Тази книга е последната от трилогията на Бернар Вербер „Цикълът на боговете“. И тук преоткриваме ерудицията, чувството за хумор и майсторски изградения сюжет на бележития автор на „философска фантастика“.
Атеист ли е Вербер, политеист или хенотеист? Всеки сам трябва да си отговори, след като прочете с наслада майсторски написаните страници.
Време е за финала на божествената игра, богоубиецът ще бъде разкрит, преображенията на героите в тази книга са стремглави и непрестанно преминаваме от един свят в друг. Задъханото повествование държи читателя в напрежение до енигматичния си финал.
Bernard Werber's "Ants" trilogy made him one of France's most popular science fiction novelists in the 90s. Werber began studying journalism in 1982 in Paris, where he discovered the work of sci-fi writer Philip K. Dick. In 1991 he published the novel Les Fourmis (Empire of the Ants), a complex fantasy novel in which ants were the heroes and humans the pesty antagonists. The novel became a cult hit across Europe, and Werber followed it with two other books in the same vein: Le Jour des Fourmis (Day of the Ants,1992) and La Révolution des Fourmis (Revolution of the Ants, 1995). His other books include L'Empire des Anges (Empire of the Angels, 2000) and L'Arbre des possibles (The Tree of Possibles, 2002).
Au dessus des mortels, les anges.. Au dessus des Anges, les dieux.. Au dessus des Dieux...
C'est ce qu'on explore dans cette trilogie et plus particulièrement dans ce troisième et dernier tome. Je ne vais bien sûr pas vous parler de l'intrigue, mais de mon ressenti, qui est étrangement en double teinte. Si j'ai adoré le premier tome et bien aimé la première partie du deuxième, j'ai trouvé que le récit s'essouflait et que ça tournait un peu à la démagogie. Pour ce volume le début a été laborieux et mal construit à mon avis, mais après 100 pages il y a un tournant très intéressant qui m'a rescotché au bouquin. L'intérêt est gardé jusqu'à la fin, qui me laisse mitigée. Elle est logique, du moins logique à la Werber, le genre mind-fuck-question-existentielle-en-veux-tu-en-voilà-rupture-du-quatrième-mur, le genre de l'auteur quoi. C'était censé me bluffer, mais je my attendais, et c'est un peu ce qu'il fait à chaque fois (en versions différentes) donc ça ne m'a aucunement impressionnée. Ceci-dit, la trilogie reste un trip original et fascinant, les références font légion, les degrés de lecture aussi, et les réflexions surtout. Donc pour ma part je la recommanderais aux amateurs de muthologie et de romans à dédale (et les fans de Werber bien évidemment), le côté le plus fascinant reste toujours la facilité avec laquelle Werber intègre les mythes dans les romans modernes, et bien sûr Edmond Wells et son omni-présente encyclopédie !
Se lancer dans le cycle des anges puis dans le cycle des dieux sans trop savoir à quoi s’attendre, être absorbée par l’histoire de Michael Pinson, par ses aventures, sa soif de connaissances. Se laisser charmer par les faits divers d’Edmond Wells, tomber amoureux autant de fois que Michael Pinson, vouloir comprendre le monde, s’inspirer de la mythologie grecque. C’était une belle aventure, vraiment! Ça vaut la peine de passer au travers des 5 tomes, même si ça semble un marathon, la ligne d’arrivée en vaut la peine! Merci à mon merveilleux chum pour la recommandation et de m’avoir obligé à commencer par les thanatonautes. J’ai presque des regrets que ma lecture soit terminée!
J'avoue que j'étais assez sceptique en commençant ce livre car le tome précédent ne m'avait pas du tout convaincue. Pour tout dire, je trouvais que cette série commençait à devenir ennuyeuse. C'est d'ailleurs pour cela que j'ai mis autant de temps à me décider à lire ce dernier tome (au moins 8 ans).
Et effectivement, étant donné que les 100 premières pages sont totalement dans la continuité du tome précédent, je commençais à m'impatienter et à penser que ce tome serait aussi agaçant et pour tout dire, plutôt barbant.
