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Elle a volé le cœur du milieu artistique. Puis elle l’a brisé.
« Depuis le jour où elle a posé le pied à New York, Addison Stone et son art subversif ont fait d’elle une personnalité incontournable. Sa tragique noyade a laissé ses fans et les critiques avides d’en savoir plus sur elle. J’ai mené moi-même les interviews auprès des gens qui la connaissaient le mieux : ses amis proches, sa famille, ses professeurs, ses mentors, ses galeristes, ses petits amis et les critiques d’art. J’ai retracé son parcours tumultueux. J’espère que cette biographie apportera un éclairage différent sur ce qui s’est passé dans la nuit du 28 juillet. »
Adele Griffin
« Certains se demandent s’ils vont oser perturber l’ordre de l’univers. D’autres font exploser ledit univers en mille morceaux pour voir à quoi il ressemblera le lendemain. Pour ceux qui n’ont pas connu Addison, prenez ce livre. Lisez le récit de sa vie. Trouvez-y l’inspiration et repoussez vos limites. »
Lincoln Reed, l’ex-petit ami d’Addison Stone
« Je ne crois pas à la magie, mais Addy est bel et bien vivante à travers ces pages, et dans la mémoire de ceux d’entre nous qui la connaissaient le mieux. »
Lucy Lim, une amie d’enfance
« L’existence d’Addison Stone reste une énigme même après avoir lu la dernière page de sa biographie. » Publishers Weekly
« Une expérience incroyable, inédite et à lire sans s’interrompre. » Booklist
« Un voyage fascinant dans l’esprit troublé d’une jeune artiste. » The Boston Globe
320 pages, Kindle Edition
First published August 12, 2014
I hope this narrative has sparked an intimate sense of Addison’s life, filled with more scorching creativity than most of us will ever get to experience, even as we cherish, mourn, and remain riveted by her legacy.Bad enough that I think this undermines the entire novel, which invites the reader to draw her own conclusions about Addison’s life, by essentially telling the reader what she is to take away from it; the implication here is that Addison’s creativity either excuses a multitude of sins or elevates creativity to a virtue the possession of which sets an artist apart from ordinary people. And what legacy, exactly, is it that we’re cherishing? Her art? Her mostly untreated schizophrenia? Her tumultuous love affairs (which, again, are portrayed as markers of what an interesting and complex person she was rather than as signs of a young woman who desperately needs help)? The title is wrong: Addison Stone’s life was finished when she died, because her legacy is not just that of a creative person, it’s of a creative person who was beautiful and exciting and flamboyantly interesting, and had she died at thirty, or fifty, all of that would have burned out and she would have been nothing but a formerly interesting person. Addison Stone is memorable because her life ended when it did. And that’s the real tragedy.