Jump to ratings and reviews
Rate this book
Rate this book
Mystères et sortilèges !

À la maison, rien ne va plus depuis qu’Élie et son frère Karl ont perdu leurs parents. Karl nourrit une obsession absurde pour les canards en plastique et leur tante Magalie se met à fabriquer des badges à la chaîne.

Le jour où l'adolescente surprend des messes basses entre eux deux où il est question d'un Ordre mystérieux et de sortilèges, Élie se demande si elle n'est pas la seule personne saine d'esprit de sa famille... Intriguée par tant de cachotteries, la voilà bien décidée à découvrir la vérité sur sa famille et ses secrets si bien gardés !

Bonus: découvrez vos propres pouvoirs en répondant au questionnaire F.21.A de dépistage de magie !

466 pages, Kindle Edition

First published May 21, 2014

1 person is currently reading
40 people want to read

About the author

Lise Syven

37 books23 followers
Née en 1978 au Havre, Lise Syven vit aujourd’hui dans le Finistère nord et exerce le métier d’informaticienne.

Passionnée par le côté obscur de la force, les super-héros, les dragons, les vaisseaux spatiaux, le XIXème, les monstres, elle souffre d’une addiction aux livres depuis l’enfance.

Elle livre des réflexions sur l’écologie, l’humanité, la quête de soi à travers ses écrits tour à tour humoristiques et merveilleux. Ses romans d’imaginaire proposent des univers foisonnants et complexes, tandis que ses textes contemporains portent un regard amusé et tendre sur notre époque.

Finaliste du Prix Imaginale Jeunesse, publiée en Russie, en Allemagne et en Italie, elle est l’autrice de onze romans en adulte et en jeunesse.

Ratings & Reviews

What do you think?
Rate this book

Friends & Following

Create a free account to discover what your friends think of this book!

Community Reviews

5 stars
22 (29%)
4 stars
22 (29%)
3 stars
23 (30%)
2 stars
5 (6%)
1 star
3 (4%)
Displaying 1 - 9 of 9 reviews
Profile Image for Kurukka.
127 reviews2 followers
December 4, 2017
Au vu des critiques élogieuses que ce livre n'a cessé de recevoir et que la plupart des ouvrages du genre reçoit, une question s'impose : avons-nous si peu de goût en France quant à la littérature de l'imaginaire pour ados ? Les écrivains français rament dans ce domaine, pour beaucoup de raisons, impossible de le nier. Et ça commence vraiment à me faire chier.

Ce livre n'est pas bon. Ni pour les adultes ni pour les ados (surtout pas pour les ados). Ce pavé de presque 500 pages aurait pu tenir sur moitié moins. Le babillage inutile s'accumule et le rythme est celui d'un vieillard en fin de vie attaché à sa bouteille d'oxygène. Les personnages passent leur temps à manger. Ça bouffe, mais qu'est-ce que ça bouffe ! Non mais vraiment. Presque chaque chapitre contient une description pointue de leurs repas quotidiens. On mange sa purée, on va en cours de français, d'histoire, on rentre en bus, on s'applique du beurre de karité sur les cheveux : "Je me rince, j'applique un masque au beurre de karité." Le résumé du livre lui-même est assez ironique, on parle de canards en plastique dont on n'a littéralement rien à foutre : les personnages s'en servent juste occasionnellement pour pratiquer leur magie. Autre exemple : "Ensuite, il aménagera un coin informatique dans la chambre d'ami pour jouer en réseau le soir." Karim joue donc en réseau le soir. Voilà qui nous fait une belle jambe. Les dialogues se révèlent eux-mêmes pénibles, c'est du registre de "Allô, oui c'est Élie, passe-moi le sel", etc. Le récit à la première personne est inapproprié : on balance entre le langage ado et le style plus éduqué d'une adulte et ça passe très mal, d'autant plus que les personnages s'envoient des textos en langage SMS.