Mais en réalité, à partir de la page 100, un gros retournement de situation a ravivé mon intérêt, et à partir de là, l'histoire m'a happée et m'a transportée.
En effet, il arrive à nouveau plein de choses nouvelles et inattendues au héros, et c'était exactement ce que j'espérais. Bien sûr, dans la multitude d'événements qui surviennent dans ce roman, je n'ai pas adhéré à tout, certaines choses m'ont même un peu chiffonnée ou agacée, mais dans l'ensemble, j'ai beaucoup apprécié ma lecture. Pour tout dire, je crois qu'elle m'a réconciliée avec les romans de Werber, que je trouvais assez décevants et lassants, depuis quelques années.
Et puis, comme toujours, l'auteur nous fait réfléchir à travers son histoire, et nous apprend énormément de choses, par le biais de l'Encyclopédie du savoir Relatif et Absolu, dont les articles sont disséminés de façon régulière tout au long du roman, entre deux chapitres de l'histoire principale. Dans ce roman, le thème des articles de l'Encyclopédie est surtout centré sur les différentes mythologies et religions du monde entier - mais pas seulement. C'est une particularité des romans de Werber que j'ai toujours aimé, et là encore, j'ai vraiment apprécié ces "intermèdes" tous plus intéressants et instructifs les uns que les autres.
Quant la fin elle m'a à la fois un peu déçue et fait sourire. Mais en fait, elle est logique, et ne m'a pas étonnée de la part de l'auteur. C'est une pirouette bien dans son style, que chacun appréciera selon sa vision des choses et surtout, ce qu'il attendait du dénouement...
Правилно виждате оценката. Сега, ако сте от хората които следят ревютата ми, вероятно си спомняте, че на предните дадох много звезди. Вероятно стоите и се почесвате "К'во пък му стана на този?".
Няма да си кривя душата, книгата като качество е доста под преходните. Дали на Вербер му е свършило вдъхновението, наркотиците, или просто е имал застрашаващо приближаващ краен срок за дописване? Кой знае. И все пак...една звездичка?
Това е заради последните 20 страници. Те са толкова унищожителен mindfuck, че дори болните съновидения на Мураками изглеждат като детска приказка. И...не мога да определя дали ми харесва.
„Ние, боговете“ е на ръба на шегата - история като виц за древногръцките богове и тяхната свита причудливи създания. „Дъхът на боговете“ е като енциклопедия на световната история в паралелна реалност. „Загадката на боговете“ е смес от езотеризъм и научни хипотези, поставени в Многоизмерна Вселена. Въпросите са безбройни, отговорите - теории на осъзнатото и мистицизъм. Дали на всеки зададен въпрос може да дадем светкавичен отговор? Може, защото всеки от нас първоначално е „изгубен“, човекочастица, която търси най-подходящата вселена за себе си. Атеист ли е Вербер, политеист или хенотеист? А как се самоопределяме ние? „Цикълът на боговете“ е история за търсенето на загадки, навлизане дълбоко в загадките, които съществуват като такива, защото са сътворени именно с тази цел. Тук Вербер дава някакъв отговор, с който можем да живеем, да бъдем в мир със себе си. Изборът му ми харесва.
Финалът. Останали на дванайсет финалисти, готови да покажат силата си на богове. Микаел Пенсон е получил шанс да пробуди отново народа си - хората делфини на Земя-18. Богоубиецът продължава да безчинства, отнемайки любовта на Микаел, но вдъхвайки му силата, от която той най-много се нуждае - отмъщение. Целта на всички е да получат разрешение за среща с прословутата Деветка - богът на боговете, който управлява всичко съществуващо. И най-сетне има победител.
