheid om de waarheid boven tafel te krijgen is zelf naar mensen te gaan zoeken die wellicht iets meer kunnen vertellen, dat een schier onmogelijke zaak lijkt…
Indriδason dankt zijn reputatie voor een groot deel aan zijn vertelkunst en zijn techniek om dat ook op papier te krijgen. Dat lukt bij het ene boek beter als bij het andere en ook ieder verhaal leent zich daar niet zo voor. Met Lange schaduwen heeft de auteur weer alle registers open kunnen trekken om er iets interessants van te maken. Hij schroomt hierbij ook niet om actuele maatschappelijke onderwerpen te noemen en op uiterst vileine wijze met een enkel woord te voorzien van zijn mening. Over de personages zoals die zijn neergezet hoef je weinig vraagtekens bij te plaatsen, het is bij ieder karakter snel duidelijk wat voor personage Indriδason neer heeft willen zetten. Als lezer hoef je weinig verbeeldingskracht in fantasie te hebben om daar een beeld bij te vormen. Terugkijkend blijkt dan dat niet de spanning of het aantal slachtoffers het succes bepaalt maar het schrijftalent in al zijn facetten het verhaal interessant maakt.
Samengavat is Lange schaduwen weer een feestje om te lezen. De ervaring en kennis van de auteur, gecombineerd met zijn fabuleuze vertel- en schrijftechniek leveren gezamenlijk het resultaat voor uiterst hoog leesplezier. Met dit boek onderscheidt Indriδason zich wederom tussen al het Scandinavisch geweld.
Eindoordeel: 4,0 sterren
Spanning: 3 sterren
Plot: 4 sterren
Leesplezier: 5 sterren
Schrijfstijl: 5 sterren
Originaliteit: 4 sterren
Psychologie: 4 sterren
July 20, 2025
Belangrijk om te weten: A. Indridason (° 1961) is historicus, journalist geweest, was filmcriticus en is dol op film noir.
Dit boek verscheen in 2023 in het IJslands. In 2025 in het Nederlands, De Geus, en ook in het Frans onder de titel 'Les lendemains qui chantent' wat ik eigenlijk een zeer geschikte titel vind.
Dit is het zesde boek in de Konrad-reeks.
Konrad is een gepensioneerde politieman; eerder toevallig bij de politie terecht gekomen; maar heeft zich toch ontpopt als een hardnekkige en verbeten rechercheur; hij was niet altijd voorbeeldig en heeft bij zijn collega's niet altijd een positieve indruk nagelaten.
Nu hij met pensioen is en dat zijn vrouw overleden is, kan hij het niet nalaten zijn neus te steken in de lopende politiezaken. Hij bijt zich eveneens vast in enkele cold cases.
Konrad is koppig en verbeten, eigenwijs, strijdlustig, knorrig, loyaal, enigszins eenzaam en hij leeft teruggetrokken.
PLOT
Er worden kort na elkaar twee lijken gevonden: een van een IJslander die decennia geleden naar Noorwegen was uitgeweken (waarom?) en nu teruggekeerd was (nog eens, waarom?) en van een jonge man. Tot ergernis van de politie-inspecteur die met de zaak belast is, stort Konrad zich in het onderzoek naar oorzaken verbanden, daders...
Konrad legt allerlei verbanden die anderen niet zien, graaft in het verleden, ondervraagt Jan en alleman (vooral de oudere mensen).
Eigenlijk zou men kunnen stellen dat het politieverhaal een voorwendsel is om over IJsland te kunnen schrijven: over zijn natuur uiteraard en haar diepgaande impact op de bewoners; over de geschiedenis; over de negatieve gevolgen van het massatoerisme, over allerhande maatschappelijke problemen, zoals de tekortkomingen in de gezondheidszorg en het onderwijs....
In dit boek ligt de focus op het verleden: de Koude Oorlog, de gespannen verhoudingen met de buur aan de overkant van de zee (USSR) die zonder gêne als vissersboten gecamoufleerde radarboten in de IJslandse havens doet aanmeren.
