Imaginez que des émissaires de la Commission européenne sollicitent vos compétences pour résoudre un problème urgent... et top secret.Imaginez que votre femme soit envoyée sur une île au bout du monde avec un parfait inconnu, et que l'on perde tout contact avec eux. Imaginez que vous vous retrouviez isolé par une terrifiante tempête au sommet d'une montagne en compagnie de scientifiques mystérieux. Imaginez que le nombre des tueurs en série ait été multiplié par dix depuis cinquante ans. Imaginez que ces événements soit liés par la violence des hommes.Vous n'avez toujours pas peur ?Vous devriez...
Enfant discret, Maxime Chattam grandit en région parisienne. Il n'est pas particulièrement brillant à l'école mais se passionne pour le cinéma. À quatorze ans, après avoir regardé le film Stand by Me, il se met à le réécrire en rajoutant des péripéties. Il découvre le livre Le Seigneur des anneaux et les romans de science-fiction de Stephen King notamment. Il suit le cours Simon, devient figurant dans un spectacle de Robert Hossein, et joue dans plusieurs téléfilms. Son premier livre, plein d'humour, s'intitule Le Coma des mortels. Il fait plusieurs petits boulots et reprend ses études de lettres modernes à la fac. Pour se faire connaître du milieu du livre, il entre à la FNAC, mais n'a toujours pas envoyé de manuscrit aux maisons d'édition. Il suit une formation de criminologie pendant un an où il étudie la psychiatrie criminelle, la police technique et scientifique et la médecine légale. Il assiste même à des autopsies et rencontre des spécialistes pour préparer son roman. Toujours libraire, il consacre ses week-ends à son projet de thriller. Il rédige L'Âme du mal en 2001 et l'envoie à trois maisons d'édition. Un soir, Michel Lafon le contacte et lui propose de signer un contrat. In Tenebris sort en mars 2003 alors qu'il est déjà en train d'écrire Maléfices. Cette même année, il achève le troisième opus de la trilogie Maléfices. Il publie en 2005 Le Sang du temps. En tout, Maxime Chattam signe cinq romans et parvient à réaliser son rêve d'enfant.
I must admit I only picked this book up because I felt like reading a novel in French - and I found this thriller lying around the house that I picked up on a business trip to Paris years ago, but never got round to reading.
Now, I do not read a lot of things in French, and just because of that I loved the reading experience. French is eloquent in a way markedly different from English. Words form phonetic strings, and even reading it as a text it felt like music to me (for example, the expression "en ce cas la" is really one word, when pronounced). Another example which springs to mind is that there are lots more transitive verbs, which gives the language a much more compact feel at times (for example, in French, you can "preciser quelque chose", whereas in English, you have to "make something more precise", or "express something more precisely").
So I loved it. But that, of course, has nothing at all to do with the book. Native speakers and perfectly fluent non-natives alike would simply say to that "Yea big deal. It's in French. Well done for noticing. And...?"
Well, the novel itself was ok, but no more than that. I think Maxime was trying for a Michael Crichton, but came up with a Dan Brown. Well, you may say, that is not much of a statement, Mark - what are the characteristics of Michael's writing, and what are those of Dan's? If you want to review a book, you need to do better than that...
And I would agree. But that is exactly what Maxime does, and I think with that he is proving guilty of one of the least forgivable mistakes a writer can make. He often tries to replace writing with names-dropping, and rather than build the atmosphere of a scene evocatively himself, he refers to some other writer who successfully did just that. So, for example, on page 16, we hear Emma, one of the two (or three) protagonists exclaim: "Tout cela ressemble a un film d'espionnage ou a un roman de Michael Crichton". Ok, thanks for telling me. That's what this scene is like, then. Later in the novel, Emma, on arriving in French Polynesia, is shown to think about the petroglyphs, pictograms carved in stone, which are common on the islands. "... Emma les avait aussitot rapproches ... de la mythologie fantasque chthonienne chere au romancier HP Lovecraft." (p43). Ah - horror. I see. This is a scene that invokes the feeling of horror movies. Many thanks. And indeed, so it continues, until it culminates in a scene when Emma is approaching a forbidding-looking island by boat: "Elle etait soudain Jessica Lange dans King Kong, ..." Ok. Now I have images in my head from the movie. But not even from the iconic original in black and white, but from the 70s re-make. And none of this would even work in the quasi-plagiarist way it does if the reader had never heard of any of these writers, or disliked films.
