Bruges, 1441. Arborant un air mystérieux, l'index posé sur les lèvres, Jan Van Eyck avait chuchoté : Petit, il faut savoir se taire, surtout si l'on sait. Qui pouvait se douter alors que, derrière la recommandation du maître flamand, se cachait le Grand Secret? À travers les brumes de Flandre et la luminosité éclatante de la Toscane, un enfant de treize ans va se retrouver confronté à une effroyable conspiration. Un monde occulte, empli de ténèbres qu'il lui faudra affronter avec l'innocence pour toute arme. Pourquoi veut-on sa mort? Que sait-il qu'il n'aurait jamais dû connaître? Pour quelle raison des peintres de génie, des apprentis, des orfèvres, des penseurs, des architectes sont-ils la cible de meurtriers invisibles? Quels sont les fils mystérieux qui les relient entre eux et les tirent insensiblement au bord de l'abîme? Autant de questions auxquelles l'enfant de Bruges devra s'efforcer de répondre s'il ne veut pas disparaître à son tour dans la nuit.
At age 19, after studying at a Catholic Jesuit school in Cairo, Sinoué went to France to study at the national music conservatory in Paris. He became skilled in classical guitar. He later taught classical guitar to others and started writing. In 1987, at about age 40, he published his first novel, La Pourpre et l’olivier ou Calixte 1er le pape oublié (The Crimson and the Olive Tree or Calixte I the Forgotten Pope). It earned the Jean d’Heurs prize for best historical novel. In 1989, he published Avicenne ou La route d'Ispahan, relating the life of Avicenna (Abu Ali Ibn Sina in Arabic), the Persian doctor, philosopher and scientist.
His novels and other books span a variety of genres. Sinoué's third novel The Egyptian is the first of a saga set in Egypt of the 18th and 19th centuries. Published in 1991, this novel won the literary prize Quartier latin. In the biography L'ambassadrice (2002), Sinoué relates the life of Emma, Lady Hamilton.
In 2004 his thriller Les Silences de Dieu (The Silences of God) won le Grand prix de littérature policière (Grand Prize for Mystery/Detective Literature).
Gilbert Sinoué quickly established himself as an engaging storyteller and master of a variety of genres. His biography, The last phar'aoh, depicts the battle of Mehmet Ali, the pacha, with the Ottoman empire. In the thriller Le Livre de Saphir (The Sapphire Book), the narrator converses with God.
In addition to writing books, Gilbert Sinoué is a scriptwriter and screenwriter.
Romanzo storico con tinte thriller, dove la scrittura è scorrevole, il ritmo serrato, forse troppi dialoghi, i personaggi sono tanti e poco caratterizzati e comunque, nel complesso, stereotipati, non mi hanno appassionato. Qualche cenno storico sparso qua e là, ma non approfondito, qualche cenno dell'arte della pittura, i soliti intrighi e cospirazioni, a tratti mi è sembrato di leggere un libro di Dan Brown.
Gilbert Sinoué has written better novels than this one, nevertheless, this romanticised story about the 13 year old apprentice and adopted son of the famous Flemish painter Jan van Eyck, in the historic transition towards the Renaissance, is a nice read. JM
Pensavo molto molto meglio visto la trama e i commenti positivi! Il libro inizia a diventare interessante solo a metà del libro e ciò non è una cosa buona..visto anche i numerosi e rilevanti personaggi storici come Cosimo de Medici e Jan Van Eycke
Sinoué ne fait rien à moitié. Son oeuvre est toujours précise et profonde. Ce voyage parmi les peintres flamands et leur univers est captivant, non seulement par ce qu'il nous révèle d'un monde que l'on ne connait pas forcément mais parce qu'il intègre habilement les élements de suspense moderne qui nous transportent avec enthousiasme aux travers des pages de ce très bon roman.
