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13 à table ! 2015
Les plus grands auteurs de la littérature comptemporaine ont pris cette année encore leur plus belle plume pour vous concoter un délicieux receuil de nouvelles autour d'un thème : frère et soeur.
Ceux qui s'aiment, ceux qui se détestent...
Souvenirs d'enfance, vie commune, haine larvée ou avouée, à chacun sa recette.
Douze fratries à découvrir sans modération.
Ceux qui s'aiment, ceux qui se détestent...
Souvenirs d'enfance, vie commune, haine larvée ou avouée, à chacun sa recette.
Douze fratries à découvrir sans modération.
283 pages, Mass Market Paperback
First published October 1, 2015
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About the author
Françoise Bourdin
130 books77 followersFrançoise Bourdin was born listening to opera. Her parents, both opera singers, helped her to develop an appreciation for strong characters and destinies, and for the music of words. As a teenager, she discovered horseback riding and it became her exclusive hobby. She dedicated her teens to this passion and to reading the works of classical authors that she discovered in her father’s huge library. Bourdin started to write short stories when she was very young. Her first novel was published by Editions Julliard when she was only twenty. Writing became the most important thing in her life and her second novel, two years later, was adapted for TV.
Her fiction describes family stories, secrets, and passions. She values brave characters who face life boldly and never give up when confronted with adversity. Since 1994, she has written thirty books, three of which have been adapted for television. Her readership continues to grow with each novel.
Bourdin has two daughters and lives in a beautiful home in Normandy. She writes every day, always with the same pleasure, the most beautifully human and moving stories. She knows how to express our deepest emotions and to write stories that resemble our own lives.
Françoise Bourdin, née en 1952 à Paris, est un écrivain français.
Elle est mariée à un médecin et a deux filles, Fabienne, née 1981, et Frédérique, née 1982.
Elle commence à écrire des nouvelles à 16 ans. Elle publie son premier roman en 1972, Les Soleils mouillés. En 1973, son second roman, De vagues herbes hautes est choisi par Josée Dayan pour réaliser son premier téléfilm — avec comme interprète Laurent Terzieff. Depuis, elle a publié près d'une trentaine de livres.
Elle est aussi scénariste de profession pour la télévision, beaucoup de ses romans ont été adaptés à la télévision.
Her fiction describes family stories, secrets, and passions. She values brave characters who face life boldly and never give up when confronted with adversity. Since 1994, she has written thirty books, three of which have been adapted for television. Her readership continues to grow with each novel.
Bourdin has two daughters and lives in a beautiful home in Normandy. She writes every day, always with the same pleasure, the most beautifully human and moving stories. She knows how to express our deepest emotions and to write stories that resemble our own lives.
Françoise Bourdin, née en 1952 à Paris, est un écrivain français.
Elle est mariée à un médecin et a deux filles, Fabienne, née 1981, et Frédérique, née 1982.
Elle commence à écrire des nouvelles à 16 ans. Elle publie son premier roman en 1972, Les Soleils mouillés. En 1973, son second roman, De vagues herbes hautes est choisi par Josée Dayan pour réaliser son premier téléfilm — avec comme interprète Laurent Terzieff. Depuis, elle a publié près d'une trentaine de livres.
Elle est aussi scénariste de profession pour la télévision, beaucoup de ses romans ont été adaptés à la télévision.
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Community Reviews
Displaying 1 - 23 of 23 reviews
November 30, 2015
À l'initiative des éditions Pocket, douze des plus célèbres auteurs de la littérature contemporaine ont accepté d'écrire une nouvelle sur le thème de la fraternité. Vendu 5€, chaque livre permet aux Restos du Cœur de distribuer quatre repas.
Humour, frissons, émotion... Chaque auteur a laissé libre cours à son imagination. Si certains ont remis le couvert comme Françoise Bourdin, Maxime Chattam, Alexandra Lapierre, Agnès Ledig ou Bernard Werber, de nouveaux auteurs comme Michel Bussi, Stéphane De Groot, François d'Epenoux, Karine Giebel, Douglas Kennedy, Nadine Monfils ou encore Romain Puértolas, ont accepté généreusement cette nouvelle invitation des éditions Pocket en se prêtant magnifiquement au jeu !
Ces douze nouvelles inédites, centrées sur le thème de la fraternité, ont toutes leur particularité, qu'il s'agisse d'intrigues policières, de souvenirs d'enfance ou de retrouvailles inattendues. Du noir, de la tendresse, de l’humour, de l’absurde, à travers ces douze histoires très différentes les unes des autres, chaque auteur dévoile sa recette et son style d'écriture !
Mais au-delà du divertissement et des émotions que ce petit livre procure, le lecteur a également la satisfaction de pouvoir s'associer aux auteurs et de contribuer, avec eux, à une noble cause. Rappelons que l’association des Restos du Cœur, créée en 1985 par Coluche, a pour but «d’aider et d’apporter assistance bénévole aux personnes démunies, notamment dans le domaine alimentaire par l’accès à des repas gratuits et par la participation à leur insertion sociale et économique ». L'année dernière, grâce à l'opération «13 à table !», ce sont plus de 1.450.000 repas supplémentaires qui ont été distribués ! Cette année encore, alors que l'action des Restos du Cœur est plus que jamais une nécessité, faisons de notre mieux pour les aider !
13 à table ! Ce sont douze nouvelles à savourer, douze auteurs que vous adorez et qui vont vous faire passer un bon moment de lecture. C'est peut-être aussi une bonne idée cadeau pour ces fêtes de fin d'année qui arrivent à grands pas. Mais surtout, n'oubliez pas qu'à chaque livre acheté, ce sont quatre repas pour les Restos du Cœur. Alors, faites passer le message ! Comme aurait dit Coluche, on compte sur vous !
Humour, frissons, émotion... Chaque auteur a laissé libre cours à son imagination. Si certains ont remis le couvert comme Françoise Bourdin, Maxime Chattam, Alexandra Lapierre, Agnès Ledig ou Bernard Werber, de nouveaux auteurs comme Michel Bussi, Stéphane De Groot, François d'Epenoux, Karine Giebel, Douglas Kennedy, Nadine Monfils ou encore Romain Puértolas, ont accepté généreusement cette nouvelle invitation des éditions Pocket en se prêtant magnifiquement au jeu !
Ces douze nouvelles inédites, centrées sur le thème de la fraternité, ont toutes leur particularité, qu'il s'agisse d'intrigues policières, de souvenirs d'enfance ou de retrouvailles inattendues. Du noir, de la tendresse, de l’humour, de l’absurde, à travers ces douze histoires très différentes les unes des autres, chaque auteur dévoile sa recette et son style d'écriture !
Mais au-delà du divertissement et des émotions que ce petit livre procure, le lecteur a également la satisfaction de pouvoir s'associer aux auteurs et de contribuer, avec eux, à une noble cause. Rappelons que l’association des Restos du Cœur, créée en 1985 par Coluche, a pour but «d’aider et d’apporter assistance bénévole aux personnes démunies, notamment dans le domaine alimentaire par l’accès à des repas gratuits et par la participation à leur insertion sociale et économique ». L'année dernière, grâce à l'opération «13 à table !», ce sont plus de 1.450.000 repas supplémentaires qui ont été distribués ! Cette année encore, alors que l'action des Restos du Cœur est plus que jamais une nécessité, faisons de notre mieux pour les aider !
13 à table ! Ce sont douze nouvelles à savourer, douze auteurs que vous adorez et qui vont vous faire passer un bon moment de lecture. C'est peut-être aussi une bonne idée cadeau pour ces fêtes de fin d'année qui arrivent à grands pas. Mais surtout, n'oubliez pas qu'à chaque livre acheté, ce sont quatre repas pour les Restos du Cœur. Alors, faites passer le message ! Comme aurait dit Coluche, on compte sur vous !
January 12, 2016
Reccueil de nouvelles où les histoires tournent autour d'un même thème, la fraternité, mais nous transportent dans des univers et des ambiances très différents. J'ai découvert des auteurs dont j'aimerais à présent découvrir des œuvres! Et puis acheter un livre qui a permis en 2015 de fournir 1 600 000 repas, ca fait plaisir!
November 20, 2015
Une lecture plaisir qui permet de (re) découvrir des auteurs talentueux.
J'avais déjà craqué sur l'édition précédente, et trouvé cette idée tellement belle, intéressante et utile que j'avais offert ce livre à tout le monde pour Noël.
Et bien je pense recommencer cette année, car le niveau des nouvelles est tout aussi élevé.
Il y a bien entendu mes auteurs chouchous qui font mouche à chaque fois :
- Maxime Chattam avec Ceci est mon corps, ceci est mon péché m'a fait frissonner et rappelé les meilleurs années de Stephen King
- Karine Giebel avec Aleyna a réussi à me faire pleurer avec son histoire terrifiante mais malheureusement réaliste
- Agnès Ledig a le don de me mettre des papillons dans les yeux, une lecture fort utile en ces temps troublés
Il y a aussi les valeurs sûres dont on reconnait très bien le style et qui raviront les fans de : Bernard Werber, Françoise Bourdin, Stéphane De Groot, Douglas Kennedy et Alexandra Lapierre.
La surprise de ce recueil est venue pour moi de la nouvelle de Nadine Monfils, La robe bleue, que je découvre grâce à ce livre et qui m'a marqué.
Les autres nouvelles ne m'ont pas déçue mais ne sont pas pour moi inoubliable.
Chaque auteur a réussi à s'approprier le thème des frères et soeurs et je ressort de ce recueil satisfaite et heureuse de m'être fait plaisir tout en faisant une bonne action.