Je suis un peu decu que je ne puisse pas mettre zero a ce livre... 450 pages de frustration à lire un recit aux personnages incoherents, a la trame narrative qui donne l'inpression d'avoir ete ecrite sur post it dont la moitie a ete perdue dans un demenagement et à la "philosophie" digne d'un enfant de 15 ans un peu sous la moyenne. Normalement, je suis un grand fan de l'art meta, des mises en abyme, et des histoires flyes, mais dans le cas de ce livre cest tellement cousu de fils blanc, tellement integre a la crowbar dans l'histoire que cest plus derangent qu'autre chose. Je ne compte pas les fois que jai levé les yeux au ciel ou fermer le livre avec frustration tellement jetais fruste du développement de l'histoire ou simplement parce que jetais gene pour l'auteur. Juste a penser a la fin et jai le gout d'hurler Je ne m'étenderai pas sur chacun des details mais le slogan du groupe "l'amour comme epee, l'humour comme bouclier"... Cest tellement ridicule comme cri de raliment... Comment quelqu'un peut penser ca sans eclater se rire devant le ridicule? Comment un editeur peut publier ca et ce dire "ouais...cest une bin bonne idee tout ca". Avant que les choses degenerent' je vais m'arreter ici, un peu comme l'auteur aurait du faire apres le premier paragraphe de ce livre.
Bernard Werber n'est pas misogyne. Il ne déteste pas les femmes. Par contre, oui, il est sexiste. Et le pire, c'est qu'il pense dresser un tableau amoureux et honnête de ses personnages féminins, mais je n'ai jamais lu un livre avec des personnages féminins aussi peu humains. Son protagoniste n'a jamais une véritable relation d'amitié avec une femme. Il met des propos sexistes dans la bouche d'une femme, peut-être pour s'en dédouaner.
Ce n'est qu'un seul de la myriade de défauts de ce livre, et je n'en ferais pas la liste. Un autre point, cependant, qui m'a marqué, c'est le moment où son personnage principal se "réincarne" dans un auteur à succès. On sent bien que c'est là Werber qui règle ses comptes avec l'industrie du livre, et c'est ridicule de voir à quel point celui-ci se croit au dessus du commun des mortels qui n'a "rien compris" à son oeuvre.
Il faut dire que quand on lit la conclusion on se dit effectivement qu'on ne doit pas être sur le même "degré" que lui. J'espère pour lui que je suis trop idiote et "basique" pour comprendre son final, parce qu'à mon humble avis, c'était très mauvais et niais.
Не мога да натъртя достатъчно силно колко горещо препоръчвам тази поредица на всеки, който обича сериозна литература ИЛИ от време на време изпада в размишления за душата и света. Написал съм „ИЛИ“ с главни букви, защото не е нужно да се превъзнасяш по класически автори и елитарна литература, за да се влюбиш в произведенията на Бернар Вербер. Нужно е просто да имаш малко мозък и да усещаш в себе си това любопитство, това търсене на нещо повече, без да приемаш съществуващите отговори, религиозни или други такива, за чиста монета.
В „Цикъла на боговете“ определено има нещо повече и искрено се радвам, че имах възможността да се докосна до него чрез тази поредица! Стискам си палци някога да се появи четиво, чийто ефект върху мен дори само леко да се доближи до този от „Цикъла на
Le vrai mystère là-dedans, c'est la raison pour laquelle je suis allé au bout de ce livre... J'aimais bien Werber - bon, j'avais seize ans - mais là c'est plus possible; scolaire, naïf et prétentieux.
Globalement j'ai bien apprécié ce 3ème tome. J'ai quand même du faire une pause entre le 2ème et celui-çi car à la fin du 2ème j'étais arrivée à saturation. Là, la lecture s'est reprise doucement, sans pression, à un rythme agréable. Ma seule petite déception reste la fin...mais chut!
"Тех, кто ошибается, много, но это не значит, что они правы."