Het ongenoegen van vele IJslanders over de aanwezigheid van Amerikaanse militaire basissen op hun grondgebied ( de laatste werd gesloten in 2006; en IJsl. is lid van de NAVO).
Een en ander heeft ervoor gezorgd dat heel wat jonge, radicale of idealistische IJslanders in de jaren '50 en '60 naar de USSR zijn getrokken om daar te studeren. Vandaar dat ik de Franse titel een goede vondst vind.
Andere IJslanders profiteerden van de Russische aanwezigheid om hun oude, versleten Lada's aan de Russen te verkopen; dit lijkt een detail, maar het speelt een belangrijke rol in het boek.
FOCUS
Het lijkt mij dat Indridason een eerste instantie schrijft voor de IJslanders zelf: hij vertelt verhalen die hen aanspreken, die gaan over HUN realiteit ( geen Amerikaanse massamoordenaars toestanden....)
Hij probeert de geschiedenis te verklaren door middel van persoonlijke verhalen, grijze zones uit te klaren, op subtiele wijze maatschappelijke problemen aan te kaarten.
STIJL
De stijl is soepel en vlot.
Vindingrijke verhaallijnen, verteld in korte hoofdstukken, met veel oog voor details.
Bijzonder geslaagde naturbeschrijvingen, want weer en landschap spelen een belangrijke rol.
Goede karaktertekeningen.
De manier van vertellen is droog en sober, zonder franje,
De sfeer is enigszins melancholisch.
EEN AANRADER
Dit boek verscheen in 2023 in het IJslands. In 2025 in het Nederlands, De Geus, en ook in het Frans onder de titel 'Les lendemains qui chantent' wat ik eigenlijk een zeer geschikte titel vind.
Dit is het zesde boek in de Konrad-reeks.
Konrad is een gepensioneerde politieman; eerder toevallig bij de politie terecht gekomen; maar heeft zich toch ontpopt als een hardnekkige en verbeten rechercheur; hij was niet altijd voorbeeldig en heeft bij zijn collega's niet altijd een positieve indruk nagelaten.
Nu hij met pensioen is en dat zijn vrouw overleden is, kan hij het niet nalaten zijn neus te steken in de lopende politiezaken. Hij bijt zich eveneens vast in enkele cold cases.
Konrad is koppig en verbeten, eigenwijs, strijdlustig, knorrig, loyaal, enigszins eenzaam en hij leeft teruggetrokken.
PLOT
Er worden kort na elkaar twee lijken gevonden: een van een IJslander die decennia geleden naar Noorwegen was uitgeweken (waarom?) en nu teruggekeerd was (nog eens, waarom?) en van een jonge man. Tot ergernis van de politie-inspecteur die met de zaak belast is, stort Konrad zich in het onderzoek naar oorzaken verbanden, daders...
Konrad legt allerlei verbanden die anderen niet zien, graaft in het verleden, ondervraagt Jan en alleman (vooral de oudere mensen).
Eigenlijk zou men kunnen stellen dat het politieverhaal een voorwendsel is om over IJsland te kunnen schrijven: over zijn natuur uiteraard en haar diepgaande impact op de bewoners; over de geschiedenis; over de negatieve gevolgen van het massatoerisme, over allerhande maatschappelijke problemen, zoals de tekortkomingen in de gezondheidszorg en het onderwijs....
In dit boek ligt de focus op het verleden: de Koude Oorlog, de gespannen verhoudingen met de buur aan de overkant van de zee (USSR) die zonder gêne als vissersboten gecamoufleerde radarboten in de IJslandse havens doet aanmeren.
Het ongenoegen van vele IJslanders over de aanwezigheid van Amerikaanse militaire basissen op hun grondgebied ( de laatste werd gesloten in 2006; en IJsl. is lid van de NAVO).
