Une sortcelière sans magie est-elle toujours une sortcelière ? Une nouvelle ère s'ouvre pour Tara Duncan. Celle qui fut sans doute la sortcelière la plus puissante qu'on ait jamais vue sur AutreMonde a perdu sa magie. Depuis deux ans, l'héritière de l'Impératrice d'Omois vit comme une simple humaine – ce qui s'avère nettement moins drôle que prévu... C'est alors que sur AutreMonde, des animaux, des licornes, des centaures, des gnomes disparaissent. Caliban Dal Salan, le compagnon de Tara, est chargé de trouver qui est responsable de ces disparitions. Pendant que Cal mène l'enquête, c'est au tour des fameux paons aux cent yeux d'or, emblèmes d'Omois, de se volatiliser. Tara et Cal doivent absolument découvrir qui s'en prend à l'Empire, car une ancienne prophétie dit que le jour où les paons ne voleront plus dans le Palais de Tingapour, la dynastie de Demiderus sera anéantie... Mais, tandis que les tensions grandissent entre sortceliers et non sortceliers, Cal doit faire face à un événement bien plus grave encore : Tara est enlevée ! Fou de rage, le jeune homme est contraint pour la retrouver de s'allier avec son ennemi de toujours, Magister. Pas de repos pour les braves ! Dans ce premier tome du nouveau cycle de Tara Duncan, Sophie Audouin-Mamikonian nous régale de son style flamboyant et de son humour, et nous emporte dans de nouvelles aventures trépidantes, dont Tara et Cal sont les héros.
Audouin-Mamikonian est née en France le 24 août 1961 d’où elle a puisé les contes et légendes alimentant son imaginaire. Elle est titulaire d'un DESS de diplomatie et Stratégie et est mariée, mère de deux filles, Diane et Marine, qui sont ses correctrices. Elle partage son temps entre sa famille, l'écriture et ses activités avec l’association Douleurs sans frontières, dirigée par le docteur Alain Série. Sophie Audouin-Mamikonian est surtout connue pour sa dodécalogie Tara Duncan, un univers dans lequel évolue la jeune héroïne éponyme, une sortcelière dotée d'un pouvoir extraordinaire qu'elle a souvent bien du mal à contrôler. La fréquence de parution est d'un tome par an. Plus récemment, elle est l'auteur de Clara Chocolat, petite sœur de Tara, une série pour les jeune enfants et de La Danse des obèses, un thriller pour adultes. Elle a commencé à écrire à l'âge de 12 ans.
Sophie Audouin-Mamikonian is France’s #1 bestselling author of young adult novels. Her Tara Duncan series has sold millions of copies around the world.
Je suis un peu déçue, j'ai aimé l'histoire mais je n'accroche plus comme avant. Avant je dévorais le livre en 1-2 jours, là quand je le posais j'avais pas forcément cette envie de lire la suite.
Il faut dire que ça fait 12 ans que j'attends chaque année le prochain tome et j'ai bien vu l'évolution de la façon d'écrire de l'auteur.
Ce qui était rafraichissant au début est devenu lourd pour moi.
Je trouve que le langage est devenu trop familier, il y a trop de notes de bas de page qui n'apporte absolument rien à l'histoire, elles sont juste là pour être drôle et parfois non seulement c'est lourd mais ça fait aussi forcé.
C'était un peu compliqué de suivre l'histoire, on n'arrêtait de changer de narrateur entre Tara, Cal, Selemba ou encore Magister et je ne veux même pas parler de la fin qui fait bâclée pour moi.
13 tomes c'est beaucoup pour une série et ça fait un moment que je me dit que je vais arrêter de les lire, surtout que je trouve que l'histoire est moyenne depuis plusieurs tomes et que j'en ai assez d'attendre de savoir qui est Magister.
J’avoue que je comptais arrêter ma lecture à la fin du premier cycle de Tara Duncan. Je n’avais pas vraiment été convaincue par les deux derniers tomes que je trouvais un peu trop répétitifs. Pourtant, je suis tombée sur le résumé de Tara et Cal et ma curiosité a été attisée. J’ai donc décidé de me lancer et je pense que j’ai bien fait !
