1891. Comte, a French philosopher, was the founder of Positivism. Positivism is a philosophical system of thought maintaining that the goal of knowledge is simply to describe the phenomena experienced, not to question whether it exists or not. Comte sought to apply the methods of observation and experimentation, as was beginning to be used in the hard sciences, to a field that we now know as sociology. This is one of his later works. Contents: Explanation of the Worship; Explanation of the Doctrine; Explanation of the Regime, or System of Life; and General History of Religion.
French philosopher Isidore Auguste Comte, known as the founder of positivism, also established sociology as a systematic study.
Isidore Auguste Marie François Xavier Comte bettered the discipline and the doctrine. People sometimes regard him first of science in the modern sense of the term.
The utopian socialist Henri Saint-Simon strongly influenced Comte, who developed an attempt to remedy the malaise of the revolution and called for a new doctrine, based on the sciences. Comte influenced major 19th-century thought and the work of Karl Marx, John Stuart Mill, and George Eliot. His now outdated concept of evolutionism set the tone for early theorists and anthropologists, such as [authore:Harriet Martineau] and Herbert Spencer; Émile Durkheim presented modern academics as practical and objective research.
Theories of Comte culminated in the "Religion of Humanity," which influenced the development of secular organizations in the 19th century. Comte likewise coined the word altruism.
Excellente (bien qu'effrayante) présentation religieuse de l'homme qui a paradoxalement plongé l'Occident dans le matérialisme méthodologique que nous connaissons actuellement. Sa religion de l'Humanité n'est pourtant pas incohérente, et se veut être un échappatoire au néant existentiel que son matérialisme à apporté : après avoir supprimé Dieu et tout ce qui est du ressort de la métaphysique spéculative pour redéfinir le champ de connaissance selon les seules observations de la nature, l'auteur reconnaît que ce qui reste à l'identité humaine, à savoir l'ordre et le progrès, n'est plus enclin à satisfaire ses attentes. Pour remédier à cela, il affirme avoir trouvé dans l' "altruisme" (terme de son invention) la meilleure solution pour retrouver une situation de contentement existentiel. Attention cependant, car ce mot va bien au delà du sens que nous pourrions lui donner aujourd'hui, il s'agit en fait d'un fétichisme humaniste: l'individu, après avoir pris conscience qu'il n'est plus rien en lui même, se tourne alors vers l'autre, et dans un élan de foi, va lui accorder une capacité supérieure à la sienne sur la réalité, de la même manière que les civilisations primitives le font avec des objets. Ainsi, chacun est invité à vivre en mettant son espérance identitaire dans un autre sujet que soi même, ce procédé devant logiquement aboutir à l'emergeance d'un équilibre social et politique que seule la vénération réciproque entre les sujets peut permettre.
Ce principe religieux humaniste peut être difficile à comprendre autant dans son sens que sa nécessité pour un lecteur post-moderne ou post Jean-Paul Sartre. En effet, ce dernier philosophe amènera après la guerre l'émergence d'une pensée qui fera disparaître définitivement le problème de la quête d'identité: avec l'existentialisme, chaque individu est appelé à se forger un sens subjectif à sa vie pour transcender l'absurdité de son existence. L'homme se créé son propre univers fictif, sa propre interprétation du monde délibérément irrationelle qui cette fois n'a plus de limites si ce n'est le respect de la liberté d'interprétation de l'autre. Il n'y a pas de vérité, à chacun sa vérité. Sartre à ainsi repositionner l'espérance sur la subjectivité propre et l'indépendance du soi plutôt que sur l'autre, mais cela au prix de la raison.