Заключительная 5-я книга цикла оказалась самой интересной. Просто неимоверно интересной. Уже после страницы пятой остановиться было невозможно, потому что закручивается такой сюжет и события развиваются так, как я бы никогда не подумала. Здесь нет никакой предсказуемости, здесь реально никак не догадаешься что может быть дальше. Я читала взахлеб несколько дней. Вербер - фантаст, поэтому никогда неизвестно как могут закончиться его книги. У него нет шаблонности, одни его книги заканчивались загадкой, в других конец нужно было додумать самим, в третьих все заканчивалось плохо (но обычно у таких книг обязательно было продолжение). Когда главный герой обретает свое долгожданное счастье, а потом его теряет, то естественно я желала ему снова его найти и подсознательно надеялась на банальную сюжетную линию, в которой он вернулся бы к своей любимой. Но умом я понимала, что если Вербер так закончит книгу, то я в нем полностью разочаруюсь. Но он не такой, он не банальный. Поэтому все закончилось так, что я не могла уснуть сегодня всю ночь, размышляя над концом книги. Когда я читала одну из последних глав, то у меня реально глаза были, наверное, как у моего кота, когда он сильно испуган. С широко раскрытыми глазами я была сильно поражена тем как развиваются события. Главный герой искал ответ на вопрос: "Над людьми - ангелы, над ангелами - боги, а кто находится над богами?" И когда он нашел ответ, то при всех моих личных убеждениях я воскликнула: "Верю! Верю! Да, так и есть!". Открытие поражало и было таким логичным, хоть мне было немного не комфортно от того, чем обернулось оно для главного героя и его друзей. "Galdu", "гимель", "God"... Читая все это я была очень взволнована и напряжена. Пока не начала читать своего рода послелог - заключительную часть под названием "Вы?". Я не могла сдержать улыбку. Забавный все-таки Вербер закончить так книгу. Немного несерьезно, с юмором. Хотя девиз танатонавтов был "Любовь как шпага, юмор как щит", так что это оправдано. Закончив читать, я подумала, что буду скучать без этого мира Богов, что мне так нравилось наблюдать за их миром. И тут меня пробило, что ход моей мысли делает такой конец книги логичным. Я наблюдала за их миром! Значит Вербер опять оказался прав. На протяжении чтения всех книг Мишель Пэнсон в моем воображении был реальным, и в конце Вербер его немного обидел как персонажа, но он все-таки сумел закончить цикл книг так, что не осталось ни разочарования, ни недосказанности. И на самом деле это все-таки был самый необычный конец книги, который я когда-либо читала.
What the hell is going on here? Author is getting so abstract, is he for real? There is a whole video in cinema sins style that can be made on this book.
1. Ancient Gods seem to understand modern technologies, but they stick to the ancient lifestyle. 2. Michele just lets Aphrodite follow him, even though she ditched him so many times. 3. I DON'T UNDERSTAND THE MECHANISM THAT MOVES ROMANTIC RELATIONSHIPS HERE. There are no signs of interest, no dates, no profound interactions. They just meet, quick chit chat, fall in love. That doesn't work this way. Michel started to hate Aphrodite and builded a solid relationship with Mata Hari. And then he just lefts everything behind and engages into romantic relationship with Aphrodite. Just because he was alone in a cell I guess, that's the only explanation. 4. Michele can replay main game so many times. Why does his opinion matter? 5. Michele knows, that they are immortal gods. Yet gets punished for shooting Dupre dead. Pew. Pew. That's not Dupre dead, that's logic. 6. During Earth part writer references himself in Gabriel character. That's obvious, because he prorably describes his own daily routine. But then Gabriel appears to be the one not acknowledged by critics, as Werber I reckon. Isn't it just a bit narcissistic? 7. So Michele (or Gabriel whatever) is immortal living on Earth , and Prudon as well, so he plays death scene and Prudon should be like "yeah okay, he is dead" and gives him time to escape. Wtf?
Okay, that's enough I guess, because the whole thing would be to long. The universe author is describing is full of wholes, the characters develop in quirky way and start behave themselves unnaturally just for sake of moving the plot.
This book is annoying, pseudointellectual and quasispiritual. The worst fantasy I've ever read till this moment. Whole trilogy is to be forgotten. I wish he stopped on Tanatonauts cycle. Prorably lack of recognition by critics is a natural outcome of flawed logic in the story.
This entire review has been hidden because of spoilers.