L'Enfant de Bruges est un jeune garçon abandonné après sa naissance et recueilli par Jan Van Eyck. Nous sommes à Bruges, en 1441. Bon, allez, comme je dis toujours, si on n'a pas de dégoûts, c'est qu'on n'a pas de goût, n'est-ce pas ? Je pense qu'il n'y a aucun lien entre le fait que j'aie reçu ce livre en cadeau de mon libraire et le peu d'estime que j'en ai conçu. J'espère. Disons que l'ennui double pour un thriller historique comme "L'Enfant de Bruges", c'est quand la documentation semble recrachée à la moindre occasion, et que l'intrigue prend l'eau de toutes parts. Gilbert Sinoué tâche de faire rentrer dans son roman le plus grand nombre possible de personnages historiques admirables disponibles à l'échelle européenne à la date qu'il a choisie : de nombreux peintres flamands bien sûr (Van der Weyden, Robert Campin, Petrus Christus) mais également leurs homologues italiens (Fra Angelico et compagnie) et des intellectuels de haut vol (Nicolas de Cues). Or la plupart ne font que de la figuration intelligente, de même que dès qu'on met le pied dans un port on a droit à un cours sur les différents types de navires, etc. L'ensemble a donc un désagréable parfum scolaire, pour rester poli. Quant à l'intrigue, elle est remplie d'incohérences, de mystères qui resteront irrésolus, de pistes abandonnées au beau milieu. J'avoue avoir dévoré les dernières pages en me demandant, vu le petit nombre qu'il restait, comment l'auteur allait s'en contenter pour dénouer élégamment son intrigue. Force me fut de constater qu'il n'en faisait rien. Il faut aussi remarquer dans ce roman un caractère de conte philosophique, franchement d'actualité : l'auteur cherche à faire pièce à l'obscurantisme et rien n'est plus facile que d'y lire une critique de notre temps. Je n'ai rien contre ce genre d'anachronisme quand il est de bon aloi mais la haine toute spéciale du Grand Secret (j'ai mon éthique, je ne dévoilerai pas lequel) dont font preuve les Machiavéliques Méchants du roman apparaît, du moins au vingt-et-unième siècle, comme parfaitement dérisoire au point de frapper d'ironie non pas seulement leur refus de la modernité mais l'ensemble de l'intrigue (un peu comme si on apprenait, à la fin d'un roman d'espionnage, que le KGB s'est déchaîné à propos d'une distribution de bonbons aux enfants des écoles). Bon. Tant pis. Au moins je comprends encore un peu mieux pourquoi j'admire "Le Nom de la rose."
Drei Sterne habe ich bisher erst selten vergeben. Das hier ist für mich ein 3-Sterne-Buch. Kann man lesen, muss man aber nicht. Hauptfigur ist ein 13-jähriger Junge, ein Adoptivkind, der bei dem berühmten Maler Jan van Eyck aufwächst. Den Maler hat es tatsächlich gegeben. Dabei gerät der Junge in Intrigen von Spionage und religiösen sowie künstlerischen Streitigkeiten. Aber irgendwie hat mich das Buch nicht wirklich gepackt. Literarisch ragt es nicht heraus, vielleicht will es das auch gar nicht. Als Krimi funktioniert das Buch gut, wobei es bessere historische Romane gibt, in denen man ein Gefühl für die Zeit bekommt. Dem Autor sind Stimmungen oder Beschreibungen wesentlicher zeittypischer Elemente nämlich nicht wichtig. Dafür ergeht er sich detailverliebt in der Verwendung vieler Fachbegriffe aus Malerei und Schiffstechnik, ohne sie näher zu erklären. Und das ist fast ärgerlich. Wenn man das Buch nutzt, um sich parallel oder anschließend über die Hintergründe zu informieren, erfährt man interessante Zusammenhänge. Im Buch hingegen liest man nur wenig über die historische Epoche, über den Wettkampf der Nationen bei der Entdeckung der Welt, über religiöse und staatliche Konflikte und vor allem über die Malerei. Warum hat der Autor sich nicht die Mühe gemacht, hier etwas tiefer zu bohren? Es scheint fast, als sei der ganze histrische Hintergrund am Umschlagpunkt von Mittelalter zu Neuzeit für ihn nur Deko, eine beliebige Leinwand, auf der er seine Geschichte malt. Wer über diese Oberflächlichkeit hinweg zu sehen bereit ist, bekommt einen ordentlich geschriebenen Krimi mit historischem Flair.