L'intrigue souffre énormément de ce rythme de tortue asthmatique et il faut attendre plus de la moitié avant que les choses ne commencent à peine à bouger. Lorsque Élie découvre sa magie, c'est à peine si elle est déboussolée. "Je suis magicienne, ohlalala, okay." Même chose lorsqu'elle découvre qu'une créature non-identifiée habite dans les murs. D'accord et tu dors bien la nuit, sinon ? On ne nous explique pas le fonctionnement de l'Ordre Magistral, nom de code pour le Ministère de la Magie, parce que tout peut se rapporter à Harry Potter dans cet univers et l'auteur fait même référence à l'Ordre du Phénix (par ailleurs, les références à la pop culture sont vraiment lourdes, entre Arsène Lupin, le SDA, Mad Men... Non, quoi). Élie ne se soucie pas qu'on lui ait menti toute sa vie sur sa condition de mage, et d'ailleurs, quel est l'intérêt de le lui cacher, puisque la narration nous bassine avec le concept des liens familiaux, de l'héritage, etc ? Même les mages entre eux osent à peine en parler.

Le fonctionnement des différentes magies est à peine survolé et on se demande à quoi sert seulement cet univers. Quel en est l'intérêt ? Quels sont les enjeux ? On nous parle d'un objet dissimulé qui pourrait se révéler être une arme profitable pour les moins scrupuleux et dont la famille d’Élie est en possession. La résolution de ce (moindre) conflit arrive bien trop tard et de piètre manière. Tout est résolu en quelques paragraphes décevants sans véritable action. Déjà peu originale, l'intrigue est également piétinée par les histoires de collégiens qui ont suffi à m'achever d'ennui. Faire du fantastique pour le simple plaisir de balancer un dragon ici et des sortilèges par-là, ça n'a aucun intérêt pour le genre.

Le langage des personnages, et d’Élie en particulier, est sexiste. J'en suis encore furieuse. Je blâme la première personne qui n'est pas appropriée à des personnages de cet âge, engoncés dans une vision étriquée des relations sociales et qui les transmettent invariablement aux lecteurs du même âge. Nous avons Ombrage, pardon, une haute fonctionnaire du nom de De Tresnay qu’Élie qualifie tour à tour de "folle hystérique", de "folle furieuse, de "sorcière", de "vipère", (Adam et Eve, le serpent et la pomme, tout ça...) et un personnage masculin l'insulte de "truie". Des insultes systématiquement utilisées envers les femmes. Élie se soucie aussi de son poids, BIEN SÛR, tandis que son frère mange allègrement comme un ogre. Mais attention, Elie reste très jolie, intelligente, sympa et comme les héroïnes du genre, elle ne s'en rend pas compte mais elle plait aux garçons (elle pourrait plaire aux filles aussi mais on s'en fout des LGBT dans ce livre). L'auteur a tout de même le culot de faire dire à un de ses personnage qu'untel est misogyne d'un ton outré, comme si cela suffisait à prouver... quoique ce soit ? Non, vraiment, c'est l'hôpital qui se moque de la charité. Encore un autrice "féministe" qui ne sait absolument pas de quoi elle parle.

Les relations entre les ados (tous hétérosexuels, bien évidemment) sont aussi problématiques : des filles se déchirent pour un garçon, ce garçon même qui poursuit Élie pour qu'elle sorte avec lui et qui finit par céder (en un paragraphe) parce qu'il est quand même super mignon. Le comble, c'est qu'elle se demande quand même s'il n'use pas de magie sur elle pour la forcer à sortir avec lui. Se poser la question de savoir si notre partenaire nous manipule ou pas, ce n'est pas le signe d'une relation bien partie. C'est grave, d'autant plus que ce moment tient en une ligne aberrante : "Max et moi avons rompu quelques jours à cause d'une dispute stupide. Nous nous sommes ensuite remis ensemble parce que j'ai du mal à lui résister quand il me regarde dans les yeux. Et j'ai vérifié à l'aide d'un sort de révélation que maître Dörst nous a appris : il n'utilise pas de magie à mon encontre." en gros -> "Ouf, tout va bien, il n'abuse pas de moi, je me demandais quand même..." O_O Mon Dieu.

