Les jours s'écoulent, un peu trop calmes, un peu trop sages, pour Hanna Reagan lorsqu'un grave accident de voiture la cloue sur un lit d'hôpital. La campagne irlandaise a ses charmes, ainsi que son romancier de mari, mais rien de pétillant comme sa voisine de chambre, une vieille dame malicieuse et mystérieuse répondant au nom de Zelda Zonk. À ses côtés, et n'ayant rien d'autre à faire pendant sa convalescence, Hanna se prend à rêver à une nouvelle vie, plus éclatante. Est-elle vraiment épanouie dans son hameau perdu, dans son mariage routinier ? Alors que Zelda lui conte son existence positive et joyeuse, Hanna se demande s'il est encore possible de changer la sienne...
" Notons la plume alerte et rafraîchissante de Laurence Peyrin, qui fait preuve d'un talent d'écriture rare. Une véritable gourmandise. " Metronews
Ce roman m'a beaucoup fait penser à celui de Laurent Gounelle "Le jour où j'ai appris à vivre" : la remise en question de son quotidien, "est-ce que j'ai vraiment choisi ce qui m'arrive", est-ce qu'il est possible de changer de vie. Les personnages sont attachants, un bon roman feel-good pour cet été.
Un livre que j’ai dévoré et adoré ! Un roman sur le bonheur et l’épanouissement mais aussi sur l’amour et le temps qui passe. J’ai beaucoup aimé Hanna mais aussi Zelda Zonk, cette vieille dame pleine de mystères qui fait planer une intrigue sur ce roman touchant et plein de douceur, qui raconte la vie et les choix de chacun pour trouver le bonheur.
Si l’écriture si fluide rend la lecture facile et prenante, il y avait peut-être trop d’ingrédients pour que la sauce ne prenne vraiment avec moi ... Évidemment, cette question centrale sur la vie que l’on mène, celle que l’on peut choisir fera écho à de nombreuses personnes mais j’ai trouvé qu’on ne faisait qu’effleurer la surface de l’héroïne . Comme s’il manquait toujours un petit quelque chose pour la comprendre pleinement. Voilà pourquoi je suis heureuse de savoir qu’une suite m’attend .
J’ai beaucoup aimé cette lecture mais elle m’a aussi décontenancé par des passages relativement longs où l’héroïne Hanna ne sait pas ce qu’elle veut (par moment, elle m’a exaspéré). J’aurais aimé moins de moments de réflexion et plus de moments en compagnie de Jeffrey ou Zelda. Ça reste néanmoins une lecture très sympathique ! J’ai aimé cette fin qui me laisse un goût d’inachevé.
« Marilyn n'était pas morte, ni suicidée, ni assassinée, ni outragée. Marilyn avait quitté une vie qui ne lui convenait pas. Elle avait inventé son propre mystère, puis était partie. Elle avait pris un avion, choisi l'Irlande comme terre d'exil volontaire, et était définitivement devenue Zelda Zonk. Maintenant, la plus grande star de tous les temps élevait des chevaux dans la lande de Kinsale. Et brodait tranquillement devant sa cheminée. »
Suite à un grave accident de voiture, Hanna fait la connaissance d'une vieille dame au centre hospitalier. Un déclic invisible se produit. Hanna est invitée à se rendre chez elle pour le weekend. Et pour la première fois de sa vie, Hanna ose. Elle ose bousculer sa routine, mettre son écrivain de mari devant le pied du mur, rappeler à sa sœur qu'une petite fille l'attend au foyer, faire un peu le point sur son parcours. Car Hanna se demande si elle est vraiment heureuse de l'existence qu'elle mène. Son couple est au bout de souffle, plus de passion mais un attachement sincère, une pointe d'ennui, un besoin d'horizon nouveau... enfin, l'heure du bilan a sonné. Son entourage ne la reconnaît plus et s'inquiète.
Je ne m'attendais pas à lire pareille histoire mais pourquoi pas ? Un roman qui traite de la banalité conjugale, des désirs enfouis et de la tentation de saisir une seconde chance. Il faut donc du courage, de l'audace, du mystère, de la sensualité... tout ça, on en rêve et on le vit sur papier ! Toutefois la lecture se révèle commune - ni plus ni moins - même si elle touche des points sensibles. Le rythme est prenant avec parfois des passages enquiquinants (beaucoup de mélo et d'atermoiements romantiques). Bof bof pour la suite.
L’histoire est très bien, une très belle écriture. Les personnages sont attachants (surtout Zelda) mais la fin ?
« […] Et que quelqu’un l’attend quelque part, même dans ses rêves. C’est important, les rêves. Pour exister. Souvenez-vous de ce qu’a dit Shakespear dans la Tempête : « Nous sommes de l’étoffe dont sont faits les rêves… ». »
Peut-être plutôt 2,5 étoiles. J'ai été déçue, j'attendais autre chose de ce roman. L'histoire ne m'a pas emballée et le style n'est pas du tout de ceux que j'affectionne...