Een en ander heeft ervoor gezorgd dat heel wat jonge, radicale of idealistische IJslanders in de jaren '50 en '60 naar de USSR zijn getrokken om daar te studeren. Vandaar dat ik de Franse titel een goede vondst vind.
Andere IJslanders profiteerden van de Russische aanwezigheid om hun oude, versleten Lada's aan de Russen te verkopen; dit lijkt een detail, maar het speelt een belangrijke rol in het boek.
FOCUS
Het lijkt mij dat Indridason een eerste instantie schrijft voor de IJslanders zelf: hij vertelt verhalen die hen aanspreken, die gaan over HUN realiteit ( geen Amerikaanse massamoordenaars toestanden....)
Hij probeert de geschiedenis te verklaren door middel van persoonlijke verhalen, grijze zones uit te klaren, op subtiele wijze maatschappelijke problemen aan te kaarten.
STIJL
De stijl is soepel en vlot.
Vindingrijke verhaallijnen, verteld in korte hoofdstukken, met veel oog voor details.
Bijzonder geslaagde naturbeschrijvingen, want weer en landschap spelen een belangrijke rol.
Goede karaktertekeningen.
De manier van vertellen is droog en sober, zonder franje,
De sfeer is enigszins melancholisch.
EEN AANRADER
April 10, 2025
https://livresforfun.overblog.com/202...
Merci à Netgalley et aux éditions Métailié pour cette lecture.
Comme à chaque fois, Indridason fait l'événement avec la sortie de son nouvel opus. On y retrouve ici son dernier héros récurrent Konrad, qui va à nouveau se trouver mêlé à des secrets bien enfouis de l'historie islandaise, en lien toujours très étroits avec sa propre histoire familiale. Ce retraité qui à l'enquête dans le sang ne peut pas s'empêcher de fouiner partout quitte à mettre sa vie en danger.
Le premier point concernant ce roman, c'est que l'on retrouve tous les critères du polar islandais tel qu'il était à ses débuts. Un cadre et une histoire qui se posent avec lenteur; des méthodes à l'ancienne basées sur la psychologie et la déduction; et un climat pesant qui participe à l'intrigue.
Les personnages eux, sont bien ancrés, Konrad étant devenu un personnage récurrent.Mais je dois bien avouer, que sa négativité me pése un peu et le rend moins attachant qu'il pourrait l'être. Heureusement la galerie de personnages secondaires, Martha et Eyglo viennent apporter un peu d'humour et de légèreté dans un ensemble qui se veut plus noir que noir...
Et même si j'apprécie toujours autant la description toujours pertinente d'une société islandaise, qui dévoile son passé et son présent, je me détache peu à peu de cette série qui je trouve, commence un peu à tourner en rond.
Mais Indridason reste un de mes auteurs préférés qui je suis sure, saura m'accrocher à nouveau dès le prochain opus.
Merci à Netgalley et aux éditions Métailié pour cette lecture.
Comme à chaque fois, Indridason fait l'événement avec la sortie de son nouvel opus. On y retrouve ici son dernier héros récurrent Konrad, qui va à nouveau se trouver mêlé à des secrets bien enfouis de l'historie islandaise, en lien toujours très étroits avec sa propre histoire familiale. Ce retraité qui à l'enquête dans le sang ne peut pas s'empêcher de fouiner partout quitte à mettre sa vie en danger.
Le premier point concernant ce roman, c'est que l'on retrouve tous les critères du polar islandais tel qu'il était à ses débuts. Un cadre et une histoire qui se posent avec lenteur; des méthodes à l'ancienne basées sur la psychologie et la déduction; et un climat pesant qui participe à l'intrigue.
Les personnages eux, sont bien ancrés, Konrad étant devenu un personnage récurrent.Mais je dois bien avouer, que sa négativité me pése un peu et le rend moins attachant qu'il pourrait l'être. Heureusement la galerie de personnages secondaires, Martha et Eyglo viennent apporter un peu d'humour et de légèreté dans un ensemble qui se veut plus noir que noir...
