What do you think?
Rate this book
Aldébaran #3
La Photo
Troisième volet de cette série fantastique qui ne ressemble ni à l'heroic fantasy ni à la science-fiction traditionnelle. Après trois ans dans des geôles sordides, Marc arrivera-t-il à élucider, une fois pour toutes, l'énigme de la planète Aldébaran ?
48 pages, Hardcover
First published January 1, 1996
3 people are currently reading
65 people want to read
About the author
Luiz Eduardo de Oliveira (Leo)
106 books171 followersLuiz Eduardo de Oliveira (born on December 13, 1944 in Brazil),[1] more famous under his artist name LEO is a Brazilian comics creator.
After having graduated as an engineer in mechanics, Oliveira left Brazil because of the military dictatorship that was in power at the time. He went first to Chile, but the following year saw the Chilean coup of 1973. This led Oliveira to leave, moving to Argentina, from where he finally returned to Brazil in 1974.
He found work as an illustrator in the advertising industry of São Paulo, before once more leaving Brazil, in 1981, this time moving to France, hoping to illustrate comics. However as the Franco-Belgian comics industry was in recession at the time, he was forced to work in advertising once again, although he managed to get the occasional piece published in L'Écho des savanes and Pilote.
In 1986, with the assistance of Jean-Claude Forest, Oliveira began contributing to the youth dedicated magazines of Bayard Presse. He illustrated true stories for Okapi magazine. He then recounted Mahatma Gandhi's life in the album Gandhi, le pèlerin de la paix, for Astrapi.
In 1988, the comics writer Rodolphe asked him to provide the artwork for his stories. Their collaboration proved fruitful, producing 8 albums of material for their Trent series and 5 for their Kenya one.
In 1993, Oleveira finally achieved an old dream when Dargaud agreed to publish his first solo series: Aldébaran. In 2000, after 5 volumes of Aldébaran, he launched Bételgeuse, which was nominated for the Prize for a Series at the Angoulême International Comics Festival in 2004.
After having graduated as an engineer in mechanics, Oliveira left Brazil because of the military dictatorship that was in power at the time. He went first to Chile, but the following year saw the Chilean coup of 1973. This led Oliveira to leave, moving to Argentina, from where he finally returned to Brazil in 1974.
He found work as an illustrator in the advertising industry of São Paulo, before once more leaving Brazil, in 1981, this time moving to France, hoping to illustrate comics. However as the Franco-Belgian comics industry was in recession at the time, he was forced to work in advertising once again, although he managed to get the occasional piece published in L'Écho des savanes and Pilote.
In 1986, with the assistance of Jean-Claude Forest, Oliveira began contributing to the youth dedicated magazines of Bayard Presse. He illustrated true stories for Okapi magazine. He then recounted Mahatma Gandhi's life in the album Gandhi, le pèlerin de la paix, for Astrapi.
In 1988, the comics writer Rodolphe asked him to provide the artwork for his stories. Their collaboration proved fruitful, producing 8 albums of material for their Trent series and 5 for their Kenya one.
In 1993, Oleveira finally achieved an old dream when Dargaud agreed to publish his first solo series: Aldébaran. In 2000, after 5 volumes of Aldébaran, he launched Bételgeuse, which was nominated for the Prize for a Series at the Angoulême International Comics Festival in 2004.
Ratings & Reviews
Friends & Following
Create a free account to discover what your friends think of this book!
Community Reviews
Displaying 1 - 13 of 13 reviews
October 2, 2020
Deel drie in de eerste cyclus. Het mysterie blijft duren en bepaalde personages worden groot.
Engels
Part three in the first cycle. The mystery continues and certain characters grow up.
Engels
Part three in the first cycle. The mystery continues and certain characters grow up.
May 12, 2013
http://nwhyte.livejournal.com/2092064.html[return][return]The third in Leo's classic bande dessin�e series, with a lost human colony on a lush tropical planet where something very odd is happening to the local fauna. Where the first two albums had our heroes Marc and Kim slowly making their way to the city of Anatolia, here we have Marc being sprung from prison three years after being banged up by the local goons by the peculiar Mr Pad, who simply wants to break into the local museum for Marc and Kim to examine some old photos. This doesn't seem much of a plot hook, and our protagonists have fun exploring the city's yoof subculture while staying a step ahead of the authorities; and then on the last page they and we finally see the photograph of the title, and it is delightfully mind-blowing.
April 18, 2022
Albébaran is completely stalled in this volume. The series has been baking on its mysteries to hook the reader but no progress is made to uncover those while one more gets added to the pile. On the character side of things, aside from the progression that happens off panel between volumes, they’re also spinning their wheels.