Plusieurs années se sont écoulées depuis la dernière aventure de Tara Duncan contre la comète qui a bien failli détruire le monde. L’esprit d’Autremonde lui a retiré sa magie temporairement et la jeune femme en a bien profité, voyageant aux côtés de Cal son grand amour. Désormais, elle est enceinte de jumeaux et est plus terrifiée que jamais. Tara se sent vulnérable et commence à craindre que sa magie ne revienne pas. Elle a peur pour ses enfants, car elle ne sera pas capable de les protéger en cas de besoin. D’autant plus que de mystérieuses disparitions frappent les centaures ainsi que les fameux paons pourpres, emblèmes de l’empire. On dirait bien qu’un nouvel ennemi fait son apparition et cette fois-ci la Sortcelière, impuissante, devra se reposer sur les autres. Et d’ailleurs que mijote ce cher Magister ?
J’ai été agréablement surprise par ce nouvel opus. Certes, il n’y a pas énormément d’action et le début est un peu long, mais avec l’humour légendaire de Sophie Audouin-Mamikonian ça passe très bien ! Encore une fois, j’ai bien rigolé avec les notes de bas de page.
Ce que j’ai le plus apprécié, c’est que notre héroïne a bien grandi et qu’elle s’apprête à devenir maman. Les anecdotes sur sa grossesse m’ont fait sourire à plusieurs reprises (forcément cela m’a rappelé des souvenirs !). Mais surtout, comme elle n’a plus ses pouvoirs magiques, elle redevient comme tout le monde. Il n’y a plus cet aspect « super Tara » qui peut faire face à n’importe quoi puisqu’elle est plus puissante que tout le monde. J’ai trouvé cela génial, ça change un peu, car c’est ce qui m’agaçait dans les derniers tomes du premier cycle.
La relation entre Cal et Tara a également évolué. On n’est plus dans la simple amourette désormais et le côté mièvre a (enfin !) disparu. Ils sont plus matures et s’apprêtent à fonder une famille. Même s’ils ont un peu peur de ce qui les attend, leur amour est fort et inconditionnel. Et ils aiment déjà profondément leurs futurs bébés. Concernant les autres personnages, ce bon vieux Magister m’a bien fait rire. En fait il n’est plus si impressionnant que cela en fin de compte, mais il reste un incorrigible mégalomane ! D’ailleurs, le mystère plane toujours sur son identité, à se demander si on aura le fin mot un jour ! C’est rageant !
Pour en venir à l’histoire en elle-même, j’ai adoré le nouvel ennemi que le magicgang doit affronter ici. Sans oublier ses méthodes ! C’était bien pensé et bien plus crédible que le coup de la comète ! Du coup, j’ai hâte de connaître la suite désormais. Il y a encore quelques personnages dans l’entourage de Tara que je tiens à l’œil, je sens que certains nous réservent des surprises !
En résumé, ce tome qui débute le second cycle des aventures de Tara Duncan est une excellente surprise. Si je m’étais un peu lassée de ses péripéties dans les derniers opus, j’ai adoré l’évolution de notre sortcelière !
Un des meilleurs tomes ! Une seule réelle intrigue, on ne s'éparpille pas dans une quête dont on oublie le sens dès le premier quart du livre. Il y a une vraie profondeur dans la relation Tara/Cal. J'adore !