Et même si j'apprécie toujours autant la description toujours pertinente d'une société islandaise, qui dévoile son passé et son présent, je me détache peu à peu de cette série qui je trouve, commence un peu à tourner en rond.
Mais Indridason reste un de mes auteurs préférés qui je suis sure, saura m'accrocher à nouveau dès le prochain opus.
June 19, 2025
Oh la la, que c’était difficile à suivre pour moi!!! Il faut savoir que c’est le 6e tome avec cet enquêteur prénommé Konrad. Il n’est pas rare dans les séries policières avec enquêteur récurrent, que je lise les tomes dans le désordre et c’est rarement grave. Mais dans ce cas-ci, je recommande de les lire dans l’ordre. Particulièrement pour celui-ci, car les informations concernant le passé de Konrad sont mélangées avec celles concernant les diverses enquêtes. Et justement, il y a plusieurs enquêtes, plusieurs personnages… et les liens sont bien difficiles à faire. Je ne savais donc plus où j’en étais.
C’est dommage, j’ai vu tout le potentiel, je n’hésiterai pas à relire Arnaldur Indridason, mais dans ce cas-ci, j’étais tout simplement perdue. Il faut dire que je sentais qu’à travers cette histoire, l’auteur évoque plusieurs données et renseignements sur son pays, l’Islande. C’est très intéressant, mais ici aussi, c’est une couche de plus dans cet amalgame d’informations!
J’ai bien aimé ce personnage de Konrad. J’ai bien aimé l’écriture de l’auteur. Même si je n’ai pas réussi à apprécier ce livre à sa juste valeur, je le recommande quand même, mais lisez les autres tomes d’abord! 😉
C’est dommage, j’ai vu tout le potentiel, je n’hésiterai pas à relire Arnaldur Indridason, mais dans ce cas-ci, j’étais tout simplement perdue. Il faut dire que je sentais qu’à travers cette histoire, l’auteur évoque plusieurs données et renseignements sur son pays, l’Islande. C’est très intéressant, mais ici aussi, c’est une couche de plus dans cet amalgame d’informations!
J’ai bien aimé ce personnage de Konrad. J’ai bien aimé l’écriture de l’auteur. Même si je n’ai pas réussi à apprécier ce livre à sa juste valeur, je le recommande quand même, mais lisez les autres tomes d’abord! 😉
July 7, 2025
Lange schaduwen is het zesde deel in de Konráð-serie van de IJslandse auteur Arnaldur Indriðason. Het boek volgt de gepensioneerde politieman Konráð, die betrokken raakt bij een oude zaak wanneer een dode man wordt gevonden bij een meer in de buurt van Reykjavík. Deze man was jaren geleden betrokken bij een vermissingszaak waar Konráð aan werkte, en zijn dood roept nieuwe vragen op.
De plot van Lange schaduwen is goed opgebouwd en houdt de lezer geboeid met onverwachte wendingen en intrigerende ontwikkelingen. Indriðason slaagt erin om de sfeer van IJsland treffend neer te zetten, en de personages zijn goed uitgewerkt en geloofwaardig. De beschrijvingen van de samenleving en de omgeving dragen bij aan de spanning en de diepgang van het verhaal. Echter ik had even nodig om in het verhaal te komen. Waarschijnlijk was het omdat ik vorige boeken niet gelezen heb. Arnaldur Indriðason introduceert paranormale elementen. Ik hou wel van deze twist in het verhaal.
Al met al is Lange schaduwen een boeiende thriller. Ik ga alvast meer lezen van de Konráð-serie. Het boek biedt een mix van spanning, mysterie en een diepgaande blik op de IJslandse samenleving.
