D'où vient le plaisir que procure la chute d'une nouvelle ? De la satisfaction de voir un personnage se faire berner ou tomber en déconfiture ? De la joie étrange qui consiste se faire avoir soi-même ? Quoique souvent snobée, voire rejetée comme une recette facile, la nouvelle avec chute offre pourtant un défi renouvelé, car c'est une forme à laquelle on peut faire subir mille variations. Dans l'univers actuel de la nouvelle, la chute persiste... et signe la fin de nombreux textes brefs. Pour notre plus grand plaisir.
(Quatrième de couverture écrite par Philippe Mottet).