Laurence Peyrin a été journaliste de presse pendant 20 ans. Mère de six enfants aujourd'hui adolescents pour la plupart, elle se consacre désormais à transmettre sa passion du cinéma à des élèves de collège, aux voyages et à l'écriture qui occupe la plus grande partie de sa vie. La drôle de vie de Zelda Zonk, son premier roman, a reçu le Prix Maison de la Presse en 2015, un prix mérité tant l'auteure possède un incontestable sens du récit et manie à merveille le suspense amoureux.
«Les pires blessures ne sont pas celles que l'on croit.»
Écrit avec une plume alerte et rafraîchissante, La drôle de vie de Zelda Zonk est un roman tendre et plein d'émotion sur les secondes chances de la vie, l'amour, la vie de couple et le temps qui passe.
Contre toute attente, il produit le même effet euphorisant qu'une bonne grosse bouffée d'air pur tant il est joyeux et positif ! Il faut reconnaître que Laurence Peyrin a mis le paquet pour décrire les charmes de la campagne irlandaise, où elle situe son intrigue ! Ces paysages à couper le souffle et ce petit hameau perdu au milieu de nulle part donneraient envie à n'importe quel citadin en manque d'évasion de tout plaquer pour changer de vie !
Alors pour peu que l'on apprécie les comédies romantiques à l'américaine, il est presque impossible de ne pas tomber sous le charme de ce roman frais et léger, d'autant que l'auteure a eu la très bonne idée d'articuler son roman autour de la mort mystérieuse de Marylin Monroe ! Sous un angle aussi stupéfiant qu'inédit, la version que livre l'auteure à propos de la disparition de ce personnage mythique est très intrigante ! Même si l'on a tout écrit sur Marilyn, même si sa vie a été mille fois analysée, étudiée et disséquée.., force est de constater qu'elle reste ancrée dans l'inconscient collectif et continue de fasciner. Certes, ce n'est qu'un prétexte pour pimenter l'intrigue, déjà savoureuse, de Laurence Peyrin. On n'apprendra rien dans La drôle de vie de Zelda Zonk que l'on ne sache déjà sur Marylin, mais l'hypothèse de l'auteure est intéressante et surtout, elle fait rêver, ce qui n'est déjà pas si mal pour un primo-roman !
La drôle de vie de Zelda Zonk n'est pas seulement un bouquin qui détend et fait voyager, c'est aussi et surtout un roman original et inventif, une histoire intense et émouvante qui interpellera à coup sûr la lectrice sur ses choix de vie. Laurence Peyrin n'a donc décidément pas à rougir de cette première œuvre stimulante, divertissante et spontanée ! Elle redonne d'ailleurs vie à ses personnages dans une suite intitulée Hanna, que l'on se réjouit déjà de découvrir !
Le côté fantasque de ce roman m’a énormément plu : j’ai adoré suivre les différents scenarii que Hannah ébauche au sujet de Zelda. « La drôle de vie de Zelda Zonk » aborde, sous couvert de roman rafraichissant, quelques grandes questions qui nous portent : quels sont mes choix ? Est-ce que je les assume ? Ce livre permet de passer un très bon moment de lecture avec des personnages hauts en couleurs. L’écriture de Laurence Peyrin y étant pour beaucoup dans l’immersion.
Un roman vraiment sympathique, avec une histoire plutôt originale, des personnages attachants, et une écriture fluide et vive ! Ce n'est pas un coup de cœur pour ma part mais une belle découverte, et j'ai hâte de lire le tome 2...
Un matin pluvieux et une route sinueuse enlacée par le brouillard ont mené Hanna non pas à son atelier mais tout droit à l’hôpital. C’est là, dans cet environnement aseptisé, où seuls les bips des machines, les geignements et les roues des chariots donnent le ton à la ritournelle que l’on entend du matin au soir, qu’elle va remettre en question, après avoir frôlé la mort, toutes ses certitudes, venant à mettre la pagaille dans son train-train quotidien ainsi que dans son couple. Il faut dire que sa camarade de chambre n’est pas étrangère à ce remue-ménage, d’autant plus que Hanna est persuadée que cette vieille dame est en réalité Marilyn Monroe. S’est-elle cogné la tête lors de l’accident dont elle a été victime ? C’est une question valable, je ne vous le fais pas dire, mais Hanna a des raisons d’y croire tout autant valables.
Je découvre la plume de Laurence Peyrin avec ce titre, et quel bonheur ! Je dois toutefois vous avouer que la quatrième de couverture avait éveillé en moi quelques réticences. Marylin Monroe serait toujours vivante, rien que ça… Que voulez-vous que je vous dise ? Les théories du complot selon lesquelles Elvis Presley n’aurait pas été retrouvé mort dans sa chambre à Memphis, qu’un mannequin de cire aurait été placé dans son cercueil et que l’on peut d’ailleurs le voir dans une scène de « Maman, j’ai raté l’avion », ou bien encore celles qui n’ont jamais cessé de circuler à la suite de l’assassinat du président américain John Fitzgerald Kennedy, sans parler de celles auxquelles la mort de Marylin Monroe a donné lieu, trop peu pour moi, merci ! Alors, forcément, en tournant les premières pages, je n’ai cessé de m’interroger. Comment l’autrice allait-elle aborder le sujet ? Le récit serait-il suffisamment crédible ?