In the third book of ‘Cycle of Gods’, it wraps ups the stories that has been conducted throughout book 1 and 2. The book starts with the final match between 12 God cadets. Unfortunately, the main character Michael was absent for last week’s lesson so it is harder for him to win. One interesting fact about this book is the relationship between the religious title of the book and allusion of the story of Jesus and the last feast with his 12 disciples. This is because ironically, this matches with the number of students in the final match of this book.
What I really liked about this book is that it is unexpected. Normally, the main character wins the final match and the story ends so I was expecting that but the main character’s best friend won, resulting a crack between their relationship. Also, throughout the series, there is a mystery character that kills the God cadets and the author didn’t reveal the identity which makes the readers to question and predict who is the killer.
Another thing that was mentioned from the beginning of the series, is ‘The Encyclopedia of Absolute and Relative Knowledge (L'ESRA). One of the character, Edmond Wells, who was an instructor of Michael, the main character. The role of this encyclopedia is to provide some fundamental information to the readers who didn’t read Bernard Werber’s other series because his books share a same frame of settings. For example, the numbering system representing the development of human spirit is one of the most significant idea in the book and the encyclopedia has a role of explaining it. However, what was little disappointing was that the series didn’t provide information about the book how it is written and why did Edmond wrote it.
Bernard Werber nous emmène dans son dernier tome du cycle des Dieux, faisant suite au cycle des Anges. Nous y suivons toujours Michael Pinson en Aeden après son petit tour auprès de Zeus. Il s'est rendu compte que quelque chose se cachait derrière la montage de ce dernier et compte bien découvrir ce que c'est. La plume de Bernard Werber m'a toujours plue. Plus d'une fois, je me suis retrouvée fascinée durant mes lectures. Ce dernier tome, bien que quelque peu moins à la hauteur des autres selon moi (surtout l'Empire des Anges qui a été une totale révélation pour moi et qui m'a éveillée à beaucoup de questions spirituelles dès ma jeune adolescence), n'a pas manqué de me surprendre et me plaire. Alors évidemment, il tire en longueur car certains passages se perdent totalement dans la masse et n'apportent pas grand chose à la lecture. Mais l'essentiel est là: les réflexions profondes, les informations grâce à l'Encyclopédie du savoir relatif et absolu, les références à de grands thèmes de l'histoire,... Bref, même s'il n'est pas des plus passionnants, ce livre se laisse tout de même lire, avec en prime, une fin un petit peu "plot twist" qui ne manque pas de faire sourire!
I was sooooo eager to get to the final chapter of this trilogy. The second book ended on quite the cliffhanger so I couldn’t wait to get to experience where the author was going to land.
Unfortunately, this is my least favorite one of the series. The first third of the book seems so pointless in retrospect. I didn’t know where the author wanted to end and the way there was very very unsatisfying. The final half of the book manages to get more traction in order to finish on a very meta note. I’m quite ambivalent about it as I find it a bit unsatisfying and boring as an answer but well, they say the journey is the most important part of it all.
In the end, the overall story remains very very good for me. The structure and mysteries where enough to help me go through it all. Also the various messages and philosophies shared are quite enjoyable and provide so many more layers for understanding. It gives it all a very interesting work of art and philosophy linking fiction, myths , science and philosophy to recoup all of man knowledge in a very compelling story.
Après un premier tome que j'avais doucement apprécié et une suite longue et fastidieuse, je n'attendais guère de cette fin de trilogie et c'est donc en partie à cause d'un besoin obsessionnel de terminer ce qui est commencé que j'entame ce livre.
Le début reste dans la continuité et c'est suite à un évènement que j'ai trouvé un peu forcé que l'intrigue prend une autre tournure. Et même si cela reste attendu et logique narrativement cela fait un bien fou après 800 pages à tourner - presque - en rond. Je me suis retrouvé alors à apprécier suivre les pérégrinations du personnage principal, jusqu'à un final qui ne devrait pas laisser indifférent.
