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ALLIANCE: La saga d'Enya: Tome 3 Ebook
Après avoir sauvé son ami, Niall, et avoir échappé aux griffes de Haloub, Enya est de retour parmi les siens.
Les tensions s’exacerbent, les éléments se déchaînent, les Pays et les Dieux se dressent les uns contre les autres. La guerre est à présent une évidence.
De nombreuses batailles vont éclater aux quatre coins des Cinq terres, n’épargnant aucune nation.
Insurrections, trahisons, conflits, Enya va faire face à l’horreur de la guerre, quitte à se perdre elle-même.
Elle et ses proches vont-ils réussir à mener à bien cet ultime combat ?
Et si sa prise de position et ses décisions signaient sa perte ?« SOUVIENS-TOI LE CŒUR ET L’ESPRIT SONT DEUX CHOSES DIFFÉRENTES. LE CŒUR PEUT OUBLIER MAIS L’ESPRIT SE SOUVENIR… »
Les tensions s’exacerbent, les éléments se déchaînent, les Pays et les Dieux se dressent les uns contre les autres. La guerre est à présent une évidence.
De nombreuses batailles vont éclater aux quatre coins des Cinq terres, n’épargnant aucune nation.
Insurrections, trahisons, conflits, Enya va faire face à l’horreur de la guerre, quitte à se perdre elle-même.
Elle et ses proches vont-ils réussir à mener à bien cet ultime combat ?
Et si sa prise de position et ses décisions signaient sa perte ?« SOUVIENS-TOI LE CŒUR ET L’ESPRIT SONT DEUX CHOSES DIFFÉRENTES. LE CŒUR PEUT OUBLIER MAIS L’ESPRIT SE SOUVENIR… »
571 pages, Kindle Edition
Published May 15, 2025
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Community Reviews
Displaying 1 - 4 of 4 reviews
September 30, 2025
j'ai vraiment aimé cette trilogie.
pour une première écriture je trouve cela réussi et je lirai d'autres lectures de cette autrice
pour une première écriture je trouve cela réussi et je lirai d'autres lectures de cette autrice
May 29, 2025
Je porte les deux premiers tomes de cette trilogie dans mon cœur et sans grande surprise, j’ai adoré ce dernier tome.
J’ai été transporté par ce dernier tome où on oscille entre les scènes de combats et les moments d’accalmies. J’ai particulièrement bien apprécié les scènes de combats où je me sentais littéralement spectatrice. C’est d’ailleurs ce que j’ai ressenti tout au long du livre.
La plume de l’autrice est fluide, addictive, sans trop de longueur et j’ai beaucoup aimé la manière dont l’autrice traite certains sujets comme le deuil par exemple.
C’est beau, c’est doux, mais ça n’en reste pas moins douloureux.
En ce qui concerne les personnages, j’aime tout particulièrement le développement de ceux-ci. Surtout Enya qui possédait déjà une force de caractère inouïe, mais qui arrive tout de même à continuer à apprendre et à grandir. J’ai toujours un grand coup de cœur pour Zerkan qui est THE BOOKBOYFRIED. Il n'y a pas plus imparfaitement parfait. Et malgré son rôle de dieu, je le trouve profondément humain et lui aussi arrive à évoluer, même si j’ai bien cru qu’il allait passer de l’autre côté de la force.
En lisant ce livre, je me suis rendue compte qu’en réalité, cette trilogie est un found family de fou. Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas percuté avant, alors que c’était devant, mais yeux, mais si vous aimez cette trope vous allez être servi.
En bref, je vous recommande cette trilogie fantasy avec des complots politiques, une guerre et surtout beaucoup d’amour, mais attention, ce livre est pour un lectorat adulte et averti.
J’ai été transporté par ce dernier tome où on oscille entre les scènes de combats et les moments d’accalmies. J’ai particulièrement bien apprécié les scènes de combats où je me sentais littéralement spectatrice. C’est d’ailleurs ce que j’ai ressenti tout au long du livre.
La plume de l’autrice est fluide, addictive, sans trop de longueur et j’ai beaucoup aimé la manière dont l’autrice traite certains sujets comme le deuil par exemple.
C’est beau, c’est doux, mais ça n’en reste pas moins douloureux.
En ce qui concerne les personnages, j’aime tout particulièrement le développement de ceux-ci. Surtout Enya qui possédait déjà une force de caractère inouïe, mais qui arrive tout de même à continuer à apprendre et à grandir. J’ai toujours un grand coup de cœur pour Zerkan qui est THE BOOKBOYFRIED. Il n'y a pas plus imparfaitement parfait. Et malgré son rôle de dieu, je le trouve profondément humain et lui aussi arrive à évoluer, même si j’ai bien cru qu’il allait passer de l’autre côté de la force.
En lisant ce livre, je me suis rendue compte qu’en réalité, cette trilogie est un found family de fou. Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas percuté avant, alors que c’était devant, mais yeux, mais si vous aimez cette trope vous allez être servi.
En bref, je vous recommande cette trilogie fantasy avec des complots politiques, une guerre et surtout beaucoup d’amour, mais attention, ce livre est pour un lectorat adulte et averti.