Je serai présente l'année prochaine pour le prochain recueil, même si j'espère que les restos n'auront plus besoin de ces dons.
En bref, je vous recommande vivement ce recueil de nouvelles pour (re) découvrir des auteurs, faire une bonne action et vous faire plaisir en ces temps troublés.
J'avais déjà craqué sur l'édition précédente, et trouvé cette idée tellement belle, intéressante et utile que j'avais offert ce livre à tout le monde pour Noël.
Et bien je pense recommencer cette année, car le niveau des nouvelles est tout aussi élevé.
Il y a bien entendu mes auteurs chouchous qui font mouche à chaque fois :
- Maxime Chattam avec Ceci est mon corps, ceci est mon péché m'a fait frissonner et rappelé les meilleurs années de Stephen King
- Karine Giebel avec Aleyna a réussi à me faire pleurer avec son histoire terrifiante mais malheureusement réaliste
- Agnès Ledig a le don de me mettre des papillons dans les yeux, une lecture fort utile en ces temps troublés
Il y a aussi les valeurs sûres dont on reconnait très bien le style et qui raviront les fans de : Bernard Werber, Françoise Bourdin, Stéphane De Groot, Douglas Kennedy et Alexandra Lapierre.
La surprise de ce recueil est venue pour moi de la nouvelle de Nadine Monfils, La robe bleue, que je découvre grâce à ce livre et qui m'a marqué.
Les autres nouvelles ne m'ont pas déçue mais ne sont pas pour moi inoubliable.
Chaque auteur a réussi à s'approprier le thème des frères et soeurs et je ressort de ce recueil satisfaite et heureuse de m'être fait plaisir tout en faisant une bonne action.
Je serai présente l'année prochaine pour le prochain recueil, même si j'espère que les restos n'auront plus besoin de ces dons.
En bref, je vous recommande vivement ce recueil de nouvelles pour (re) découvrir des auteurs, faire une bonne action et vous faire plaisir en ces temps troublés.
January 15, 2016
Après une première édition que j'avais trouvé très réussie, j'ai à nouveau été séduite par ce recueil de nouvelles !
On retrouve à nouveau 12 auteurs réunis autour d'une même thématique, la fraternité, pour une bonne action : en achetant ce livre 4 repas sont distribués aux Resto du cœur.
Comme dans chaque recueil de nouvelles, on accroche plus ou moins au style de chaque auteur mais cela permet de découvrir un panel assez varié.
Pour celui-ci je retiendrais essentiellement la nouvelle d'Agnès Ledig, qui m'a beaucoup touchée à nouveau après celle très réussie également de la première édition (il faudra vraiment que je lise ses romans), celle de Romain Puértolas qui est drôle et décalée et celle de Karine Giebel, avec laquelle je ne m'attendais pas à cette fin.
On retrouve à nouveau 12 auteurs réunis autour d'une même thématique, la fraternité, pour une bonne action : en achetant ce livre 4 repas sont distribués aux Resto du cœur.
Comme dans chaque recueil de nouvelles, on accroche plus ou moins au style de chaque auteur mais cela permet de découvrir un panel assez varié.
Pour celui-ci je retiendrais essentiellement la nouvelle d'Agnès Ledig, qui m'a beaucoup touchée à nouveau après celle très réussie également de la première édition (il faudra vraiment que je lise ses romans), celle de Romain Puértolas qui est drôle et décalée et celle de Karine Giebel, avec laquelle je ne m'attendais pas à cette fin.
December 2, 2015
Une bonne idée pour soutenir les Restos du coeur : 1 livre acheté à 5€, ce sont 4 repas distribués !par l'association !
Au menu de cette nouvelle édition des 13 à table : des auteurs francophones qui se réunissent sous le thème des frères et sœurs. Parfois tendres ou émouvantes, ces nouvelles parlent aussi de la rivalité qu'il peut surgir et des secrets bien gardés au sein des familles. Chacun dans son style relève le défi avec brio et c'est un bon moment de lecture que je vous recommande.
Au menu de cette nouvelle édition des 13 à table : des auteurs francophones qui se réunissent sous le thème des frères et sœurs. Parfois tendres ou émouvantes, ces nouvelles parlent aussi de la rivalité qu'il peut surgir et des secrets bien gardés au sein des familles. Chacun dans son style relève le défi avec brio et c'est un bon moment de lecture que je vous recommande.
January 13, 2016
De même que le précédent 13 à table !, il y a du bon et du moins bon, mais globalement, c'est plutôt positif. J'ai trouvé particulièrement intéressant que sur un thème comme celui-ci, à savoir "frère et sœur", on trouve autant de styles différents. Cela dit, je m'attendais à avoir bien plus d'histoires plutôt légères et comiques (comme l'année dernière), mais j'ai eu l'impression que la plupart des auteurs se sont plutôt orientés vers des histoires tristes ou glauques... voire totalement morbides.
M'enfin dans tous les cas, c'est une nouvelle fois une bonne occasion de (re)découvrir ces nombreux auteurs. De même que l'année dernière, on retrouve Françoise Bourdin en ouverture et Bernard Werber en clôture, ainsi que Maxime Chattam, Alexandra Lapierre, Agnès Ledig. (J'ai été un peu déçue de ne pas trouver mon chouchou du paysage littéraire français Franck Thilliez mais passons.) La grosse surprise dans le casting annuel était pour moi d'avoir un auteur anglophone (Douglas Kennedy) dans la liste. Et aussi de n'avoir que 12 auteurs et histoires au lieu de "13 à table".
Et donc, tant que c'est encore un peu frais dans mon cerveau... (J'essaie de ne rien spoiler pour les histoires à fort potentiel spoiler.)
(1) Cent balles de Bourdin > On ouvre à nouveau le bal avec Bourdin donc, une auteure que je ne connais pas vraiment (seulement d'avoir vu son nom en rayons quoi), et on a une histoire plutôt sympathique. Deux frangins, avec leurs hauts et leurs bas, mais qui restent soudés à leur manière. Un dénouement intéressant avec l'inclusion du fils de l'un (et donc neveu de l'autre).
(2) La Seconde Morte de Bussi > C'est la première fois que je lis un texte de Bussi, bien que ses livres attirent souvent mon attention en rayon (les covers des versions Pocket de ses livres sont vraiment jolies). En fait, je n'ai jamais vraiment su quel était exactement le genre de prédilection de Bussi, mais j'avoue que cette nouvelle m'a donné envie de lui donner sa chance et aller chercher un de ses livres. On a ici une fille assez complexée, vis-à-vis de sa frangine notamment, et qui cherche à se faire une place dans ce monde.
(3) Ceci est mon corps, ceci est mon péché de Chattam > Mr. Chattam nous fait à nouveau dans le glauque. Bien que je sache pertinemment que c'est sa spécialité, j'étais très intriguée de découvrir comment il allait nous pondre ça sur un thème qui semble pourtant très innocent : la fratrie. Et pendant une bonne partie de la nouvelle, je me demandais également où le thème se cachait. Donc, mis à part le côté très glauque de la nouvelle, on ne peut que se demander comment ces familles vont surmonter ce qui leur est arrivé.
(4) Frères Coen de De Groodt > Bon, j'ai une confession à faire, cette nouvelle, c'est de loin celle que j'ai le moins aimé. Je ne doute pas que le style soit propre à l'auteur, mais personnellement, je n'ai absolument pas accroché. Même en mettant de côté les références que je ne connais pas par simple manque de culture (que oui, j'assume parfaitement), le trop plein de jeux de mots (pas forcément tous aussi bons les uns que les autres) m'a un peu achevée. Ma surprise initiale sur le fait que la nouvelle ne fasse que 4 pages s'est très vite changée en soulagement que ça se finissait vite. M'enfin, comme je le dis toujours, ce n'est qu'un avis personnel, chacun ses goûts. :)
(5) La Main sur le cœur de d'Epenoux > Une nouvelle criante de réalisme qui essaie de réconcilier une fratrie brisée par les années. Autant sur le côté "frères et sœurs qui s'éloignent avec le temps" que sur le côté "réconciliation forcée".
(6) Aleyna de Giebel > On a ici une jeune fille turque qui essaie d'échapper aux traditions, mais se retrouve confrontée aux conséquences, mais surtout -pour coller au thème- à ses frères, notamment son frère jumeau. C'est très difficile d'évaluer une nouvelle comme celle-ci quand on sait que c'est réellement ce qu'il se passe sans arrêt dans ce monde. Ceci étant dit, le point "positif" que je donnerais à l'auteur est d'avoir inclus le point de vue du frère jumeau et son dilemme entre vouloir protéger sa frangine et ne pas savoir comment s'opposer aux traditions séculaires (sans oublier cette impression d'avoir été "trahi").
(7) Tu peux tout me dire de Kennedy > De même que dans "Cent balles", on a ici un homme qui se tourne non vers son père, mais la fratrie de celui-ci pour se confier. On a par contre le point de vue inverse avec une conclusion qui s'oppose en tous points à celle de l'autre nouvelle (). Bien que, techniquement, la nouvelle dans son intégralité n'était pas vraiment rose-bisounours... c'est une bien triste morale à en tirer. Je n'ai pas détesté la nouvelle, mais elle ne m'a pas fait grande impression non plus... Cela dit, c'est un bon point d'avoir un auteur anglophone se joindre à la cause.
(8) Fils unique de Lapierre > Si je m'en tiens à ce que je sais pour l'instant, à savoir sa nouvelle de l'année dernière et celle-ci, Alexandra Lapierre a ce don pour raconter des histoires dont on ne sait pas trop tout du long où elle veut nous emmener, mais nous embarque dedans jusqu'à une conclusion plutôt sympathique.
