BLUETIFUL, c'est la fille, la mère, la serveuse, un cocktail qui capte le regard et l'attention, une cheyenne, une tristesse vivante, les petites fêlures, le coquillage brisé d'un escargot dequel sort une musique, la franchise obligée, les chances d'être heureuse et capable de souffrir à nouveau.
Lu dans le cadre de mon cours de la chanson et de la poésie, j’ai trouvé ce livre assez spécial. Cela fait trois mois que j’apprends sur le rythme d’un poème, du language imagé, des métaphores filées, de la structure des rimes, etc. Ce livre écrit en poésie libre est tout le contraire de ce que j’ai appris, et j’étais perdue.
Après avoir déchiffrer les poèmes un peu durs à comprendre, le message de Daphné B. est allé droit dans mon coeur. Par contre, il y a certains poèmes dont je n’ai pas compris la nature et leur présence dans ce recueil.
Un recueil au ton triste mais amusé, un commentaire détaché et plein d'autodérision sur la vie de l'autrice, dans une langue simple mais précise. La méditation ratisse large, des fêtes où l'on s'intoxique aux amours sans lendemain, aux multiples partenaires qui «ghostent», trahissent ou bafouent.
«tu veux que je vénère ton pénis que je vénère un dieu de quelques centimètres seulement»
L'existence est un flottement, qu'on subit avec passivité, et des fantasmes de se transformer en sirène surgissent de la brume de la mer. Les pages sur la mort de la grand-mère sont les plus touchantes.
C'est un de ces recueils que je n'ai pas compris. Je n'ai pas réussi à me laisser emporter, à trouver un fil conducteur qui me faisait ressentir les émotions de la poésie, à me surprendre par une envie irrépressible se surligner des vers ou des strophes.
Beaucoup aimé pour sa limpidité et le coup de poing occasionnel. J'ai un peu décroché vers la fin (dernier tiers? quart?), parfois ça semblait confiner à l'anecdotique, comme si c'était des inside qui demeuraient hors de ma portée. Hormis ces exceptions, un excellent recueil, féminin et féministe.
Ça n'a pas résonné, ça ne m'a pas emporté. J'aime les textes qui parlent de la banalité de la vie avec mélancolie et nostalgie mais pour la plupart des poèmes, je n'ai pas ressenti ces émotions. Peut être que je ne suis pas le public cible.
Tout d’abord, la couverture est magnifique et j’adore le format du livre. Très difficile pour moi de juger ce livre puisque c’est la première fois que je lis de la poésie québécoise. Néanmoins, j’ai apprécié cette courte lecture qui m’a fait découvrir un autre style littéraire. Je suis certaine que ce serait intéressant de lire des analyses à propos de ce recueil. J’ai bien aimé le fait que ce ne soient pas des phrases, un contexte et des mots incompréhensibles. Bref, de la poésie qui fait très génération Y.
Retrouvailles avec la plume de Daphne B., que j’avais aimé découvrir en lisant son essai Maquillée. Bluetiful est un beau recueil de poésie québécoise contemporaine. Plusieurs vers m’ont particulièrement touchée. J’ai bien aimé malgré que je ne sois pas la plus grande fan de poésie! . « Un jour quelqu’un va te serrer tellement fort il va recoller tous tes morceaux. » . « t’as raison je suis une femme facile facile à froisser comme du papier de soie facile à emballer »
"Grand-maman, je voulais écrire sur toi, me mettre autour du cou ta mort. À oublier, tout le temps. Que tout le monde meurt, tout le temps... Grand-maman, j'ai fini. Tu peux maintenant corriger mes fautes."
Tout nouveau style pour moi, mais c'est du bonbon 👌 Malgré la tristesse, j'ai vraiment aimé 3,5⭐
Plusieurs courts poèmes intéressants. Vifs et sentis, sur des thèmes touchants et communs. Mais se lit vite et manque d’une touche d’éléments mémorables
Un recueil de poésie, ça se feel, faut pas essayer de le déchiffrer ou de tout comprendre. En tout cas, celui là est rempli de vers mémorables, pas trop sérieux comme on aime. Daphné B. Torche !!🔥
C’est un recueil de poésie beaucoup axé sur l’amour, qui est un thème récurrent chez cette autrice. Elle considère l’amour comme une question à laquelle on n’a jamais vraiment de réponse. La page 38 m'a particulièrement marquée alors que Daphné termine son poème avec un lien YouTube. Je l'ai tapé dans mon cell un lundi 23h50 alors que j'étais dans ma chambre d'hôpital accroché à mon poteau me donnant mes médicaments par intraveineuse. Tout un moment de danser dans ces conditions!
J’ai bien aimé ce recit de poème. Parfois c’est asser cru et franc, mais j’ai aimé lire et ressentir les émotions de l’auteure. Franchement, c’est la première fois que je lisais ou entendait parler de Daphné B. je ne sais d’ailleur pas si elle a écrit/publié d’autres livres/poèmes, mais je n’ai aucunement été déçue.