June 19, 2025
Alliance, c’est la fin d’une aventure qui m’a retournée comme une crêpe… mais pas une crêpe mignonne au sucre. Non. Une crêpe jetée dans une poêle en fusion, arrosée de napalm narratif et servie avec une boule de sorbet émotions en vrac.
Une trilogie qui m’a happée dès la première page du tome 1, et que je referme aujourd’hui avec les yeux humides, les nerfs en papillote, et une irrépressible envie de faire une standing ovation à Manon P. Muel. En pyjama. Avec un tambourin.
Dès les premières lignes, ce frisson familier m’a sautée dessus comme un chat sous coke : Enya est de retour. Et toute sa bande aussi. C’est un peu comme rentrer chez soi… si “chez soi” c’est un squat en pleine apocalypse zombie, avec des braseros de feu mystique et des copains qui crient “POUR LA LIBERTÉ !” à chaque coin de page. Et pourtant ? J’étais chez moi.
J’ai vibré, j’ai pleuré, j’ai hurlé à mon canapé de "ne pas tuer ce personnage ou je m’effondre" (spoiler : j’ai quand même fondu comme du cheddar dans une scène clé). Bref, j’ai vécu.
Parlons d’Enya. Avant, elle était déjà badass, style “je dégaine avant de réfléchir, mais avec panache”. Ici, elle atteint le niveau “guerrière de la liberté avec un master en trauma et une option punchlines”. Elle est forte, mais brisée. Rebelle, mais fatiguée. Sauvage, mais incroyablement humaine. C’est un peu si Katniss Everdeen avait fusionné avec Furiosa et une licorne en burn-out : un cocktail explosif de rage, de courage, et de tendresse enfouie sous 17 couches de carapace.
Et alors Zerkan… oh mon doux volcan émotionnel à pectoraux sensibles. Ce gars, ce n'est pas un bookboyfriend. C’est une expérience spirituelle. Loyal, intense, respectueux… Il ne sauve pas Enya, il la soutient, il la regarde briller sans jamais lui faire de l’ombre. Si tous les mecs de fantasy pouvaient prendre des notes sur lui, on éviterait bien des migraines littéraires.
Leur duo, ce n'est pas juste du shipping. C’est une flamme sacrée. Une tendresse épique. Une romance à combustion lente qui fait battre le cœur sans jamais le bouffer à la petite cuillère.
Et que dire du worldbuilding ? Bordel. Chaque détail est ciselé. Chaque royaume a son histoire, ses créatures, sa politique, sa saveur. On passe d’un champ de bataille à une ruine magique en ruisselant de sueur dramatique, et tout est cohérent. Poétique. Brutal. Intense. Ce n'est pas un univers de fantasy, c’est un parc d’attractions pour lecteurs émotifs.
En conclusion, La saga d’Enya, tome 3 : Alliance, c’est le boss final de la trilogie. C’est la claque émotionnelle que tu n'as pas vue venir, le bouquet final qui t’arrache des larmes et t’offre un câlin en même temps. Manon P. Muel signe un bijou littéraire aussi beau que cruel, aussi brûlant que tendre, aussi subtil qu’un coup de poing au cœur… mais avec délicatesse.
Je suis lessivée, conquise, et un peu orpheline. Mais surtout : reconnaissante. Merci Enya. Merci Zerkan. Et merci Manon, pour cette aventure qui m’a mise KO… mais avec le sourire.
Une trilogie qui m’a happée dès la première page du tome 1, et que je referme aujourd’hui avec les yeux humides, les nerfs en papillote, et une irrépressible envie de faire une standing ovation à Manon P. Muel. En pyjama. Avec un tambourin.
Dès les premières lignes, ce frisson familier m’a sautée dessus comme un chat sous coke : Enya est de retour. Et toute sa bande aussi. C’est un peu comme rentrer chez soi… si “chez soi” c’est un squat en pleine apocalypse zombie, avec des braseros de feu mystique et des copains qui crient “POUR LA LIBERTÉ !” à chaque coin de page. Et pourtant ? J’étais chez moi.
J’ai vibré, j’ai pleuré, j’ai hurlé à mon canapé de "ne pas tuer ce personnage ou je m’effondre" (spoiler : j’ai quand même fondu comme du cheddar dans une scène clé). Bref, j’ai vécu.
Parlons d’Enya. Avant, elle était déjà badass, style “je dégaine avant de réfléchir, mais avec panache”. Ici, elle atteint le niveau “guerrière de la liberté avec un master en trauma et une option punchlines”. Elle est forte, mais brisée. Rebelle, mais fatiguée. Sauvage, mais incroyablement humaine. C’est un peu si Katniss Everdeen avait fusionné avec Furiosa et une licorne en burn-out : un cocktail explosif de rage, de courage, et de tendresse enfouie sous 17 couches de carapace.