« Tara et Cal » devait ouvrir un nouveau cycle des aventures de la sortcelière tant aimée par le jeune public qui s’était forcément attaché à elle après de nombreuses années. En effet, les lecteurs avaient découvert Tara âgée de douze ans dans le premier tome. Là, en tant que simple jeune fille vivant à la campagne, elle apprenait subitement l’existence d’Autremonde, un univers fantastique. Avec cela, ses pouvoirs magiques jusque-là latents se développaient. Avec sa petite bande d’amis, Tara a vécu des aventures plus invraisemblables les unes que les autres. Pourchassée par ses ennemis, elle a affronté tous les dangers et sauvé notre planète un nombre incalculable de fois. En huit ans, Tara a tout connu : la haine, l’amitié, l’amour, les émotions, les divers admirateurs qui se battaient pour elle. Désormais âgée de vingt ans, elle vit sa vie de jeune adulte sur Terre. Ses expéditions et ses aventures fantastiques sont mises entre parenthèses car elle est privée de ses pouvoirs. Une fois n’est pas coutume, car ces retraites momentanées en raison de sa magie parfois défaillante lui arrivent fréquemment. En attendant, elle se repose comme n’importe quelle humaine. En couple avec Cal, elle passe du statut de sauveuse de l’humanité à future maman de jumeaux bien éprouvée par sa grossesse vécue à la fois avec humour et comme cauchemar (mais est-ce vraiment un thème pour la jeunesse, les affres d’une future mère ou est-ce surtout adressé à des adultes qui reconnaissent le « vécu » après les maternités ?) … Evidemment, cette période de transition ne dure pas. Les ennemis reviennent pour tout bouleverser. Logique, pas de menaces, pas d’aventures ! Et c’est reparti pour des descriptions faites dans un langage très relâché et pour une série d’invraisemblances. Cela n’arrête pas jusqu’à la conclusion sans réponses et qui pourrait appeler un tome de plus. On pouvait donc supposer que l’auteure allait ajouter plusieurs tomes supplémentaires après ce treizième. Les fans de la série « Tara Duncan » en auraient été certainement très heureux. Sauf qu’il n’y aura pas une vingtaine de livres en plus. Dommage, car les lecteurs auraient pu y suivre Tara jusqu’à ses quatre-vingts ans au minimum. Quoi de plus passionnant que la vie de la sortcelière bien-aimée en train d’élever ses enfants entre deux missions dangereuses et de les voir grandir jusqu’à l’arrivée de ses petits-enfants et arrière-petits enfants… et tous ceux de Moineau, Fabrice, Fafnir (qui porte le nom du dragon des Nibelungen, la légende nordique), de Robin, d’Eleanora (ressuscitée), d’Angelica et même ceux de Magister (pendant qu’on y est). Or, en principe, il n’y aura pas d’autres volumes. Ainsi, le lecteur échappe à ce monument de la littérature qui aurait pu être écrit. Le projet initial de poursuivre le cycle de ce récit légendaire a été stoppé net, privant le public de ce privilège. Et pour cause ! Malgré les milliers de compliments présents sur Internet, la lassitude a gagné. Très répétitifs, les treize volumes publiés sont déjà très largement suffisants. L’auteure a prolongé à l’envi son histoire sans parvenir à se renouveler. Il ne suffit pas de publier pour gagner de l’argent, il faut offrir du rêve. Tara Duncan part en vrille. A force de tirer sur la corde, elle finit par se rompre. Peu importe, Sophie Audoin Mamikonian continue à exploiter la situation. Dessins animés, bandes dessinées, Tara reste son fond de commerce. Si on s’en tient à ce qu’écrit Wikipédia, certains de ses aïeuls écrivaient déjà et étaient bien placés dans le monde de l’édition. Elle serait apparentée au cinéaste Francis Weber. C’est tout dire. On ne prête qu’aux riches, dit le dicton. L’auteure ne vient donc pas du néant et n’a pas été découverte par hasard. Merci Wikipédia ! Que dire de plus ? Au lieu de tant prolonger ses écrits, elle aurait dû s’en tenir aux deux premiers tomes, de renoncer à des suites improbables et de conclure en beauté. Au moins, elle aurait laissé une meilleure impression et un bon souvenir. Dommage que l’appât du gain ait tout gâché.
J’avoue que je comptais arrêter ma lecture à la fin du premier cycle de Tara Duncan. Je n’avais pas vraiment été convaincue par les deux derniers tomes que je trouvais un peu trop répétitifs. Pourtant, je suis tombée sur le résumé de Tara et Cal et ma curiosité a été attisée. J’ai donc décidé de me lancer et je pense que j’ai bien fait !
Plusieurs années se sont écoulées depuis la dernière aventure de Tara Duncan contre la comète qui a bien failli détruire le monde. L’esprit d’Autremonde lui a retiré sa magie temporairement et la jeune femme en a bien profité, voyageant aux côtés de Cal son grand amour. Désormais, elle est enceinte de jumeaux et est plus terrifiée que jamais. Tara se sent vulnérable et commence à craindre que sa magie ne revienne pas. Elle a peur pour ses enfants, car elle ne sera pas capable de les protéger en cas de besoin. D’autant plus que de mystérieuses disparitions frappent les centaures ainsi que les fameux paons pourpres, emblèmes de l’empire. On dirait bien qu’un nouvel ennemi fait son apparition et cette fois-ci la Sortcelière, impuissante, devra se reposer sur les autres. Et d’ailleurs que mijote ce cher Magister ?
