Bertrand mène une vie tout à fait normale avec sa famille. C'est un homme travaillant et dévoué qui se surmène dans le but d'assurer un avenir de qualité à sa femme et à ses enfants, qu'il n'aura pas le temps de voir devenir des adultes. Tous ses efforts le mènent malgré lui bien loin de ses rêves et de ses ambitions. Tranquillement, il sombre dans la noirceur. La nuit la plus longue de toute son existence.
Journal d'un disparu est le journal post mortem tenu par Bertrand durant l'année suivant son départ volontaire.
Après le succès de son premier livre, Journal d'un disparu, le grand gagnant de Star Académie 2009 et auteur-compositeur-interprète passionné de musique Maxime Landry signe son deuxième roman. Depuis 2009, il a fait paraître quatre albums à succès, récoltant au passage cinq Félix, dont celui d'album de l'année au Gala de l'ADISQ en 2015.
J'aurais voulu aimer ce livre... J'ai aimé les premiers chapitres, où Bertrand se rend compte de ce qu'il vient de faire et les regrets qu'il a. Cependant, les chapitres se ressemblent tous et ça deviant redondant. Et les petites histoires de certaines personnes (la voisine avec les petits gars malades, les voisins d'à côté,...) n'ont rien ajouter à l'histoire pour moi. Et pourquoi le petit ''ange''? Je ne comprend pas pourquoi il était là. Aussi, j'ai lu le dernier chapitre 3 fois et je ne sais pas encore ce que ça veut dire.
J'aime beaucoup Maxime Landry mais malheureusement pour moi ce roman n'est pas un succès pour moi. J'ai bien aimé le point de vu du suicidé au départ mais ensuite, ça dérape. Les histoires des voisins ne m'intéressent pas et je n'ai vraiment pas aimé la représentation cliché du petit chérubin qui n'a aucun rôle dans l'histoire. Ce passage est nébuleux pour moi. J'aurais préféré que ça vraiment le récit de Maxime et sa famille avec les faits seulement.
Ce livre se veut une réflexion sur sa vie et permettant de prendre un recul pour apprécier les petits moments de bonheur. Écrit avec simplicité et émotions, il fait la paix avec le suicide.
Le début m’a dérangé. La réflexion de Bertrand sur son propre suicide sonnait comme celle que l’auteur. Il aurait été intéressant d’avoir discuté avec des gens ayant fait des tentatives de suicide pour essayer de les comprendre au lieu d’écrire ce qu’il aurait aimé croire.
Pour un premier roman, l’écriture est correct. La ligne directrice était un peu difficile à suivre. Oui c’était chronologique mais on s’en allait jusqu’où?
Le livre m’a beaucoup fait penser à “À tous ceux qui ont su si bien me laisser mourir” par les thématiques et l’angle des réflexions.
Je n’avais pas vu venir la finale. Un peu trop cliché?
Beaucoup de jeux de mots qui laissent à désirer en commencant , une centaine de page sur le regret de ses actions .......quand on réussit enfin à s'attacher au personnage on nous apprend que tous ça n'était qu'un mensonge/rêve difficilement justifié. J'ai dû me convaincre de le finir parce que les livres méritent d'être lu au complet avant d'être jugés.
En fait, c'est pas juste de donner une note pour ce livre. Maxime Landry le dit lui-même, il n'est pas écrivain. je pense que ce livre, il l'a écrit pour lui et pour pour son père. J'ai lu les 3 premiers chapitres puis j'ai lu en diagonale le reste. Ceux qui critiquent les histoires parallèles qui n'apportent rien ... Je crois qu'ils n'ont pas compris le côté thérapeutique de ce livre pour l'auteur. Chaque détail compte car c'est dans les détails insignifiants qu'on se rappelle, qu'on se souviens de ceux qui sont partis.