Et alors Zerkan… oh mon doux volcan émotionnel à pectoraux sensibles. Ce gars, ce n'est pas un bookboyfriend. C’est une expérience spirituelle. Loyal, intense, respectueux… Il ne sauve pas Enya, il la soutient, il la regarde briller sans jamais lui faire de l’ombre. Si tous les mecs de fantasy pouvaient prendre des notes sur lui, on éviterait bien des migraines littéraires.
Leur duo, ce n'est pas juste du shipping. C’est une flamme sacrée. Une tendresse épique. Une romance à combustion lente qui fait battre le cœur sans jamais le bouffer à la petite cuillère.
Et que dire du worldbuilding ? Bordel. Chaque détail est ciselé. Chaque royaume a son histoire, ses créatures, sa politique, sa saveur. On passe d’un champ de bataille à une ruine magique en ruisselant de sueur dramatique, et tout est cohérent. Poétique. Brutal. Intense. Ce n'est pas un univers de fantasy, c’est un parc d’attractions pour lecteurs émotifs.
En conclusion, La saga d’Enya, tome 3 : Alliance, c’est le boss final de la trilogie. C’est la claque émotionnelle que tu n'as pas vue venir, le bouquet final qui t’arrache des larmes et t’offre un câlin en même temps. Manon P. Muel signe un bijou littéraire aussi beau que cruel, aussi brûlant que tendre, aussi subtil qu’un coup de poing au cœur… mais avec délicatesse.
Je suis lessivée, conquise, et un peu orpheline. Mais surtout : reconnaissante. Merci Enya. Merci Zerkan. Et merci Manon, pour cette aventure qui m’a mise KO… mais avec le sourire.
July 24, 2025
Alliance est le dernier tome de la trilogie La Saga d’Enya écrite par Manon P. Muel, une autrice autoéditée que je trouve particulièrement talentueuse et dont l’univers est richement pensé et habilement construit. Le premier tome m’avait énormément surprise, le second était rempli d’émotions, et j’étais donc impatiente de découvrir ce troisième opus pour savoir ce qu’il adviendrait des personnages et connaître le dénouement de cette aventure.
Si vous avez lu mes chroniques précédentes, vous savez que le deuxième tome m’avait quelque peu chagrinée : la romance y prenait beaucoup de place, reléguant l’intrigue et l’action au second plan. Pourtant, à la lecture de ce tome final, je me rends compte à quel point ce deuxième tome était essentiel à la progression de l’histoire. Dans Alliance, on entre directement dans le vif du sujet, avec un équilibre parfaitement dosé entre action et romance, sans que l’un ne prenne le dessus sur l’autre. C’est un excellent point !
Une fois encore, la plume de l’autrice m’a happée dès les premières pages. Elle est fluide, riche et rythmée, avec un vocabulaire accessible sans jamais être simpliste. Elle retranscrit à merveille l’intensité des événements, tout comme le côté sombre du récit, que j’ai énormément apprécié. L’ensemble est profondément immersif.
Les péripéties s’enchaînent avec intensité et efficacité. On est pris dans l’histoire dès les premières lignes et on ne voit pas les pages défiler. Le tout est porté par un worldbuilding solide et détaillé, qui témoigne d’un véritable travail d’imagination et d’une maîtrise de l’univers impressionnante. J’ai été totalement convaincue par la richesse de cet univers.
Si je devais émettre un léger regret, ce serait mon manque d’attachement envers l’un des personnages principaux, ce qui a quelque peu terni mon ressenti final. Cela dit, cela n’a pas entaché la qualité du récit, et je vous recommande chaudement cette trilogie si vous aimez la fantasy autoéditée, les univers bien construits et les histoires à la fois sombres et émotionnelles.
Si vous avez lu mes chroniques précédentes, vous savez que le deuxième tome m’avait quelque peu chagrinée : la romance y prenait beaucoup de place, reléguant l’intrigue et l’action au second plan. Pourtant, à la lecture de ce tome final, je me rends compte à quel point ce deuxième tome était essentiel à la progression de l’histoire. Dans Alliance, on entre directement dans le vif du sujet, avec un équilibre parfaitement dosé entre action et romance, sans que l’un ne prenne le dessus sur l’autre. C’est un excellent point !
Une fois encore, la plume de l’autrice m’a happée dès les premières pages. Elle est fluide, riche et rythmée, avec un vocabulaire accessible sans jamais être simpliste. Elle retranscrit à merveille l’intensité des événements, tout comme le côté sombre du récit, que j’ai énormément apprécié. L’ensemble est profondément immersif.
Les péripéties s’enchaînent avec intensité et efficacité. On est pris dans l’histoire dès les premières lignes et on ne voit pas les pages défiler. Le tout est porté par un worldbuilding solide et détaillé, qui témoigne d’un véritable travail d’imagination et d’une maîtrise de l’univers impressionnante. J’ai été totalement convaincue par la richesse de cet univers.
Si je devais émettre un léger regret, ce serait mon manque d’attachement envers l’un des personnages principaux, ce qui a quelque peu terni mon ressenti final. Cela dit, cela n’a pas entaché la qualité du récit, et je vous recommande chaudement cette trilogie si vous aimez la fantasy autoéditée, les univers bien construits et les histoires à la fois sombres et émotionnelles.
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