Well, this is just one small thing, of course. The rest is reasonable thriller (or I think I have to say "chiller") fare. Every chapter ends in a cliff-hanger, exactly like Dan Brown's "Da Vinci Code". So much so, in fact, that the rare chapter that does not end in this way leaves the reader slightly disorientated, looking around for his literary fix.
Ok, now I am being silly. Overall, this is not a poorly written book. It is just that certain style elements of the popular novel are used too frequently, and in doing so, they are losing their dramatic effect. Too many cliffhangers, obvious foreshadowing, predictable plot-sequencing, and a slightly odd plot in the first place make for a strangely superficial read, a read that never quite drew me in.
But it was in French and French is a beautiful language :-)
Je ne suis pas loin de lâcher Chattam pour de bon. Encore un roman plus que moyen pour clore ce cycle de l'homme. Cette trilogie est décevante. Où est donc l'auteur qui a écrit "L'âme du mal"? Tout manque d'épaisseur, de substance. Les personnages sont lisses, l'intrigue ennuyante, les dialogues insipides. Le thème était intéressant, mais son développement raté. En bref, un mauvais roman de gare.
Je viens de tourner la dernière page.... Du Maxime Chattam tout craché, le suspens commence à la première page, et se termine à la dernière.
Une superbe réflexion sur la planète terre, nos agissements et nos coutumes. Il m'a traumatisé solidement ce bouquin. Trop réaliste, trop plausible, trop près de ce qu'on connaît.
C'est un chef d'oeuvre, et mon seul regret c'est de ne pas l'avoir lu plus tôt.
Intrigue qui prend du temps à démarrer. Par contre, quand elle commence, nous sommes embarqués dans cette théorie et nous cherchons aussi à comprendre ce que les personnages tentent de dénouer.
J'ai écouté l'audiobook pour une grande partie du roman et j'ai été agréablement surprise car à la fin de l'enregistrement se trouve une interview avec l'auteur.
J'ai adoré ce dernier tome du cycle, l'histoire était vraiment prenante.
Les arcanes du chaos (#1) et La théorie gaia (#3) m'ont beaucoup plus intéressé que Prédateurs (#2).
Un peu long au départ, on ne sait pas trop où on va puis après une centaine de pages on est pris dans l'intrigue du livre! Une lecture qui fait réfléchir !
Je dirais que j’ai aimé les 3 volumes de la trilogie assez également. J’aurais de la difficulté à en faire ressortir un plus qu’un autre. Pour celui ci, j’ai pas trop compris la référence aux changements de climat vs la théorie gaïa. La résurgence de tueurs en série m’est pas clair. Marketing? Détérioration de la planète? Je vois mal des tueurs en série faire équipe pour éliminer le monde civilisé.. ce sont des individualistes par définition donc pas enclin à s’unifier et plus encore à respecter une hiérarchie. Bon meurtrier en série peut-être pas mais meurtrier, ça oui. Il y a qu’à voir les journaux pour Montréal. … la violence qui engendre la violence. Ça oui également. Donc, malgré des invraisemblances de fond, le déroulement est très soutenu et nous fait voyager sans répit de la Polynésie à la France dans 2 histoires, l’une qui carbure à l’adrénaline l’autre une partie d’échec. La trilogie est un bon divertissement.
Comment exprimer mon extase sans trop dévoiler l'intrigue ? Je vais donc essayer de faire bref, mais clair. Il y a dans ce nouveau roman de Chattam à la fois du Stephen King, du Serge Brussolo, et du Bernard Werber. Tout à la fois, et dans tous les sens. Le propos, qui se base sur une vraie théorie Gaïa, est troublante, plausible, inquiétante. L'action est omniprésente, et se repartit en deux lieux : une île polynésienne et le Pic du Midi. On passe de l'un à l'autre à un rythme de fou, l'ambiance étouffante et confinée du Pic du Midi n'a rien à envier à l'atmosphère moite et angoissante de l'île du Pacifique. Comme toujours chez Chattam, on a un propos qui pousse à la réflexion, une documentation énorme et une crédibilité à toute épreuve. Toujours aussi convainquant donc, passionnant, haletant, horrifique. En un mot : ÉNORME.
