W hiszpańskiej Galicji trwa seria porwań. Porywacz poluje na młode, niepozorne kobiety wychodzące wczesnym rankiem do pracy.
W tym samym czasie w Madrycie ktoś zabija milionerów i na miejscu zbrodni zostawia hasło: ŚMIERĆ BOGACZOM.
Porucznik Lucia Guerrero, której sercu bliski jest los zwykłych kobiet na prowincji, zostaje zmuszona do podjęcia śledztwa w sprawie zamordowanych bogaczy. Sprawa ma najwyższy priorytet. Tymczasem dochodzenie w Galicji przejmuje sierżant Arias. Śledztwo doprowadza porucznik Guerrero do Cuenki – pięknego miasta w środkowej Hiszpanii. Czy tam znajdzie mordercę?
Bernard Minier grew up in the foothills of the French Pyrenees. He had a career as a customs official before publishing his first novel, The Frozen Dead, in 2011. The novel has been translated into a dozen languages and has garnered critical acclaim as well as several literary prizes in France. Minier lives in the Essonne, south of Paris. (source www.bookbrowse.com)
Vuelve Bernard y vuelve con Lucia Guerrero, la teniente que ya en su primer libro a mi me encanto y en esta segunda parte no ha podido ser menos. Una historia dura, intensa, sorprendente, con dos investigaciones paralelas, donde ambas la tensión va de menos a más, y que no podrás dejar de leer. Comenzamos en Galicia, donde sin dejar rastro varias chicas jóvenes desaparecen sin dejar ni rastro, hasta que al quinto día aparecen muertas de formas algo espeluznantes. A la vez, en Madrid, se están produciendo asesinatos de personas millonarias, dejando un mensaje muy claro y provocador “Muerte a los ricos”. Dos lugares diferentes, con grupos de victimas totalmente distintos y en ambos casos creando una gran tensión social. Lucia quería investigar el caso de Galicia, pero se ve obligada a ocuparse del caso de Madrid, pero, aun así, no cede, y aunque esta en Madrid siempre tiene en mente a las chicas jóvenes. Una mujer valiente y leal a sus principios, que arrastra su historia del libro anterior, una protagonista que no cede a la presión pero que empatiza con la gente. Me ha encantado las dos tramas que ha creado el autor, sin dejar ninguna pista, de hecho te crea más preguntas según vas avanzando, algo que hace que te atrape y no quieras dejar de leer. Y si algo me gusta de este autor es como ambienta sus novelas, ya lo hizo en Salamanca la vez anterior, y en esta se ha metido de lleno tanto en Madrid, como en Galicia y finalmente en Cuenca. En conclusión, un thriller fácil de leer, frenético, con una gran critica y magnifica ambientación que te gustará si te disfrutas de este genero.
Pues eso, tal como dije en mi anterior comentario al primer libro (Lucía), como soy muy cabezón fui a por la segunda de la susodicha Teniente Guerrero. Algo, muy poco, mejora a la primera. Esta vez 3 estrellas generosas en vez de dos, pero no me parece que tiene mucho recorrido.
Lucia Guerrero sen enfrenta a dos casos; uno en Galicia y otro en Madrid. Unos asesinatos muy salvajes a la gente rica de Madrid. La historia es intrincada y va sacando los trapos sucios de esos personajes tan “pomposos”. Por otro lado, la investigación de Galicia, en manos de Arias, se resuelve de manera mas sencilla. También aparecen los “incel” de manera secundaria, llegando a conocer un poco psicologicamente a esta “comunidad”
Libro que se lee fácil, entretenido y con final correcto
Il s’agit du premier roman de Bernard Minier que je lis. Ce serait mentir de ne pas admettre avoir été relativement déçu de cette première expérience avec l’un des auteurs les plus mis en avant en France où je me pose sincèrement la question de savoir si ce roman n’a pas été publié uniquement parce qu’il s’agit d’un ouvrage d’un écrivain bankable.
Avant même de commencer ma lecture, je prends conscience que Les effacées met en scène un personnage déjà présent dans un roman précédent. Cela n’est pourtant indiqué nulle part, trompant ainsi les nouveaux lecteurs qui se sentent, dans une certaine mesure, obligés d’aller lire le roman « précédent ». Je n’ai opté pour ce choix et il faut reconnaître que je suis totalement passé à côté du personnage principal, Lucia, que je ne suis pas parvenu à apprécier par un manque totale d’informations sur sa personnalité, son passé, sa manière d’enquêter…
Effectivement, l’auteur nous vend une intrigue policière banale, que l’on rencontre à tous les coins de rue, menée par LA meilleure enquêtrice de la région, mais qui ne parvient pas à nous convaincre dans ce roman. Cette dernière est aggressive, exprime un dégoût envers sa hiérarchie, n’exprime aucun amour pour son fils, mais passe des heures à rester au chevet de sa mère dans le coma. Il ne s’agit pas vraiment d’une enquête, mais plutôt d’une succession d’événements mis bout à bout afin d’aboutir à une dénouement final qui aurait été le même sans la présence de cette héroïne malgré elle.
Bernard Minier nous propose un roman très brouillon. Dénonciation de la politique française, manifestations de casseurs, harcèlement moral, misogynie, garde parentale… Les deux enquêtes policières sont finalement secondaires où l’auteur tente, par des moyens indirects, de dénoncer la non taxation des riches, la problématique de la liberté d’expression, la différence de traitement entre hommes et femmes.
Bof ! Bernard Minier se saisit de certains sujets d'actualité ou phénomènes de façon plutôt grossière et à grand renfort de clichés. J'ai pas envie de dire "boomer" mais c'est quand même ce qui me reste de ma lecture.
“La información vuelve más sabio al sabio y más peligroso al idiota” ~ Olvidadas de Bernard Minier.
Traducción: Dolors Gallart.
