What do you think?
Rate this book
Un amour infini: Sélections Prix Goncourt et Médicis
176 pages, Paperback
Published August 20, 2025
34 people want to read
Ratings & Reviews
Friends & Following
Create a free account to discover what your friends think of this book!
Community Reviews
Displaying 1 - 4 of 4 reviews
October 9, 2025
C’est, sans exagération, le pire livre que j’ai lu en 2025.
Un amour infini raconte la rencontre de deux personnages sur l’île de Tenerife, où ils passent trois jours à « se découvrir ». Malheureusement, le lecteur, lui, ne découvre rien d’autre qu’un ennui profond étalé sur près de 200 pages.
Les 100 premières pages pourraient se résumer à une seule ligne de dialogue :« Nathan parle, Louise écoute. »Nathan passe tout ce temps à dérouler son savoir dans un monologue interminable qui ressemble tantôt à un guide touristique, tantôt à un copier-coller de Wikipédia. Louise, quant à elle, se contente de boire ses paroles, sans jamais intervenir, questionner ou exister autrement que comme un prétexte à l’ego du personnage principal et probablement, de l’auteure. On frôle la paresse narrative : aucune recherche réelle, aucun effort de nuance, ni même une volonté d’incarner les lieux ou les émotions.
Puis viennent 70 pages dédiées à la tension sexuelle entre les deux personnages, traitée avec une lourdeur déconcertante. C’est répétitif, maladroit, sur-signifié à chaque ligne, comme si l’autrice avait peur qu’on rate l’information : il y a de l’attirance. Sauf qu’on n’y croit jamais. L’alchimie est absente, le désir n’a aucune charge émotionnelle, et la dynamique entre les personnages sonne faux.
Ce n’est pas une histoire d’amour. C’est une banale histoire d’adultère entre deux personnages plats, sans charisme ni maturité émotionnelle. Leur relation semble être une récompense automatique pour avoir réussi à se supporter trois jours sans fuir par ennui.
Pire encore, le roman est truffé de sexisme ordinaire :
Louise, la jeune femme belle, mystérieuse et surtout silencieuse, fascinée par Nathan, l’homme plus âgé, cultivé, dominateur verbal, qui ne semble l’aimer que parce qu’elle ne parle pas.
Le livre semble célébrer cette dynamique, sans recul ni critique. Cela donne un récit rétrograde, creux, et tristement cliché.
L’écriture n’aide en rien. Ni poétique, ni subtile, souvent maladroite et plate, elle finit de rendre cette lecture pénible jusqu’à la dernière page
Un amour infini raconte la rencontre de deux personnages sur l’île de Tenerife, où ils passent trois jours à « se découvrir ». Malheureusement, le lecteur, lui, ne découvre rien d’autre qu’un ennui profond étalé sur près de 200 pages.
Les 100 premières pages pourraient se résumer à une seule ligne de dialogue :« Nathan parle, Louise écoute. »Nathan passe tout ce temps à dérouler son savoir dans un monologue interminable qui ressemble tantôt à un guide touristique, tantôt à un copier-coller de Wikipédia. Louise, quant à elle, se contente de boire ses paroles, sans jamais intervenir, questionner ou exister autrement que comme un prétexte à l’ego du personnage principal et probablement, de l’auteure. On frôle la paresse narrative : aucune recherche réelle, aucun effort de nuance, ni même une volonté d’incarner les lieux ou les émotions.
Puis viennent 70 pages dédiées à la tension sexuelle entre les deux personnages, traitée avec une lourdeur déconcertante. C’est répétitif, maladroit, sur-signifié à chaque ligne, comme si l’autrice avait peur qu’on rate l’information : il y a de l’attirance. Sauf qu’on n’y croit jamais. L’alchimie est absente, le désir n’a aucune charge émotionnelle, et la dynamique entre les personnages sonne faux.
Ce n’est pas une histoire d’amour. C’est une banale histoire d’adultère entre deux personnages plats, sans charisme ni maturité émotionnelle. Leur relation semble être une récompense automatique pour avoir réussi à se supporter trois jours sans fuir par ennui.
Pire encore, le roman est truffé de sexisme ordinaire :
Louise, la jeune femme belle, mystérieuse et surtout silencieuse, fascinée par Nathan, l’homme plus âgé, cultivé, dominateur verbal, qui ne semble l’aimer que parce qu’elle ne parle pas.
Le livre semble célébrer cette dynamique, sans recul ni critique. Cela donne un récit rétrograde, creux, et tristement cliché.
L’écriture n’aide en rien. Ni poétique, ni subtile, souvent maladroite et plate, elle finit de rendre cette lecture pénible jusqu’à la dernière page
September 19, 2025
Tout ça pour ça? Je déteste ce genre d'histoire. Faire de l'adultère quelque chose romanesque pour rien.
October 22, 2025
trąci wattpadem trochę
October 7, 2025
Quand le chat n’est pas là les souris dansent
Displaying 1 - 4 of 4 reviews