Véra et Tsiona aiment à se rappeler leur première rencontre, à quatre ans, dans un jardin d’enfants de Tel-Aviv. Véra a grandi entre un père artiste volage et une mère infirmière rangée. Tsiona a perdu son père quand elle était petite. Après le lycée, Véra, la sensible, l’artiste, ne sait pas ce qu’elle veut faire ; Tsiona, l’effrontée, engagée dans un mouvement de jeunes pionniers, va participer à la fondation d’un kibboutz dans le Néguev. Malgré leurs différences, elles partagent leurs joies et leurs peines, jusqu’à l’arrivée de Yossef, le rescapé…
À travers le destin de deux héroïnes qui s’aiment comme deux sœurs, le roman entraîne le lecteur dans la société juive de Palestine, de la fin des années 1920 à la création de l’État d’Israël. Une période peu décrite jusqu’à présent dans la littérature israélienne.
La curiosité de la littérature du moyen-orient m'a poussée à m'offrir ce livre. En toute honnêteté, je me glissais dans ma lecture pleine d'ambition... jusqu'à ne plus supporter les personnages principaux. La lecture a été assez longue. A cause du titre je m'attendais à lire une histoire d'amitié très forte entre les personnages alors que c'était loin d'être le cas. Quant à la fin, elle a fini de me décevoir. Je n'ai même pas vraiment compris l'objectif. Je m'attendais à être plongée dans la culture israélo-palestienne mais pas tant que ça ou du moins pas assez pour que cela soit mon cas. Je vais donc faire une pause dans cette littérature mais j'y reviendrai probablement mais avec un.e auteur.rice !
Globalement j'aii été déçue par ce roman dont je sujet de l'implantation des juifs en Palestine avant la création de l'état d'Israël avait motivé mon achat. L'histoire qui commence bien prend un tour sentimental voir fleur bleu donne une impression de roman superficiel.