(9) Karen et moi de Ledig > Hallelujah ! Enfin une histoire dans ce livre qui se finit bien ! J'ai particulièrement apprécié que l'auteure ne se penche pas sur une fratrie littérale, mais un autre lien qui peut se nouer hors des liens du sang. Cela dit, tout comme la nouvelle de l'année dernière, le tout est très romantisé, mais c'est agréable à lire au milieu de toutes ces histoires tristes et/ou morbides. :)
(10) La Robe bleue de Monfils > Une fille un peu rêveuse, coincée dans sa vie loin d'être rose, entre ses animaux et sa sœur qu'elle aime malgré tout. La conclusion était bizarre, et l'évolution de la vie "familiale"... -je me répète (mais passons) :- glauque. Bref, je n'suis pas fan (mais une fois encore, "les goûts, les couleurs...").
(11) Le Premier Rom sur la Lune de Puértolas > Soyons honnêtes. Tout du long, je me suis demandé ce que l'auteur avait fumé. Un Rom perdu tout seul sur la Lune, euh... what ? Non pas pour le côté Rom sur la Lune, mais pour le pourquoi du comment il a atterri là en voulant se rendre en Roumanie. Par contre, les sentiments du gars pour sa sœurette/jumelle adorée et sa nièce sont admirables. Et la conclusion est belle.
(12) Jumeaux, trop jumeaux de Werber > Et on conclut une nouvelle fois avec Werber. Après le coup du homard l'année dernière, je me demandais vraiment ce qu'il allait nous sortir. Deux jumeaux qui, bien qu'ayant vécu séparément, ont finalement vécu quasi-exactement la même vie, ça paraît sorti de la science-fiction, pas vrai ? Cela dit, il est vrai que le débat sur l'effet de l'environnement sur le développement d'une personne (en opposition à l'acquis génétique) reste d'actualité. Bien qu'ayant l'air quelques peu tirée par les cheveux, cette nouvelle conclut admirablement ce second volume de "13 à table !".
Après tout, c'est bien ça "13 à table !" et les Restos du Cœur : une histoire d'empathie, de soutien et de fraternité.
M'enfin dans tous les cas, c'est une nouvelle fois une bonne occasion de (re)découvrir ces nombreux auteurs. De même que l'année dernière, on retrouve Françoise Bourdin en ouverture et Bernard Werber en clôture, ainsi que Maxime Chattam, Alexandra Lapierre, Agnès Ledig. (J'ai été un peu déçue de ne pas trouver mon chouchou du paysage littéraire français Franck Thilliez mais passons.) La grosse surprise dans le casting annuel était pour moi d'avoir un auteur anglophone (Douglas Kennedy) dans la liste. Et aussi de n'avoir que 12 auteurs et histoires au lieu de "13 à table".
Et donc, tant que c'est encore un peu frais dans mon cerveau... (J'essaie de ne rien spoiler pour les histoires à fort potentiel spoiler.)
(1) Cent balles de Bourdin > On ouvre à nouveau le bal avec Bourdin donc, une auteure que je ne connais pas vraiment (seulement d'avoir vu son nom en rayons quoi), et on a une histoire plutôt sympathique. Deux frangins, avec leurs hauts et leurs bas, mais qui restent soudés à leur manière. Un dénouement intéressant avec l'inclusion du fils de l'un (et donc neveu de l'autre).
(2) La Seconde Morte de Bussi > C'est la première fois que je lis un texte de Bussi, bien que ses livres attirent souvent mon attention en rayon (les covers des versions Pocket de ses livres sont vraiment jolies). En fait, je n'ai jamais vraiment su quel était exactement le genre de prédilection de Bussi, mais j'avoue que cette nouvelle m'a donné envie de lui donner sa chance et aller chercher un de ses livres. On a ici une fille assez complexée, vis-à-vis de sa frangine notamment, et qui cherche à se faire une place dans ce monde.
(3) Ceci est mon corps, ceci est mon péché de Chattam > Mr. Chattam nous fait à nouveau dans le glauque. Bien que je sache pertinemment que c'est sa spécialité, j'étais très intriguée de découvrir comment il allait nous pondre ça sur un thème qui semble pourtant très innocent : la fratrie. Et pendant une bonne partie de la nouvelle, je me demandais également où le thème se cachait. Donc, mis à part le côté très glauque de la nouvelle, on ne peut que se demander comment ces familles vont surmonter ce qui leur est arrivé.
(4) Frères Coen de De Groodt > Bon, j'ai une confession à faire, cette nouvelle, c'est de loin celle que j'ai le moins aimé. Je ne doute pas que le style soit propre à l'auteur, mais personnellement, je n'ai absolument pas accroché. Même en mettant de côté les références que je ne connais pas par simple manque de culture (que oui, j'assume parfaitement), le trop plein de jeux de mots (pas forcément tous aussi bons les uns que les autres) m'a un peu achevée. Ma surprise initiale sur le fait que la nouvelle ne fasse que 4 pages s'est très vite changée en soulagement que ça se finissait vite. M'enfin, comme je le dis toujours, ce n'est qu'un avis personnel, chacun ses goûts. :)
(5) La Main sur le cœur de d'Epenoux > Une nouvelle criante de réalisme qui essaie de réconcilier une fratrie brisée par les années. Autant sur le côté "frères et sœurs qui s'éloignent avec le temps" que sur le côté "réconciliation forcée".
(6) Aleyna de Giebel > On a ici une jeune fille turque qui essaie d'échapper aux traditions, mais se retrouve confrontée aux conséquences, mais surtout -pour coller au thème- à ses frères, notamment son frère jumeau. C'est très difficile d'évaluer une nouvelle comme celle-ci quand on sait que c'est réellement ce qu'il se passe sans arrêt dans ce monde. Ceci étant dit, le point "positif" que je donnerais à l'auteur est d'avoir inclus le point de vue du frère jumeau et son dilemme entre vouloir protéger sa frangine et ne pas savoir comment s'opposer aux traditions séculaires (sans oublier cette impression d'avoir été "trahi").
(7) Tu peux tout me dire de Kennedy > De même que dans "Cent balles", on a ici un homme qui se tourne non vers son père, mais la fratrie de celui-ci pour se confier. On a par contre le point de vue inverse avec une conclusion qui s'oppose en tous points à celle de l'autre nouvelle (). Bien que, techniquement, la nouvelle dans son intégralité n'était pas vraiment rose-bisounours... c'est une bien triste morale à en tirer. Je n'ai pas détesté la nouvelle, mais elle ne m'a pas fait grande impression non plus... Cela dit, c'est un bon point d'avoir un auteur anglophone se joindre à la cause.
(8) Fils unique de Lapierre > Si je m'en tiens à ce que je sais pour l'instant, à savoir sa nouvelle de l'année dernière et celle-ci, Alexandra Lapierre a ce don pour raconter des histoires dont on ne sait pas trop tout du long où elle veut nous emmener, mais nous embarque dedans jusqu'à une conclusion plutôt sympathique.
(9) Karen et moi de Ledig > Hallelujah ! Enfin une histoire dans ce livre qui se finit bien ! J'ai particulièrement apprécié que l'auteure ne se penche pas sur une fratrie littérale, mais un autre lien qui peut se nouer hors des liens du sang. Cela dit, tout comme la nouvelle de l'année dernière, le tout est très romantisé, mais c'est agréable à lire au milieu de toutes ces histoires tristes et/ou morbides. :)
(10) La Robe bleue de Monfils > Une fille un peu rêveuse, coincée dans sa vie loin d'être rose, entre ses animaux et sa sœur qu'elle aime malgré tout. La conclusion était bizarre, et l'évolution de la vie "familiale"... -je me répète (mais passons) :- glauque. Bref, je n'suis pas fan (mais une fois encore, "les goûts, les couleurs...").
(11) Le Premier Rom sur la Lune de Puértolas > Soyons honnêtes. Tout du long, je me suis demandé ce que l'auteur avait fumé. Un Rom perdu tout seul sur la Lune, euh... what ? Non pas pour le côté Rom sur la Lune, mais pour le pourquoi du comment il a atterri là en voulant se rendre en Roumanie. Par contre, les sentiments du gars pour sa sœurette/jumelle adorée et sa nièce sont admirables. Et la conclusion est belle.
(12) Jumeaux, trop jumeaux de Werber > Et on conclut une nouvelle fois avec Werber. Après le coup du homard l'année dernière, je me demandais vraiment ce qu'il allait nous sortir. Deux jumeaux qui, bien qu'ayant vécu séparément, ont finalement vécu quasi-exactement la même vie, ça paraît sorti de la science-fiction, pas vrai ? Cela dit, il est vrai que le débat sur l'effet de l'environnement sur le développement d'une personne (en opposition à l'acquis génétique) reste d'actualité. Bien qu'ayant l'air quelques peu tirée par les cheveux, cette nouvelle conclut admirablement ce second volume de "13 à table !".
Et elle se disait qu'un jour peut-être, sans qu'il s'agisse de clones, ou de jumeaux, les humains arriveraient eux aussi à atteindre un tel niveau de complicité et d'empathie. Un jour, non pas deux, mais dix, cent, mille, un million, un milliard d'humains pourraient être comme ces frères jumeaux monozygotes.
Alors on entrerait dans quelque chose de nouveau, un stade supérieur de la conscience collective. Il n'y aurait plus de peur car on se réaliserait à travers les autres.
Après tout, c'est bien ça "13 à table !" et les Restos du Cœur : une histoire d'empathie, de soutien et de fraternité.