Segunda entrega de la inspectora Lucía Guerrero. En esta ocasión tenemos dos casos de investigación: por un lado, alguien está asesinando a jóvenes en Galicia con un ritual destinado a quitarles el “aire”; y, por otro, una serie de millonarios aparecen brutalmente asesinados en varios puntos de España con una frase en el lugar del crimen, “Muerte a los ricos”.
Lucía investiga este último caso sin quitar ojo a lo que sucede en Galicia e intentando por todos los medios que la investigación más mediática se descontrole. Todo con el agravante de que alguien la persigue y siente la amenaza constante sobre ella.
Novela policíaca que reúne todos los requisitos de acción, investigación, crímenes brutales y tensión en aumento. Es la segunda entrega de esta policía que comienza con Lucía. ¿Es necesario leerse los dos? No sé qué deciros. Yo he leído el primero y la verdad es de poco me acuerdo porque con las novelas policíacas tengo el defecto de mezclarlas 🫠. Sí, soy 🙋🏼♀️. Así que si os llama este y queréis empezar por aquí, hacedlo; siempre es mejor leer lo que a una le apetece que no hacerlo.
Une deuxième enquête de la lieutenante Lucia Guerrero. Ou plutôt une double enquête entre la Galice et Madrid. Si certains rebondissements sont particulièrement alambiqués et que plane parfois un petit ton un peu réac, ce livre fait le job en nous tenant en haleine d entrée de jeu et jusqu' aux dernières pages. L héroïne m a semblée plus sympathique que dans le premier tome que j avais trouvé plus décousu. Globalement une bonne surprise.
¡𝗘𝘀𝘁𝗲 𝗹𝗶𝗯𝗿𝗼 𝗲𝘀 𝘂𝗻𝗮 𝗷𝗼𝘆𝗮! (Je vous avoue que j’ai utilisé Google trad’ donc j’espère que la phrase est correcte 😂)
Si on, qu’est-ce que c’était bien ! Lucia Guerrero m’avait manqué et c’est toujours nul de lire un livre si vite alors que l’attente pour la suite sera si longue 😭 Bref, tout ça pour dire que 𝗕𝗲𝗿𝗻𝗮𝗿𝗱 𝗠𝗶𝗻𝗶𝗲𝗿 𝗳𝗿𝗮𝗽𝗽𝗲 𝗳𝗼𝗿𝘁 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗰𝗲 𝗿𝗼𝗺𝗮𝗻 : aucun temps d’arrêt (pas de repos pour les braves comme on dit) et une enquête totalement fascinante et maîtrisée ! 𝗝’𝗮𝗶𝗺𝗲 𝘁𝗲𝗹𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗲 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗼𝗻𝗻𝗮𝗴𝗲 𝗱𝗲 𝗟𝘂𝗰𝗶𝗮 : j’admire sa détermination, sa témérité, son courage et mais aussi sa fragilité, sa sensibilité. Je me suis tellement laissée emporter par l’histoire que je n’ai même pas essayé de trouver qui était l’assassin : je voulais absolument garder ce suspens si précieux pour moi quand je lis un thriller. Et je n’ai pas été déçu (bon, j’ai quand même compris un petit truc mais je me dis que c’était fait exprès … quel personnage détestable, sérieux 😤)
Bref, ça sort le 04 Avril en librairie et c’est un coup de cœur alors j’espère que vous serez au rendez-vous 👀
Les Effacées viennent de paraître. C'est l'événement de ce mois d'avril, côté parution pour les romans policiers. Ce thriller, en introduisant pour la seconde fois son enquêtrice, permet à Bernard Minier de signer un roman très réussi autour des aspects néfastes des réseaux sociaux avec leur influence sur nos sociétés et le darknet qui échappe à toutes les lois.
Deux enquêtes
Lucia Guerrero, lieutenante, est enquêtrice à L'union Central opérationnel (UCO) de Madrid, la plus célèbre enquêtrice de la Corogne. Ses surnoms sont "la Guerrière" ,"Robocop", " Terminator", "Carrie" ... Elle est accompagnée le plus souvent par Arias, son second, qui louche fortement, mais dont la complicité ne nécessite aucune parole.
Ils gèrent l'Affaire des séquestrées de Galice. Un trou dans le sable pour accueillir un corps allongé, habillé, bien mis, les ongles faits, trois têtes d'ail à ses côtés, un rosaire et des ciseaux dans le cœur. Il semble que cela illustre une légende de la région...
Mais, toutes sont des femmes de l'ombre, ouvrières ou employées de conserverie, kidnappées puis séquestrées pendant cinq jours, avant d'être assassinées.
Marta Millàn est morte. Elle était une figure de la jet-set de Madrid, proche de la famille royale. Son corps, sectionné en deux, est retrouvé en deux endroits différents. Les politiques sont inquiets. Lucia est délocalisée pour prendre la tête de cette enquête. Pour l'accompagner, un bleu, tout neuf, le Sergent Mateo Soler!
Au niveau privé, dans la vie de Lucia il y a le souvenir de Rafael, son petit frère, au-dessus de la falaise, un matin d'été. Mais aussi, il y a son fils de onze ans dont la garde a été confiée à son père. Puis, sa mère est dans le coma, depuis un AVC en novembre dernier.
Des deux côtés, d'autres victimes vont emmêler ses deux enquêtes.
Thriller social
Dès les premières pages, le social est présent chez Bernard Minier. Il s'y inscrit avec pudeur, juste en toile de fond, comme un incontournable à ne jamais négliger. Ainsi sont abordés la différence de traitement entre les deux enquêtes, le darknet où il n'existe aucun interdit ainsi que les manipulations, qu'exerce sur nos sociétés, les réseaux sociaux.
Seulement, Bernard Minier insiste sur les inégalités sociales que beaucoup dénoncent, comme une illustration d'un sentiment de plus en plus partagé par le plus grand nombre provoquant même émeutes et manifestations violentes.
