Of Sailor's twin sons, the elder is dead and the younger is missing. A simple woodsman, Sailor resolves to find the boy, fearing the worst. Soon after he and his friend Antonio set off, they stumble across a blind girl giving birth. This strange circumstance proves typical of their journey into the heart of the forest. Sailor and Antonio discover that, though the lost Twin is alive, he is the target of a manhunt. As Sailor and Antonio attempt to rescue Twin, the adventures unravel at a breathtaking speed. The net tightens around the three men until one of them is trapped and killed. And only then does the real action of this remarkable picaresque novel begin. In Giono's universe, no murder shall go unavenged.
Jean Giono, the only son of a cobbler and a laundress, was one of France's greatest writers. His prodigious literary output included stories, essays, poetry, plays, film scripts, translations and over thirty novels, many of which have been translated into English.
Giono was a pacifist, and was twice imprisoned in France at the outset and conclusion of World War II.
He remained tied to Provence and Manosque, the little city where he was born in 1895 and, in 1970, died.
Giono was awarded the Prix Bretano, the Prix de Monaco (for the most outstanding collected work by a French writer), the Légion d'Honneur, and he was a member of the Académie Goncourt.
I was interested in Jean Giono but reluctant to plunge in and read him because of some numbskulled preconception I had of him as being a sentimental Frenchie (Manon of the Spring sentimental, yeah good, but still sentimental) who romanticized the peasant life and who would make me want to sit on a stool in some village sipping wine and jawboning in a language I don't even know for the rest of my life. Well... I was wrong. Turns out, at least in this book and the other (Horseman on the Roof) I've read, he just hated the 20th century and its proliferating insanity (he wrote this in the 30's) and thought that the natural world and its seasons just might have something to teach us. His characters are less fully fleshed people than natural elements fleshed into people, forces of nature, but that doesn't bother me, because he gets the core impulses so right. This is a story (almost like a classic western, The Searchers, say) of a man's seeking trek through a timeless unforgiving French countryside for his son whom he fears has been abducted and killed by a band of rogues. But it gets complicated because a group is looking for his son for marrying a girl against everyone's wishes.
pretty weak tbh, and didn't get on with how sentimental it was. there's this guy who everyone seems to know (unclear how) called golden mouth, because he speaks so beautifully and poetically - he speaks in the way of those ocean vuong quotations from the tom crewe piece. very slow and it made me stop to look up far too much technical french vocab about herding cattle
A mon avis Antonio est l'homme sans aucune opinion. Et s'il n'y avait pas la nature, la livre a seulement 150 pages ou moins. Mais, j´ai lu des livres plus horrible et je pense que pour le bac, ce n'est pas tres mal.
Un veritable poeme de 300 pages; une epopee fantastique a travers les forets, le fleuve, les nuages, les montagnes, le soleil, les saisons; la vie dans toute sa spendeur.
Plus que l'intrigue c'est l'écriture foisonnante et charnelle de Giono qui fait de ce livre un monument sur la Nature. Giono la décrit d'une plume flamboyante, il en fait un opéra, tragique, bien sûr, comme tous les opéras, mais la tragédie est au niveau des humains, la nature n'en a strictement rien à faire ! La puissance du fleuve en crue, la poussée de la sève et de la vie à l'arrivée du printemps, là sont les véritables acteurs de l'histoire, même si le personnage d'Antonio devrait en faire rêver plus d'une !! Par les temps qui courent, où l'écologie est à la mode, et en même temps une vraie pulsion humaine, il faut lire et relire Giono, ce chantre de la Nature qu'il fait vivre sous nos yeux à travers les images puissantes du Haut Pays, Provence qui n'a rien à voir avec celle de Marcel Pagnol (d'ailleurs ils ne s'aimaient pas trop !) car ici tout est âpre, grandiose, dur, cruel sans états d'âme et cette nature puissante s'imprime dans le cœur des hommes, eux-mêmes aussi durs que le granitet coupants que la glace. je recommande, bien sûr !
To, ako Jean Giono vedľa seba ukladá slova, je kúzlo. To, ako popisuje prírodu, je nekonecne krásne. Pribehova línia - hľadanie a pomsta - za mna slabšie; najviac som si rozhodne užívala pasáže, kde človek v súlade s prírodou žije a vníma všetko navôkol ako svoju predĺženú súčasť - či seba ako predĺženú súčasť vsetkeho.