January 12, 2016
Qu'est ce que je pense? (je pense donc je suis xD)
Pour essayer de faire une "review" à peu près convenable .. j'ai fait des petites notes à la fin de chaque nouvelle .. pour les retranscrire ici en écoutant l'OST d'Hugo Cabret xD
Le thème de cette année est: la fraterie ( frère/soeur) et non une quelconque forme de piraterie.
Dans certaines histoires, chacun de nous peut s'y retrouver .. un peu dans celle ci, un peu dans celle là.
Aucune famille n'est parfaite .
1. Françoise Bourdin => "Cent balles"
Cette nouvelle nous présente 2 frères.
L'un s'est focalisé sur le bon développement de sa carrière ( et donc, gagner du pognon) au détriment de vivre, apprécier sa vie de famille.
L'autre, quant à lui se contente de peu au niveau "matériel".
Il se contente de ce qu'il a même s'il ne peut s'empêcher de grater des sous à son frère.
Lorsque le fils du 1er a de graves ennuis, il se tourne toujours vers son oncle.
Il faudra une bagarre "pour remettre les pendules à l'heure" et même si "le riche râle toujours sur le "pauvre" .. ils ne peuvent se passer de l'un et de l'autre. Ils se reverront demain et encore le jour d'après et ils le savent.
{Combien de fois ma soeur ne m'a pas gratté des sous ici et le peu de fois où j'ai du dire non c'est que je ne pouvais pas ...}
2. Michel Bussi => La seconde morte/
La mytho par excellence.
La pauvre fille qui 'vit par procuration" ?? la fille qui se crée une vie/une sœur pour exister. ( et Comme beaucoup de gens " comparent les sœurs" dans la vie.
Au début, quand elle parlait de sa soeur à son petit ami pendant qu'ils regardaient un album de famille " Les vêtements de ma grande soeur ... j'aurais aimé pouvoir les porter."
(Son petit-ami expliquait qu'il recevait ce que son grand fère ne savait plus mettre.)
Je pensais qu'elle était morte.
Et puis en avançant dans l'histoire, elle parle d'elle au présent, sur ce que fait actuellement sa soeur dans sa vie professionelle, ect ..
Quid? Aurais-je rater un passage? ( ayant lu cette nouvelle à passé 1h du mat' .. probable".
En lisant, on pourrait avoir pitié d'Aurélie ... qui visiblement ne fait pas les choses aussi bien qu'Alexandra.
Et bien non, en fait cette sœur n'existe tout simplement pas.
Je peux comprendre " les amis imaginaires" mais qu'on se crée une sœur ?? surtout, dans le cadre de cette nouvelle, pour se rabaisser ???
{Étant l'ainée .. j'ignore ce que c'est d'être la cadette .. par contre, j'ai pu observer ça dans mon entourage professionnel.
L'aînée que la mère porte aux nues, " la plus belle, la plus exceptionnelle, qui est la meilleure en classe" .. qui a 2 ou 3 photo d'elle sur son bureau ..
Lorsqu'elle parle de la cadette ( même en face d'elle), le discours n'est pas aussi glorieux .. et une seule photo sur le bureau.
Déjà entendu des " je ne suis pas elle" qui se perdaient ....}
3. Maxime Chattam => "Ceci est mon corps, ceci est mon pêché"
(on va passer le fait que mon chien a léché la page .. ça gondole un peu ( elle voulait sentir la page et a fini par passer sa langue dessus T_T)
Si on veut du macabre, on est à la bonne adresse.
Du pur et Dur Chattam ( si vous passez par ici, j'vous love :D)
Histoire de vengeance sur le thème des "enfants illégitimes qu'on a caché'.
Évidemment, cette histoire n'aurait pas été si prenante s'il n'y avait pas du cannibalisme dans le scénario XD ( ça n'aurait pas été aussi drôle sinon).
Des agents du FBI (j'imagine bien Dereck Morgan dans le personnage principal lol) sont sur une sordide enquête de serial killer de plus de 20 ans ..
C'est suite à une idée dégeulasse mais géniale qu'ils se sont rendus compte que les victimes sont demi-frère/demi-soeur. Des détails croustillants? => read the book ^^
Mr Chattam est un psychopate, tordu mais je le love quand même.
Quand je commence un de ces romans, je ne peux pas le lâcher.
{j'espère que mes parents ont été sagess ^^ }
4. Stephane De Groodt ' made in Belgium) => "Frères Coen".
j'ai du relire les 1ers paragraphes 2 fois que j'étais @_@ .. Qu'est ce qu'il m'écrit là.
C'est une nouvelle de 4 pages et demie faite de jeux de mots ( et d'absurde) sur un voyage à Cannes où il veut rencontre les Frères Coen :)
(ça m'a bien fait rire}
5. François d'Epenoux => "la main sur le coeur"
Un frère et ses 2 soeurs .. qui ne se voient plus, parle quasi plus et qui sont obligés de se voir à la demande de leur mère afin de reproduire une scène.
Une photo prise dans leurs jeunes temps.
{je ne m'attarderai pas trop dessus car je ne sais pas trop quoi dire .. }
6. Karine Giebel => Aleyna.
Cette "nouvelle" est malheureusement, encore aujourd'hui, réelle.
Aleyna m'a rappelé une histoire vraie qui s'est déroulé, ici, il y a quelques années.
Une jeune fille d'origine turque qui veut vivre sa vie, prendre son destin en main, faire ses propres choix ( qu'ils soient bons ou mauvais peu importe, être libre et vivre"
Parce que cette jeune fille décide de s'opposer à son mariage arrangé, de voir l'homme qu'elle veut, vouloir vivre " à l'européenne" .. elle est assassinée par les hommes de sa famille.
Ils appellent ça faire "justice" car elle a salit l'honneur de la famille.
j'appelle ça un "meurtre". Encore une mentalité d'un autre âge qui ne devrait plus exister dans notre monde actuel. Dans une note, il est même noté que même si la fille n'a rien demandé mais qu'elle est violée, c'est elle qu'on tue car elle a salit l'honneur de la famille .. IL y en a qu'on devrait couper les couilles ...
Son frère jumeau n'a pas levé le petit doigt pour aider sa soeur ...
{Je ne me rappelle plus de la nationalité d'origine de la jeune femme qui faisait ses études de droit là où j'ai fait les miennes mais elle a été assassinée par les hommes de sa famille parce qu'elle voulait être libre de vivre sa vie.
(par contre, sa soeur qui est toujours en prison et a fait un gosse avec un pur belge .. on ne dit rien ..)
Nous ( femmes) ne sommes pas des objets.
Comment les femmes ' mères, grand-mères" victimes laissent encore faire ça aux filles de ma génération ?? ça me dépasse.}
7. Douglas Kennedy => "Tu peux tout me dire"
Histoire de trahison en gros.
{ Je confirme que ce sont les personnes dans la famille qui nous sommes le plus proches qui nous poignardent dans le dos le plus vite .. Distance plus courte?? c'est ce je vis actuellement. A croire que ça les emmerde quand tout va bien }
Le personnage principal est "heureux" de trouver dans une parente une épaule et une oreille.
Jusqu'à ce qu'il se rend compte que cette personne est une "vipère" et qu'elle a mis le bazar plus qu'autre chose.
Il y a des gens qui ne sont heureux que lorsqu'ils font mal aux autres .. même leurs frères/soeurs.
8. Alexandra Lapierre => " Fils unique".
L'homme de cet histoire est triste dans le sens qu'il est fils unique.
Il n'a pas vécu ce que ses amis vivent: avoir des frères et soeurs.
Il s'ennuyait.
Et bien .. il va avoir de drôles de surprises et des coups de théâtre .. surtout quand les parents n'ont pas été sages.
{ On ne connait jamais vraiment bien les gens .. ici, pas souci encore d'honneur, d'étiquette, l'image qu'on veut renvoyer auprès des autres .. " une femme coincée .. hum hum ..abandon d'enfants, ect ...}
9. Agnès Ledig => "Karen et moi"
Un homme et une femme qui ne se connaissent pas qui finiront par lier des liens aussi fort que des liens fraternels.
{la vie peut réserver, une fois tous les millénaires, une surprise}
10. Nadine Monfils => " La robe bleue"
Illustre l'histoire de 2 sœurs qui tiennent un café dans un Bruxelles d'avant les années 50 car "on parle encore de la peine de mort" qu'encourt un criminel. ( en sachant que la dernière exécution date de cette année là et la peine de mort est supprimée de manière définitive de la Loi depuis 1996). {la fille qui ramène sa science et tant pis pour les erreurs judiciaires xD}
Une sœur préférant la compagnie animale ( ce n'est pas une critique négative, loin de là d'ailleurs) qui se réfugie dans ses rêves pour échapper à la routine de sa vie "merdique" ..
Une autre vulgaire et grossière.
Mais la 1ère ne peut se passer de la seconde même si la dernière ne la traite pas bien.
Je tiens quand même à dire que la sœur rêveuse est quand même méchamment creepy: elle a quand même fait empailler son chien et sa sœur XDDD .
Elle est clairement pas bien dans sa tête ..
11. Romain Puertolas => " Le premier Rom sur la Lune".
Venant aussi d'une famille d'une autre mentalité.
Un frère, contre l'avis qu'aurait sa famille", en s'échappant sauve sa soeur jumelle et sa nièce.
Ce frère qui fait tout ce qu'il peut pour s'occuper de sa soeur et sa nièce se réfugie également dans ses rêves pour échapper à leur misère.