De plot van Lange schaduwen is goed opgebouwd en houdt de lezer geboeid met onverwachte wendingen en intrigerende ontwikkelingen. Indriðason slaagt erin om de sfeer van IJsland treffend neer te zetten, en de personages zijn goed uitgewerkt en geloofwaardig. De beschrijvingen van de samenleving en de omgeving dragen bij aan de spanning en de diepgang van het verhaal. Echter ik had even nodig om in het verhaal te komen. Waarschijnlijk was het omdat ik vorige boeken niet gelezen heb. Arnaldur Indriðason introduceert paranormale elementen. Ik hou wel van deze twist in het verhaal.
Al met al is Lange schaduwen een boeiende thriller. Ik ga alvast meer lezen van de Konráð-serie. Het boek biedt een mix van spanning, mysterie en een diepgaande blik op de IJslandse samenleving.
April 8, 2025
Das letzte Hörbuch der Reihe (bislang) hat mir weniger gut gefallen, und das, obwohl ich mich an den Sprecher und seine Sprechweise inzwischen gewöhnt habe. Diesmal liegt es am Plot selbst: Ich finde die Story zu langatmig und teilweise sogar langweilig, von Spannung habe ich persönlich kaum etwas gespürt. Es geht einesteils um Spionage und das Verschwinden zweier Männer, und auch wieder um Kindesmissbrauch. Die beiden Toten verbindet deren Freundschaft, und es sind auch wieder Bekannte von unserem Kommissar AD involviert. Natürlich spielt auch Konráðs Freundin, das Medium, wieder eine Rolle...
Wird die Reihe weitergehen? Oder ist hiermit Schluss?
Meine Bewertung: 60/100 bzw. 06/10 Punkte.
https://sunsys-blog.blogspot.com/2025...
Wird die Reihe weitergehen? Oder ist hiermit Schluss?
Meine Bewertung: 60/100 bzw. 06/10 Punkte.
https://sunsys-blog.blogspot.com/2025...
May 28, 2025
Ce roman qui depeint une nouvelle intrigue policière qui nous ramène à la période de la guerre froide reprend aussi la suite du précédent sur l'enquête sur la mort du père de Konrad mais on découvre aussi un peu plus son ex-compère Léo.
Il est aidé dans cette quête par son amie Eydur qui a des dons de voyance.
Bien qu'à la retraire, ce policier digne d'un personnage de Simenon, parvient grâce à sa persévérance et son intuition à démêler des affaires qui prennent racine dans le passé.
Arnaldur maîtrise parfaitement son sujet et j'ai déjà hâte de lire la suite des aventures Konrad.
Il est aidé dans cette quête par son amie Eydur qui a des dons de voyance.
Bien qu'à la retraire, ce policier digne d'un personnage de Simenon, parvient grâce à sa persévérance et son intuition à démêler des affaires qui prennent racine dans le passé.
Arnaldur maîtrise parfaitement son sujet et j'ai déjà hâte de lire la suite des aventures Konrad.
January 15, 2024
Hélt ég gæti lesið þessa bók án þess að hafa lesið fyrri bækur. Það reyndist erfitt og ég náði ekki að halda þræðinum. Satt að segja fannst mér þetta leiðinleg bók, mörg nöfn sem rugluðust saman í kollinum á mér. Ég kláraði hana bara því ég get ekki hætt að lesa bækur sem ég byrja á. Sagan sjálf var ekki spennandi og margt frekar klysjukennt í henni. Ég er sennilega líka of ung til að hafa gaman að bókum sem fjalla að hluta til um gömlu sovétríkin.
July 5, 2025
Aanvankelijk verwarrend. Zoveel namen, zoveel hints naar bekend veronderstelde kennis. Ik begrijp dat dit deel 6 is van de Konrad serie. Uiteindelijk valt alles op zijn plek. En pakt het verhaal me. Kindermisbruik heeft generatie lange gevolgen
September 7, 2025
Goed geschreven thriller. Omdat het om deel zes gaat met dezelfde hoofdpersoon en één van de verhaallijnen doorlopend is, leest dat in het begin niet meteen makkelijk als je die voorgeschiedenis niet kent.