Le personnage principal de ce roman est la nature. Présente à chaque page, presque à chaque phrase, elle est personnifiée, mythifiée. Lors de ma première tentative de lecture, j'avais été assommée par toutes les descriptions à rallonge de l'auteur et avais abandonné ma lecture après une trentaine de pages. Cette fois-ci, remotivée comme je l'étais par l'envie de remplir mes objectifs du Pumkin Autumn Challenge, je me suis un peu forcée les cent premières pages pour finalement m'habituer au style très lyrique de l'auteur et même commencer à apprécier ma lecture. L'action se met doucement en place et même si le récit garde son caractère contemplatif jusqu'au bout, le lecteur a tout de même envie de connaître le fin mot de l'histoire.
Petit hic pour moi également, le patois provençal et tout cet univers paysan qui ne me passionne guère. Le langage des personnages est parfois presque incompréhensible. Je suis sûre que cette originalité de la langue et cette atmosphère campagnarde plairont à certains lecteurs, ce n'est clairement pas mon cas. Nous sommes plongés dans le quotidien de ces hommes du terroir, qui travaillent toute l'année dehors, en plein coeur de la nature. Mon esprit curieux m'a permis de m'accrocher à ma lecture et d'essayer de m'intéresser un minimum à ce monde paysan mais ce n'a pas été facile. J'avais hâte de terminer le roman pour passer à une histoire plus dynamique, à une écriture qui me parlerait davantage.
J'ai trouvé que le style de l'auteur créait une distance entre le lecteur et les personnages, l'ensemble m'a laissé une impression de froideur qui m'a empêché de m'attacher aux personnages.
Le style de Giono ne l'a donc pas du tout fait avec moi, je n'ai été sensible ni à son écriture ni à son histoire. Pourtant, Le chant du monde est une oeuvre intéressante car atypique, un bel exemple de nature writing, avec de jolies métaphores lyriques, des personnages mystérieux et touchants, un style bien particulier. Je vous conseille donc de vous faire votre propre opinion sur ce roman et de venir ensuite partager votre ressenti en commentaire de cet article, cap? 😉
There are many fine passages throughout this book, but in general it is stylistically overwrought. It’s an over-sized prose poem that grudgingly gives way, here and there, to plot. Too much “voice,” too little narrative through-line. Almost everything (description, dialogue, etc.) hits the reader at poetic, oblique angle. This gives some passages a strangely medieval heft, and you feel as if what you have in your hands were Sir Gawain and the Green Knight. All in all, the novel is a difficult read, like some of Faulkner or early Cormac McCarthy. And as with McCarthy’s The Orchard Keeper, I had to force myself to finish the book. I look forward to trying other Giono novels; this was just an unfortunate place to start.
Ce roman est un voyage dans la nature animé par l'amour d'un père et d'un amoureux.
Dans cet ouvrage la nature est montrée dans sa force, dans son immensité et sa variété. Je dirais que l'intrigue n'est pas très complexe et qu'il vient ponctuer les descriptions des paysages. Jean Giono plonge le lecteur dans les couleurs, les sons et les odeurs des lieux et lui permet de toucher l'air, l'eau et la terre en sollicitant son imagination. La nature narrée est mouvante, dynamique, enveloppante, fascinante et elle semble avoir aussi une valeur symbolique : parfois, les métaphores naturelles viennent illustrer les actions des personnages.
Le style d'écriture de Giono n'est pas toujours fluide et facile à suivre (surtout pour un étranger, comme moi). Cependant il est évocateur et doté de poésie, de rythme, de sonorités.
Jean Giono est le chantre de la sensualité de la nature. "Le chant du monde" est un hymne, un poème en son honneur. Giono aime à la folie la création, il jouit profondement d'elle et il la célèbre dans sa beauté simple et enivrante.