Nouvelle enquêtrice
Alors, bien sûr, le personnage de Lucia énerve, même au sein de son équipe, tant elle fonce sans se soucier des dégâts collatéraux. Mais sa complexité est bien rendue entre privé et professionnel.
Bernard Minier réussit à créer sa flic de polar, crédible, intelligente et obstinée. On s'attache à ce personnage qui s'oblige à être anguleuse alors qu'elle pourrait être toute en rondeur. Ni une "super woman", ni une flic obstinée, Lucia se laisse aussi aider lorsqu'elle est dans le brouillard. C'est assurément une possible série qui devrait trouvait son public et alterner avec le personnage de Martin Servaz, devenu culte au fil des publications.
La Galice
Le choix de l'Espagne comme toile de fond pourrait laisser supposer l'envie de Bernard Minier d'inscrire son polar dans l'histoire trouble de ce pays. Mais, au contraire, l'écrivain entre dans un univers qu'il n'a jamais exploré, me semble-t-il, l'art contemporain.
De même, pour l'enquête sur les séquestrées, Bernard Minier réussit à immerger dans une problématique complètement opposée à celle du début.
De façon concise...
Bernard Minier propose avec Les Effacées un thriller particulièrement réussi et introduit dans ce tome 2, une enquêtrice que j'aurais plaisir à retrouver dans ses prochains. Chronique illustrée ici https://vagabondageautourdesoi.com/20...
« Les effacées » est le second tome des aventures de Lucia, paru chez XO éditions le 31 mars 2022. Bernard Minier nous avait habitués aux aventures de Martin Servaz et présente donc ici un nouveau personnage. Si vous n’avez pas lu « Lucia », vous pouvez aisément lire ce tome-ci de manière indépendante, mais comme d’habitude, dans le cas de héros récurrents, vous risquez de perdre des informations clés pour comprendre la personnalité de Lucia.
Dans ce roman, Lucia Guerrero, enquêtrice de la Guardia Civil est dépêchée en Galice où un tueur kidnappe des femmes qui se lèvent tôt le matin pour aller travailler, d’où le titre « Les effacées ». L’enquête avance bien, mais Lucia est rappelée de toute urgence à Madrid pour une autre affaire où un meurtrier très inventif organise ses scènes de crime comme des œuvres d’art. La particularité de ses victimes est qu’elles sont toutes extrêmement riches. Il laisse de petits messages sur les lieux de ses méfaits qui disent « Tuons les riches ».
Deux enquêtes à mener de front pour Lucia Guerrero, l’une concerne les milieux populaires et celles qui font tourner le monde quand d’autres dorment encore, l’autre un univers de luxe, de popularité et d’influence. La première met en lumière une légende de Galice mettant en scène un être fantomatique « el aire », l’ombre. « Quand on avait l’air, on se traînait, on se nourrissait des idées noires, on n’avait plus goût à rien. »La seconde cherche à détruire des figures riches et emblématiques de la société madrilène. Lorsque Lucia se retrouve forcée de quitter les terres de Galice et « Les effacées » pour se rendre rapidement sur une enquête plus « bancable », Bernard Minier donne le ton : dans une société fracturée entre richesse et pauvreté, les hautes instances donnent la direction. Priorité aux puissants, aux personnalités médiatiques, et à l’interventionnisme politique.
Dans « Les effacées », Bernard Minier préserve son univers littéraire. L’ambiance est sombre et suffocante, les scènes de crime très visuelles, voire cinématographiques. Le roman se lit bien, avec un plaisir certain, tant il nous accroche dès les premières pages. Véritable page-turner, efficace, les deux enquêtes parallèles apportent du rythme, des situations anxiogènes, et quelques joutes verbales qui font sourire.
Cependant, je n’ai pu m’empêcher de me dire que ce nouveau roman de Bernard Minier fonctionnait grâce à une même mécanique, et avait un goût de déjà-vu. Il n’y a pas de grandes prises de risque, le schéma narratif est toujours un peu le même, les personnages sont toujours écorchés vifs (et Lucia ne fait pas exception à cette règle). Les thématiques de société exprimées ici sont certes intéressantes (les Incels, les violences faites aux femmes, le cyberharcèlement, les écarts insolents entre les très riches et les très pauvres, la mauvaise gestion politique des priorités), mais trop survolées et pas assez creusées à mon goût. Les choses restent en surface, ce qui place certainement « Les effacées » dans du pur thriller. En ce sens, il n’y a aucune tromperie sur la marchandise, Bernard Minier ne s’est jamais targué d’écrire autre chose. Mais, personnellement, je me passionne davantage pour les romans noirs, ou les romans qui décortiquent de vrais sujets de société qu’ils soient contemporains ou d’anticipation. J’imagine qu’un petit glissement vers ce « genre-là » serait envisageable, car je sens bien que Bernard Minier a beaucoup de choses à dire de notre monde et une observation assez fine de notre société.
Dans l’ensemble, j’ai passé un bon moment de lecture sans pour autant m’attacher plus que de raison à ce personnage de Lucia. Elle a même un je ne sais quoi d’un peu irritant à foncer tête baissée et à toujours passer en force. (et je suis fidèle, j’ai une affection particulière pour Martin Servaz) Assurément, « Les effacées » ferait une excellente série télé, si série télé il y a.
Livre du moment "Les effacées" de Bernard Minier Second opus de la saga 'Lucia Guerrero' où l'on retrouve avec plaisir notre policière espagnole, qui fera, cette fois, face a une double enquête. La première se passe en Galice et la seconde à Madrid. Le point commun ? La sauvagerie des meurtres et le machiavélisme des auteurs. Les nerfs seront mis à rude épreuve... Je suis cependant un peu plus attaché à la saga 'Servaz' mais le livre se lit bien néanmoins. A quand une rencontre entre les deux héros récurrents de Bernard Minier, à savoir Lucia Guerrero et Martin Servaz? La cocktail s'annonce explosif !
