Une femme rousse, plutôt charmante. Oui, il se souvient. Un peu... Il l'a suivie chez elle... Ils ont partagé un verre, il l'a prise dans ses bras... Ensuite, c'est le trou noir.
Quand il se réveille dans cette cave, derrière ces barreaux, il comprend que sa vie vient de basculer dans l'horreur. Une femme le retient prisonnier. L'observe, le provoque, lui fait mal. Rituel barbare, vengeance, dessein meurtrier, pure folie? Une seule certitude: un compte à rebours terrifiant s'est déclenché. Combien de temps résistera-t-il aux morsures de l'ombre? Ça ressemble a un jeu. Le premier qui bouge a perdu.
Pour moi malheureusement, se sera un gros bof. Même si l'intrigue de base est prometteuse, le déroulement ne m'a pas convaincue. Karine Giébel joue avec des thèmes intéressants comme la folie, le pardon, la torture (physique ou mentale) ainsi que le passé. Mais j'ai trouvé ça long, très très long. La majeur partie du roman, on n'avance pas, c'est un cercle entre Lydia et Benoit, entre torture et questionnement.
Certes on monte crescendo mais l'auteur ne donne pas vraiment d'informations aux lecteurs pour avancer et tenter de comprendre. Du coup, je me suis fait pas mal de film concernant le dénouement de l'intrigue et au final j'ai été pas mal déçue. Premièrement je pense que l'histoire avec Gaëlle aurait du être traité plus en amont, ce qui aurait apporté du dynamisme. Et la révélation du coupable et de ses raisons ne m'ont pas vraiment convaincue, je pense que je m'attendais à plus ...
L'écriture de Karine Giébel reste cependant agréable et fluide, ces personnages sont pour certains intéressants même si pas toujours aboutie (Djamila ou Gaëlle par exemple). La fin est tous de même rapide, sans qu'on est de retour sur la réaction des personnages ou sur les conséquences de cette découverte ... Bref, c'est dommage.
Me ha gustado. Y me ha sorprendido. Ha sido una buena historia en la que no haces más que preguntarte una y otra vez por qué.
Empieza con el secuentro del policía Benoît por parte de Lydia, desde el principio vamos a ser conscientes de que el policía lo que es bien...no lo va a pasar. Es una novela que llega a ser incluso en algún punto claustrofóbica y hay una sensación de agobio constante. El ser humano es cruel...y mucho. Demasiado cuando se ve con la posibilidad de indefensión delante suya. Ha habido algunas cosas que no han terminado de cuadrarme mucho porque o se explican rápido y ya tú vas imaginando o por un poco inverímiles; pero la historia es tan atrapante que casi no le prestas mucha atención.
El final es...cuanto menos sorprendente, me dejó un poco rara porque esperaba una cosa y fue otra. Al final por todo lo que ocurre esperas algo y... (así te deja la autora, sin palabritas) Y por otro lado está ese "algo" que me hubiera gustado que se indagara un poco más. Yo tengo mi teoría pero me gustaría haber sabido si es acertada o no....más que nada porque nunca suelo acertar 😂😂😂😂😂
muuy bueno. al menos a mí me mantuvo en vilo desde que empezó. Si bien es verdad que la primera mitad fue prácticamente pura tortura, el motivo por lo que lo tenía ahí aparece más adelante... la chica estaba realmente loca. pero luego nos da otra sorpresa más y empieza la investigación... me dio mucha lástima el inspector. No parecía un casanova, o al menos en el libro no da una imagen de él como tal, quizá faltó un poco más de profundidad en eso. no sé, flashbacks haciendo alusión a sus conquistas y las veces que engañó a su mujer... creo que pudieron haberle dado algo más de sustancia. NO fue nada agradable . y sobre todo el final, saber quién estaba detrás de todo eso. Es verdad que faltó más investigación, que consiguieran atar cabos a tiempo, pero creo que quiso cumplir el objetivo del título, y si es por eso, se logró. aún así me gustó; más que novela negra lo veo como un thriller psicológico donde su principal centro radica en el horror de Benoit al saber que su vida estaba en manos de alguien dispuesta a todo, lo que significaba sentirse impotente, atado... y en la incertidumbre eterna: ¿por qué a mí? ¿Qué hice? y bajo ese punto, me pareció excelentemente bien logrado. mi moraleja es: «mejor cuida bien lo que haces porque no sabes con qué te puedas encontrar, o mejor dicho, qué te pueda pasar».
