Après des études de droit et un diplôme de l'Université Paris II, Karine Tuil est l'auteur de neuf romans, d'une pièce de théâtre et de plusieurs scénarios. En septembre 2000 parait son premier roman Pour le Pire aux éditions Plon qui inaugure une collection "jeunes auteurs". Il relate la lente décomposition d'un couple. il est plébiscité par les libraires mais c'est son second roman, Interdit, (Plon 2001) - récit burlesque de la crise identitaire d'un vieux juif - qui connaît un succès critique et public. Sélectionné pour plusieurs prix dont le prix Goncourt, Interdit obtient le prix Wizo. Il est traduit en plusieurs langues. Le sens de l'ironie et de la tragi-comédie, l'humour juif se retrouvent encore dans 'Du sexe féminin' en 2002 - une comédie acerbe sur les relations mère-fille, ce troisième roman concluant sa trilogie sur la famille juive. En 2003, elle rejoint les Éditions Grasset où elle publie son quatrième roman Tout sur mon frère qui explore les effets pervers de l'autofiction (nommé pour les Prix des libraires et finaliste du prix France Télévision). En 2005, elle publie Quand j'étais drôle qui raconte les déboires d'un comique français à New-York. En 2007, elle publie Douce France, un roman social qui dévoile le fonctionnement des centres de rétention administrative. En 2008, sort son septième roman, pour lequel elle reçoit la Bourse Stendhal du ministère des Affaires étrangères. Il évoque les jeux de pouvoir dans le milieu de l'édition à travers les prismes de l'identité. Il a fait partie des premières sélections du prix Goncourt, prix Goncourt des lycéens et du prix de Flore. En 2010, son roman Six mois, six jours fait partie de la première et deuxième sélection du prix Goncourt 2010, de la première sélection du prix Interalié et du prix Goncourt des lycéens. Il a obtenu en 2011, le prix littéraire du roman news organisé par le magazine styletto et le Drugstore publicis. Son neuvième roman intitulé L'invention de nos vies paraît en septembre 2013 à l'occasion de la rentrée littéraire aux éditions Grasset. Il est en cours de traduction en Allemagne et aux Pays-Bas
Fino ad un certo punto l'ho apprezzato e ritenuto molto credibile, la mamma di Emma in effetti non si discosta molto dal cliché proposto da buona parte della letteratura ebraica, ovvero madre e moglie remissiva e rispettosissima dei precetti dell'Ebraismo fin quasi a diventare dispotica coi figli. La descrizione dell'urologo fa accapponare la pelle, se devo dire la verità è un bene che il matrimonio non sia pienamente consumato, credo che la descrizione dell'atto con un simile individuo (che magari sul più bello avrebbe citato Sartre o Woody Allen) sarebbe stata davvero squallida. Interessante però quest'idea della psicosi da citazione letteraria, molto originale :) Il finale mi ha lasciata un po' così, è surreale ma non sarebbe malaccio, se solo non fosse letteralmente buttato lì giusto per chiudere la vicenda. Chapeau tuttavia all'autrice per la scenata della madre sul Boeing e poi alla dogana aeroportuale, una simile scena al cinema sarebbe da Oscar ^^
This entire review has been hidden because of spoilers.