Una novela policíaca muy entretenida, bien escrita, amena y con una protagonista femenina muy interesante. Para mi hay un fallo importante en la trama, que no desvelaré.
Madrid estaba experimentando un proceso de gentrificación que expulsaba a las clases populares cada vez más lejos del centro en beneficio de nuevas capas sociales que circulaban en bici, comían productos sin gluten, matriculaban a sus hijos en buenos colegios y se preocupaban más por los problemas del mundo que por los de sus vecinos.
Second tome avec Lucia, une enquêtrice espagnole particulièrement douée (il faudra que je lise le 1er tome!). A Madrid, un tueur s’en prend aux riches tandis qu’en Galice, un autre tueur élimine des femmes se rendant à leur travail. On ne s’ennuie pas dans ce livre et, même si quelquefois l’histoire est un peu tirée par les cheveux, on passe un excellent moment.
Tiene todo lo que necesita tener un thriller. Buena ambientación, ritmo ágil , personajes que ames u odies o no sepas si lo uno o lo otro 😜. Minier nunca decepciona 👌🏻
En vrai je kiffe Bernard Minier, mais le scénario était un peu prévisible et parfois très cliché ! Ça reste tout de même une lecture agréable avec un peu de suspens, mais il y en a des biens mieux !
Entretenida, adictiva y muy bien documentada. Felicito al autor por la labor de investigación que ha debido de llevar a cabo en España, aunque también me gustaría que Minier me explicara qué entiende él por "émeutes"...😅
Como aspecto menos positivo, decir que me sorprendió que las dos tramas argumentales nunca confluyeran, y que ambos casos se resolvieran por separado, porque el papel de Lucía en Galicia es irrelevante.
Tampoco me hizo mucha gracia que el tema del acoso no se resolviera aunque, por otro lado, será la excusa perfecta para leer el tercer libro de la saga.
Les effacées de Bernard Minier, présentation En Galice, Lucia est appelée suite à la découverte du cadavre d’une femme sur une plage. Ce n’est pas la première et les rituels sont bien là.
Lucia est sommée de rentrer à Madrid suite au meurtre atroce d’une femme riche.
Avis Les effacées de Bernard Minier #LuciaGuerrero2
Le deuxième tome des aventures de Lucia, l’héroïne de Bernard Minier. Elle doit faire face à deux enquêtes. La première concerne des jeunes femmes qui partent travailler très tôt et dont les cadavres sont découverts quelques jours après leur disparition. Mais le meurtre d’une femme très riche, dont le corps a été coupé en deux et découvert à deux endroits différents, fait rappeler Lucia à Madrid. Surtout qu’une inscription risque de mettre le feu aux poudres. Tous les grands pontes, jusqu’au Ministre de l’Intérieur, sont sur le pont.
Lucia, au fur et à mesure, du roman, va se tenir au courant des avancées en Galice. Avec son collègue, ils étaient prêts à appréhender un suspect. Mais le temps a joué en faveur de ce dernier et il a pu disparaître. Lucia n’oublie pas ces femmes, qui travaillent très tôt pour permettre aux autres habitants de commencer leur journée de travail. De plus, un nouvel enlèvement est une véritable course contre la montre. Il faut trouver cette jeune femme dans les cinq jours avant que son cadavre ne soit découvert.
A Madrid, TUONS LES RICHES va mettre le pays à feu et à sang. Tous les citoyens vont se révolter contre le pouvoir en place, contre la police. Un nouveau meurtre pourra pratiquement être suivi en direct. Pour Lucia et ses collègues, il va falloir enquêter, trouver les points communs de ces meurtres. Ils sont également pressés par le temps car il faut des résultats aux plus hautes instances.
Lucia est un superbe personnage. Elle est respectée, haïe. Elle cumule les victoires, mais elle joue souvent avec le feu. Il est difficile de faire tomber une femme de cette trempe. Mais Lucia a ses faiblesses et ceux qui veulent la voir tomber n’hésitent pas à utiliser tous les moyens, comme la menace. D’où vient cette menace ? De l’extérieur ou de l’intérieur ? Elle va quand même continuer à foncer et faire attention à ses arrières. Bernard Minier évoque les incels, ces hommes qui haïssent les femmes qui réussissent, qui mènent leurs vies comme elles le souhaitent. Ces hommes se sentent rabaissés par ces femmes. Le dernier roman de Niko Tackian était consacré à eux et j’avais pu en apprendre beaucoup plus. Lucia dort peu ce qui lui permet de reprendre tous les éléments de ces enquêtes, quitte à faire de nombreuses heures de route pour valider ses hypothèses et mettre sa vie en danger. Lucia doit faire face à l’hospitalisation de sa mère. Les relations ont été conflictuelles entre elles deux, mais Lucia est toujours là et tente, par tous les moyens, d’être de prendre sur elle, surtout que sa soeur n’a pas les mêmes idées qu’elle. Lucia est tellement prise par ses enquêtes qu’elle est obligée de négliger son fils, pourtant la prunelle de ses yeux.
Je n’ai jamais été forcément attirée par l’Espagne. Avec ces deux romans consacrés à Lucia, Bernard Minier me fait découvrir ce pays, que ce soit au niveau architectural, politique, social. Mais ces romans, très bien documentés, ne m’ont pas fait changer d’avis sur l’Espagne.