Le roman est non seulement poignant et déboussolant, flirtant aux confins de la folie, profondément bouleversant, prompt à nous entraîner dans une spirale de violence et de délire paranoïaque jusqu'au-boutiste. Le scénario déroule un enchevêtrement improbable de faits et autres coïncidences qui mettent à mal toutes les théories. C'est flippant. Complètement hallucinant. De plus, l'histoire a pour lieu un huis clos glaçant, résolument perturbant. De quoi accentuer la psychose et la sensation d'angoisse rampante. Une lecture saisissante, très prenante.
Un thriller inquietante y estremecedor donde el protagonista queda en cautiverio de una "femme Fatale" por tomar decisiones equivocadas y dejarse llevar por sus instintos.
La trama mantiene la intriga en todo momento, sumergiéndonos en los bajos fondos de los sentimientos de ira, rencor y locura, que se manifiestan crudamente en el desarrollo del argumento, con un desenlace que toma por sorpresa, aunque a mi me haya dejado un sabor semiamargo y angustiante.
Recomendado para los amantes del Thriller psicológico.
Wat een supergoed, superspannend boek. Soms erg gruwelijk maar niet te. En het einde is inderdaad een beetje ongewoon. Ik zou zeggen LEES DIT BOEK, dit is een echte aanrader en hij heeft bij mij dikverdiend een plaatsje in mijn top tien gekregen.
Buen libro con mal final. La autora lleva la intriga hasta las ultimísimas páginas, que es lo sencillo, para rematar la historia de manera confusa y poco creíble. Recomendable, con reservas.
Tout dans ce livre est ✨ PARFAIT ✨que ce soit les personnages, la trame de l’histoire et l’écriture. J’ai tout adoré plus particulièrement les cent dernières pages qui sont truffées d’innombrables revirement de situations qu’on ne peut anticiper. En tous cas pour ma part, j’ai été plus d’une fois surprise, choqué et carrément excité par rapport aux actions inattendues des personnages. De plus, j’ai ADORÉ le fait qu’on est le point de vue de presque tous les protagonistes car cela apporte définitivement quelque chose en plus à l’histoire, je trouve qu’on est plus investie dans le déroulement de l’enquête et des différentes intrigues présentes dans le livre et on peut d’avantage s’attacher aux personnages secondaires. Par ailleurs, j’étais tellement happé par ce bouquin que je l’ai lu en à peine 2 heures, l’écriture est super addictive, dès les premières pages vous voulez déjà savoir la fin qui est soit dit en passant géniale est ultra satisfaisante. C’est carrément impossible de faire une pause lors de votre lecture😌
P.S : Même la dernière phrase de ce roman est parfaite donc c’est dire le chef d’œuvre que représente ce livre 🙌🏼♥️
Tremenda historia, donde encontramos los papeles habituales intercambiados. El policía (Benoît) retenido y la malvada (Lydia) intentando hacerle confesar el crimen de su hermana Aurelia ocurrido quince años atrás. Un crimen que por supuesto el niega. Sabe que si confiesa es hombre muerto, pero mientras no lo hace sufre todo tipo de torturas, tanto psicológicas como físicas a manos de su secuestradora, sin comida, con el agua justa para que no muera, drogado, apaleado, envenenado, electrocutado...¿Cuánto puede durar la vida de un hombre en estas condiciones? ¿Cuántas torturas más es capaz de imaginar Lydia? Con un estilo más que ágil, punzante, frases cortas y muchísimo suspense Karine Giébel te mantiene en vilo hasta arrastrarte a un final que para mí ha sido espectacular y que no esperaba para nada.
Je me suis lancée sur ce roman après un énorme coup de cœur pour purgatoire des innocents de la même autrice, et…. ce ne sera pas le cas pour celui-ci.
J’ai trouvé l’intrigue vraiment très longue. Pendant quasi 200 pages, on a un homme enfermé dans une cage et son bourreau qui essaie de lui faire avouer quelque chose en le torturant, et c’est tout. L’enquête avance, mais c’est dans l’ensemble plutôt mou et sans grand approfondissement.
Karine Giebel sait comment faire sortir le morbide et dévoiler les faces les plus sombres de ses personnages. On souffrirait presque avec eux. C’est ce qui fait que ce n’était pas une lecture désagréable, juste un peu mollassonne.
Hacía años que no releía un libro. A pesar de que recordaba perfectamente el desenlace, no recordaba el porqué. Y he disfrutado igual que la primera vez, y me he angustiado y me he sentido igual de enclaustrada que el protagonista. Un libro mucho más que recomendable.