J’ai été agréablement surprise par ce nouvel opus. Certes, il n’y a pas énormément d’action et le début est un peu long, mais avec l’humour légendaire de Sophie Audouin-Mamikonian ça passe très bien ! Encore une fois, j’ai bien rigolé avec les notes de bas de page.
Ce que j’ai le plus apprécié, c’est que notre héroïne a bien grandi et qu’elle s’apprête à devenir maman. Les anecdotes sur sa grossesse m’ont fait sourire à plusieurs reprises (forcément cela m’a rappelé des souvenirs !). Mais surtout, comme elle n’a plus ses pouvoirs magiques, elle redevient comme tout le monde. Il n’y a plus cet aspect « super Tara » qui peut faire face à n’importe quoi puisqu’elle est plus puissante que tout le monde. J’ai trouvé cela génial, ça change un peu, car c’est ce qui m’agaçait dans les derniers tomes du premier cycle.
La relation entre Cal et Tara a également évolué. On n’est plus dans la simple amourette désormais et le côté mièvre a (enfin !) disparu. Ils sont plus matures et s’apprêtent à fonder une famille. Même s’ils ont un peu peur de ce qui les attend, leur amour est fort et inconditionnel. Et ils aiment déjà profondément leurs futurs bébés. Concernant les autres personnages, ce bon vieux Magister m’a bien fait rire. En fait il n’est plus si impressionnant que cela en fin de compte, mais il reste un incorrigible mégalomane ! D’ailleurs, le mystère plane toujours sur son identité, à se demander si on aura le fin mot un jour ! C’est rageant !
Pour en venir à l’histoire en elle-même, j’ai adoré le nouvel ennemi que le magicgang doit affronter ici. Sans oublier ses méthodes ! C’était bien pensé et bien plus crédible que le coup de la comète ! Du coup, j’ai hâte de connaître la suite désormais. Il y a encore quelques personnages dans l’entourage de Tara que je tiens à l’œil, je sens que certains nous réservent des surprises !
En résumé, ce tome qui débute le second cycle des aventures de Tara Duncan est une excellente surprise. Si je m’étais un peu lassée de ses péripéties dans les derniers opus, j’ai adoré l’évolution de notre sortcelière !
Bon tome, par contre j'ai l'impression que l'auteur est complètement paumée, désormais à chaque fois qu'un tome termine un titre de tome est donné pour le prochain et au final est complètement différent de l'idée originel. Le Tome 14 de Tara et Jar n'a finalement jamais vu le jour. On n'a toujours aucune confirmation sur l'identité de Magister alors que nous sommes quand même au tome 13....
Il ne me reste plus qu'à lire le tome sur les enfants de Tara et Cal mais le fil conducteur de l'histoire n'est plus là depuis déjà plusieurs tomes, l'écriture et la dynamique ne sont plus les mêmes depuis le tome 6.
J’ai beaucoup aimé le scénario et l’histoire de ce dernier tome, mais note très dommage : au final on ne sait toujours pas qui est Magister. Pas vraiment de fin en soit et de conclusion réelle à tout ça. Donc c’est un peu dommage. Mais ça restera une histoire passionnante et j’ai adoré lire les Tara Duncan
J'ai commencé les Tara Duncan il y a plusieurs années de ça, quand j'étais encore au collège, et j'avais adoré ; pourtant, comme certains l'ont dit dans les commentaires, on sent l'évolution du style de l'auteure, qui n'est pas forcément pour me plaire. L'histoire est toujours intéressante et sympa à lire, mais c'est vrai qu'au bout de 13 ans d'une même saga, on s'essouffle un peu, et on lit avec moins d'enthousiasme, moi qui mettait maximum 3 jours avant à lire un tome, j'ai laissé celui-ci s'étaler sur un mois... De là à savoir si j'achèterai le suivant, à voir, je ne suis pas totalement convaincue mais pas totalement déçue non plus.