Pour cette lecture, j’ai fait une pause de 5 jours car j’étais partie et je n’ai pas eu forcément le temps de lire. Cette pause n’a pas été forcément bénéfique car cela m’a coupé dans les enquêtes. Mais je dirai que le roman est mené de main de maître, parfaitement maîtrisé de bout en bout. C’est une très bonne enquête avec de nombreux rebondissements avec aucun temps mort et des personnages très bien trouvés, très bien travaillés. Bernard Minier s’attache à montrer la noirceur de certaines personnes car il faut de tout pour faire un monde. Mais heureusement qu’ils sont contrebalancés par ceux qui travaillent pour la loi, pour que justice soit faite. Cela ne sera pas un coup de coeur mais une très bonne lecture. Je ne sais pas s’il y aura une suite mais je l’espère.
Niewidzialne to kolejna mroczna, gęsta od emocji i społecznych napięć opowieść Miniera, w której autor zgrabnie łączy elementy klasycznego kryminału z refleksją nad współczesnym światem. Akcja toczy się na dwóch poziomach – w Galicji i w Madrycie – i choć na pierwszy rzut oka to dwa różne śledztwa, łączy je więcej, niż się wydaje. W Galicji znika bez śladu kilka młodych kobiet. Ciche, niezauważalne, zwyczajne – takie, które codziennie rano wychodzą do pracy i których nikt potem nie szuka z takim zapałem, jak gdyby zaginął ktoś „ważny”. Jednocześnie w Madrycie ktoś brutalnie morduje milionerów, a na miejscu zbrodni zostawia prowokacyjne hasło: „Śmierć bogaczom”. Do sprawy zabójstw zostaje przydzielona porucznik Lucia Guerrero – twarda, metodyczna, bezkompromisowa, ale też bardzo ludzka kobieta, której przeszłość i niełatwe życie osobiste rzucają cień na jej działania. Mimo to Guerrero skupia się na pracy z obsesyjną wręcz dokładnością i nie godzi się na to, by traktować jedne sprawy jako bardziej godne uwagi niż inne. Choć przydzielona jej sprawa dotyczy wpływowych ofiar z Madrytu, Lucia nie może pozostać obojętna wobec losu „niewidzialnych” kobiet z Galicji, których życie zdaje się mieć mniejszą wartość tylko dlatego, że nie należą do elit. To właśnie ten wątek czyni z Niewidzialnych coś więcej niż tylko kryminał – Minier pokazuje społeczne tło zbrodni i dotyka tematów, które bolą: wykluczenia, niesprawiedliwości, władzy, która wybiera, komu pomagać, a kogo można pominąć. Świetnie sportretowana zostaje też zbiorowość – tłum. Społeczeństwo pokazane przez Miniera to ludzie sfrustrowani, rozgoryczeni, oszukani przez system. Z jednej strony łatwo ich potępić – za agresję, za brak refleksji, za uleganie populistycznym hasłom. Ale z drugiej – trudno nie czuć ich gniewu, nie współodczuwać tej frustracji, tej świadomości bycia obywatelem drugiej kategorii. To właśnie jedna z najmocniejszych stron tej książki – Minier nie moralizuje, nie staje po żadnej stronie, tylko pokazuje złożoność sytuacji. I zostawia nas z poczuciem niepokoju, bez prostych odpowiedzi. Sama porucznik Lucia Guerrero to postać, którą łatwo polubić, choć nie jest wzorem do naśladowania. Jako matka wypada słabo – jej relacja z synem jest zawsze na drugim miejscu, a próby bycia partnerką raczej nie wychodzą jej najlepiej. Ale jako śledcza? Jest skupiona, konsekwentna, cholernie dokładna. W swojej pracy jest jak pies gończy – nie odpuszcza, nawet jeśli system rzuca jej kłody pod nogi. I choć sama jest częścią tego systemu, to jednak nie godzi się na jego reguły. Walczy – o sprawiedliwość, o równe traktowanie każdej ofiary, o to, by nikt nie był „niewidzialny”. To bohaterka, która nie udaje superbohaterki. Jest zmęczona, czasem zgorzkniała, ale w tym wszystkim autentyczna i bardzo potrzebna. Fabuła jest dobrze rozplanowana, nie ma dłużyzn, a wątki przeplatają się tak, że nie sposób się oderwać. Czytelnik czuje napięcie – nie tylko to fabularne, ale i społeczne. Autor stawia pytania o to, czym jest sprawiedliwość, kto decyduje o wartości ludzkiego życia, komu wolno się buntować i jak daleko można się posunąć w imię walki z niesprawiedliwością. Czy są słabsze strony? Owszem. Niektóre postacie drugoplanowe wypadają blado, są bardziej narzędziami fabularnymi niż prawdziwymi ludźmi. Wątki prywatne Lucii momentami wyglądają na dodane trochę na siłę – niby mają pogłębiać jej portret, ale czasem są bardziej irytujące niż znaczące. Jest też pewna moralna niejednoznaczność – książka nie daje satysfakcjonującego rozwiązania, nie pozwala czytelnikowi odetchnąć z ulgą. Ale... może to właśnie dobrze? Może o to chodzi? Podsumowując: Niewidzialne to porządny, inteligentny i świadomy społecznie kryminał, który mówi więcej niż tylko „kto zabił”. To książka, która zostawia z emocjami i refleksją. Taka, która porusza, wkurza i skłania do myślenia. Dla mnie – i chyba dla każdego, kto lubi kryminały z głębią – to mocne 7/10. A Lucii Guerrero – mimo wszystkich jej wad – kibicuję i czekam na kolejne śledztwa.
Za egzemplarz recenzencki dziękuję Domowi Wydawniczemu Rebis #współpracarecenzencka #współpracareklamowa #współpracabarterowa
"Jego ton i unosząca się w powietrzu woń skłaniały Ariasa do najgorszych przeczuć. Czyżby kolejna ofiara? Napięcie oficera mu się udzieliło. Gdy znaleźli się na drugim piętrze, smród stał się nie do zniesienia. Jezu Chryste... Dwaj członkowie jednostki interwencyjnej rozstąpili się, by zrobić im przejście. Wyglądali, jakby zbierało im się na wymioty, i Arias poczuł, że jego środek ciężkości znacznie się obniża. Oficer wskazał na jedyne drzwi po lewej. Były otwarte na oścież."