November 8, 2023
Smá endurtekningar. Fyrirsjáanleg. Ekki spennandi. Hápunkturinn á síðustu 10 blaðsíðunum
December 12, 2023
Fannst hún fín. Ekkert sérlega áhugavert efni eða karakterar en AI skrifar vel og er með góða og trúverðuga persónusköpun.
December 27, 2023
Nokkuð góð flétta en kannski smá langsótt á köflum. Nauðsynlegt að hafa lesið fyrri bækur með Konráði til að halda þræðinum.
February 11, 2024
Svona er Arnaldur bestur. Mikið er ég líka feginn að málið með pabba Konráðs sé frá að mestu og fókusinn sé á framvindunni sjálfri. Mjög góð bók.
March 15, 2024
flott hvernig öllum þráðunum er safnað saman - á eftir að sakna Konráðs sem loksins var orðinn mannlegur
April 11, 2024
Ágætis bók mæli með.
This entire review has been hidden because of spoilers.
March 18, 2025
Spannend!
May 8, 2025
Een verhaal dat goed in elkaar zit en op een mooie manier de spanning vasthoudt
June 30, 2025
Verhaallijn vond ik vreemd, 2 door elkaar heen. Daardoor bij vlagen onduidelijk en de hoofdzaak vond ik
niet sterk uitgewerkt
niet sterk uitgewerkt
February 24, 2025
Chronique 4.5*
Voici le volume 6 des enquêtes de Konrad que j’ai le plus aimé, pas loin de 5* d’ailleurs et je remercie les Editions Métailié de la constance avec laquelle ils ont accepté mes demandes au fil des ans avec pourtant une opinion très mitigée sur Konrad et son obsession. Mais je n’imaginais pas abandonner la lecture des polars d’Indridason parce que je n’appréciais pas un personnage.
Le personnage de Konrad m’est donc devenu beaucoup plus sympathique, moins concentré sur lui-même et ses problèmes d’enfance. Ceci a permis de le voir faire une réelle enquête qui ne débouche pas sur une réponse à ses interrogations et d’avoir de vraies relations sociales.
Avec des retours en arrière réguliers, l’auteur raconte les relations de Islande, du Danemark et de l’URSS au temps de la Guerre froide, des idéaux radicaux de jeunes islandais. Un très bon point, le passé façonne un pays et ses habitants et influe sur la vie actuelle et Konrad ne supporte pas la retraite et son oisiveté ! Il met le nez dans les affaires d’un teinturier disparu, d’un vieux cadavre réapparu et déterre des souvenirs et des “affaires” que certains auraient voulu laisser dans l’ombre ! Chantage et corruption ne font pas bon ménage avec la vérité.
J’adore la manière dont Arnaldur Indridason implique son héros, lentement, petit à petit, sans grands effets mais efficacement pour une enquête qui s’avère très intéressante et bien menée, plus “Erlendurienne” en fait !
Merci au traducteur, Eric Boury, qui sait si bien mettre en valeur les écrits de l’auteur !
#LesLendemainsquichantent #NetGalleyFrance
Voici le volume 6 des enquêtes de Konrad que j’ai le plus aimé, pas loin de 5* d’ailleurs et je remercie les Editions Métailié de la constance avec laquelle ils ont accepté mes demandes au fil des ans avec pourtant une opinion très mitigée sur Konrad et son obsession. Mais je n’imaginais pas abandonner la lecture des polars d’Indridason parce que je n’appréciais pas un personnage.
Le personnage de Konrad m’est donc devenu beaucoup plus sympathique, moins concentré sur lui-même et ses problèmes d’enfance. Ceci a permis de le voir faire une réelle enquête qui ne débouche pas sur une réponse à ses interrogations et d’avoir de vraies relations sociales.