Il racconto non è mai noioso ed è interessantissimo vedere come l’autore intreccia storie diverse, ponendo nel giusto posto le nozioni che si conoscono e sfruttando la propria fantasia e la storia del giovane lì dove sorgono lacune storiche. Ti tiene con il fiato sospeso fino all’ultimo istante e ti fa chiudere il libro con un sorriso.
Il fatale pedaggio del dono artistico Il titolo e la presentazione mi attiravano troppo per lasciare che questo libro cadesse, come tanti altri, (ahimè ), nell’oblio delle mie continue wishlist non scritte. Una ambientazione storica ben ricostruita e personaggi reali che hanno fatto la storia del nostro Rinascimento: storia ed arte, come resistere? Il genere in sé non mi attira, ma ho strizzato l’occhio a Sinoué perché adoro i libri dalla ricostruzione storica ineccepibile. La lettura è stata piacevolissima, mi ha anche arricchito sulla pittura fiamminga e sulle varie tecniche per ottenere colori vividi: laddove i nostri grandi artisti utilizzavano ancora la tempera, Ian Van Eych, maestro del colore indiscusso in tutta Europa, usava con grande soddisfazione la tecnica ad olio. “Ricordati la frase dell’Alberti: Nella mano dell’artista, perfino uno scalpello deve trasformarsi in pennello, uccello libero”. L’ambientazione é doppia ed è dinamica: le Fiandre, dove il grande pittore insegna al piccolo Jan l’amore per la pittura e la tecnica per ottenere i colori dalle piante, dai minerali, e Firenze, dove è in atto una cospirazione che sembra fare vittime solo tra artisti entrati in contatto col grande fiammingo. Perché? Tra l’altro tutti trovati morti con in bocca terra colorata, terra verde di Verona. Un thriller con tanto di omicidi seriali, inseguimenti, una mappa nascosta chissà dove, la storia del figlio adottivo di Jan Van Eyck, che, rimasto orfano una seconda volta, sogna di imbarcarsi per Venezia dal porto di Bruges portando con sé il segreto di suo padre e suo maestro. Tantissime parole tipiche dell’epoca: lo scabino, la scarsella, il balivo, il batavo, l’atanor, gregario, beghinaggio, la velenosissima segala cornuta...mi hanno stimolato a fare ricerche autonome. Così come ho cercato i vari dipinti, polittici, ritratti, nominati con dovizia di particolari da Sinoué. Momenti piacevoli ed interessanti: il dialogo tra Ghiberti e Nicolò Cusano sullo scisma della Chiesa, il dibattito tra Petrus Christus , William Caxton e Laurens Coster sulla rivoluzione culturale derivata dall’invenzione dell’ars artificialiter scribendi, ossia della stampa a caratteri mobili di Gutenberg. Certamente non sono d’accordo nell’accostare il libro al capolavoro di Umberto Eco (Valeurs Actuelle, rivista francese di attualità), dal momento che per quanto riguarda la trama, mi lasciano un po’ perplessa alcuni passaggi narrativi. Consiglio il libro per una piacevole lettura, arricchente dal punto di vista storico ed artistico.
This was a very entertaining read and a fascinating mix between fact and fiction. You can see how conspiracy theories can sprout out of possible coincidences.
As with any book that hosts a considerable amount of characters, I did have some difficulty distinguishing each and every one of them, but the gist of the story was definitely clear.
It is a shame that there are hardly any female characters around, but then again the history books don't say much about them either. The female characters mainly exist to advance / explain the plot, but they have no depth.
Sia il romanzo che l'autore sono stati una piacevole sorpresa. Come si capisce dalla trama siamo nel 15° secolo e la storia è un mix di giallo e thriller, molto scorrevole e che invoglia a leggere per scoprire come va a finire. Lo sfondo storico è solo uno sfondo, per quanto ci siano dei personaggi realmente esistiti, e a me sta bene così, forse perché non conosco quasi nulla dei personaggi menzionati nel romanzo. Peccato per il finale un po' frettoloso, si capisce come va a finire ma un paio di pagine in più avrebbero aiutato a dare una conclusione più chiara.