Le thème du deuil est aussi trop superficiel. Élie pleure ici et là, et la règle du show dont tell est oubliée. Élie nous dit que sa vie a été chamboulée, qu'elle est triste, que ci, que ça. On ne le sent pas. Sa vie de famille avec sa tante, devenue sa tutrice, est finalement très facile, trop facile, on a du mal à s'imaginer que la vie des enfants a effectivement changé et que la perte de ses parents soit si tragique. L'émotion est mal gérée et n'a pas soulevé la moindre tristesse en moi.

Pour revenir à la première personne, le point de vue d'une ado n'est pas une excuse. Écrire pour les ados, ce n'est pas devoir s'abaisser à eux, bien au contraire. L'auteur a une responsabilité, celle de transmettre un propos réfléchi, adulte, une vision du monde qui bousculera leurs idées préconçues. Ce n'est pas en s'acharnant à reproduire le quotidien dans lequel les adolescents évoluent qu'on leur rend service. À trop se préoccuper de ce qu'ils semblent vouloir, de chercher à tout prix à leur présenter des personnages auxquels ils peuvent "s'identifier" (où est le propos identitaire dans la retranscription des textos et le débitage d'insultes sexistes, je me demande...), on oublie qu'on a le devoir d'éduquer leur intelligence. De leur montrer le monde et les gens dans toute leur diversité, de pointer du doigt les maux de la société.

La cerise sur le gâteau, c'est la partie Bonus de la fin, complètement hallucinante : un test façon magazine féminin à la con pour savoir quel genre de mage on est, avec toutes les possibilités de réponses ridicules qu'on peut imaginer. Notamment, dans la partie "Si un garçon/une fille vous intéresse..." où il y a la possibilité de cocher "Vous kidnappez son animal de compagnie et vous le lui ramenez triomphalement afin de conquérir son coeur". Alors que l'auteur nous bassine sur l'importance de ne pas manipuler les gens pour son gain personnel ? Faut arrêter de se foutre du monde.

Inutile. Ce livre est inutile. Son seul mérite est d'avoir un peu de diversité raciale.

"Que veulent les adolescents ?" se demande le milieu de l'édition. On s'en tamponne de ce qu'ils veulent, putain. Cette question est purement commerciale. La vraie question, c'est, "Que devons-nous leur proposer ?" Sûrement pas ce livre, en tout cas.
Profile Image for Marika.
Author 29 books63 followers
July 23, 2016
J'ai vraiment beaucoup aimé! Si j'avais pu, je l'aurais lu d'une traite.
Je n'ai pas l'habitude de lire des livres avec des héroïnes aussi jeunes (ou alors je n'aime pas, ou alors elles s'appellent Harry), et du coup ça me changeait pas mal.
Niveau intrigue, en tant qu'adulte, ce n'était pas très poussé, mais justement, même sans l'effet "surprise", "où vais-je me faire emmener", "qu'est ce qu'on me cache" etc (j'insiste, en tant qu'adulte à qui on ne la fait plus :) ado, j'aurais couru a 300 a l'heure), ben je me suis pas ennuyée une seule page et je n'ai pas eu envie de le reposer une seule fois (et je n'ai pas levé les yeux au ciel une seule fois non plus, fait ô combien rare, puisque ça m'arrive constamment, même pour des bouquins que j'adore au final).
Je me suis beaucoup attachée aux personnages, tous, que ce soit Élie, qui est vraiment une ado chouette et pas cruche, son frère, sa tante et Karim, et les relations entre eux étaient vraiment un régal de "véracité". C'est un truc que j'aime en lisant, que même dans les univers fantastiques on ait une impression de vraie vie, et là c'est carton plein.
J'ai aimé aussi ces tranches "histoires d'adultes" vues par les yeux d'un "enfant" (qui ne l'est plus, elle est ado, mais c'est pas encore tout à fait de son âge non plus) avec Mag, Karim et David. J'ai trouvé ça très touchant et ça m'a émue, je me suis bien identifiée à Mag pour son histoire d'ex amour vs nouvel amour (et, par identifiée, je veux dire que mon petit cœur a vibré).
Et finalement, deuxième truc non négligeable pour mes goûts: le style est parfait. C'est bien écrit, fluide, simple. En fait, c'est en lisant ce genre de plume que je me souviens de l'adage qui dit qu'écrire quelque chose de simple est très compliqué. Le style de Syven est un régal et, venant de la vieille chouette que je suis, ce n'est pas un demi compliment: on entend Élie, rien qu'Élie, et c'est parfait.

