Marchand de tableaux avisé, Vollard savait aussi écouter ses amis les artistes, saisir leurs attitudes, partager leur intimité, pénétrer dans le secret de leur atelier. Ecrits avec virtuosité, ces Mémoires (1938) livrent un témoignage capital sur l'histoire de la peinture aux XIX et XX siècles et de belles anecdotes. Cézanne à Paris, ses rapports avec Zola, Degas et ses modèles, les voyages de Renoir, un déjeuner avec Rodin...
Eh bien, figurez-vous que ce livre a été traduit en roumain (en 2009) ce qui est tout à son honneur. J'y ai donc découvert des anecdotes avec d'amusants traits d'esprit, y compris sur le parcours « romanesque » de son auteur. J'ai relevé dans la préface signée par Maurice Rheims un mot-clé, qui constitue à lui seul et dans l'absolu un drôle de point commun avec la Roumanie : « cassoulet », dans « du danger de transporter du cassoulet », qui coûta la vie à Ambroise Vollard comme une sorte d'inconvénient d'être né un galant homme.
3.3 - po raz pierwszy w życiu przeczytałam wszystkie przypisy napisane przez panią Agnieszkę Kijas, które były świetne - dziki nim ta książka jest znacznie ciekawsza i bardziej zrozumiała