September 8, 2018
La dernière fois qu’on a vu Marc et Kim, ils ont été emprisonné par le gouvernement. La photo commence trois ans plus tard, avec Marc toujours languissant en prison, et sans nouvelles de ce qui est arrivé à Kim. Mais la chance lui sourit pour une fois, dans le personnage de personne d’autre que le vieux Pad ! Même si Pad voudrais que Marc lui rend service en se faufilant dans un musée pour regarder des photos afin d’identifier Driss et Alexa.
Marc, bien sûr, s’en fiche des souhaits de Pad, comme la plupart de temps Pad lui laisse au chaud. Il voudrait surtout voir le journaliste Gwendoline Lopes et Nellie maintenant qu’il est finalement à Anatolie, et il est curieux de savoir comment va Kim, si elle aussi est sortie de prison.
Ce livre est un peu plus calme que les deux premiers, mais qu’à la surface : quand on regarde de près les scènes où se promène Marc et les autres, on voit des indices d’un gouvernement et idéologie dictateur et terrifiante … un gouvernement qui encourage les jeunes femmes de 16 ans à commencer à avoir des enfants et que les femmes devaient avoir au moins 8 enfants chacune pour le bien de la société. De l’autre côté, on apprend aussi que la résistance clandestine au gouvernement ne fait seulement qu’exister, mais que les gens qui y participent augment aussi, des façons diverses. On voit que même à Anatolie, une culture musicale clandestine existe.
Pour revenir à la mantrisse – oui, elle, la bête de l’océan recherché par Driss et Alexa – on a l’occasion de la (re)voir en passant du temps avec Driss et Alexa qui se cachent loin de la civilisation. Mais voyant la mantrisse ne nous donne pas beaucoup des réponses à nos questions ; au contraire, nous en avons plus, comme Driss et Alexa eux-mêmes !
Donc même si l’action dans ce tome est réduit par rapport au deux premiers tomes, on apprend pas mal des choses sur cette société, sur son présent et aussi sur son passé. Mais le tout vaut le coup car les révélations à la fin sont époustouflantes et nous promettent de l’intrigue forte intéressante à venir !
Marc, bien sûr, s’en fiche des souhaits de Pad, comme la plupart de temps Pad lui laisse au chaud. Il voudrait surtout voir le journaliste Gwendoline Lopes et Nellie maintenant qu’il est finalement à Anatolie, et il est curieux de savoir comment va Kim, si elle aussi est sortie de prison.
Ce livre est un peu plus calme que les deux premiers, mais qu’à la surface : quand on regarde de près les scènes où se promène Marc et les autres, on voit des indices d’un gouvernement et idéologie dictateur et terrifiante … un gouvernement qui encourage les jeunes femmes de 16 ans à commencer à avoir des enfants et que les femmes devaient avoir au moins 8 enfants chacune pour le bien de la société. De l’autre côté, on apprend aussi que la résistance clandestine au gouvernement ne fait seulement qu’exister, mais que les gens qui y participent augment aussi, des façons diverses. On voit que même à Anatolie, une culture musicale clandestine existe.
Pour revenir à la mantrisse – oui, elle, la bête de l’océan recherché par Driss et Alexa – on a l’occasion de la (re)voir en passant du temps avec Driss et Alexa qui se cachent loin de la civilisation. Mais voyant la mantrisse ne nous donne pas beaucoup des réponses à nos questions ; au contraire, nous en avons plus, comme Driss et Alexa eux-mêmes !
Donc même si l’action dans ce tome est réduit par rapport au deux premiers tomes, on apprend pas mal des choses sur cette société, sur son présent et aussi sur son passé. Mais le tout vaut le coup car les révélations à la fin sont époustouflantes et nous promettent de l’intrigue forte intéressante à venir !
October 24, 2024
On repart sur un tome 3 intéressant après un tome 2 un peu en dessous qui faisait peu avancer l'intrigue.
Après une élipse de quelques années on retrouve tous nos personnages principaux dans ce nouveau volume qui alterne entre l'adaptation de Marc à la grande ville et ses retrouvailles avec d'anciens compagnons, le mystère autour de la faune d'Aldebaran du tome 1 et un nouveau mystère autour d'Idriss et Alexa les deux mystérieux scientifiques
Je me retrouve un peu frustré par ce format pourtant classique de la BD franco belge (52 pages) qui paradoxalement prend beaucoup de temps pour faire peu avancer son histoire à chaque tome, mais je suis quand même happé et hâte de voir la suite
Après une élipse de quelques années on retrouve tous nos personnages principaux dans ce nouveau volume qui alterne entre l'adaptation de Marc à la grande ville et ses retrouvailles avec d'anciens compagnons, le mystère autour de la faune d'Aldebaran du tome 1 et un nouveau mystère autour d'Idriss et Alexa les deux mystérieux scientifiques
Je me retrouve un peu frustré par ce format pourtant classique de la BD franco belge (52 pages) qui paradoxalement prend beaucoup de temps pour faire peu avancer son histoire à chaque tome, mais je suis quand même happé et hâte de voir la suite
March 7, 2020
La trama s’infittisce, e la storia si complica, ma si comincia a capire qualcosa di più sui protagonisti. I disegni di Leo contribuiscono a rendere il lettore a casa. Le creature saranno sì aliene, ma sembrano terrestri, pur nella loro differenza, così come l’ambiente. Se la storia continua ad essere così interessante, potrebbe essere un nuovo capolavoro della fumettologia francese. Non a caso è piaciuta moltissimo ad uno come MOEBIUS...