Une intrigue indigeste et des dialogues à ne rien y comprendre, entremêlés de descriptions naturalistes lyriques et puissantes : j'ai abandonné la lecture en tant que telle du roman Le chant du monde, pour ne me concentrer que sur les quelques passages glanés ici et là, qui évoque ce chant, si unique dans l'écriture et si plaisant pour les sens. Peut-être qu'en persévérant j'aurai fini par aimer la rugosité de la narration, le parler des personnages et la quête de Matelot, mais j'ai rarement autant peiné dans une lecture. Dommage car les évocations de la Nature sont d'une rare beauté, mêlant sensualité et symbolisme pour créer une atmosphère presque ésotérique... "L'étain neuf de la rosée gelée pesait à la pointe des herbes". Ça claque, non ?
Ach ❤️:) toto mi riadne pohladilo dušu. Giono ma dlhodobo fascinuje, ale tejto knihe veľmi pristalo, že bukolické opisy ustúpili deju a konaniu. Fascinuje ma, ako tento dej poňal - veľa dialógov, ale veľmi stručných, veľa drobných zvláštnych príhod s ľuďmi naokolo. Zamilovala som sa do tých krátkych jednoznačných odpovedí, do toho sveta, kde zrazu nie je nutné mať na všetko názor a kde odpoved na otázku ‘Co tomu říkáš?’ môže byť ‘Nic.’ Do sveta činov bez zbytočného otáľania, pretože to jednoducho treba spraviť (a činom môže byt aj niekoľkomesačné čakanie - lebo je nutné). Všetky postavy som si zamilovala :)
Comme souvent dans les romans de Giono, un homme, qui entretient une relation harmonieuse avec son bout de nature, en l'occurrence cette fois une rivière. Le héros est entrainé hors de son territoire par un voisin bucheron dont le fils a disparu. La piste va les entrainer dans diverses aventures. Comme toujours, je me suis facilement laissé happer par les ambiances, les personnages et la poésie des textes de cet auteur, à la fois simples et authentiques.
Un livre époustouflant où se mêlent dans une foison d images humains, animaux et puissante nature. On y trouve aussi une histoire palpitante d amour et de sang. Un amour jeune impulsif et dévastateur et un amour mûr en synchronisme avec la nature. Une ode à l eau peut être la seule référence à la Provence. Décidément Jean Giono n est pas un auteur régionaliste. Je ressens les mêmes sensations qu'en pays de Caux ou à Paris...Le corps garde til une mémoire ancestrale ? A voir...
Je viens de terminer le chant du monde de Jean giono. C'est une belle lecture pleine de poésie mais l'histoire est un peu longue. L'écriture de Jean giono est faite de poésie. La nature devient vivante. C'est sans doute cela qui rend la lecture compliquée. On est pas habitué à ce type de style. Le texte est beau mais l'histoire un peu complexe. Belle lecture et bonne journée
Eine sehr schöne Szenerie, die Giono entwirft: Unberührte Natur, der Mensch, der im Einklang mit ihr ein erfülltes Leben begeht. Dann gibt es noch die abenteuerliche Geschichte des Antonio und der Matrosen, die zusammen versuchen den Sohn des Letzteren, des "Zwillings", zu finden. Empfehlenswert, um zu entschleunigen und eine Pause vom digitalen Alltag zu nehmen.
Le récit se dévoile doucement par à coup, les personnages se révèlent dans leur discours et dans un environnement richement décrit, la ligne temporelle ne paraît pas linéaire. Je suis restée dans le flou, mais comme happée jusqu'à la dernière page. Je demande à comprendre.
"Het Zingen...", de derde Giono-roman die ik las, was zeer middelmatig. Een beetje zoals "De grote kudde": begint zeer goed, tweede helft stelt teleur. Sla "Het Zingen ..." en "De Grote Kudde" over en lees "Heuvel".
Ce livre était sympa, facile à lire et la plume est très agréable. L’écriture est touchante et l’histoire est prenante. En la lisant je me suis sentie apaisée.
De magnifiques passages sur la nature, beaucoup de poésie mais qui peut être difficile à suivre pour quelqu'un qui ne connait pas l'écriture gionesque ou qui n'est pas prêt à s'y ouvrir.
L'histoire est très secondaire. Ce qui est beau c'est tout ce qui est autour. Dès que les personnages parlent on apprend rien. Il faut juste se laisser guider par les descriptions.