"L’histoire se passe à Alger, au plus noir des années du terrorisme religieux. Un homme raconte sa vie, son pays, les gens. Défilé de personnages quotidiens, de femmes plus ou moins accessibles, d’amours ratées. Il s’agit d’une « histoire entièrement vraie puisque je l’ai imaginée d’un bout à l’autre » écrit en exergue (citant Boris Vian) l’auteur de Maintenant ils peuvent venir, Arezki Mellal. Nom imaginaire, là encore, d’un homme discret par goût, et nécessité. Car il habite Alger et ce qu’il raconte n’est pas du tout dans le “politiquement correct” de la ville. Ne serait-ce que par le portrait fasciné et grinçant de ce personnage incontournable : la Mère. Pour le moins abusive, en tout cas étouffante dans son affection et son autorité. La femme première, celle dont dépendent toutes les autres..."