En gros, si vous n'aviez pas encore compris, j'ai adoré.
Profile Image for Emma Valieu.
Author 18 books31 followers
September 9, 2018
En dépoussiérant ce livre, j'ai regardé le quatrième et ai pensé : si j'étais dans une librairie et que j'avais ce livre dans les mains, je le reposerais sans l'acheter.
Or, je l'avais déjà acheté, il y a 4 ans de cela et l'ai ressorti puisque l'auteure sera présente aux Halliennales le mois prochain...
Bon, comment dire...

On pourrait me dire "Bah oui mais tu lis des livres pour les djeuns alors que tu as âge dissimulé pour votre sécurité " et je répondrais "Bah oui mais prenez Harry Potter, c'est un ptit gamin et pourtant son histoire est vachement plus intéressante que celle d'Élie, 13 ans, orpheline qui se découvre Subliminale (un équivalent de magicienne, pour résumer vulgairement) mais qui est plus intéressée par sa façon de pétrir la pâte (sic) que par cette nouvelle grandiose (d'être Subliminale, donc), qui survient tout de même à peine 3 mois après le décès de ses deux parents. La pétiote, au bout de seulement 3 mois, elle sent déjà qu'elle va mieux ! C'est peut-être grâce à son quotidien super captivant, soit prendre le petit-déjeuner, prendre le bus, retrouver ses copines, critiquer ce si beau garçon qui n'a d'yeux que pour elle mais qu'elle ne veut pas, ce si beau garçon qui lui plaît tant mais qui n'a pas d'yeux que pour elle, sa super copine qui boude/qui boude pas, cet homme super étrange qui la suit partout (mais seulement dans le bus, étrange étrange vous dis-je), aller en cours, aller aux toilettes, écouter aux portes, éloigner cet homme - ex de sa tante (tante qui a hérité des rejetons, bien-sûr) - qu'elle n'apprécie pas trop parce qu'elle préfère son chéri actuel...
Ok, on dit que les ados d'aujourd'hui ne sont pas réputés pour être des lumières. Mais où est l'intérêt de les décrire si insipides dans un roman ? Ne devrait-on plutôt pas avoir un but contraire ? Histoire de les inciter à rêver, à vouloir se dépasser, des trucs comme ça, comme tout bon roman pour ado ? Parce que là, je vous le dis clairement, il ne se passe rien . Mais rien, rien . Alors y a effectivement eu pas mal d'action dès la seconde partie du roman parce que j'ai tourné les pages beaucoup, beaucoup plus vite. Y a des livres qui ont le don de vous faire devenir lecteur-flash, c'est d'ailleurs bien la seule magie que j'ai trouvé dans Subliminale.
Profile Image for Jo Ann.
Author 36 books33 followers
August 12, 2016
Si je vous dis que je n’aime pas les adolescents, vous m’en voudrez ? Non, parce que, j’ai une fâcheuse tendance à arriver devant un livre avec une multitude d’a priori et je sais que c’est mal, mais que voulez-vous, je ne suis qu’humaine.
Donc, reprenons : je n’aime pas les adolescents. Ou plutôt, je n’aime pas l’adolescence. On arrive tous à cet âge en ayant l’impression d’être grand, de tout savoir sur tout, alors qu’on n’a encore rien vécu (enfin, il y a des cas plus extrêmes que d’autres). Élie et Karl n’échappent pas à cette phase ingrate. Et encore heureux. (Va-t-elle se décider, m’enfin.)
Élie et Karl viennent de perdre leurs parents, leur vie est totalement chamboulée, mais pas que la leur. Leur tante Magalie décide de venir vivre avec eux. Elle fait de son mieux, mais on voit que c’est (un peu) galère. Son copain, Karim, est très conciliant, il la soutient, mais la situation n’est pas toujours facile. Le pire, c’est lorsqu’Élie découvre qu’on lui a caché des informations importantes. Non, parce que, être issue d’une famille de magiciens, ce n’est pas juste cacher un oncle embarrassant, ça change absolument tout ! Et quand on est sous surveillance aussi ! Après la mort des parents, il y a un peu trop de « nouveautés » à assimiler.
Heureusement pour elle, elle a sa meilleure amie Fatou, le frère de cette dernière Diomé. Et puis, il y a les intrigues de couloirs du collège, les premières amours, les premières ruptures (amicales), aussi. Les découvertes habituelles de la jeunesse quand on n’a pas peur d’être kidnappé…

