Nous sommes au quatrième siècle de l’ère post-Google. Les humains ont déserté la Terre il y a longtemps pour vivre à bord de Globotrons, de gigantesques astronefs-entreprises qui s’affrontent dans une guerre commerciale sans fin aussi barbare que sournoise.. À bord du Midi-Six, le Prince en est à sa première journée à la tête de l’entreprise familiale. Son début de règne est complètement bousillé par l’apparition hostile du Globotron de Dollarama et de son infâme présidente Nikole, accompagnée de son sbire, le mystérieux Mike Yavel…. Mais que cherche vraiment ce mystérieux Mike, qui prodigue de si judicieux conseils? La fin justifie les moyens, paraît-il, mais la fin de quoi? Du capitalisme? De la démocratie? Des smoothies aux bananes?. Très librement inspirés par Le prince de Nicolas Machiavel, Olivier Morin et Guillaume Tremblay nous propulsent à la vitesse de la lumière dans un space opera sans pitié où les blagues et les trahisons fusent de toutes parts et où, plus que jamais, « gouverner, c’est faire croire »..
Messemble qu'on serait dûs pour infiltrer la SODEC, prendre l'enveloppe budgétaire pour le prochain film de Denys Arcard et tout le donner au Théâtre du Futur.
This was such a weird play, I would’ve loved to see this done in-person. I liked the conniving and manipulative characters and the asides they do. It felt like a whirlwind to read. Considering it was so far in the future, I would’ve liked to see even more differences to really drive home the fact this was in the future
Très belle lecture! On reconnait l’inspiration du prince de Machiavel à travers les personnages colorés de cet oeuvre. J’aimerai bien voir la pièce sur scène!
J’avais absolument zéro attentes pour ce livre (j’ai vue personne en parler), mais la couverture m’a intrigué et j’adore la maison d’édition, alors je me suis dit pourquoi pas! Je regrette tellement pas ma décision! C’est une pièce de théâtre farfelue, hilarante et malgré tout super compréhensible (beaucoup trop souvent à mon goût c’est pas compatible quand on parle de théâtre, mais ici c’était pas un problème). Il y a plein de petites références cocasses et bien placés à la culture populaire et québécoise, c’était ni forcé, ni embêtant (ce qui est rarement le cas honnêtement).
Et je le répète mais c’était super drôle et une excellente surprise, j’adorerais voir la pièce!