Co jeśli w jednej książce mamy nie jeden koszmar.. Nie jednego mordercę..
A dwóch morderców i dwie różne sprawy? 😈
To taka.. podwójna dawka emocji, czyż nie?
W Galicji porywane są młode kobiety..
Zaś w Madrycie zabijani są milionerzy..
A w tym wszystkim porucznik Lucia Guerrero, czyli jedna z lepszych bohaterek, jeśli chodzi o postacie, które pełnią funkcję "stróża prawa".
Kiedy brałam książkę do recenzji, standardowo nawet nie ogarnęłam, że to drugi tom. Dopiero, kiedy miałam ją już w swoich rękach zauważyłam, że to kontynuacja. Więc co zrobiłam? Oczywiście na szybko machnęłam pierwszy tom, co by być bardziej w temacie 🤣
No i nie żałuję. Nie żałuję, bo pierwszy tom był rewelacyjny, a ja mogłam cieszyć się pełnym obrazem historii.
Jednak przejdźmy do drugiego tomu..
Lucia zajmuje się sprawą kobiet w Galicji, niestety jest zmuszona wyjechać do Madrytu, by wziąć inną sprawę.
Tylko.. to nie to przyprawiło mnie o dreszcze na ciele i wędrujące serce aż do gardła..
W Galicji ginie ktoś jeszcze..
A na odnalezienie tej osoby czas jest wyznaczony..
Zegar tyka..
Tik-tak, tik-tak..
Gdy czas upłynie, dojdzie do kolejnego mord*rstwa 😈
No żołądek miałam ze stresu nie powiem gdzie..
I nie powiem wam, czy się udało! A nie!
Musicie sprawdzić sami..
Muahahahaha (złowieszczy śmiech) 😈
Jestem pełna podziwu, jak autor umiejętnie włada piórem, prowadząc czytelnika przez cały wachlarz różnych emocji. A emocji tutaj z pewnością nie brakuje, czyli tak, jak lubię najbardziej 🖤
Jestem też zakochana w tym, jak wykreowana jest postaci Lucii Guerrero. I tak bardzo, jak ja ją uwielbiam, tak bardzo jestem pewna, że niektórym ta bohaterka może nie podejść. Ja jednak uwielbiam takie charakterne postacie, silne, niezależne, takie.. narwane! Ale widzę w niej też dużo empatii i wrażliwości, za co jeszcze bardziej pałam do niej sympatią..
Bernard Minier (swoją drogą strasznie spodobało mi się imię tego pana!) pisze w taki sposób, że aż nie chce odkładać się książki. To niby tylko 300 stron, jednak były tak naszprycowane wszystkim, że czułam, jakbym przeczytała dwa razy tyle.
W ogóle czuję się trochę, jakbym była na kacu przez tą książkę 🤣
A jednocześnie potrzebuję kolejnej dawki twórczości tego autora, jakbym była na jakimś głodzie xD
To było szalenie dobre. I jeśli jeszcze nie znacie tej historii, to nie pozostaje mi nic innego, jak przywiązać was do krzesła i zmusić do przeczytania tej książki.
W trybie natychmiastowym 🖤
"- Kiedy człowiek jest w górach - powiedział spokojnym głosem - znikają wszystkie przyziemne sprawy, jakby nic już nie miało znaczenia poza tą jedną, najważniejszą rzeczą: oddychać, iść naprzód, żyć... Tam na górze życie staje się niewiarygodnie proste. - Powinien pan to powiedzieć osobom, które siedzą w pańskiej poczekalni - zauważył Soler. Chirurg po raz kolejny spojrzał na niego z nieskrywaną pogardą. - Góry nie zapłacą moich rachunków."
Iată o recenzie mai detaliată cu aspecte apreciabile și mai delicate pentru romanul ***Femeile din umbră*** (*Les effacées*) de Bernard Minier, volumul 2 din seria **Lucia Guerrero**. Sinopsis extins Romanul urmărește două anchete care par inițial paralele, dar al căror sens se împletește profund:
1. În Galicia, femei care pleacă dis-de-dimineață la muncă – lucrătoare prea puțin vizibile în ochii societății – dispar și sunt ucise cu cruzime. Victimele (numite „femei din umbră”) devin simbolul neglijării sociale. 2. La Madrid, un alt criminal lovește în altă direcție: ucide figuri din jet-set-ul madrilen și marchează scenele crimei cu mesajul provocator **„Să-i ucidem pe bogătași”**. În centrul acestor două crime stă **Lucia Guerrero**, anchetatoare la Guardia Civil, văzută ca o figură puternică și rebelă, capabilă să gestioneze dosare complexe. Pe măsură ce investigațiile progresează, descoperă o miză amețitoare: realități sociale paralele, dar interconectate, ale violenței și nedreptății. Când începe să primească mesaje de la un expeditor anonim, se întreabă dacă nu a devenit o jucărie în mâinile criminalilor. Părți bune (Plusuri)
-Duble anchete și tensiune socială: Intriga inteligentă aduce în paralel două tipuri de crime, unde victimele reflectă inegalitățile clasei sociale și invizibilitatea celor vulnerabili.([Biblioteca lui Liviu][1], -Radiografie socială relevantă: Minier nu doar construiește un thriller, ci oferă și o analiză lucidă a impactului digitalizării și a rețelelor sociale asupra percepției victimelor. Criminalii ajung celebri, iar victimele nevăzute rămân invizibile -Personaj central complex: Lucia Guerrero nu este doar o polițistă eficientă, ci și o persoană confruntată cu propria vulnerabilitate — evoluează prin gesturi mici, ezitări, colaborări și dileme interioare. -Atmosferă apăsătoare, realism și stil narativ solid: Fiecare cadru, fie Galicia, fie Madrid, este construit cu o notă distinctă: Galicia este plină de melancolie poetică și legende locale bizare; Madridul, opulent dar corupt Părți mai puțin bune (Minusuri) -Perspective multiple — risc de dispersie: Dacă nu ești fan al ritmului lent și introspectiv, alternanța între două anchete sociale și personale poate părea complicată sau încărcată -Temă social-politică pregnanta: Uneori mesajele — despre digitalizare, inegalitate și alienare — sunt frontale. Chiar dacă nu sunt moralizante, pot părea mai evidente decât în thrillerii mai subtle.
