En 2001, les Cahiers du cinéma classaient " Loft Story " parmi les dix meilleurs films de l'année !
Comment la télé réalité a t-elle pu imposer, avec le succès que l'on connaît, des émissions et séries fondées sur le voyeurisme dans lesquelles chacun peut avoir "son quart d'heure de célébrité" ?
Télé-poubelle, trash télévision, exhibitionnisme, voyeurisme, vulgarité ! Comment la télévision pouvait-elle tomber si bas.
Les artistes du xxe siècle ont préparé ce renversement : Duchamp, Warhol ou Pérec, Arman, icones de la modernité, ont été les chantres de la répétition, de l'usuel, du banal quand dans le même temps Ricardou et Cerisy mettaient à mort la notion d'auteur.
Dans cet essai percutant sur les inversions d'un siècle, nous cherchons à comprendre le miroir ici tendu à notre société.
Professeur à Paris III Sorbonne nouvelle où il dirige le Centre d'études sur les images et les sons médiatiques, François Jost est l'auteur de nombreux livres sur l'image et la télévision.
5 000 ex. vendus de L'Empire du loft du même auteur.
Traces the theme of the banal, as per the subtitle, from Duchamp's "Fountain" to reality TV, in I guess culture and society. Hard to be sure whether Jost is postulating a causal chain from the incursion of the banal into high art to the glorification of triviality on TV, such that Duchamp, Warhol, Barthes and Robbe-Grillet are in part directly responsible for Big Brother, X Factor and all that, but it's an idea worth entertaining. This was written in 2007; if it had come out this year, you could imagine there might be a chapter on the rise of populism and so-called "post-truth politics" on the same lines.
El libro está bueno, interesante, no aburre. Pero es del 2007 y bueno… creo que quedó un poco viejo. O al menos todas las conclusiones que aporta ya son sabidas por cualquiera que tenga un mínimo de curiosidad en historia del arte y medios de comunicación. Lo mas interesante fueron los primeros capítulos, el recorrido histórico del concepto de banal en el arte. Lo banal como una manifestación contra la hegemonía, para luego convertirlo en hegemonía y terminar por incluso banalizar lo banal (título del último capítulo) Me aportó miradas sobre Warhol que no tenía así que le sumo una estrella por eso.