Ne sommes-nous pas trop matérialistes ? Avons-nous vraiment « réussi nos vies » parce que nous avons une grande maison ? Le vrai bonheur ne résiderait-il pas dans notre espace intérieur ? Comment vivre pleinement le moment présent sans se soucier des biens matériels ? La vie ne serait-elle pas plus simple si nous nous défaisions de tout ce qui nous encombre ? Après le succès de L’art de la simplicité de L’art de l’essentiel et de L’art de mettre les choses à leur place, c’est une nouvelle façon d’aborder la vie que l’auteur propose dans cet ouvrage : vivre heureux dans un petit espace, c’est accéder au bonheur simple.
Dominique Loreau est une essayiste française qui vit depuis la fin des années 1970 au Japon, où elle propose des séminaires destinés à ceux qui veulent simplifier leur vie. Elle s'est fait connaître grâce à son ouvrage L'Art de la simplicité, paru en 2005.
« Je ne suis pas du tout écrivain », déclare-t-elle. Lorsqu'elle a commencé à rédiger son livre à partir de ses notes personnelles, certains passages s'adressaient spécifiquement aux femmes, d'autres aux hommes, puis elle s'est dit: « Flûte ! Le monde est toujours au masculin, moi je le mets au féminin. C'est une petite plaisanterie ».
L'idée de son livre est née en voyant les citadins japonais « vivre dans tant d'encombrement et de choses, et d'être toujours stressés et fatigués, à chercher leurs affaires, à vivre dans des intérieurs qui sont vraiment pleins à craquer. On ne sait pas où s'asseoir. Et je me dis: "A quoi ça sert tout ça?". »
Dacă există o carte care elogiază locuința mai mult decât „Fericirea trăiește în spații mici”, vă rog să mi-o arătați. Mi se pare că în această carte s-a spus totul, au fost scrise cele mai frumoase cuvinte la adresa spațiului, a casei. Chiar nu am mai citit vreodată o asemenea carte și asta m-a captivat încă de la prima pagină. Atunci când o citeam, cu greu mă abțineam să nu povestesc ceea ce aflam. Este cartea cu care rezonez 1000%, iar asta a făcut-o și mai specială pentru mine.
Dacă, în momentul în care citești cartea ai deja un stil minimalist de a trăi, dacă nu pui preț pe metrii pătrați sau pe acumularea obiectelor, cartea nu îți va aduce nicio idee nouă. Mai mult, în 189 de pagini repată aceleași idei de foarte multe ori, dar și oferă rețete de a trăi "sănătos" universal valabile, indiferent de cultură, locație, mediu sau statut financiar.
Un essai/une réflexion sur le fait qu'on peut être heureux en habitant dans un petit logement plutôt que dans un grand. L'auteur est franche partisane de l'architecture/l'aménagement à la japonaise, ce qui rend son propos plutôt sentencieux par moment. C'est un livre à charge que je ne donnerai pas à quelqu'un qui adore sa grande demeure (le ton employé est suffisant pour braquer) mais plutôt à quelqu'un déjà dans une réflexion sur l'espace nécessaire pour se loger confortablement, le minimalisme... La réflexion engagée par l'auteur très intéressante mais le point de vue pris a de quoi en rebuter plus d'un. Des points très importants sont soulevés en revanche, notamment sur l'indépendance qui vient avec l'acquisition d'un logement, ou le poids de l'endettement lié à l'achat d'une grande demeure et l'entretien nécessaire... Ce livre m'a en tout cas convaincue qu'il est nécessaire de faire appel à quelqu'un d'extérieur pour aménager au mieux son intérieur.
Da, are câteva idei drăguțe despre faptul că fericirea nu se măsoară in metru pătrat. Însă unele idei par a fi prea concentrate pe “independența”: “Dacă in familie există si copii, ar trebui datà o lege prin care să se impună ca barbatul sau femeia care renunță la carieră ca să își crească pruncii să primească un salariu din partea partenerului, salariu al cărui cuantum sa fie calculat in funcție de venituri, la fel ca impozitele. După ce copiii au crescut, persona care a incetat sà mai lucreze pentru ingrijirea copiilor si-ar putea recăpăta serviciul, ca si independenta. Putem foarte bine sa ne traim dragostea fără sa împarțim aceeasi casă. Singurul scop al căsătoriei este acela de a proteja copiii. De ce sa ne căsătorim dacă nu avem urmași? Ar fi la fel de logic să instituim o lege asemănătoare cu căsătoria, dar care sa nu fie decât pe durată determinată, adică timpul necesar pentru a creste copiii!”
Une mise en lumière de thématiques importantes aujourd’hui (surconsommation, attentes sociales, ressources environnementales…). J’aime beaucoup ce genre de lectures qui font un rappel de ce qui compte vraiment et qui reflètent une société dans laquelle il faut toujours plus et où l’on ne sait pas s’arrêter pour apprécier l’essentiel. Pas certaine de la nécessité d’habiter une « mini maison » mais d’accord avec le fait d’arrêter de voir toujours plus grand et savoir se contenter de ce que l’on a, en désencombrant ou en remodelant sa maison au plus pratique. Un livre quelque peu répétitif au final.