- Concluzie
***Femeile din umbră*** este un thriller psihologic complex, cu un narator eroic și vulnerabil, două anchete complementare și teme sociale actuale. Dacă cauți un roman cu sensuri multiple — despre justiție, vizibilitate, inegalitate și solidaritate — acesta merită cu siguranță citit. Poate fi însă provocator pentru cei care preferă un ritm rapid și o acțiune concentrată.
Bernard Minier w kolejnej części o porucznik Lucii Guerrero nie tylko serwuje nam trzymający w napięciu kryminał, ale przede wszystkim stawia nas przed głębokimi dylematami moralnymi. Ukazuje, jak często odgrywamy role, jak bardzo przyciąga nas mrok i jak niewiele trzeba, by zanurzyć się w otchłani ludzkiej psychiki. To nie tylko wciągająca powieść, ale psychologiczno-filozoficzna podróż w głąb nas samych i różnych, często ukrytych, stron człowieczeństwa. Powieść jest przejmującym obrazem dualizmów przenikających naszą rzeczywistość. Minier buduje świat oparty na ostrych kontrastach: Madryt, miasto blichtru, władzy i pieniędzy, gdzie śmierć bogaczy wywołuje ogólnokrajowe poruszenie, a nawet manifestacje. Po drugiej stronie znajduje się biedna Galicja, gdzie ofiarami są młode, niepozorne kobiety, wychodzące wcześnie rano do pracy. Ich masowe zaginięcia, choć równie tragiczne, nie wywołują takiego oburzenia i medialnego echa. To bolesne zderzenie pokazuje, że nawet w obliczu śmierci, klasa społeczna i pochodzenie mają znaczenie, wpływając na tempo i priorytet pracy śledczych. Czy życie "zwykłych" ludzi jest rzeczywiście mniej warte? Dlaczego osoby, które niczego nie wniosły dla społeczeństwa, były aroganckie, władcze i wykorzystywały swoją pozycję, znaczą więcej niż przeciętny obywatel? Te pytania wybrzmiewają z całą mocą, obnażając hipokryzję systemu. Czy kontrowersyjny "performance", nazywany sztuką, naprawdę może podnieść wartość człowieka ponad życie zwykłego pracownika? Te dwa tak różne światy łączy postać Lucii Guerrero. To ona, choć zmuszona do zajmowania się "priorytetową" sprawą bogaczy, nosi w sobie głęboką empatię dla losu zapomnianych kobiet z prowincji. Jej wewnętrzny konflikt między narzuconymi przez system priorytetami a własnym poczuciem sprawiedliwości staje się lustrem dla dylematów, z jakimi mierzy się współczesne społeczeństwo. Jej determinacja w dążeniu do prawdy, niezależnie od statusu społecznego ofiary, daje nadzieję, że sprawiedliwość może być ślepa na portfel. Lucia staje się głosem tych, których nikt nie chce słuchać. #niewidzialne to także fascynująca opowieść o sztuce i jej różnych, często kontrowersyjnych odsłonach. Minier wplata w fabułę intrygujące opisy akcjonizmu wiedeńskiego, nurtu, który sam w sobie prowokuje i zmusza do refleksji. Dodatkowo, powieść stanowi głębokie studium psychologiczne, omawiając kilka kontrowersyjnych eksperymentów, które rzucają nowe światło na mroczne zakamarki ludzkiego umysłu. To książka, która nie tylko wciąga w wir śledztwa, ale także zmusza do zastanowienia się nad istotą człowieczeństwa, niesprawiedliwością społeczną i siłą, jaką ma sztuka w prowokowaniu do myślenia. Czy jesteśmy w stanie dostrzec tych, którzy dla świata pozostają niewidzialni?
Znacie serię o nieprzeciętnej i niezwykle dociekliwej policjantce Lucii Guerrero❓️🤔 Jeśli nie, a angażujące sprawy kryminalne to Wasze ulubione książkowe klimaty, polecam Wam po nią sięgnąć. 📚👌 Tym bardziej że jej autor, Bernard Minier, całkiem niedawno powrócił z drugim tomem cyklu o pani porucznik. „Niewidzialne" to powieść, która trzyma w napięciu od pierwszej do ostatniej strony! 🤩
Fabuła powieści rozwija się dwutorowo. Z jednej strony obserwujemy malowniczą Galicję, gdzie ktoś systematycznie porƴwa młode kobiety. 😲 Wszystkie ofi@ry łączy pewien szczegół – są skromnymi pracownicami, które wychodzą z domu wczesnym rankiem. Ich zniknięcia nie wywołują medialnego szumu, tak jakby były... niewidzialne. 🫥 Jednocześnie w Madrycie zaczynają gïɲąć bardzo zamożni ludzie, a na miejscach zɓrơdni mơrdɛrca pozostawia wymowne przesłanie: „ŚMïƐRĆ BOGACZOM". 😱 Te z@bóĵsťwa natychmiast stają się priorytetem dla organów ścigania. 👮♀️ Porucznik Lucia Guerrero, której zdecydowanie bliższy jest los zwyczajnych kobiet z prowincji, zostaje zmuszona do zajęcia się sprawą z@mơrdơw@nƴch milionerów, zaś śledztwo w Galicji trafia do sierżanta Ariasa.