Eh bien, vous savez quoi ? Laurence Peyrin m’a cloué le bec, tout en me faisant frémir le palpitant. Pas de peur, rassurez-vous, mais de jubilation. Dans un style à la fois agréable et vif, ce roman mêle romance et suspense avec virtuosité. Ainsi, on suit Hanna dans ses questionnements, on vibre avec elle, et ce, tout en menant l’enquête à ses côtés. Si, si ! C’est qu’à force de persuasion, on finit par y croire, sacrebleu ! Bref, une lecture cocasse et divertissante, avec des personnages attachants et désarmants. À moi, maintenant, la suite de cette histoire. Poo poo pi doo !
Une lecture agréable : le style est fluide, les scènes bien menées, les personnages plutôt bien vus. Il y a quelque chose qui m'a agacée et qui coûte sa quatrième étoile au roman : j'ai eu l'impression que l'auteur justifiait l'aventure de son héroïne par les écarts de son mari quand il part aux États-Unis. Comme pour minimiser la trahison. Alors qu'il pourrait très bien être amoureux et droit dans ses bottes, elle tomberait quand même amoureuse de Michaël. Pour moi, il n'y avait pas besoin "d'équilibrer la balance", de chercher à rendre plus acceptable et compréhensible quelque chose qui peut tomber dessus à n'importe qui et qui reste inexplicable. Autre chose qui passe difficilement : le fait que l'héroïne et son amant ne se protègent absolument pas. L'auteur en a besoin pour le déroulement de son histoire, soit, mais éluder complètement la question des MST dans une relation aujourd'hui, extra-conjugale qui plus est, ça m'a semblé limite irresponsable. Même Christian Grey et Anastasia font un dépistage avant de se lâcher :-)
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Un joli petit livre qui fait plaisir de lire. Une histoire qui en soi est assez sucrée mais une belle écriture la rend réaliste et plaisante. Je m’attendais à plus de biographie de MM et moins d’histoire d’amour mais je ne suis pas déçue pour autant. Une mention spéciale pour le talent de l’auteur de décrire l’amour passionnelle entre Michael et Hanna. Finalement, j’avais repoussé de quelque jour la lecture de l’épilogue, craignant une fin triviale. Mais l’histoire se termine en douceur, sans fanfares superflus.
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Décidément, je ne suis pas fait pour les mièvres romances nunuches. C’est insupportable. Pourtant, c’était bien vendu. Emballage trompeur ou manque de discernement. Bref, je me suis trompé avec ce livre et mieux vaut le laisser aux amateurs-trices de bluettes cucul à l’eau de rose.
Mais quand même, quelle vision pour un livre paru en mai 2015 alors que le scandale VW n’explose qu’en septembre. Laurence Peyrin insider?
Bon, on le comprend, je ne suis pas le bon public. Désolé.
Quelle belle découverte avec ce livre. Une collègue me l'avait conseillé, je l'avais donc ajouté à ma PAL sans trop me poser de questions. Je me suis plongée dans l'histoire sans vraiment savoir à quoi je devais m'attendre et j'ai été plus que surprise !! Même si j'ai une petite déception pour la fin car je n'aurais pas fait les mêmes choix que le personnage principal, j'ai été très agréablement surprise par ma lecture. Un très très bon moment !
Et si Marylin avait simulé sa mort et disparu en Irlande ? C’est la question que se pose Hanna après avoir partagé sa chambre d’hopital à la suite d’un accident avec une dame de plus de 80 ans se faisant appeler Zelda Zonk. Le mystère reste entier mais va considérablement influencer la vie de la jeune femme. Un récit qui véhicule de beaux messages sur l’amitié, les choix de vie, les regrets et la culpabilité.
Une lecture sympa pour l'été. Hanna après un accident qui aurait pu lui coûter la vie se remet en question et réfléchis à son avenir tout en se liant d'amitie avec sa voisine de chambre qui porte le nom d'emprunt qu'utiliser marylin Monroe ....
Une lecture agréable, parfaite au bord d’une piscine, douce-amère plutôt que sucrée. Zelda Zonk, c’est un pseudonyme que Marilyn Monroe utilisait, et c’est le nom d’un des personnages du roman. Pour les amateurs d’Irlande, d’enquête légère et de quête intérieure.
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Hannah est victime d'un accident de la route et se retrouve dans la même chambre qu'une mystérieuse dame. Elle s'interroge sur celle ci mais également sur sa propre vie. Une histoire de renouveau et de recherche du bonheur. Un peu déçue par la fin mais je vais lire la suite pour en savoir plus
J'attendais autre chose , j'attendais que la relation entre Hanna et Zelda soit mieux exploitée, plus détaillée, plus racontée. Et puis , il y a ce côté sirupeux qui m'a gênée. Je pense que je ne lirai pas la suite des aventures d'Hanna
J'ai beaucoup aimé l'écriture mais je suis un peu déçue que Zelda Zonk ne soit pas un personnage plus présent que ça dans l'histoire... je m'attendais à un personnage vraiment excentrique et omniprésent - un peu comme Amélie Poulain - mais ça n'a pas été le cas