Ehrlich, mich hat die Ausgangsbasis etwas geärgert: Ein Forscher-Ehepaar mit Kindern lässt sich zu einem Einsatz aus Neugierde überreden, wobei ihnen nichts zum Ort oder Grund oder ihrer Aufgabe gesagt wird. Und der Bruder/Schwager macht das auch. Bei letzterem könnte ich mir das sogar noch vorstellen, aber bei einem Ehepaar mit kleinen Kindern? Gleichzeitig abwesend mit unterschiedlichen Einsatzorten ohne wesentliche Informationen? Ich fand es auch merkwürdig, dass bei dem einen Einsatz drei Begleiter zum Schutz mitfahren, bei dem anderen die Ehefrau ganz allein anreist. Und meine Güte, wie überdramatisch kann man(n) sein, selbst wenn es der Ablenkung dienen sollte - was nicht zwingend deutlich wird, da auch Bens Überlegungen dargestellt werden.
Was die Gaia Hypothese angeht - interessanter Ansatz.
Im Übrigen: Nicht so meins.
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Ce thriller est un "page-turner" incroyable (après un démarrage un peu longuet) avec, comme à l'habitude de l'auteur, un fond qui porte à réflexion sur la nature et l'avenir de l'être humain. J'ai cependant trouvé la partie scientifique des explications avancées moyennement crédible, le scénario du déroulé de l'action sur l'île (déroulé des événements, comportements des "monstres") fragile dans les détails et quelques ressorts dramatiques un peu trop faciles.
Quelle lecture ! Le seul mot qui me vient en tête c'est : haletant, on sent que quelque chose va nous tomber sur le coin du nez, mais on ne sait pas exactement quoi ni quand, et ça maintient en alerte du début à la fin ! Pour vous dire, j'ai fait un sacré cauchemar après ma lecture, et c'est la première fois que cela m'arrive, donc c'était véritablement marquant.
🔬 Niveau intrigue, nous sommes sur du haut niveau, mélangeant savamment nos sciences et nos connaissances réelles avec un petit peu d'imagination pour faire un phénomène catastrophe. On ne voit venir le tournant que lorsque c'est déjà trop tard et j'avoue que le retournement de situation final m'a complètement achevée. Aussi, le tout repose sur une vision très réaliste de la société actuelle, ce qui ajoute un cran d'horreur quand on visualise la tournure des évènements. Toutes les recherches scientifiques, paléontologiques, sociologiques faites en amont se sentent et ajoutent aussi du réalisme !
🕵🏻♀️ Du point de vue des personnages, je me suis beaucoup plus liée à Emmanuelle plutôt qu'aux garçons, même si globalement je les ai appréciés aussi. En effet, la pauvre se retrouve seule assez vite et souffre beaucoup tout au long du récit : comment ne pas devenir proche d'elle ?
Evrim ve nesiller üzerine hayli etkileyici ve düşündürücü bir polisiye. Evrenin bir kendi bilinci olduğunu düşünmek, çocukluktan çıkarken annenin de aslında ihtiyaçları, endişeleri, üzüntüleri olan bir canlı olduğunu fark etmeye benziyor. Ve bazen anne artuk çok sıkılıyor ve eşyalarını toplamaya başlıyor. Evrenin ise gidebileceği bir yer yok, bizi üzerinden silkelemekten başka bir çaresi de. Ve insan aklı bu durumu bilinç ötesi bir noktadan algılayıp yaklaşmakta olan hazin sonundan bir kurtuluş aramaya başlıyor. Sinsi sivrisinekler gibi, küçük ama dayanıklı... chattam'ın korkudan çok felsefe ve nesillerin devamlılığı üzerine odaklanan bu enteresan kitabını, karakter sayısının çokluğundan ötürü biraz karmaşık bulsam da, beğendim ve tavsiye ederim.