Really interesting book. I had to read it for my French classes, and at first, I thought it would be a boring book, but turns out I was wrong ! The only problem is that all the names, and all the murders confused me; I sometimes couldn't remember who was who, and who was dead and who wasn't. I've also learnt more about painting, and this book made a lot of references to my French course, which was really useful.
E' un racconto scorrevole, direi anche coinvolgente. Mi piace la scrittura di Sinoue'. Bella e originale la storia. Nonostante questo tutti questi personaggi storici realmente vissuti e con un'importanza notevole nel loro tempo, ma solo "accennati" nel romanzo mi ha lasciata un po' perplessa. E' quasi come aver voluto inserire tanti personaggi dell'epoca per far intendere di avere ben posizionato il romanzo nel tempo, ma senza una reale utilità dei personaggi nella storia, o perlomeno coinvolgendoli molto poco (mi riferisco ai protagonisti italiani e portoghesi).
Le doy 4 estrellas porque aunque el libro me pareció bueno, no fue como que lo super amara.
Al principio era un poco lento, pero logra mantenerte pendiente de lo que está sucediendo.
Eso de que al final es que te enteras de lo que realmente está pasando, me gustó, y creo que fue bien logrado, pero me hubiera gustado saber que pasaba luego.
Μου άρεσε που σε έβαζε στο κλίμα της εποχής πολύ ωραία. Με έναν πολύ ωραίο τρόπο, σε έκανε να σκεφτείς αν το μίσος προς την πρόοδο και τις νέες ιδέες ήταν κομμάτι του παρελθόντος ή μια κατάσταση που διαιωνιζεται. Ξεκινα ομορφα κι ωραια, με εναν σταθερο ρυθμο, και αρκετα νωρις ξεδιπλωνεται το κυριως μυστηριο που κραταει σε ενδιαφερον τον αναγνωστη. Ειδικά προς το τέλος, η αγωνία ήταν αβάσταχτη. Φανταστικό
È un romanzo che trovo molto carino e ben fatto, soprattutto perché tratta il periodo del rinascimento e l’arte fiamminga molto nel dettaglio, ed è un argomento che ho svolto recentemente a scuola quindi la comprensione mi è stata chiara. Lo consiglio agli appassionati di storia dell’arte e dell’arte del 400
No. Non ci siamo. Non ha in alcun modo il fascino di medicus o la bellezza di tormento ed estasi. Prendere un periodo storico con geni assoluti dell'arte e far calcar loro la scena non garantisce in alcun modo una riuscita del romanzo. E questo non riesce. Da evitare proprio Voto 4/10
non mi è piaciuto proprio, il segreto attorno al quale ruota tutto il libro è deludente, la trama è confusa. Ci sono troppi personaggi e di molti non capisco il ruolo nella storia. I protagonisti non hanno personalità e sono noiosi. La prima parte del libro potrebbe pure sembrare appassionante ma dopo un po’ diventa molto monotono.
I read this book from a recommendation from my photography Professor. Read this book and watch the movie “girl with the pearl earring”. Mix them up and conclude by yourself. Do this exercise. You won’t regret it. - all I have to say. Enjoy!
Un romanzo che più che sviluppare una trama coerente, solida e convincente pende troppo sul lato didascalico. Troppe le spiegazioni, ridondanti e a tratti fastidiose e troppo fragile il filo narrativo che lega le vicende.
Gilbert Sinoue nous fait voyager dans le siècle de la peinture flamande et la découverte de la peinture à l'huile, avec des intrigues on passe de la Belgique jusqu'en Toscane, c'est le périple d'un jeune assistant, très bien écrit il faut le lire pour apprendre sur ce siècle nébuleux.
It is so bad I wanna give it a zero but that’s not possible, so I give it a one. The book is very long, the plot of the story is not very great. On my opinion that was boring to read.