{ Enfin un qui a compris qu'une vie humaine a plus de valeur que " qu'est ce que les gens vont dire? }
12. Bernard Werber => "Jumeaux, trop jumeaux".
Cette nouvelle illustre des vrais jumeaux qui ont été séparés à la naissance et ont été adoptés par 2 familles américaines vivant chacune sur une côte des USA.
Même en se connaissant pas, ils auront la même vie.
La manière dont ils vont se retrouver est originale :)
Pour essayer de faire une "review" à peu près convenable .. j'ai fait des petites notes à la fin de chaque nouvelle .. pour les retranscrire ici en écoutant l'OST d'Hugo Cabret xD
Le thème de cette année est: la fraterie ( frère/soeur) et non une quelconque forme de piraterie.
Dans certaines histoires, chacun de nous peut s'y retrouver .. un peu dans celle ci, un peu dans celle là.
Aucune famille n'est parfaite .
1. Françoise Bourdin => "Cent balles"
Cette nouvelle nous présente 2 frères.
L'un s'est focalisé sur le bon développement de sa carrière ( et donc, gagner du pognon) au détriment de vivre, apprécier sa vie de famille.
L'autre, quant à lui se contente de peu au niveau "matériel".
Il se contente de ce qu'il a même s'il ne peut s'empêcher de grater des sous à son frère.
Lorsque le fils du 1er a de graves ennuis, il se tourne toujours vers son oncle.
Il faudra une bagarre "pour remettre les pendules à l'heure" et même si "le riche râle toujours sur le "pauvre" .. ils ne peuvent se passer de l'un et de l'autre. Ils se reverront demain et encore le jour d'après et ils le savent.
{Combien de fois ma soeur ne m'a pas gratté des sous ici et le peu de fois où j'ai du dire non c'est que je ne pouvais pas ...}
2. Michel Bussi => La seconde morte/
La mytho par excellence.
La pauvre fille qui 'vit par procuration" ?? la fille qui se crée une vie/une sœur pour exister. ( et Comme beaucoup de gens " comparent les sœurs" dans la vie.
Au début, quand elle parlait de sa soeur à son petit ami pendant qu'ils regardaient un album de famille " Les vêtements de ma grande soeur ... j'aurais aimé pouvoir les porter."
(Son petit-ami expliquait qu'il recevait ce que son grand fère ne savait plus mettre.)
Je pensais qu'elle était morte.
Et puis en avançant dans l'histoire, elle parle d'elle au présent, sur ce que fait actuellement sa soeur dans sa vie professionelle, ect ..
Quid? Aurais-je rater un passage? ( ayant lu cette nouvelle à passé 1h du mat' .. probable".
En lisant, on pourrait avoir pitié d'Aurélie ... qui visiblement ne fait pas les choses aussi bien qu'Alexandra.
Et bien non, en fait cette sœur n'existe tout simplement pas.
Je peux comprendre " les amis imaginaires" mais qu'on se crée une sœur ?? surtout, dans le cadre de cette nouvelle, pour se rabaisser ???
{Étant l'ainée .. j'ignore ce que c'est d'être la cadette .. par contre, j'ai pu observer ça dans mon entourage professionnel.
L'aînée que la mère porte aux nues, " la plus belle, la plus exceptionnelle, qui est la meilleure en classe" .. qui a 2 ou 3 photo d'elle sur son bureau ..
Lorsqu'elle parle de la cadette ( même en face d'elle), le discours n'est pas aussi glorieux .. et une seule photo sur le bureau.
Déjà entendu des " je ne suis pas elle" qui se perdaient ....}
3. Maxime Chattam => "Ceci est mon corps, ceci est mon pêché"
(on va passer le fait que mon chien a léché la page .. ça gondole un peu ( elle voulait sentir la page et a fini par passer sa langue dessus T_T)
Si on veut du macabre, on est à la bonne adresse.
Du pur et Dur Chattam ( si vous passez par ici, j'vous love :D)
Histoire de vengeance sur le thème des "enfants illégitimes qu'on a caché'.
Évidemment, cette histoire n'aurait pas été si prenante s'il n'y avait pas du cannibalisme dans le scénario XD ( ça n'aurait pas été aussi drôle sinon).
Des agents du FBI (j'imagine bien Dereck Morgan dans le personnage principal lol) sont sur une sordide enquête de serial killer de plus de 20 ans ..
C'est suite à une idée dégeulasse mais géniale qu'ils se sont rendus compte que les victimes sont demi-frère/demi-soeur. Des détails croustillants? => read the book ^^
Mr Chattam est un psychopate, tordu mais je le love quand même.
Quand je commence un de ces romans, je ne peux pas le lâcher.
{j'espère que mes parents ont été sagess ^^ }
4. Stephane De Groodt ' made in Belgium) => "Frères Coen".
j'ai du relire les 1ers paragraphes 2 fois que j'étais @_@ .. Qu'est ce qu'il m'écrit là.
C'est une nouvelle de 4 pages et demie faite de jeux de mots ( et d'absurde) sur un voyage à Cannes où il veut rencontre les Frères Coen :)
(ça m'a bien fait rire}
5. François d'Epenoux => "la main sur le coeur"
Un frère et ses 2 soeurs .. qui ne se voient plus, parle quasi plus et qui sont obligés de se voir à la demande de leur mère afin de reproduire une scène.
Une photo prise dans leurs jeunes temps.
{je ne m'attarderai pas trop dessus car je ne sais pas trop quoi dire .. }
6. Karine Giebel => Aleyna.
Cette "nouvelle" est malheureusement, encore aujourd'hui, réelle.
Aleyna m'a rappelé une histoire vraie qui s'est déroulé, ici, il y a quelques années.
Une jeune fille d'origine turque qui veut vivre sa vie, prendre son destin en main, faire ses propres choix ( qu'ils soient bons ou mauvais peu importe, être libre et vivre"
Parce que cette jeune fille décide de s'opposer à son mariage arrangé, de voir l'homme qu'elle veut, vouloir vivre " à l'européenne" .. elle est assassinée par les hommes de sa famille.
Ils appellent ça faire "justice" car elle a salit l'honneur de la famille.
j'appelle ça un "meurtre". Encore une mentalité d'un autre âge qui ne devrait plus exister dans notre monde actuel. Dans une note, il est même noté que même si la fille n'a rien demandé mais qu'elle est violée, c'est elle qu'on tue car elle a salit l'honneur de la famille .. IL y en a qu'on devrait couper les couilles ...
Son frère jumeau n'a pas levé le petit doigt pour aider sa soeur ...
{Je ne me rappelle plus de la nationalité d'origine de la jeune femme qui faisait ses études de droit là où j'ai fait les miennes mais elle a été assassinée par les hommes de sa famille parce qu'elle voulait être libre de vivre sa vie.
(par contre, sa soeur qui est toujours en prison et a fait un gosse avec un pur belge .. on ne dit rien ..)
Nous ( femmes) ne sommes pas des objets.
Comment les femmes ' mères, grand-mères" victimes laissent encore faire ça aux filles de ma génération ?? ça me dépasse.}
7. Douglas Kennedy => "Tu peux tout me dire"
Histoire de trahison en gros.
{ Je confirme que ce sont les personnes dans la famille qui nous sommes le plus proches qui nous poignardent dans le dos le plus vite .. Distance plus courte?? c'est ce je vis actuellement. A croire que ça les emmerde quand tout va bien }
Le personnage principal est "heureux" de trouver dans une parente une épaule et une oreille.
Jusqu'à ce qu'il se rend compte que cette personne est une "vipère" et qu'elle a mis le bazar plus qu'autre chose.
Il y a des gens qui ne sont heureux que lorsqu'ils font mal aux autres .. même leurs frères/soeurs.
8. Alexandra Lapierre => " Fils unique".
L'homme de cet histoire est triste dans le sens qu'il est fils unique.
Il n'a pas vécu ce que ses amis vivent: avoir des frères et soeurs.
Il s'ennuyait.
Et bien .. il va avoir de drôles de surprises et des coups de théâtre .. surtout quand les parents n'ont pas été sages.
{ On ne connait jamais vraiment bien les gens .. ici, pas souci encore d'honneur, d'étiquette, l'image qu'on veut renvoyer auprès des autres .. " une femme coincée .. hum hum ..abandon d'enfants, ect ...}
9. Agnès Ledig => "Karen et moi"
Un homme et une femme qui ne se connaissent pas qui finiront par lier des liens aussi fort que des liens fraternels.
{la vie peut réserver, une fois tous les millénaires, une surprise}
10. Nadine Monfils => " La robe bleue"
Illustre l'histoire de 2 sœurs qui tiennent un café dans un Bruxelles d'avant les années 50 car "on parle encore de la peine de mort" qu'encourt un criminel. ( en sachant que la dernière exécution date de cette année là et la peine de mort est supprimée de manière définitive de la Loi depuis 1996). {la fille qui ramène sa science et tant pis pour les erreurs judiciaires xD}
Une sœur préférant la compagnie animale ( ce n'est pas une critique négative, loin de là d'ailleurs) qui se réfugie dans ses rêves pour échapper à la routine de sa vie "merdique" ..
Une autre vulgaire et grossière.
Mais la 1ère ne peut se passer de la seconde même si la dernière ne la traite pas bien.
Je tiens quand même à dire que la sœur rêveuse est quand même méchamment creepy: elle a quand même fait empailler son chien et sa sœur XDDD .
Elle est clairement pas bien dans sa tête ..
11. Romain Puertolas => " Le premier Rom sur la Lune".
Venant aussi d'une famille d'une autre mentalité.
Un frère, contre l'avis qu'aurait sa famille", en s'échappant sauve sa soeur jumelle et sa nièce.