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J’ai adoré ce livre ! Je ne peux m’empêcher de considérer Chattam comme un Werber réaliste, dans le sens où Werber écrit énormément de fantastique voire science fiction tandis que Chattam reste encré dans la réalité qu’il modifie pour nous offrir des histoires intenses mais pas moins inenvisageables. Les personnages sont très bien écrits et profonds, et cette manière d’alterner un point de vue = un chapitre fait qu’il est compliqué de s’arrêter de lire car on veut savoir à tout prix ce qui arrive aux personnages auxquels on s’attache très vite. Les rayons de ma bibliothèque débordent d’ors et déjà de romans de Werber, et après avoir lu (un)secte, de Chattam, je vais m’empresser de libérer un rayon pour Maxime Chattam.
N’hésitez pas à commencer votre lecture, vous ne serez pas déçus.
Immersion analogique dans nos temps étranges de Covid-19, ce roman écrit en 2008 par Maxime Chattam. L'homo sapiens devenu homo economicus a-t-il tant agressé la Terre qu'elle "décide" d'appliquer son propre principe d'homéostasie? Son 6e grand cycle d'autodestruction massive serait-il enclenché? Dans un thriller-espionnage-fiction (?), Maxime Chattam, sur base comme toujours d'une intense documentation scientifique enrobant le romanesque, plonge ses personnages dans une double (géographiquement) aventure terrifiante. Difficile de lâcher le bouquin pour une petite pause avant de pouvoir le refermer. Avec, malgré la fiction, beaucoup d'inquiétudes concernant notre proche futur.
Oufff !! Super roman ! Je ne me lasserai jamais de Chattam et ses histoires de fous à vois faire faire des cauchemars... La théorie Gaïa est un stress continuel, de la première à la dernière page, il nous fait réfléchir sur nos coutumes, notre planète et les hommes dangeureux qui la peuple. Disjoncté, halletant, incroyable ! 😃❤️
3éme tome de la trilogie " le cycle de l'homme " ou le suspense était au RDV, je trouve que c'est le meilleur des trois, histoire captivante ou l'auteur nous aborde un autre coté obscure de l'homme qui est la survie au détriment des autres. théorie du complot, criminologie et survie sont les principaux thème de ce livre.
The best plot I’ve seen so far, not too ,,unbelievable” but also not boring, the twists were INSANE and the language was good as well. The only thing I didn’t really like was the amount of cliffhangers, that were unnecessary because plot itself was gripping enough, but it didn’t kill the vibe too much. Overall I love it
C'est mon premier Chattam, le début est prenant. Il nous plonge dans une ambiance de catastrophe climatique. Ensuite, l'histoire devient plus glauque, avec des scènes très ensanglantées. Mais après la lecture de ce livre, cela nous fait réfléchir et de poser des questions sur notre rôle à jouer sur la planète terre. Intéressant.
Un peu longuet au départ, long à se mettre en place ...la théorie est assez sympa mais je n'ai pas été très surprise. La trilogie m'a un peu déçue (j'avais beaucoup aimé le premier tome, Les Arcanes du Chaos).
J'ai eu du mal à accrocher à l'intrigue. L'idée n'est pas mauvaise en soi, mais j'ai trouvé le style "Michael Crichton" à la française, un peu comme un roman pour adolescent, sans vraiment aboutir. Pourtant certains passages sont très bons.
Le Tome III m'a permis de mieux comprendre le Tome II. Il semble que Maxime Chattam n'ait pas beaucoup de foi en l'humanité. La vérité n'est pas accessible au commun des mortels, et c'est le clou qui dépasse de la planche qui recevra le marteau. Le système est pourri.
Thriller très prenant avec des thèmes que j’adore (anthropologie, sociologie, tueurs en série). Une étoile en moins car pas mal de répétitions, introduction un peu moins bonne que le reste et personnages pas très creusés.
Les actions et décisions des héros ont tellement peu de logique et de sens que ça m’a enlevé tout le plaisir de la lecture de ce livre. Dur d’apprécier l’histoire quand elle ne tient pas debout…