Il s'agit de mon premier livre de l'autrice. Je voulais lire un bon thriller... Malheureusement, ce livre était tellement décevant. Tiré en longueur et tous les chapitres ont été redondants.
Le commandant Benoit Lorand, officier au commissariat de Besançon, est un homme à femmes. Séducteur dans l’âme, il enchaîne les conquêtes entre deux enquêtes, deux filatures ou en soirée avant de rentrer chez lui retrouver son épouse et son petit garçon. Mais un jour, il ne rentre pas, il a suivi la femme de trop… Lorsqu’il se réveille, il est emprisonné dans une cave, aménagée pour lui, semble t-il. Et l’enfer commence. Sa geôlière, une rousse incendiaire, l’observe, l’affame, le torture. A qui a t-il affaire ? Jusqu’à quand parviendra-t-il à survivre dans ces conditions?
Les morsures de l’ombre est l’un des tout premiers livres de Karine Giebel. Le style est déjà très affirmé, froid et incisif, on devine d’emblée que les personnages vont y laisser des plumes. Une répétition de situations extrémement tendues mettent à mal les nerfs du lecteur, sans que l’on parvienne toutefois à prendre véritablement en pitié le personnage central qui est détestable ; un homme qui finit par se remettre en question sans toutefois pouvoir effacer le mal commis. Par les tortures qui lui sont iinfligées, ce récit pourrait passer pour un défouloir destiné aux femmes bafouées! Le dénouement machiavélique est inattendu et ne laisse aucun espoir quant au côté sombre de l’âme humaine.
La marque de fabrique de Karine Giebel est déjà affirmée dans ce roman, celle du huis-clos intense, étouffant, qu’ elle va par la suite peaufiner dans ses autres romans et développer brillamment jusqu’à atteindre l’intensité du Purgatoire des innocents ou de Toutes blessent, la dernière tue. A l’époque des Morsures de l’ombre, l’auteure avait déjà le don de troubler les frontières entre le bien et le mal, en rendant notamment les victimes détestables et les bourreaux sujets à la grâce. Dans les thèmes évoqués ce roman n’atteint toutefois pas l’intensité des suivants, notamment lorsque par la suite Karine Giebel explorera des sujets d’actualité tels que l’esclavage moderne ou le harcèlement. Je n’ai pas encore lu l’intégralité des titres de l’auteure, mais je pense que celui-ci manque un peu de maturité, ses livres plus récents me semblent plus approfondis et efficaces, cependant la lecture fluide et haletante promet un bon moment de lecture.
Il s’agit de mon premier livre de l’autrice. J’avais été interpellée par les critiques qui semblent répartir les lecteurs en deux groupes : Les lecteurs super dégoûtés et les lecteurs super accro … Je pense que je vais faire partie du deuxième groupe … Hâte de lire le prochain . Si vous aimez observer ce qu’il y a de plus noir dans l’âme humaine, ses bouquins vous conviendront … âmes « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil » s’abstenir . 280 pages
Bonne intrigue j’ai lu jusqu’à la fin. Mais comment une femme peut-elle écrire autant d’insultes au sujet d’autres femmes. C’est une pute, une salope, un conne et j’en passe. Toutes ces insultes prononcés par des hommes. Ben le personnage principale de l’histoire n’a aucune considération pour les femmes pas plus que ses collègues de travail.
Tout ça est très désolant et très diminuant pour les femmes
Un scénario avec un peu trop de retournements de situation pour que ce soit plaisant et une narration bancale qui rend la lecture déstabilisante. Pas ouf
Ma première expérience avec Karine Giebel. Conseillée par une amie, par un vendeur aux excellents goûts, je me suis tentée à ce roman au synopsis accrocheur. Les rôles s’inversent dans ce thriller où la femme est prédatrice et l’homme proie. Je ne pouvais qu’être attirée…
Premièrement, parlons de l’écriture. Une chose qui m’a, au début, plutôt perturbée, est l’alternance entre la première et la troisième personne du singulier. On s’y perd un peu, on se demande si cela a réellement un intérêt, puis, au fur et à mesure que l’on tourne les pages, on s’y habitue pour à peine le remarquer.
Pour ce qui est de la prose en elle-même, je l’ai beaucoup aimée. Instants poétiques mélangés à descriptions courtes et efficaces. Un entre-deux qui mêle beauté et simplicité. Un vocabulaire fourni et des mots plaisants à lire. Un peu désarçonnée au début, j’ai fini par réellement adorer la plume de l'autrice.