Le texte que nous offre Lise Syven est fluide et se lit d’une traite. Ses personnages sont réels et réalistes, les discussions bêtes qu’on peut avoir à cet âge le sont également. Il y a même ces moments où on se dit « bon sang, mais on est idiots, quand même ».
Point bonus pour la diversité de ses personnages !
Mon seul regret, et encore minime, est la langue. Élie est la narratrice et elle ne parle pas du tout comme on parlerait (à mon avis) à 13 ans, et ça m’a quelques fois sortie de ma lecture, mais rien de très méchant.
Profile Image for Silène Edgar.
Author 37 books36 followers
May 21, 2016
Voici le premier roman jeunesse de Lise Syven, dont le rythme et l'humour devraient vous séduire. Auteure de deux romans très réussis aux éditions du Riez, dont La Guerrière fantôme accessible aux lycéens, l'auteure invente ici un univers incroyable et j'adore sa façon de mêler les éléments de sa vision du monde à une intrigue pleine d'énergie et de rebondissements : il en sort un livre intelligent mettant au premier plan le plaisir de lecture des ados tout en offrant, au second plan, un tableau discret et délicat de notre société avec ses inégalités.
"Elle va pas le faire ? - Si, elle va le faire... "
Oui, j'ose invoquer Rowling pour parler de la série de Lise Syven ! Elle ne peut éviter la comparaison, elle l'a bien compris et elle en fait un jeu savoureux : il ne s'agit pas de faire pareil ou mieux, mais de rendre un hommage discret et elle y réussit parfaitement.
Parce que, comme la maîtresse anglaise, elle tient brillamment un discours sur le respect des différences grâce à une belle réflexion sur le deuil. Parce qu'elle assume la référence et s'en amuse en plaçant des éléments d'intertextualité subtils et signifiants. Parce qu'elle crée un univers complet et chaleureux où l'ado glanera et son plaisir et une vision saine de notre monde. Pour achever ce panégyrique assumé, ce roman est drôle, très drôle !
Author 1 book
January 27, 2015
Un premier tome riche en émotions et en rebondissements, où ce que l’on voit n’est pas toujours ce que l’on croit. L’histoire est originale mais cela ne l’empêche pas d’être géniale. L’auteure nous fait vivre intensément chaque évènement, nous rendant impossible d’arrêter notre lecture.