Ce frère qui fait tout ce qu'il peut pour s'occuper de sa soeur et sa nièce se réfugie également dans ses rêves pour échapper à leur misère.
{ Enfin un qui a compris qu'une vie humaine a plus de valeur que " qu'est ce que les gens vont dire? }
12. Bernard Werber => "Jumeaux, trop jumeaux".
Cette nouvelle illustre des vrais jumeaux qui ont été séparés à la naissance et ont été adoptés par 2 familles américaines vivant chacune sur une côte des USA.
Même en se connaissant pas, ils auront la même vie.
La manière dont ils vont se retrouver est originale :)
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January 5, 2017
Hop hop hop, oui je sais, avant que vous ne poussiez de hauts cris, j’ai un an de retard! Et pour la peine, aujourd’hui, je vous parle de 13 à table! 2016 et après-demain, de celui de 2017! Ainsi, je serai dans les temps pour 2018!
13 à table! 2016. Deuxième année pour ce recueil édité en faveur des Restos du cœur!
Le principe? Douze auteurs offrent une nouvelle autour d’un thème commun, nouvelles réunies dans un recueil vendu une misère et dont chaque exemplaire vendu permet de distribuer 4 repas aux gens dans le besoin… et d’assouvir notre passion livresque!
Le thème 2015 était « le repas », celui de 2016 est « frère et sœur ».
Pour le recueil de 2016, nous retrouvons Françoise Bourdin, Maxime Chattam, Alexandra Lapierre, Agnès Ledig et Bernard Werber, déjà présents pour la première édition.
Et donc, les petits nouveaux sont Michel Bussi, Stéphane de Groodt, François d’Epenoux, Karine Giébel, Douglas Kennedy, Nadine Monfils et Romain Puértolas.
Douze, le compte y est.
Cent balles, de Françoise Bourdin, évoque deux frères aux choix de vie totalement opposés mais unis par la complicité de l’enfance. Le fils de l’un fera appel à son oncle au lieu de son père et de cet événement, le regard de cet homme sur son frère changera et marquera un rapprochement entre les deux. Un sujet sur le devenir d’une fratrie à l’âge adulte et de la tolérance à exercer parfois. Touchant et à visée précise, rapide et juste.
La seconde morte, de Michel Bussi, est une histoire jouissive de rivalité féminine entre deux sœurs. Et même si ce n’est pas d’une grande originalité à la base, on a envie de savoir comment Raphaël, le petit copain de l’une, va s’en sortir entre les deux. La fin est surprenante et aplatit totalement le soufflé. Dommage!
Ceci est mon corps, ceci est mon péché, de Maxime Chattam, est une énigme tordue à souhait pour fin gourmet autour d’un serial killer de talent. Un concentré de vengeance aveugle envers des frères et des sœurs heureux qui ne connaîtront jamais le reste de leur fratrie. Un très bon moment de lecture!
Suit, avec Frères Coen, un délire de mots loufoque et décousu pondu par Stéphane de Groodt, avec l’humour léger et les jeux de mots en cascade qui le caractérisent autour d’une rencontre improbable avec les frères Coen sur la Croisette. Belle performance mais qui me laisse froide car ce n’est absolument pas mon style.
Avec La main sur le cœur de François d’Épenoux, deux sœurs et un petit frère ne se parlent plus mais honorent une demande de leur mère: reproduire une photo d’enfance de la fratrie réunie et déguisée. Belle histoire malheureusement trop fréquente de frères et sœurs que la vie, les rancœurs passées et les règlements de succession ont séparé. Une nouvelle qui laisse un goût amer au final…
Aleyna de Karine Giébel est certainement la nouvelle qui m’aura le plus bouleversée de ce recueil! Une histoire de famille, de fratrie bien sûr, mais surtout un récit sur le poids de la religion, des traditions, d’honneur mal placé, du drame et de l’horreur indicible que vivent tant de jeunes femmes encore au XXIe siècle! Une petite histoire percutante, qui nourrit la rage devant ces victimes et la vigilance féminine de la femme occidentale.
Un auteur américain s’est glissé dans ce recueil avec Douglas Kennedy et Tu peux tout me dire. Oui, dis-moi tout et je m’en servirai contre toi. Que tu sois mon frère ou le voisin de palier… C’est en substance la leçon qu’apprend un neveu se confiant à sa tante sur ses déboires conjugaux, laissant filtrer au passage quelques confidences sur son propre père. Le père et sa sœur donnaient le change en famille… mais là encore, même dans le cercle familial, l’image d’Épinal d’un monde parfait n’est que douce illusion. Une réflexion amère sur le lien, ou son absence, entre frère et sœur…
Avec le Fils unique d’Alexandra Lapierre, nous parlons aussi des secrets de famille, des apparences trompeuses avec Paul, un enfant unique qui en a souffert toute sa vie et dont l’épouse n’aura jamais d’enfant. Mais il n’est pas au bout de ses surprises… Ce récit de Paul démontre qu’appartenir génétiquement à la même famille ne créé en aucun cas les liens de complicité et d’affection. Mais n’ayant pas senti d’émotions dans ce récit un peu plat, je n’ai pas aimé ces secrets de famille…
Agnès Ledig, avec Karen et moi, nous offre l’illustration de l’expression « comme un frère » ou « comme une sœur »… Vous connaissez certainement le proverbe: « On choisit ses amis, on ne choisit pas sa famille. »? Mais comme la famille est censée être le noyau dur de toute une vie, le creuset des liens les plus forts, on ressent souvent l’envie de comparer un(e) ami(e) à un frère (sœur). Et l’histoire de Christophe et Karen en est le parfait exemple. Un peu plat, tout de même…
Perplexe, je suis restée, devant La robe bleue de Nadine Monfils… Deux sœurs tenant un bar dans un coin paumé, sans réelle existence, sans réel lien que celui de l’habitude. Une histoire de solitude plus certainement qu’un récit sur ces deux sœurs… Je passe…
Le premier Rom sur la Lune de Romain Puértolas est le constat du rêve d’un Eldorado avorté, de tous les rêves non réalisés.
Mais quel que soit le dénuement dans lequel un être se retrouve, il n’a pas encore tout perdu quand on aime et qu’on est aimé.
La relation entre entre un frère et une sœur, jumeaux de surcroît, est touchante et le récit est triste.
Une tentative trop courte de susciter le questionnement sur ceux qui ne bénéficient pas de tout le confort matériel dans notre société moderne, de l’accueil ou du rejet des étrangers..
Et pour conclure, dans Jumeaux, trop jumeaux, Bernard Werber nous conte le parcours de deux frères jumeaux séparés à la naissance, élevés dans des familles totalement opposées. Ils vont se confronter pour la première fois dans des conditions aberrantes.
Le mystère de la gémmellité monozygote va vous scotcher au fond de votre fauteuil. Le lien dépasse toute raison et reste une particularité tellement exceptionnelle qu’elle subjugue les individus « normaux » que nous sommes.
Un petit régal en dessert, même si la morale le réprouve!
La seconde partie de ce recueil m’a bien moins enthousiasmée que la première! Je relève qu’aucun des auteurs n’aura traité de la fratrie en situant principalement son action dans l’enfance. Je m’interroge… les auteurs ont préféré parler des conséquences à l’âge adulte et plus souvent de l’éloignement qui résulte de notre avancée dans l’âge… J’aurais pourtant bien vu une mère ou un père témoigner avec un peu de recul de la relation dans une jeune fratrie…
Dans la mesure où douze écrivains se côtoient dans un même bouquin, il n’est pas aisé que tous remportent mon suffrage. Mais les nouvelles que j’ai adorées compensent celles qui m’ont laissée un peu froide. C’est toujours une lecture très sympa en tout cas et bravo aux auteurs qui, pour la majorité, jouent très bien le jeu de l’exercice d’écriture autour d’un thème imposé!
13 à table! 2016. Deuxième année pour ce recueil édité en faveur des Restos du cœur!
Le principe? Douze auteurs offrent une nouvelle autour d’un thème commun, nouvelles réunies dans un recueil vendu une misère et dont chaque exemplaire vendu permet de distribuer 4 repas aux gens dans le besoin… et d’assouvir notre passion livresque!
Le thème 2015 était « le repas », celui de 2016 est « frère et sœur ».
Pour le recueil de 2016, nous retrouvons Françoise Bourdin, Maxime Chattam, Alexandra Lapierre, Agnès Ledig et Bernard Werber, déjà présents pour la première édition.
Et donc, les petits nouveaux sont Michel Bussi, Stéphane de Groodt, François d’Epenoux, Karine Giébel, Douglas Kennedy, Nadine Monfils et Romain Puértolas.
Douze, le compte y est.
Cent balles, de Françoise Bourdin, évoque deux frères aux choix de vie totalement opposés mais unis par la complicité de l’enfance. Le fils de l’un fera appel à son oncle au lieu de son père et de cet événement, le regard de cet homme sur son frère changera et marquera un rapprochement entre les deux. Un sujet sur le devenir d’une fratrie à l’âge adulte et de la tolérance à exercer parfois. Touchant et à visée précise, rapide et juste.
La seconde morte, de Michel Bussi, est une histoire jouissive de rivalité féminine entre deux sœurs. Et même si ce n’est pas d’une grande originalité à la base, on a envie de savoir comment Raphaël, le petit copain de l’une, va s’en sortir entre les deux. La fin est surprenante et aplatit totalement le soufflé. Dommage!
Ceci est mon corps, ceci est mon péché, de Maxime Chattam, est une énigme tordue à souhait pour fin gourmet autour d’un serial killer de talent. Un concentré de vengeance aveugle envers des frères et des sœurs heureux qui ne connaîtront jamais le reste de leur fratrie. Un très bon moment de lecture!