Avec des retours en arrière réguliers, l’auteur raconte les relations de Islande, du Danemark et de l’URSS au temps de la Guerre froide, des idéaux radicaux de jeunes islandais. Un très bon point, le passé façonne un pays et ses habitants et influe sur la vie actuelle et Konrad ne supporte pas la retraite et son oisiveté ! Il met le nez dans les affaires d’un teinturier disparu, d’un vieux cadavre réapparu et déterre des souvenirs et des “affaires” que certains auraient voulu laisser dans l’ombre ! Chantage et corruption ne font pas bon ménage avec la vérité.
J’adore la manière dont Arnaldur Indridason implique son héros, lentement, petit à petit, sans grands effets mais efficacement pour une enquête qui s’avère très intéressante et bien menée, plus “Erlendurienne” en fait !
Merci au traducteur, Eric Boury, qui sait si bien mettre en valeur les écrits de l’auteur !
#LesLendemainsquichantent #NetGalleyFrance
February 7, 2025
Pourquoi ce teinturier sans histoire, père célibataire, a-t-il disparu un soir en laissant son fils sans famille ? Comment ce conducteur habile a-t-il pu s’engager sur ce glacier et disparaitre ? N’y a-t-il que Konrad pour trouver cela bizarre ?
Ce roman est le dernier opus qui suit les enquêtes de l’inspecteur Konrad, pourtant à la retraite.
C’est la fin, je pense, de l’enquête de celui-ci sur le meurtre de son père et sur ses agissements d’arnaqueur et de maitre chanteur.
C’est aussi un point final à la relation si particulière qui le liait à Léo, son ancien coéquipier, plus ou moins obligé de démissionner il y a des années, car c’était un ripou.
Il y a plusieurs enquêtes dans ce roman : la disparition de Pètur, le teinturier il y a quelques années ; le décès suspect de Franklin, lors de son retour en Islande, ancien coéquipier de Handball de Pètur ; la mort de Skafti pour lequel un innocent est allé en prison pendant des années. Vous rajoutez à cela une Lada volée, des bateaux espions russes et vous obtenez un récit assez intense et prenant.
Comme toujours avec Arnaldur, le passé et le présent se croisent et s’entrecroisent, mais c’est fait de telle façon que je ne me suis jamais perdue. Cela donne même un rythme au récit.
Il y a beaucoup de références au passé de Konrad puisqu’il continue de déterrer les secrets liés à son père et à Léo, mais il y a chaque fois des rappels. Donc même si vous n’avez pas lu le tome précédent, « Les parias », vous arriverez à suivre ce qui s’est passé et ce qui se passe.
J’ai passé un bon moment de lecture avec ce dernier tome, mais j’ai quand été un poil moins captivée que par le précédent, notamment. Peut-être parce qu’il y a moins de descriptions des sublimes paysages d’Islande ou de références à la culture islandaise.
Merci à NetGalley et aux Éditions Métailiè de m’avoir permis de lire ce roman avant sa sortie.
Il sort aujourd’hui.
À lire sans modération.
Ce roman est le dernier opus qui suit les enquêtes de l’inspecteur Konrad, pourtant à la retraite.
C’est la fin, je pense, de l’enquête de celui-ci sur le meurtre de son père et sur ses agissements d’arnaqueur et de maitre chanteur.
C’est aussi un point final à la relation si particulière qui le liait à Léo, son ancien coéquipier, plus ou moins obligé de démissionner il y a des années, car c’était un ripou.
Il y a plusieurs enquêtes dans ce roman : la disparition de Pètur, le teinturier il y a quelques années ; le décès suspect de Franklin, lors de son retour en Islande, ancien coéquipier de Handball de Pètur ; la mort de Skafti pour lequel un innocent est allé en prison pendant des années. Vous rajoutez à cela une Lada volée, des bateaux espions russes et vous obtenez un récit assez intense et prenant.
Comme toujours avec Arnaldur, le passé et le présent se croisent et s’entrecroisent, mais c’est fait de telle façon que je ne me suis jamais perdue. Cela donne même un rythme au récit.
