In the tradition of such great Latin American magic realists as Jorge Amada, Sergio Kokis recreates the magic world of a child in Brazil.
The novel is told from the point of view of a Brazilian painter in exile somewhere in the northern climes - man who longs for the warmth and vibrancy of his childhood.
But his childhood and adolescence were not easy. Torn between a deeply religious (and superstitious) mother and his father, a man of science and reason, the young man survives his home life, life at boarding school, and life abroad to become an artist and a person in his own right.
Funhouse (Le pavillon des miroirs in French) has won four major literary awards in Quebec: Grand Prix du livre de Montr�al, Prix de L'Acad�mie des lettres du Qu�bec, Prix Qu�bec-Paris, and Prix Desjardins.
Sergio Kokis est un romancier et peintre québécois né à Rio de Janeiro au Brésil, le 6 mai 1944.
Il connaît une enfance difficile qui le conduit à l'âge de neuf ans en institution de redressement. Il poursuit cependant ses études et fréquente l'École des beaux-arts de Rio, avant d'étudier en philosophie.
En 1966 il obtient une bourse d'études en France où il complète une maîtrise en psychologie à l'Université de Strasbourg. Il immigre au Canada en 1969 et est engagé comme psychologue à l'hôpital psychiatrique de Gaspé. L'année suivante il devient docteur en psychologie clinique de l'Université de Montréal.
Il enseigne au département de psychologie de l'Université du Québec à Montréal. Depuis 1975, il travaille également comme psychologue à temps partiel à l'Hôpital Sainte-Justine.
À partir de 1973, il étudie à la School of Art and Design du Musée des Beaux Arts de Montréal et au Centre Saidye Bronfman de Montréal.
Depuis mai 1997, il se consacre uniquement à la peinture et à l'écriture.
Il est participant de longue date au festival littéraire international Metropolis bleu.
Ce livre est très intéressant puisqu'il permet de découvrir le Brésil par l'oeil d'un narrateur enfant, puis adolescent. J'ai surtout aimé les passages narratifs qui racontent l'enfance et le Brésil, mais le dernier chapitre, dans lequel le narrateur adulte, maintenant immigré au Québec, réfléchit sur son identité, est franchement excellent!
"Sinto a nostalgia de desejos longínquos misturada com a decepção de ter de voltar para casa. Sem nem poder pedir alguma coisa a Iemanjá. Porque não sou do seu mundo, não sou de nenhum desses mundos."
Permeado "de cabo a rabo" por reflexões cínicas como a acima, "A casa dos espelhos" (Le Pavillon des Miroirs em francês), romance de estreia do quebequense (nascido brasileiro) Sergio Kokis, infelizmente, é um pequeno calhamaço de 302 páginas (na edição da Record) que poderia muito bem ter sido reduzido pela metade ou a um terço do tamanho original. A leitura, do jeito que está, é enfadonha, talvez para simular o efeito de memória/rememoração que se pretendeu imprimir ao livro, constituído por jogos de espelhos entre a infância, adolescência e a maturidade da personagem, que, como Kokis, nasceu no Brasil mas sempre foi desde já "estrangeiro", ainda que tenha demorado para percebê-lo, e tenha se tornado efetivamente um no exílio, na França e no Quebec (supõe-se - o narrador nunca o diz). Enfim, um livro bom, mas que em termos de estrutura, podia ter oferecido muito mais leveza e menos, talvez, pedantismo. Os capítulos da viagem ao nordeste são sintomáticos disso.
Un peu trop prétentieux, "je suis un artiste compliqué... et profond". Ça manque de profondeur, mais il essaie de rendre des réfléxions très basiques (la société nord-américaine surconsomme sans même y pense et c'est dégoûtant) profondes, mais seulement en ajoutant plus de mots, en se répétant et en essayant d'avoir l'air chic et hipster. Et après il se justifie en disant "je n'y peux rien... je suis trop rêveur et compliqué, les autres (gens basiques et pas aussi artistiques que moi) ne peuvent pas comprendre". Au fond, ça ne dénonce pas grand chose, ça donne juste l'effet d'un papi qui se plaint. Ça gâche le livre, mais c'est aussi la voix narrative, donc tout ce qu'on aime du livre est recouvert de ce filet.
This book has nothing to do with magic realism ! It is at once horrible, wonderful, shocking, insightful and the observations about Québec are painfully accurate but at the same time quite funny!
Je n'ai pas particulièrement aimé ce livre, mais je l'ai trouvé intéressant, le regard porté sur notre société est intéressant. Je ne suis pas une fans des longues descriptions, parfois dans ce livre, j'ai lu en diagonales les lieux, les décors, et d'autre fois j'ai porté attention aux mots, aux phrases et je pouvais m'imaginer un peu la scène décrite, mais parfois l'image était pleine de misère et difficile à imaginer - dans le sens que je voulais pas -
Bref... Ce n'est pas un livre léger.
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