Czy "Niewidzialne" to kolejna doskonała odsłona talentu francuskiego pisarza? Zdecydowanie tak❗️🤩 Po mistrzowsku poprowadzony wątek podwójnego śledztwa nie pozwala ani na chwilę wytchnienia, a rozwiązania obu spraw kryminalnych zaskakują, 😯 jednocześnie doskonale spinając całą opowieść. Co więcej, Minier umiejętnie wplata w fabułę refleksję nad nierównościami społecznymi. 👍 Z jednej strony mamy ofi@ry pơrwań – zwykłe kobiety, których zniknięcia nie wywołują większego zainteresowania mediów. Z drugiej – zamożnych biznesmenów, których śmïɛrć natychmiast stawia wszystkich śledczych w gotowości bojowej. 🤷♀️ Grzechem byłoby nie wspomnieć tu o świetnie wykreowanej głównej bohaterce - policjantce oddanej swojej pracy do granic obsesji. 🤯 Jej bezkompromisowość sprawia, że jest znakomita w tym, co robi, jednak w życiu osobistym płaci za to wysoką cenę.
#niewidzialne to powieść, która wciąga i nie pozwala oderwać się od lektury. Ja z niecierpliwością wyczekuję kolejnych tomów serii. Gorąco polecam❗️☺️
To jedna z tych historii, od których naprawdę trudno się oderwać. Duszna, mroczna, intensywna i zaskakująca. Autor wprowadza nas w świat dwóch równoległych śledztw, które z początku wydają się nie mieć ze sobą nic wspólnego. Jednak z każdą kolejną stroną napięcie rośnie, a granice między światem ofiar i sprawców zaczynają się zacierać.
W wilgotnej i zamglonej Galicji znika bez śladu kilka młodych kobiet, które wychodziły do pracy wczesnym rankiem. Jednocześnie w tętniącym życiem Madrycie ktoś zabija milionerów, zostawiając po sobie wyraźne i prowokacyjne przesłanie: Śmierć bogaczom. Dwa kontrastowe miejsca, dwie zupełnie różne grupy ofiar i dwa bardzo mocne ładunki emocjonalne, które tworzą niezwykle sugestywną atmosferę niepokoju i społecznych napięć.
Lucia Guerrero to porucznik, której nie sposób zapomnieć. Twarda, odważna, lojalna wobec własnych zasad i jednocześnie pełna empatii wobec zwykłych ludzi. Chciała prowadzić śledztwo w Galicji, ale zostaje zmuszona do zajęcia się sprawą bogaczy. Mimo to nie poddaje się presji, walczy, nie daje się złamać. Jej wewnętrzne rozterki i determinacja czynią z niej jedną z ciekawszych bohaterek współczesnych kryminałów.
Fabuła jest skonstruowana z ogromną precyzją. Autor nie podaje czytelnikowi żadnych tropów. Zwodzi, myli, komplikuje. Zamiast oczywistych wskazówek dostajemy coraz więcej pytań i niepokojących zdarzeń. Historia wciąga jak wir i nie pozwala się od niej oderwać aż do ostatniej strony.
Ogromną zaletą tej książki jest dbałość o szczegóły. Opisy miejsc, dźwięków i zapachów tworzą niemal filmowy klimat. Narracja chwilami zwalnia, ale nigdy nie nudzi. Wręcz przeciwnie, pozwala w pełni poczuć nastrój miasteczek, ulic, wnętrz, deszczu i ciszy. Wszystko ma znaczenie, wszystko przyciąga uwagę.
To książka, która zostaje w pamięci. Nie tylko dzięki zaskakującej fabule, ale też dzięki emocjom, które budzi i pytaniom, które po sobie zostawia.
Kolejny już raz Minier wciągnął mnie w opowieść z niezwykle precyzyjnie splecionymi wątkami. Hiszpańska Galicja zaprosiła mnie do śledztwa w sprawie brutalnych i bezwzględnych przestępstw.
Minier umiejętnie kontrastuje nieco senna i spowitą mgłą spokoju galicyjskie okolice z nowoczesnym metropolitalnym Madrytem. W stolicy ktoś urządził krucjatę przeciwko elitom finansowym, natomiast prowincjonalne rewiry borykają się z serią porwań. Pomimo jakże różnej scenerii, to w każdej z nich zagrożenie, pomimo że odczuwalne inaczej to jednak jest wszechobecne.
Lucia Guerrero, no co tu dużo mówić ja babeczkę lubię, która jest zarówno twarda w działaniu jak i empatyczna. Kobieta odczuwa los porywanych kobiet w dość osobliwy i osobisty sposób, a cierpienie ich bliskich udzielę jej się równie jej. Lucia przydzielona jednak do sprawy priorytetowej, czyli eliminacji elit stawia ją w niekomfortowej sytuacji.
Autor za sprawą stopniowego odsłaniania kart historii oplatał mnie historią niczym boa ofiarę. Minier absolutnie mnie nie zawiódł i zafundował zwroty akcji, które oprócz zaskoczenia fundowały emocjonalny rollercoaster. Minier prowadził narracje w bardzo precyzyjny sposób, który idealnie współgrał z chłodnym ociekającym mrokiem klimatem i tematyką. Ja lubię dynamiczne historie i taka też właśnie jest twórczość autora, za sprawą której gra z czasem między śledczymi, a przestępcami jest dla mnie dużo bardziej odczuwalna. Nie zabrakło też momentów refleksji nad naturą zemsty, rozwarstwieniem społecznym czy przemocą wobec kobiet.
Jestem zachwycona najnowszą powieścią autora, bo w moich oczach to kryminały/thrillery dla wymagających i nieunikających trudnych tematów społecznych. Bernard Minier kolejny już raz nie zawodzi, a do czytelników nieznających twórczości autora powiadam wam „nawróćcie się”.