Il y a beaucoup de références au passé de Konrad puisqu’il continue de déterrer les secrets liés à son père et à Léo, mais il y a chaque fois des rappels. Donc même si vous n’avez pas lu le tome précédent, « Les parias », vous arriverez à suivre ce qui s’est passé et ce qui se passe.
J’ai passé un bon moment de lecture avec ce dernier tome, mais j’ai quand été un poil moins captivée que par le précédent, notamment. Peut-être parce qu’il y a moins de descriptions des sublimes paysages d’Islande ou de références à la culture islandaise.
Merci à NetGalley et aux Éditions Métailiè de m’avoir permis de lire ce roman avant sa sortie.
Il sort aujourd’hui.
À lire sans modération.
February 3, 2025
Les Lendemains qui chantent.... un titre surprenant quand on s'apprête à lire le dernier roman d'Arnaldur Indridason. Un roman noir de noir où nous retrouvons Konrad notre retraité préféré ... Il a enfin élucidé le meurtre de son père et gagné le droit de faire la paix avec lui-même . Mais Konrad reste Konrad et quand il apprend que deux corps ont été retrouvés les vieilles affaires non résolues refont surface et croyez moi quand Konrad fouine il fouine ... et finit par trouver.
A part Martha son ancienne collègue, fidèle en amitié, beaucoup de ses anciens collègues lui tournent le dos même Léo son ex-binôme et ami l'évite. Qu'a t'il à cacher?
Alors Konrad repense à ces hommes assassinés, et aussi à une disparition jamais élucidée, celle du propriétaire d'un pressing. Konrad remonte le temps, les années 60, les manifestations anti -américaines demandant le démantèlement de la base militaire américaine installée en Islande, les relations commerciales avec l'U.R.S.S , les sympathisants communistes, et les Lada ces voitures russes qui , en fin de vie, étaient revendus aux marins russes qui faisaient escale en Islande...
J'ai retrouvé avec infiniment de plaisir la plume d'Indridason. J'ai eu le privilège d'être conviée à une rencontre avec lui. Il nous a expliqué qu'il s'attachait à écrire des histoires qui "parlaient "à ses lecteurs islandais . Pas de tueur en série que l'on ne trouve pas en Islande mais des malfrats, des crapules, des corrompus et des meurtres souvent sous l'emprise de l'alcool et/ou de la drogue ...
Je pourrais vous parler indéfiniment de cet auteur que j'affectionne particulièrement autant l'homme que l'écrivain !
Un immense merci aux éditions Métaillié pour ce partage via Netgalley
#LesLendemainsquichantent #NetGalleyFrance !
A part Martha son ancienne collègue, fidèle en amitié, beaucoup de ses anciens collègues lui tournent le dos même Léo son ex-binôme et ami l'évite. Qu'a t'il à cacher?
Alors Konrad repense à ces hommes assassinés, et aussi à une disparition jamais élucidée, celle du propriétaire d'un pressing. Konrad remonte le temps, les années 60, les manifestations anti -américaines demandant le démantèlement de la base militaire américaine installée en Islande, les relations commerciales avec l'U.R.S.S , les sympathisants communistes, et les Lada ces voitures russes qui , en fin de vie, étaient revendus aux marins russes qui faisaient escale en Islande...
J'ai retrouvé avec infiniment de plaisir la plume d'Indridason. J'ai eu le privilège d'être conviée à une rencontre avec lui. Il nous a expliqué qu'il s'attachait à écrire des histoires qui "parlaient "à ses lecteurs islandais . Pas de tueur en série que l'on ne trouve pas en Islande mais des malfrats, des crapules, des corrompus et des meurtres souvent sous l'emprise de l'alcool et/ou de la drogue ...
Je pourrais vous parler indéfiniment de cet auteur que j'affectionne particulièrement autant l'homme que l'écrivain !
Un immense merci aux éditions Métaillié pour ce partage via Netgalley
#LesLendemainsquichantent #NetGalleyFrance !
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