Le Cycle d'Elric

by Michael Moorcock

"Un temps vint où il y eut de grandes transformations sur la face de la Terre et dans les Cieux, où la destinée de l'Homme et des Dieux fut martelée dans la forge de la Fatalité, où des guerres monstrueuses et des actions d'éclat se préparèrent dans l'ombre. Et en ce temps-là des héros se dressèrent. Le plus grand de ces héros était un aventurier au funeste destin, armé d'une épée runique gémissante qu'il haïssait. Son nom était Elric de Melniboné, Prince des Ruines, seigneur d'une race éparpillée sur un monde qu'elle avait jadis dominé. Elric, sorcier et homme d'épée, homme de guerre et de magie, souillé du sang de sa race, destructeur de sa patrie, albinos au blanc visage et dernier de sa lignée." Pour la première fois réunis en un seul volume, tous les livres du cycle d'Elric déroulent ici leur splendeur sauvage, lyrique et romantique.

Genres: Fantasy, France

1218 pages, Paperback

First published April 28, 1993

About the author

Michael John Moorcock is an English writer primarily of science fiction and fantasy who has also published a number of literary novels.

Moorcock has mentioned The Gods of Mars by Edgar Rice Burroughs, The Apple Cart by George Bernard Shaw and The Constable of St. Nicholas by Edward Lester Arnold as the first three books which captured his imagination. He became editor of Tarzan Adventures in 1956, at the age of sixteen, and later moved on to edit Sexton Blake Library. As editor of the controversial British science fiction magazine New Worlds, from May 1964 until March 1971 and then again from 1976 to 1996, Moorcock fostered the development of the science fiction "New Wave" in the UK and indirectly in the United States. His serialization of Norman Spinrad's Bug Jack Barron was notorious for causing British MPs to condemn in Parliament the Arts Council's funding of the magazine.

During this time, he occasionally wrote under the pseudonym of "James Colvin," a "house pseudonym" used by other critics on New Worlds. A spoof obituary of Colvin appeared in New Worlds #197 (January 1970), written by "William Barclay" (another Moorcock pseudonym). Moorcock, indeed, makes much use of the initials "JC", and not entirely coincidentally these are also the initials of Jesus Christ, the subject of his 1967 Nebula award-winning novella Behold the Man, which tells the story of Karl Glogauer, a time-traveller who takes on the role of Christ. They are also the initials of various "Eternal Champion" Moorcock characters such as Jerry Cornelius, Jerry Cornell and Jherek Carnelian. In more recent years, Moorcock has taken to using "Warwick Colvin, Jr." as yet another pseudonym, particularly in his Second Ether fiction.

Reviews

[Vincent · Rating 3 out of 5]

Lecture d'une traduction en français.
La saga d'Elric et de Stormbringer dans son intégralité : totalement addictif, alternant entre fou rire, meutres, battailles sanglantes et réflexions politico-philosophiques. Les récits sont assez différents, certaines trames scénaristiques fonctionnant mieux que d'autres, mais l'ensemble forme un tout (pseudo) cohérent (avec mention spéciale pour avoir placé "Elric à la fin des Temps en dernier", très bonne conclusion !). La traduction ne m'a toutefois pas totalement convaincu et le format est assez massif et laborieux à lire en une seule fois ! Je pense qu'une lecture plus épisodique permet de mieux savourer cette épopée.

[Thizlas · Rating 2 out of 5]

Read :
Elric des dragons (Elric of Melniboné) – 1972
La Cité qui rêve (The Dreaming City) – 1961

[Math le maudit · Rating 5 out of 5]

Tout simplement génial. Un grand moment de lecture et de "Sword & Sorcery" comme disent les anglais.

Cet ouvrage à l' énorme avantage de rassembler en un seul volume l' ensemble de l' histoire d' Elric, dernier souverain de Menilbonée, homme en quête de son destin, détenteur de l' épée buveuse d' âmes Stormbringer, qu' il déteste, mais sans laquelle il ne peut pas vivre.

Sans doute le héros de fantasy le plus connu au monde, un mythe fondateur du genre qui mérite le déplacement.

J'ai particulièrement apprécié "Elric le nécromancien", "La revanche de la rose" et "Stormbringer". Quel final ! A l' image de la saga : grandiose et tragique.

Qui dira après ça que la fantasy ce n'est pas de la littérature ?

[Etienne · Rating 4 out of 5]

Énorme recueil qui contient les dix histoires originales d'Elric. J,ai adoré le personnage d'Elric, l'univers créé par Moorcock et les intrigues sont aussi ìntéressantes, certaines plus que d'autres. Malheureusement, je ne peux pas donner cinq étoiles, car j'avoue avoir trouvé le style d'écriture un peu déplaisant, parfois lourd. je ne peux pas ciblé un élément précis qui expliquerai mon jugement, peut-être est-ce seulement une mauvaise traduction, il faudrait voir dans la langue original, mais un petit quelque chose, à mon avis, cloche définitivement dans cette version. Cela vaut tout de même la peine de s'y aventurer pour les fans de fastastiques.

[Arckhangelos · Rating 2 out of 5]

Hard to like a book than you dislike its main character. Some ideas are pleasant but it's not enough.
I don't know if the author knew when he wanna go because he didn't write the different novels on chronological order.

Full review of this book in french : http://wp.me/p1gH27-c6