Il est fort probable que cela soit "too much" pour certains, mais que cela fasse son effet avec d'autres. Personnellement je me suis laisser porter par cette fin d'aventure jusqu'à finalement regretter qu'elle soit déjà finie et que ces personnages ne continuent pas à encore chercher à aller encore plus loin en notre compagnie.
Zeus lhe revela que o ganhador do jogo Y irá conhecer o Deus Supremo, então Michael deseja retornar ao Eden. Ele é despertado pela Mata Hari que lhe apressa a conduzi-lo a ultima partida do jogo.
Mata Hari é morta pelo deicida
No fim Michael perde o jogo, mata o deicida e é condenado a viver na Terra 18.
Ele renasce como escritor Michael ????, e resolver escrever sobre o mundo dos Deuses e cria um jogo onde os jogadores são deuses do Olimpo.
Se apaixona por ..... que é ilustradora e uma descendente do povo Golfinho
é recuperado pela Afrodite e Edmundo Wells e é levado de novo ao Olimpo porque o Olimpo está em destruição. Eles tem que correr para chegar no Deus supremo antes do Raul.
Jeny, po drugim tomie, który całkiem przypadł mi do gustu spodziewałam się fajnego finału, a nie dość, że w ogóle nie mogłam się w tą książkę wgryźć, to jeszcze kompletnie mnie nie interesowała, wynudziła i wymęczyła. No i nie zapominajmy, że pogubiłam się na początku kompletnie. Jako zakończenie trylogii kompletnie bez wyrazu i efektu wow, od był sobie tom. Całość - kompletnie nie moja tematyka, ale nie pozwalam sobie zamykać się w czterech komfortowych ścianach i wypycham poza strefę komfortu i gdyby to było zbudowane inaczej, gdyby autor nie był takim skrajnym mizoginistą i gdyby wywalić te encyklopedyczne wstawki mogłoby być naprawdę fajne. A tak? Szkoda czasu.
Au-dessus des Hommes, les Anges. Au-dessus des Anges, les Dieux. Au-dessus des Dieux : ?
Après avoir été thanatonaute, puis ange, Michael Pinson se retrouve soudainement sur l'île d'Aeden parmi la promotion française des élèves dieux. Il découvre que, comme toute chose, être un dieu s'apprend et c'est un apprentissage plus complexe qu'il y paraît. Parmi une promotion de 144 élèves dieux, un seul restera, mais qu'arrive-t-il aux autres? Qu'est-ce qui se trouve sur le haut de la montagne que les élèves n'ont pas le droit d'aller visiter? Quel secret se trouve en Aeden?
J'ai fait le résumé de la trilogie et non du dernier roman pour ne rien dévoiler aux personnes qui n'auraient pas lu les deux premiers et c'est sur le cycle des dieux que je donnerai mon avis également, en tentant de ne rien révéler. Le principe d'une école pour dieux est très bien exploité par l'auteur et qui nous permet de réfléchir à ce qu'est en fait un dieu. D'où viennent ces dieux qui nous inspirent? Sont-ils nés dieux ou étaient-ils autre chose avant? Peuvent-ils avoir la foi et si oui, en quoi ont-ils la foi? Bernard Werber nous offre des réponses, mais aussi la possibilité de se faire sa propre idée. Les romans du cycle des dieux ne sont pas à prendre au 1er degré et parfois pas même au 2ème degré; ils font réfléchir, mais font rire également. J'ai dévoré les trois romans qui composent ce cycle et les conseille à tous ceux qui se sont déjà posés la question : d'où venons-nous?
No words, I looked for a book to impress me and it is hard to find a book that you can list in the list of the best, and this one and the whole cycle did the job. The ending was amazing. All the times he thought he got to the very end of the pyramid I thought how the author would explain his vision and he always impressed me. But the ending, I definitely didn't expect that... and it was an exciting adventure, all the way, and a very intriguing explanation.
Je n'ai mis du temps à me mettre à le lire parce que je n'ai pas trop aimé le tome d'avant. Je suis très deçu, c'est vraiment plus à mon goût. Il faut avouer que j'ai changé en une décennie mais j'ai l'impression de relire le précedent livre. C'est pas top.