Suit, avec Frères Coen, un délire de mots loufoque et décousu pondu par Stéphane de Groodt, avec l’humour léger et les jeux de mots en cascade qui le caractérisent autour d’une rencontre improbable avec les frères Coen sur la Croisette. Belle performance mais qui me laisse froide car ce n’est absolument pas mon style.
Avec La main sur le cœur de François d’Épenoux, deux sœurs et un petit frère ne se parlent plus mais honorent une demande de leur mère: reproduire une photo d’enfance de la fratrie réunie et déguisée. Belle histoire malheureusement trop fréquente de frères et sœurs que la vie, les rancœurs passées et les règlements de succession ont séparé. Une nouvelle qui laisse un goût amer au final…
Aleyna de Karine Giébel est certainement la nouvelle qui m’aura le plus bouleversée de ce recueil! Une histoire de famille, de fratrie bien sûr, mais surtout un récit sur le poids de la religion, des traditions, d’honneur mal placé, du drame et de l’horreur indicible que vivent tant de jeunes femmes encore au XXIe siècle! Une petite histoire percutante, qui nourrit la rage devant ces victimes et la vigilance féminine de la femme occidentale.
Un auteur américain s’est glissé dans ce recueil avec Douglas Kennedy et Tu peux tout me dire. Oui, dis-moi tout et je m’en servirai contre toi. Que tu sois mon frère ou le voisin de palier… C’est en substance la leçon qu’apprend un neveu se confiant à sa tante sur ses déboires conjugaux, laissant filtrer au passage quelques confidences sur son propre père. Le père et sa sœur donnaient le change en famille… mais là encore, même dans le cercle familial, l’image d’Épinal d’un monde parfait n’est que douce illusion. Une réflexion amère sur le lien, ou son absence, entre frère et sœur…
Avec le Fils unique d’Alexandra Lapierre, nous parlons aussi des secrets de famille, des apparences trompeuses avec Paul, un enfant unique qui en a souffert toute sa vie et dont l’épouse n’aura jamais d’enfant. Mais il n’est pas au bout de ses surprises… Ce récit de Paul démontre qu’appartenir génétiquement à la même famille ne créé en aucun cas les liens de complicité et d’affection. Mais n’ayant pas senti d’émotions dans ce récit un peu plat, je n’ai pas aimé ces secrets de famille…
Agnès Ledig, avec Karen et moi, nous offre l’illustration de l’expression « comme un frère » ou « comme une sœur »… Vous connaissez certainement le proverbe: « On choisit ses amis, on ne choisit pas sa famille. »? Mais comme la famille est censée être le noyau dur de toute une vie, le creuset des liens les plus forts, on ressent souvent l’envie de comparer un(e) ami(e) à un frère (sœur). Et l’histoire de Christophe et Karen en est le parfait exemple. Un peu plat, tout de même…
Perplexe, je suis restée, devant La robe bleue de Nadine Monfils… Deux sœurs tenant un bar dans un coin paumé, sans réelle existence, sans réel lien que celui de l’habitude. Une histoire de solitude plus certainement qu’un récit sur ces deux sœurs… Je passe…
Le premier Rom sur la Lune de Romain Puértolas est le constat du rêve d’un Eldorado avorté, de tous les rêves non réalisés.
Mais quel que soit le dénuement dans lequel un être se retrouve, il n’a pas encore tout perdu quand on aime et qu’on est aimé.
La relation entre entre un frère et une sœur, jumeaux de surcroît, est touchante et le récit est triste.
Une tentative trop courte de susciter le questionnement sur ceux qui ne bénéficient pas de tout le confort matériel dans notre société moderne, de l’accueil ou du rejet des étrangers..
Et pour conclure, dans Jumeaux, trop jumeaux, Bernard Werber nous conte le parcours de deux frères jumeaux séparés à la naissance, élevés dans des familles totalement opposées. Ils vont se confronter pour la première fois dans des conditions aberrantes.
Le mystère de la gémmellité monozygote va vous scotcher au fond de votre fauteuil. Le lien dépasse toute raison et reste une particularité tellement exceptionnelle qu’elle subjugue les individus « normaux » que nous sommes.
Un petit régal en dessert, même si la morale le réprouve!
La seconde partie de ce recueil m’a bien moins enthousiasmée que la première! Je relève qu’aucun des auteurs n’aura traité de la fratrie en situant principalement son action dans l’enfance. Je m’interroge… les auteurs ont préféré parler des conséquences à l’âge adulte et plus souvent de l’éloignement qui résulte de notre avancée dans l’âge… J’aurais pourtant bien vu une mère ou un père témoigner avec un peu de recul de la relation dans une jeune fratrie…
Dans la mesure où douze écrivains se côtoient dans un même bouquin, il n’est pas aisé que tous remportent mon suffrage. Mais les nouvelles que j’ai adorées compensent celles qui m’ont laissée un peu froide. C’est toujours une lecture très sympa en tout cas et bravo aux auteurs qui, pour la majorité, jouent très bien le jeu de l’exercice d’écriture autour d’un thème imposé!
February 10, 2018
Encore un recueil sympathique de 12 nouvelles centrée sur la thème "frères et sœurs".
Ce qui est bien avec ces recueils et le grand nombre d'auteurs c'est la diversité des genres. Alors certaine sont plaisantes et il y en a d'autres avec lesquelles on accroche moins.
Dans l'ensemble je les ai pratiquement toute apprécié et j'ai pu ainsi découvrir des auteurs que je ne connaissais pas.
Ce qui est bien avec ces recueils et le grand nombre d'auteurs c'est la diversité des genres. Alors certaine sont plaisantes et il y en a d'autres avec lesquelles on accroche moins.
Dans l'ensemble je les ai pratiquement toute apprécié et j'ai pu ainsi découvrir des auteurs que je ne connaissais pas.
August 22, 2021
Douze nouvelles et autant de liens différents entre frères et sœurs. Un lien indéfectible, quels que soient les sentiments associés. J'ai trouvé ces nouvelles dans l'ensemble très sympa et bien écrites, même si certaines sont dures à lire (Aleyna de Karine Giebel m'a particulièrement émue).
August 16, 2023
J'ai beaucoup apprécié dans la globalité, c'était vraiment de bonnes lectures. Mise à part une ou deux (j'ai définitivement un problème avec R. Puértolas ^^'), on oscille entre les frissons et les belles émotions. Il faut que je me procure les autres :)
November 11, 2016
Françoise Bourdin : Cent balles
Après avoir lu Berill ou la passion en héritage, j'ai facilement retrouvé le style de l'auteure.
Dans cette nouvelle il est question de deux frères, opposés dans leur façon de vivre : l'un plutôt bourgeois, l'autre bohème qui vient toujours le taxer. Les différences empêchent-elles l'amour fraternel ?
Michel Bussi : La seconde morte.
Je n'avais jamais lu cet auteur même si son nom est loin de m'être inconnu. C'était donc une découverte et ce texte est touchant. Aurélie a une grande soeur, plus belle, plus talentueuse, plus ci, plus ça... Tout le monde la remarque, elle, Alexandra, même le fiancé d'Aurélie. Comment vivre dans l'ombre de cette soeur si parfaite quand on est plus que banale ? Bonne question et une fin tout à fait surprenante !
Maxime Chattam : Ceci est mon corps, ceci est mon péché
Je ne le présente plus ^^ J'adore tout ce qu'il écrit et une fois de plus, j'ai été ravie !
Il y avait comme un rappel à In Tenebris qui est mon favori. Nous avons affaire à une enquête sur un tueur en série très particulier. Jusqu'au bout je me suis demandée où était la thématique fraterie et bam ! Vous ne serez pas déçus !!
Stéphane De Groodt : Frères Coen
Plus un texte à jeux de mots qu'une nouvelle. C'est très court, 4 ou 5 pages maxi. Je n'ai pas accroché, un humour qui ne m'a pas touchée. Je me suis un peu demandée ce que ce texte faisait là...
François d’Epenoux : La Main sur le coeur
Racontée par le petit frère qui n'est plus un enfant. L'histoire d'une fraterie éclatée et bien triste. J'espère vraiment ne pas finir comme ça avec mes frères et soeurs ! Même si ce n'est pas toujours simple.
Karine Giebel : Aleyna
Une histoire très dure et totalement d'actu. Aleyna doit épouser un homme du bled, que sa famille lui a choisi. Elle refuse, elle veut vivre libre dans son pays libre ! Mais sa famille ne l'entend pas ainsi et persiste dans des coutumes barbares d'un autre temps...
J'ai été très touchée par ce texte.
Douglas Kennedy : Tu peux tout me dire
Ou comment la trahison peut aussi venir de son propre sang ? Encore un tableau peu joyeux de l'esprit de famille.
Alexandra Lapierre : Fils unique
Une histoire à la fois triste et heureuse ! A l'opposé de l'histoire précédente, là on se dit que malgré tout : rien ne vaut la famille :)
Agnès Ledig : Karen et moi
Pas de fraterie au sens propre. Mais plus l'idée que parfois, la famille, on la choisi et ce sont nos amis ♥
L'histoire est raconté par l'homme, j'ai trouvé ça original vu le contexte.
Nadine Monfils : La Robe bleue
Une histoire touchante, au coeur d'un bar pour les laissés pour compte. Presque un air de Germinal dans l'air avec ces pauvres gens. L'héroïne m'a fait de la peine. Glauque mais le sort de tellement trop de gens :/
Romain Puértolas : Le Premier Rom sur la Lune
Une vraie surprise ! Un rom qui a atterrit sur la lune avec son caddie et ses amas de cuivre. Comment ? On le découvre petit à petit. Une triste chute.