September 14, 2021
This, the third book in the Aldebaran series, starts with Marc in prison, not as a result of his wandering hands in the last volume, but for drawing the wrath of Aldebaran's despotic rulers by helping a fugitive to escape. The return of several characters from the previous two volumes take him on further adventures that expand our knowledge of the planet and its human colonists. The story moves along at a good pace with lots of meaty sci fi stuff to enjoy.
June 14, 2019
Un excellent troisième tome. L’histoire avance bien, on continue d’apprendre sur le fonctionnement de cette société dictatoriale. Les mystères marins sont toujours aussi mystérieux. Les dernières pages lancent une nouvelle intrigue.
Je suis par contre toujours aussi peu fan du dessin...
Je suis par contre toujours aussi peu fan du dessin...
February 25, 2023
Well, the story sort of picks up compared to the Y.A. tone of the first couple volumes; and rather, the many mysteries start to get promising as things get in position for the concluding chapters.
And the animals are as intriguing as ever so this is the best volume thus far.
And the animals are as intriguing as ever so this is the best volume thus far.
March 20, 2020
Three and a half stars.
La little review at the last one.
La little review at the last one.
February 18, 2017
#GettingGraphic
October 6, 2013
Ein Bild sagt mehr als tausend Worte
Irgendwie fühle ich mich wie im falschen Film. Vorher waren die Aldebaraner eher rural veranlagt, Technik war ein Wunder - selbst ein Foto war eine bestaunenswerte Sache. Nun sind unsere Helden in der Stadt Anatolie angekommen, und die ganzen Autos, elektrischen Geräte, Flugmaschinen und anderes Hitech wird plötzlich wie selbstverständlich hingenommen. Irgendwie komisch.
Trotzdem gefällt mir dieser Band besser als die Vorgänger, und zwar deutlich, denn so langsam zieht das Szenario an. Die Bilder sind zwar immer noch extrem statisch, aber irgendeine, von mir undefinierbare Qualität sorgt für einen besseren Lesefluss.
Und doch hinterlässt mich auch dieser Band seltsam ratlos, man merkt das auch an meiner Rezension, dauernd "irgendwie", "irgendeine", "irgendwann"... ich weiß einfach nicht, woran ich bei "Aldébaran" bin. Ich vermute, das ist der Akte-X-Effekt - man liest weiter in der Hoffnung, dass irgendwann mal was Interessantes passiert, und plötzlich endet die Serie und man steht genauso klug da wie vorher. Ich werde die Reihe zuende lesen, selbst wenn ich es eigentlich nur deswegen tue, um zu schauen, ob ich mit dieser Einschätzung Recht habe.
Irgendwie fühle ich mich wie im falschen Film. Vorher waren die Aldebaraner eher rural veranlagt, Technik war ein Wunder - selbst ein Foto war eine bestaunenswerte Sache. Nun sind unsere Helden in der Stadt Anatolie angekommen, und die ganzen Autos, elektrischen Geräte, Flugmaschinen und anderes Hitech wird plötzlich wie selbstverständlich hingenommen. Irgendwie komisch.
Trotzdem gefällt mir dieser Band besser als die Vorgänger, und zwar deutlich, denn so langsam zieht das Szenario an. Die Bilder sind zwar immer noch extrem statisch, aber irgendeine, von mir undefinierbare Qualität sorgt für einen besseren Lesefluss.
Und doch hinterlässt mich auch dieser Band seltsam ratlos, man merkt das auch an meiner Rezension, dauernd "irgendwie", "irgendeine", "irgendwann"... ich weiß einfach nicht, woran ich bei "Aldébaran" bin. Ich vermute, das ist der Akte-X-Effekt - man liest weiter in der Hoffnung, dass irgendwann mal was Interessantes passiert, und plötzlich endet die Serie und man steht genauso klug da wie vorher. Ich werde die Reihe zuende lesen, selbst wenn ich es eigentlich nur deswegen tue, um zu schauen, ob ich mit dieser Einschätzung Recht habe.
February 1, 2013
My review of the five Aldebaran comic books can be found at SFF Book Review.
Displaying 1 - 13 of 13 reviews