Non mi piace neanche un po’ la struttura del libro costituita da piccoli paragrafi di una pagina, una e mezza al massimo (se non solo mezza) che fa sembrare il libro troppo frammentario; lo avrei preferito più discorsivo ma 200 pagine per un libro del genere restano comunque troppe: i concetti di base sono interessanti ma si dilunga eccessivamente risultando ripetitivo. Interessante invece il piccolo approfondimento sull’architettura alla fine del libro che resta comunque troppo breve, avrei forse preferito leggere più pagine del genere.
Drăguță. Am găsit recomandări utile, de la cărți, filme, arhitectura, tehnici japoneze, tot soiul. Parerile sunt pertinente și argumentate. Mie mi-a venit sa o citesc pe diagonala pentru că e destul de repetitivă in idei. Iar unele dintre idei sunt parca prea minimaliste, pentru gusturile mele cel puțin. Util conținutul, fara dubiu. Niciun caz nu am rămas wow. Grafica coperții însă... Chiar deosebita. :) Ei, la final, n-aș zice că m-a convins ca-ar trai fericirea în spatii mici. :)
Un parti pris intéressant avec lequel je suis souvent en accord, néanmoins beaucoup de points de vue sont énoncés comme des vérités générales, ce que j’ai trouvé un peu agaçant. J’ai la sensation que certains arguments sont tirés par les cheveux, ou seulement adaptés à des minorités. Simple et agréable à lire, agrémenté de citations souvent inspirantes, on s’identifie forcément dans certains chapitres.
“Hercule Poirot asezat la o masa splendida- fata de masa alba, tacâmuri de argint, un trandafir intr-o vaza și șervet la gât- și pregătindu-se să își savureze portia de melci, are aerul ca suferă de singurătate?”
Unele aspecte legate de familie și de organizare a casei sau a cheltuielilor pot constitui o provocare destul de mare pentru educația și cultura noastră. Dar, cu siguranță, invită la reflecție și adaptare. Mi-a plăcut felul în care este descrisă libertatea.
Îmi place mesajul transmis: Simplifică, apreciază ceea ce ai; nu trebuie să fii într-o competiție continuă cu toți ceilalți. Foarte diferit de ceea ce ne este transmis prin majoritatea canalelor în ultimul timp. Totuși felul în care e scrisă nu m-a impresionat deloc. Idei repetate și viziuni înguste în unele locuri. Nu cred că tema locuinței poate fi tratată atât de alb/negru. :)
Ideile sunt prezentate destul de superficial, si sunt repetate frecvent, fara abordare critica, fara argumente, fara concluzie in afara de cea care este si premisa cartii - aceea ca un spatiu mic poate fi suficient pentru o viata fericita.
Carte plicticoasa despre avantajele de a trai cu o amprenta cât mai mica. Încearcă sa schimbe omul dupa spațiu: sa îți dorești, folosești, etc cât mai puțin pentru a te adânci in sine, având mulțumire de sine. Un amestec de citate, care se vor potrivite unor idei Zen sau budhiste.
O carte foarte importantă despre cultura japoneză, cultul materialismului care a pus stăpânire pe societate în general, despre cum poți fi feticit chiar dacă nu deții o locuință imensă.
It was an easy read. She makes a lot of good points but doesn't really go into details too much. Sometimes it felt like reading a mash up of blog articles. Would read again to remind myself what's important and how to make a better living for myself
Ce livre m'a permis de faire évoluer ma manière de voir les choses en matière d'habitation.
Plus je dévorais les pages et plus j'étais convaincue par la logique de l'auteur : habiter plus petit pour ne pas vivre au dessus de ses moyens, pour être libre, pour ne pas accumuler des biens matériels qui nous encombrent et nous étouffent, pour vivre- tout simplement - plutôt que de passer son temps à s'occuper de sa (trop grande) maison. Pour ne pas passer des heures à faire des réparations, à faire le ménage... Ne pas passer des années à rembourser une maison qui sera trop grande pour nous une fois que l'on aura fini de la payer. Bref, autant d'arguments auxquels je n'avais même jamais pensés.
En fait, plus que de faire évoluer ma manière de voir les choses, ce livre m'a tout simplement ouvert les yeux sur des questionnements qui ne m'étaient jamais apparus clairement.
On part du principe que plus on grandit, plus on "se doit" d'avoir une grande et belle maison, une "situation" et une vie stable et confortable. Mais se pose-t-on la question de ce que l'on a envie pour soi ?
J'aime beaucoup le parallèle avec le moment où l'on était étudiant et où l'on vivait dans des logements exigües. Était-on malheureux pour autant ? Non, bien au contraire. On était insouciant et libre, deux qualités que l'on a perdues avec les années et avec le poids des biens matériels et des accumulations. Je suis aujourd'hui adulte, mariée avec un enfant et en passe de déménager. Grâce à ce livre, mon mari et moi recherchons maintenant pour notre famille une petite surface où habiter et nous commençons même à nous intéresser aux Tiny House ;) !!
Merci Dominique Loreau de nous permettre, grâce à vos livres, de nous interroger sur ce qui compte vraiment dans nos vies plutôt que de suivre un chemin tout tracé sans se poser de questions.