Pour commencer, je trouve que ce livre est classé dans une catégorie beaucoup trop limitée : 8-12 ans ! Cependant, il est adapté à tous les âges, comme vous pourrez le voir lors des avis qui suivront !

Cette lecture est un vrai régal, car non seulement l’histoire est géniale, mais les personnages aussi ! En effet, il vaut mieux ici éviter de mettre les personnages dans une case trop vite, car ils se révèlent souvent ne pas être ce que l’on croit. Elie est une héroïne très attachante qui voit sa vie être bouleversée en très peu de temps et son passé remis en question à la lumière de ses récentes découvertes.

Le plus de ce livre, c’est son prix ! On a une lecture assez conséquente pour seulement 10,90 euros ! Franchement, ça donne envie de se jeter dessus !

Conclusion : un premier tome à consommer sans modération avec une fin nette qui nous donne tout de même très envie de lire la suite ! Pour moi, c’est un coup de cœur.
Profile Image for Lire-une-passion.
2,073 reviews48 followers
July 14, 2014
"J'ai adoré m'immerger dans cet univers qui paraît simple au premier abord, mais qui finalement devient de plus en plus complexe. Élie est une personne que j'ai véritablement apprécié de suivre, car malgré son âge, elle est plus adulte qu'il n'y paraît. J'ai eu un petit coup de cœur pour un personnage très, très secondaire : Mirza. Je n'en dirai pas plus et vous laisse découvrir ce premier tome addictif et très recherché. Vivement la suite !"

Chronique complète: http://lireunepassion.blogspot.fr/201...
Profile Image for Citronnade.
106 reviews
September 25, 2016
Même si cela fait bien longtemps que j'ai dépassé la tranche d'âge visée, j'ai bien aimé ce livre. L'histoire est sympathique, les personnages plutôt attachants. L'auteur a réussi à ancrer son récit dans un univers réaliste, aussi bien les relations de famille que le quotidien au collège de l'héroïne étaient décrits de manière authentique et convaincante.

Malgré tout, je mettrais quand même quelques bémols : tout d'abord, concernant la fin. Après une progression relativement lente de l'intrigue, tout est résolu en quelques paragraphes, et pas de façon très originale. C'est un peu décevant, après avoir fait monter la tension, que tout retombe d'un coup comme un soufflé.

L'autre point que je trouve un peu dommage, c'est qu'au final la magie tient peu de place en elle-même. On a plus l'impression qu'il s'agit d'un prétexte à l'intrigue, tous les aspects de cette magie, son fonctionnement, l'Ordre, etc., tout ça est vraiment survolé. De même pour l'objet qui est censé être au centre de l'intrigue : on ne sait rien dessus pendant presque tout le livre, quand on le découvre, ça n'apporte pratiquement rien à l'intrigue... Bref, le type même du MacGuffin. J'aurais aimé un peu plus de développement sur ces aspects, cela aurait vraiment apporté plus d'intérêt et d'enjeux.

Pour conclure, c'est une lecture agréable pour se détendre, mais ne vous attendez pas à beaucoup d'originalité ni de magie : l'accent est plutôt mis sur le quotidien et les relations de l'héroïne avec son entourage (non pas que ça soit une mauvaise chose, mais vaut mieux le savoir avant pour ne pas être déçu !).
Profile Image for Iman Eyitayo.
Author 35 books81 followers
November 3, 2015
Un premier tome qui nous permet de découvrir les protagonistes, leur entourage, la magie, son apprentissage et l'organisation existant autour. En conséquence, l'intrigue est lente à démarrer, ce qui est un peu dommage. Toutefois, l'écriture n'est pas lésée, l'univers est bien mené et sur la fin, il se passe assez de choses pour envisager une suite palpitante. Vu le niveau très jeunesse par contre, je ne sais pas encore si je la lirai :-)

http://imanbooks.blogspot.fr/2015/11/...
Displaying 1 - 9 of 9 reviews

Can't find what you're looking for?

Get help and learn more about the design.