Cette nouvelle nous donne une leçon de vie. Sujet d'actualité encore aujourd'hui :/
Bernard Werber : Jumeaux, trop jumeaux
On sent la patte science fiction, et pourtant, je me suis demandée si ça pourrait arriver ! Après tout, j'ai déjà vu des reportages où des jumeaux qui ne se connaissaient pas avaient des vies très similaires.
Une nouvelle très sympa !
http://lireoudormir.blogspot.fr/2016/...
Après avoir lu Berill ou la passion en héritage, j'ai facilement retrouvé le style de l'auteure.
Dans cette nouvelle il est question de deux frères, opposés dans leur façon de vivre : l'un plutôt bourgeois, l'autre bohème qui vient toujours le taxer. Les différences empêchent-elles l'amour fraternel ?
Michel Bussi : La seconde morte.
Je n'avais jamais lu cet auteur même si son nom est loin de m'être inconnu. C'était donc une découverte et ce texte est touchant. Aurélie a une grande soeur, plus belle, plus talentueuse, plus ci, plus ça... Tout le monde la remarque, elle, Alexandra, même le fiancé d'Aurélie. Comment vivre dans l'ombre de cette soeur si parfaite quand on est plus que banale ? Bonne question et une fin tout à fait surprenante !
Maxime Chattam : Ceci est mon corps, ceci est mon péché
Je ne le présente plus ^^ J'adore tout ce qu'il écrit et une fois de plus, j'ai été ravie !
Il y avait comme un rappel à In Tenebris qui est mon favori. Nous avons affaire à une enquête sur un tueur en série très particulier. Jusqu'au bout je me suis demandée où était la thématique fraterie et bam ! Vous ne serez pas déçus !!
Stéphane De Groodt : Frères Coen
Plus un texte à jeux de mots qu'une nouvelle. C'est très court, 4 ou 5 pages maxi. Je n'ai pas accroché, un humour qui ne m'a pas touchée. Je me suis un peu demandée ce que ce texte faisait là...
François d’Epenoux : La Main sur le coeur
Racontée par le petit frère qui n'est plus un enfant. L'histoire d'une fraterie éclatée et bien triste. J'espère vraiment ne pas finir comme ça avec mes frères et soeurs ! Même si ce n'est pas toujours simple.
Karine Giebel : Aleyna
Une histoire très dure et totalement d'actu. Aleyna doit épouser un homme du bled, que sa famille lui a choisi. Elle refuse, elle veut vivre libre dans son pays libre ! Mais sa famille ne l'entend pas ainsi et persiste dans des coutumes barbares d'un autre temps...
J'ai été très touchée par ce texte.
Douglas Kennedy : Tu peux tout me dire
Ou comment la trahison peut aussi venir de son propre sang ? Encore un tableau peu joyeux de l'esprit de famille.
Alexandra Lapierre : Fils unique
Une histoire à la fois triste et heureuse ! A l'opposé de l'histoire précédente, là on se dit que malgré tout : rien ne vaut la famille :)
Agnès Ledig : Karen et moi
Pas de fraterie au sens propre. Mais plus l'idée que parfois, la famille, on la choisi et ce sont nos amis ♥
L'histoire est raconté par l'homme, j'ai trouvé ça original vu le contexte.
Nadine Monfils : La Robe bleue
Une histoire touchante, au coeur d'un bar pour les laissés pour compte. Presque un air de Germinal dans l'air avec ces pauvres gens. L'héroïne m'a fait de la peine. Glauque mais le sort de tellement trop de gens :/
Romain Puértolas : Le Premier Rom sur la Lune
Une vraie surprise ! Un rom qui a atterrit sur la lune avec son caddie et ses amas de cuivre. Comment ? On le découvre petit à petit. Une triste chute.
Cette nouvelle nous donne une leçon de vie. Sujet d'actualité encore aujourd'hui :/
Bernard Werber : Jumeaux, trop jumeaux
On sent la patte science fiction, et pourtant, je me suis demandée si ça pourrait arriver ! Après tout, j'ai déjà vu des reportages où des jumeaux qui ne se connaissaient pas avaient des vies très similaires.
Une nouvelle très sympa !
http://lireoudormir.blogspot.fr/2016/...
March 27, 2016
Comme chaque année, j’ai acheté ce livre vendu au bénéfice des restos du cœur. Mais pas seulement, par curiosité pour connaitre les différentes histoires écrites autour du thème frère et sœur.
Je ne vais pas vous parlé de toutes les nouvelles qui composent ce recueil mais seulement de celle que j’ai le plus et moins aimé.
Tout d’abord, je n’ai pas du coût adhéré à la nouvelle Les frères Coen de Stéphane de Groodt. Je n’ai pas compris le but de cette histoire et je n’ai pas adhérer aux jeux de mots faits par l’auteur. Heureusement que c’est la plus courte des nouvelles de ce livre.
Karen et moi d’Agnès Ledig est une très belle histoire qui nous prouve qu’un lien frère-sœur n’est pas forcément un héritage du sang.
La seconde morte de Michel Bussi est un roman très surprenant, je me suis laissée embarquée dans l’histoire de cette jeune fille jalouse de sa sœur. La fin m’a plus que surprise.
Fils unique d’Alexandra Lapierre est là aussi une très belle histoire à propos de ce fils unique qui rêve d’une famille unique et qui va peut-être l’obtenir…
Mon coup de cœur va à Aleyna de Karine Giebel. C’est la nouvelle qui m’a le plus marqué, cette jeune fille enchaîné aux traditions familiales.
Les autres histoires m’ont plus ou moins emportée. A noter que l’histoire de Maxime Chattam est glaçante à souhait et que celle de Romain Puértolas vient d’une autre planète.
En bref, globalement j’ai bien apprécié ma lecture, les auteurs ont écrit des histoires avec leur cœur et leur imagination pour servir cette cause. Je lirai avec plaisir le prochain recueil s’il y en a.
Je ne vais pas vous parlé de toutes les nouvelles qui composent ce recueil mais seulement de celle que j’ai le plus et moins aimé.
Tout d’abord, je n’ai pas du coût adhéré à la nouvelle Les frères Coen de Stéphane de Groodt. Je n’ai pas compris le but de cette histoire et je n’ai pas adhérer aux jeux de mots faits par l’auteur. Heureusement que c’est la plus courte des nouvelles de ce livre.
Karen et moi d’Agnès Ledig est une très belle histoire qui nous prouve qu’un lien frère-sœur n’est pas forcément un héritage du sang.
La seconde morte de Michel Bussi est un roman très surprenant, je me suis laissée embarquée dans l’histoire de cette jeune fille jalouse de sa sœur. La fin m’a plus que surprise.
Fils unique d’Alexandra Lapierre est là aussi une très belle histoire à propos de ce fils unique qui rêve d’une famille unique et qui va peut-être l’obtenir…
Mon coup de cœur va à Aleyna de Karine Giebel. C’est la nouvelle qui m’a le plus marqué, cette jeune fille enchaîné aux traditions familiales.
Les autres histoires m’ont plus ou moins emportée. A noter que l’histoire de Maxime Chattam est glaçante à souhait et que celle de Romain Puértolas vient d’une autre planète.
En bref, globalement j’ai bien apprécié ma lecture, les auteurs ont écrit des histoires avec leur cœur et leur imagination pour servir cette cause. Je lirai avec plaisir le prochain recueil s’il y en a.
April 28, 2016
Comme dans l'édition 2015, il y a dans ce petit recueil :
- des nouvelles cools.
- des nouvelles sympas.
- des nouvelles "moui ok oui".
- des nouvelles WTF.
À vous de deviner lesquelles ! (mouahah)
Un poil en dessous de l'édition 2015 mais Quoi qu'il en soit, l'intention reste louable/géniale/superbe :-)
Jetez vous dessus, c'est pour la bonne cause !
- des nouvelles cools.
- des nouvelles sympas.
- des nouvelles "moui ok oui".
- des nouvelles WTF.
À vous de deviner lesquelles ! (mouahah)
Un poil en dessous de l'édition 2015 mais Quoi qu'il en soit, l'intention reste louable/géniale/superbe :-)
Jetez vous dessus, c'est pour la bonne cause !
December 1, 2015
3.5 mais i'arrondis à 4 parce que c'est pour la bonne cause. Les nouvelles qui m'ont le plus marquée sont celles de Michel Bussi, Maxime Chattam et Karine Giebel (surtout les deux dernières d'ailleurs).
March 19, 2016
Recueil de nouvelles agréables à lire, mais d'un niveau un peu décevant par rapport à celles de l'an dernier...
December 24, 2015
Il se laisse bien lire, certains auteurs ont vraiment écrit de belles nouvelles. J'ai préféré celui de l'année dernière personnellement.
Read
January 2, 2016Un bon condensé de nouvelles mémorables.
February 7, 2016
Facile à lire, certaines nouvelles m'ont beaucoup plu
Read
February 16, 2016Une jolie façon de découvrir de nouveaux auteurs autour d'un même thème : frère et sœur.
May 15, 2016
L'idée eat belle ! Et Je recommencerai ..... Mais honnêtement beaucoup de
Nouvelles dans cet opus n'ont pas beaucoup de "corps" .... Aucun coup de cœur ! C'est dommage .
Nouvelles dans cet opus n'ont pas beaucoup de "corps" .... Aucun coup de cœur ! C'est dommage .
March 22, 2016
Bof bof bof .... Il y une ou deux histoires sympa le reste est bof ... Déçue
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