Continuons avec les personnages. Les principaux se limitent à Lydia et Ben Lorand, plus quelques secondaires qui servent à suivre l’enquête.
J’ai eu beaucoup de mal au début avec Ben, qui malgré sa panique, ne m’a pas emporté avec lui. Je l’ai trouvé très, trop, combatif, ce qui m’a déplu, puis qui m’a impressionné par la suite. Pour ce qui est de Lydia, elle est au début du livre l'archétype de la psychopathe sans personnalité.
Je n’ai commencé à me sentir intéressée aux personnages qu’aux alentours de la page quatre-vingt, lorsque les questions trouvent un début de réponse. À la fin du roman, bien qu’ils ne m’aient pas touché comme certains personnages d’autres livres le font, je les ai beaucoup apprécié, et trouvé qu’ils étaient de bons personnages principaux.
Le point fort de ce roman est, à mes yeux, l’intrigue et la tension qui s’installe. Elle prend du temps à se créer, certes. Je ne me suis sentie happée que vers la centième page, même si jusque-là, la lecture était agréable. Passé ce point, elle est devenue addictive.
Il m’a semblé que le premier tiers était mystérieux mais quelque peu lassant car on piétinait, encore et encore. Certainement voulu, parfaitement exécuté, mais cela m’a fait reposer ce livre pendant une bonne semaine. Je l’ai repris aujourd’hui, et depuis, après ces fameuses quatre-vingt pages, je n’ai plus été capable de le poser. J’ai senti un point où tout est devenu bien plus intéressant : la révélation du soi-disant crime. Cela à perceptiblement changé la donne et m’a agrippé au point qu’impossible de me sortir de ce livre.
Je ne peux évidemment parler de ‘les morsures de l’ombre’ sans parler des scènes de torture. Bien que graphiques, j’ai trouvé la torture psychologique plus dérangeante que la torture physique. Attention cependant, ce roman ne s’adresse qu’à un public averti, avec les tripes bien accrochées. Beaucoup d’idées et d’horreur, je tire mon chapeau à l'autrice !
Enfin, la fin m’a quelque peu déçue. Je n’en dirais pas plus pour éviter les spoilers, mais j’aurais préféré que justice soit faite.
Un bon moment qui aurait pu en devenir un excellent si je m’étais plus attachée aux personnages.
Que dire sur ce thriller/polar? L'histoire démarre par un huis clos qui fait penser à Misery de Stephen King (un peu réchauffé dans le genre), mais le rythme est rapide et on est très vite happé par l'histoire. Ce qui est une bonne chose, car les huis clos en thriller, on en lit trop. Je trouve cependant que tous les personnages sont fort caricaturés et qu'ils n'ont qu'une dimension. Il n'y a pas de réelle psychologie, même si l'auteur s’y essaye. Et la fin... Tellement décevante. Je ne m'attendais pas spécialement à un happy ending, mais quand même à plus d'enquête que ça ! En conclusion, ce livre me fait plutôt penser à une nouvelle ou un premier roman. Il s'agit de mon premier Giébel et même si la lecture était plaisante, je suis quelque peu déçue.
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Super Un super recueil que toutes bonnes librairies et bibliothèques devraient posséder. Deux thrillers a lire et a relire. Les auteurs devraient sortir ce genre de recueil plus souvent
Avis individuel
Les Morsures de l'ombre Bon thriller Un bon thriller très bien écrit avec pas mal de rebondissements. J’ai surtout aimé la fin qui est ^peu banale les auteurs de livres et de films devraient s’en inspirés. Cependant l’enquête aurait pu être plus détaillé plutôt que de décrire la vie de Benoit qui a la longue devient longue Juste une ombre
Emotion garantie Quelle émotion et quel suspense jusqu’au bout on ne sait pas comment l’histoire va se terminer. Un super thriller psychologique avec beaucoup de sentiments et de réflexions. Comme quoi la vie ne tiens parfois qu’a un fil
Ceci posé, excellent roman policier : un huis-clos étouffant avec un crescendo dans la violence et la folie et jusqu'à la dernière seconde, on se demande si Benoît (le policier enlevé) va survivre ou pas (enfin, sauf quand, comme moi, on a été lire les dernières pages avant de commencer :P).
Beaucoup aimé le style, simple mais innovant et percutant.
Seul petit bémol: l'identité et les motifs du/de la commanditaire sont franchement tirés par les cheveux et difficiles à croire.